Après cet épisode au club, je décidais donc de changer notre fiche en étendant dans notre profil notre recherche à la pluralité masculine, c’est comme cela que nous avons rencontré Priapre un homme seul qui habitait à Fréjus.
Sur sa fiche, il affichait des photos montrant qu’il était bien doté par la nature. Il avait déjà tenté de dialoguer avec nous sur le site nous complimentant sur les photos de Marie publiées mais nous n’avions pas donné suite.
Naturellement, il tentait régulièrement sa chance…
Et un matin, alors que nous étions connectés et que Marie était au clavier, il nous envoya un message:
— Coucou vous cherchez un homme pour trio ?
Marie lui demanda d’ouvrir son album pour voir à qui nous avions affaire. Il y figurait en érection sur de nombreuses photos, il était monté comme un âne. Depuis l’épisode du club, elle rêvait de se faire prendre par plusieurs hommes qui la traitaient comme un objet sexuel sans ménagement et cette bite, dès qu’elle la vit la tenta. Une envie de sexe montait en elle au fil des photos de sa galerie…
"On lui répond ? " demanda-t-elle comme si elle n’y portait pas plus d’intérêt que cela.
Pas dupe de ses réactions, je savais qu’elle était comme hypnotisée par cette bite dont elle avait du mal à détacher son regard. Visiblement vu ses yeux légèrement embués elle devait même déjà mouiller.
"Oui. Elle te plaît ? "répondis-je sachant que ma réponse lui ferait savoir que je savais qu’elle voulait sentir cette cette grosse bite la défoncer comme une chienne.
Marie avait honte d’être prise sur le fait. C’est vrai que ces photos la faisaient mouiller, elle était excitée par ce sexe hors-norme et me connaissant, elle savait que si elle m’avouait son trouble cela se terminerait par une séance de baise torride où elle serait traitée comme une salope. Il fallait qu’elle trouve une réponse ne montrant que son envie de me faire plaisir et non pas son envie de se faire défoncer.
"La tienne est plus joli Maître, mais il est mignon et si tu veux me partager avec lui j’accepterais…" Elle savait trouver les mots justes quand il fallait je l’avoue. Nous répondîmes donc à son message et au bout de quelques minutes de discussion, nous échangions nos numéros de téléphone afin de prendre rendez-vous afin de faire connaissance autour d’un verre dans un bar de Port Fréjus le soir même.
Ce soir-là, je pris soin de choisir la tenue de Marie moi-même. Elle avait un ensemble d’été jupe courte évasée et brassière formant balconnet décor façon camouflage militaire qui la rendait très sexy. Vu la saison estivale elle le porterait sans dessous. Pour les chaussures, elle avait une paire de hauts talons lacés sur les mollets dont la couleur s’accordait avec l’ensemble.
Le résultat faisait d’elle une bombe sexuelle.
Marie se regardait dans la glace ainsi vêtue, elle était folle de m’obéir, cet ensemble était une invitation au viol. Une simple saute de vent et sa jupe risquait de révéler son cul ou sa chatte à tous les passants puis elle repensa au patron du club libertin la regardant gémir sous les caresses de moi et Natacha au bar et cela lui créa une boule au ventre, s’il me voyait, pensait-elle. Cela acheva de mettre ses sens en émoi. Elle se maquilla et vint me rejoindre au salon.
Je savais que cette rencontre déboucherait sur un trio, mais je voulais rester maître du jeu de soumission que j’avais initié avec Marie.
Je voulais quelle soit sous mon contrôle lors de cette rencontre, le choix de la tenue qui était limite pour une sortie en public était un premier pas, j’avais pris pendant qu’elle se préparait les boules de geisha et son rosebud dans la chambre et les avais posés sur la table du salon en évidence. Je voulais quelle les porte pour moi et se sente ma chienne à ce rendez-vous.
Marie arriva au salon, prête à sortir, elle fut surprise à la vue de ses jouets sur la table. Le salaud pensait-elle certainement, il a décidé de me torturer encore, mais son corps loin de suivre ses pensées réagissait à l’inverse. Cette fois-ci sa chatte était trempée.
