Je me rendis donc sur ordre de ma mère dans la cuisine où ma tante m’attendait. En entrant dans la pièce, je vis que ma tante était totalement nue, en train de se branler la chatte, et avait disposé plusieurs bouteilles d’eau sur la table. En me voyant arriver, ma tante arrêta de se masturber et m’ordonna d’une voix sèche et dominatrice:

«Déshabille-toi et assieds-toi sur cette chaise, esclave.»

J’obéis docilement à l’ordre de ma tante. Elle ouvrit ensuite un tiroir et en sortit une corde. Elle me passa la corde autour de la taille et me ligota fermement. Elle me présenta ensuite une première bouteille d’eau en me disant:

«Tu vois ces bouteilles, esclave? Je vais te les faire boire les unes après les autres SANS pause. Compris?»

«Oui, Maîtresse Rosalie.»

Ma tante prit donc une première bouteille d’eau et me la fit boire à longues gorgées. Lorsqu’elle eut fini de me faire boire la première bouteille, elle en prit une deuxième et me la fit boire de la même manière. Elle en prit ensuite une troisième puis une quatrième et une cinquième. Au bout de cette cinquième bouteille, je sentis ma vessie me peser. J’avais un besoin urgent d’uriner. Attaché par la corde, je n’eus d’autre choix que de contracter au maximum mon ventre afin de retenir l’urine le plus longtemps possible. Ma tante se rendit vite compte de mon état et me détacha rapidement. Mais ce détachement ne présageait rien de bon.

«Maintenant, pisse-toi dessus, esclave. Par petits jets. Que je puisse me branler devant ton humiliation!»

Bien que cela fut plus qu’humiliant, je ressentis un vif soulagement en entendant l’ordre de ma tante. Je me pissai donc dessus par petits jets, comme me l’avait ordonné ma tante. Dès le premier jet d’urine, ma tante se caressa puissamment la chatte. Voir ma tante comme ça m’excitait au plus haut point. Je lâchai donc toute mon urine dans un ultime puissant jet. Mon ventre était couvert de ma propre urine. Ma tante applaudit mon petit final avec ferveur et me demanda de me coucher par terre et d’ouvrir la bouche. Ma tante s’assit sur mon visage. Son anus se trouvait pile au niveau de ma bouche ouverte. Dans un bruit mémorable, ma tante me lâcha sa merde dans la bouche.

«Avale bien tout, esclave, sinon, je te le ferai regretter.»

J’avalai donc avec un inexplicable plaisir toute la merde de ma tante. Après m’avoir largué toute sa purée, elle m’ordonna de lui lécher l’anus afin de le nettoyer des traces d’excréments. Je m’exécutai donc et lorsque j’eus fini, ma tante m’ordonna de me relever.

«Maintenant, monte dans la chambre de ta sur pour recevoir sa punition. Comme tu as été un bon soumis, je te préviens qu’elle sera encore moins tendre que moi. Bon, assez parlé, monte, esclave.»

Je m’inclinai devant ma tante en disant "merci, Maîtresse Rosalie" et me dirigeai vers la chambre de ma sur. Que pouvait-elle me réserver de plus humiliant que de devoir me pisser dessus et avaler de la merde? Je n’allais pas tarder à le savoir.

La suite dans le prochain épisode

Marc

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