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Une princesse dépravée – Chapitre 1




  Princesse Catherine était une nymphomane invétérée. On pouvait même la considérer comme une salope telle que la terre en avait rarement vu. Histoire de compléter le tableau, je vous précise que cette jolie fille de dix-huit printemps éprouvait une attirance irrépressible pour les animaux.

En un mot comme en cent, elle copulait avec toutes les bestioles qui passaient à sa portée, ce qui n’était pas sans poser problème. En effet, ses frasques incommodaient la cour royale au point de fragiliser le pouvoir en place. Il faut dire que cette jolie brune agissait sans gêne à la vue de tout le monde, ce qui n’arrangeait rien.

  En tant que conseiller du roi, Aristide avait suggéré au monarque d’éloigner sa fille du palais pendant quelque temps, histoire de laisser la situation s’apaiser.

Bien sûr, il anticipait déjà de baiser cette jolie fille. Qui aurait refusé pareille aubaine ?

  Ce jour-là, la petite troupe partit à l’aube, avec un maximum de discrétion. Une escorte réduite, des bagages limités et un équipage tout ce qu’il y a de plus simple, sans aucunes armoiries, de manière à ne pas attirer l’attention.

  Cette journée d’été s’annonçait chaude et les chevaux, assoiffés par cette galopade sur les routes poussiéreuses, donnaient des signes de faiblesse. Aristide ordonna de s’arrêter à l’ombre d’un noyer, hommes et bêtes ayant besoin de se reposer.

 Ankylosé par l’inconfort du carrosse, il décida de marcher un peu histoire de récupérer. Lorsqu’il revint, il n’aperçut pas princesse Catherine. Mû par un pressentiment, il s’approcha des chevaux. Un étrange bruit mouillé se faisait entendre. Aristide se pencha et découvrit un spectacle embarrassant.

  La princesse se tenait agenouillée devant l’un des étalons et s’appliquait à lécher le membre déployé de l’animal. C’était la première fois que Aristide avait l’occasion de voir un sexe de cheval en érection. Celui-ci se présentait sous forme d’un long phallus clair parsemé de taches plus foncées. Curieusement, le priape paraissait constitué de deux parties embouties l’une l’autre, peu de pilosité, une certaine proportion dans la longueur de l’organe génital. L’extrémité en demeurait invisible pour l’heure, enfouie dans la bouche de la gourmande qui pompait sans retenue.

  La princesse suçait goulûment comme si sa vie en dépendait. À croire qu’elle biberonnait de la bite de cheval depuis toujours. Fasciné par la scène, Aristide ne réagissait pas. Il fixait Catherine en train de glouglouter l’organe reproducteur du quadrupède qui semblait apprécier le traitement, l’il à demi-fermé, la queue fouettant l’air.

  La jeune femme recracha une bonne longueur de pénis chevalin et entreprit de lécher le membre sur toute la longueur. Elle insistait sur le prépuce, le bout de sa langue utilisé comme un instrument de précision pour nettoyer les interstices de quelque saleté.

Les mains délicates ne restaient pas inactives. La belle malaxait vigoureusement les grosses couilles foncées de l’animal.

Aristide imaginait ses propres burnes subir ce traitement. Qu’est-ce que ça devait être bon ! Elle uvrait avec savoir-faire et gourmandise. Dommage qu’elle fantasmât sur les bestioles, mais il se chargerait de l’initier à des plaisirs autres.

  Émergeant de sa rêverie, Aristide reprenait contact avec la réalité et pouvait maintenant observer Catherine en train de donner de grands coups de langue sur le membre tout du long. Elle étalait sa salive avec abondance, engluant jusqu’aux couilles du cheval qui manifestait les premiers signes de nervosité. Fait curieux, la salope léchait à présent en se concentrant sur les tâches présentes sur le sexe, comme si elle cherchait à les effacer de sa langue.

  C’est un membre parfaitement propre et trempé que Catherine tenait en main lorsqu’un épais jet de sperme en fusa. La giclée la frappa en plein visage, lui souillant toute la face. La semence abondante formait une pâte visqueuse d’un blanc terne qui lui couvrait le nez, les joues et la bouche. Une langue avide en sortit pour en balayer le pourtour. Tout le sperme ainsi ramené fut avalé illico par la jeune gourmande qui racla ensuite avec minutie son beau visage pour recueillir jusqu’à l’ultime goutte de liqueur.

Quel goût cela pouvait-il avoir ? Qu’importe, cela convenait de toute manière à Catherine à voir l’expression d’extase qui se peignait sur sa figure.

 

 

  Aristide cru bon de se manifester, ne serait-ce que pour se donner une contenance. 

  Princesse, tout de même, vous rendez-vous compte de ce que vous faites ?

  Ben quoi, il n’y a pas de mal à se faire du bien ?

  Certes, je vous l’accorde, mais avec un animal… Pensez-vous à tous les hommes qui aimeraient vous voir leur prodiguer le même traitement ? Et puis, comment donner un héritier à la couronne en prenant des amants de cette nature ?

  Je fais ce que je veux avec mon cul. Tu ne vas pas me faire chier non ?

  Princesse ! Vous m’avez habitué à un meilleur langage.

   La jeune fille ne répondit pas et préféra s’allonger à l’ombre du noyer.

Si le voyage commençait comme ça, l’expédition risquait de réserver encore pas mal d’étonnements.

  Le soir surprit l’équipage en lisière d’une profonde forêt. Par chance, une auberge se trouvait sur ce point de passage obligé, à cheval entre deux provinces.

Le tenancier se montra très affable et logea tout le monde pour la nuit. Aristide restait circonspect quant à l’attitude de la princesse. Elle semblait calmée pour l’instant mais il préférait ne pas prendre de risques. Il vérifia l’écurie et se promit de tenir la gourgandine à l’il. De toute façon, les chiens parqués à proximité donneraient l’alerte au besoin.

Néanmoins, les évènements se précipitèrent durant la nuit.

  Mû par une sorte de sixième sens, il s’éveilla pour constater l’absence de la princesse.

Avec précaution, il quitta la chambre et descendit les escaliers plongés dans la pénombre.

Une rapide fouille le convainc que Catherine ne se trouvait plus à l’intérieur de la bâtisse. Le verrou tiré le confirma dans ses soupçons.

Il sortit de l’auberge et foula le sol de la cour. C’est alors qu’il entendit des halètements venus du chenil.

« La salope, j’aurais dû m’en douter ».

À suivre

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