"Poses tes mains sur la table basse salope !" dis-je.
Son esprit disait non, c’est trop, mais son corps accepta l’ordre et elle se pencha sur la table.
"Écartes les cuisses !" dis-je.
Sans même penser, en bonne soumise, ses cuisses s’écartèrent dans l’attente de la pénétration. Elle sentit le rosebud glisser d’abord dans sa fente avec satisfaction et ce jusqu’à ce qu’il soit bien lubrifié. Puis je le présentais sur sa rosette et appuyais… La douleur commença à se faire sentir seule puis le plaisir vint s’inviter lorsque son anus céda pour laisser entrer l’intrus. Les boules vinrent ensuite. Je les faisais aller et venir tout d’abord sur sa chatte pour les lubrifier.
Dans la tête de Marie les photos de la bite de Priapre défilaient mélangées au visage du patron du club assistant à sa déchéance au club. Elle dégoulinait. La première boule passa dans son vagin suivie rapidement de la seconde. Je tirais sur leur cordelette pour voir si elles étaient bien en place. Cette stimulation fit réagir de suite Marie l’image de Natacha lui branlant sa chatte lui apparut, son bassin ondulait mais le plaisir ne fut que de courte durée car le la laissais sur sa faim.
"Voilà, tu es prête maintenant ma salope !" dis-je.
Marie se redressa, elle se sentait remplie, chaque mouvement lui rappelait que ses trous appartenaient à son maître. C’était comme sil la caressait virtuellement.
Les premiers pas sur ses hauts talons pour rejoindre la voiture furent un doux supplice pour elle.
Arrivés à Port Fréjus au parking, il nous restait 300 mètres à faire à pieds sur un sol pavé. Je savais qu’à chaque pas les boules s’entrechoquant provoqueraient de contractions de son vagin et par la même de sa rosette sur le rosebud, j’étais aux anges.
Marie se leva pour sortir de la voiture, le fait de ce simple geste provoqua une vibration dans les boules qu’elle fit mine d’ignorer pour ne rien laisser paraître du trouble dans lequel je l’avais mise. Elle lissa sa jupe qui était remontée au ras de sa chatte pendant le voyage.
Quelle idée d’avoir un cabriolet ! Tout le long du trajet, elle avait senti le regard des hommes sur elle, surtout les motards qui aux feux s’arrêtent à notre hauteur se tournaient vers elle. Elle ne voyait pas leur visage sous leur visière mais s’imaginait les pensées de ses hommes qui rêvaient de toucher sa chatte à peine voilée par sa jupe ou de mettre leurs mains dans son décolleté profond. Elle avait eu honte de s’exposer ainsi mais son corps prenait le dessus sur elle. Sa chatte était toujours aussi humide à l’arrivée qu’au départ de chez nous et les pointes de ses seins si dures qu’on les voyait se dessiner à travers son top.
Elle prit mon bras et emboîta mon pas pour aller au Coconut. Son supplice commença alors à chaque claquement de talon son rosebud poussait à travers la paroi fine ses boules qui s’entrechoquaient et vibraient renvoyant leur vibration vers le rosebud et son anus. Elle ne pouvait réprimer les contractions engendrées par ces objets et les ondulations incontrôlées de son bassin. Au bout de 10 mètres elle me demanda de ralentir le pas ce que je ne fis naturellement pas sachant ce qui se passait en elle. Elle sentait sa mouille couler le long de ses cuisses mais continua à marcher sans rechigner plus. 100 mètres étaient parcourus elle avait de plus en plus de mal à refouler ses gémissements. Elle sentait son anus s’assouplir dangereusement et craignait de voir tomber le rosebud à tout moment au milieu de la foule marchant sur les quais. Aussi elle contractait elle-même maintenant sa rosette pour éviter cela mais de ce fait son vagin se resserrait autour des boules augmentant le plaisir que lui procurait celles- ci.
Elle dut réellement s’accrocher à moi pour faire les derniers mètres.
Priapre était installé dans un coin canapé nous l’y rejoignîmes. Je fis signe à Marie de prendre place à côté de moi face à lui.
Marie s’exécuta, mais elle ne se sentait pas vraiment à l’aise d’une part du fait qu’assise dans ce canapé profond sa jupe remontait très haut et surtout du fait des sextoys qu’elle portait. La honte commençait à prendre le dessus sur son excitation.
Nous parlâmes d’abord de choses et d’autres puis naturellement du libertinage et de notre annonce récente sur le site.
Il était libertin depuis plus de 10 ans et pratiquait aussi bien trio que partouze ou même duo puisqu’ il fréquentait un couple candauliste. Il était pas mal, je dirais aussi bel homme que moi et naturellement plus vieux que sur les photos de son profile… Sourire… Je lui narrais notre première expérience en club avec Natacha sans aborder notre goût pour les jeux DS.
Marie restait silencieuse, elle observait cet homme de la tête aux pieds. Elle appuya son regard sur sa braguette et fut surprise de voir qu’il faisait de même avec elle la jaugeant telle une pouliche de course tout en parlant avec moi. Elle se sentit fondre de se sentir ainsi traiter comme un objet. Se penchant pour prendre son verre elle dut décroiser les jambes ce qui lui amena un regard plus appuyé de Priape qui devait maintenant apercevoir dans la pénombre de sa jupe la ficelle des boules de geisha. Prise de folie, voulant qu’il bande pour elle et elle ne recroisa pas ses jambes mais s’enfonça dans le canapé verre à la main guettant les réactions de son futur étalon qui ne se firent pas attendre vu la bosse qui se formait dans le pantalon de notre interlocuteur.
Les présentations finies, j’en venais à ce moment au but de notre rendez-vous et indiquais à Priapre ce que nous voulions et ne voulions pas. À savoir un seul interdit pour lui la sodomie car moi seul y avais droit. Il se tourna vers Marie et lui demanda ce qu’elle aimerait qu’il lui fasse.
Surprise en pleine observation de la bosse maintenant énorme de son pantalon elle répondit dans un murmure : "Tout ce que vous voudrez Monsieur."
"C’est une sacrée coquine que tu as !" Me dit-il.
"Oui et encore tu n’as rien vu." répondis-je en souriant. Je passais alors la main sous la jupe de Marie et tirais un peu sur la cordelette des boules de geisha. Elle couina surprise.
"Tu veux l’aider à enlever ses boules de geisha, cela fait longtemps qu’elle les porte." dis-je.
Marie était abasourdie par ce qu’elle venait d’entendre. Son cur battait la chamade, Priapre n’allait quand même pas faire cela ici ? Mais l’homme se leva et se pencha par-dessus la table, puis tendit la main vers son entrecuisse. Elle était morte de honte mais ses cuisses s’écartaient d’elles même pour faciliter le passage de cet envahisseur. Tout son corps était tendu. Il prit son temps saisissant la cordelette il tira doucement. Marie sentait les boules dilater la sortie de sa chatte mais la soif de plaisir qui habitait son corps commandait son âme elle lui faisait contracter sa chatte autour des boules. Sentant une résistance plus forte Priapre tira d’un coup sec sur le fil faisant sortir la première boule et un Hoooo de plaisir de Marie. Elle était en feu. Il lui aurait demandé de la baiser là elle aurait dit oui. Un nouveau coup sec fit sortir la dernière boule et un nouveau Hoooo l’accompagna il donna à Marie ses boules quelle cacha vite dans son sac. Personne n’avait fait mine de remarquer notre manège.
Il était maintenant près d’une heure du matin.
— Quand êtes-vous libres nous demanda-t-il ? Je vous invite chez moi quand vous voulez…
Marie le fixa comme une salope et répondit : "quand tu veux…"
Nous prîmes rendez-vous pour le samedi soir suivant. Et partîmes chacun de notre côté.
À suivre…..
