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L'eau qui dort. – Chapitre 7




Sandwich à la plage :

Au matin, je bois un café sur la terrasse. Hier j’ai vu ma femme adorée faire l’amour avec un jeune amant, Bruno. Je suis bel et bien cocu. Mais je n’en reviens pas de trouver cela excitant, cependant j’en bande encore au réveil. Peu à peu je me convainc que le mieux est de laisser faire et de voir ou cela ira. Je cherche un prétexte pour ’m’absenter’.

Aussi quand Anne se réveille, un café chaud l’attend avec des croissants, et tandis qu’elle déguste d’un air rêveur en contemplant la mer, je lui demande ce qu’elle veut faire de sa journée, car je dois aller chercher une pièce pour la voiture à Narbonne. Elle me parle de bronzer sur la terrasse et peut-être aller à la plage. Je la félicite et lui conseille : ’’fais-toi plaisir surtout ma chérie’’.

Après un baiser tendre, je la quitte pour le parking. Je prend la route pendant 10 mn puis fais demi-tour et reviens me garer dans un chemin en retrait de la résidence. Ma voiture dissimulée, je retourne à pied dans les dunes, parmi les herbages d’où je peux voir la façade de notre immeuble. L’attente dure, je ne vois pas de mouvement, Anne est invisible. Je me repasse le film de la veille. Elle s’est montrée si décidée et si sensuelle avec ce jeune. Comment cela va-t-il se continuer? Soudain elle apparaît sur le balcon allant et venant, le téléphone à l’oreille. Vers 10 heures, elle sort en paréo, sac en bandoulière et se dirige vers la plage, d’un pas rapide.

Je la laisse prendre du champ puis suit sa direction, elle est au loin s’éloignant des résidences, le long du rivage, elle dépasse une baraque où l’on vend des boissons et loue des planches à voiles, puis étend sa serviette à 5m de l’eau. Là elle se dénude et nue comme au premier jour s’allonge sur le dos et savoure le soleil brûlant, vêtue uniquement de ses lunettes de soleil. Je rejoins plus haut dans la dune le point le plus proche d’elle. Je n’ai pas à patienter longtemps, le jeune Bruno arrive aussitôt, accompagné d’un autre homme, d’âge moyen, musclé, crâne rasé, bronzé. Bruno se penche sur ma femme et lui roule un gros baiser baveux, auquel elle répond en entourant ses bras autour de son cou. Les deux hommes nus s’installent de chaque côté de mon épouse et Bruno enchaine en la serrant contre lui et lui donnant les baisers. Ses mains vont et viennent sur son corps, ses seins, ses hanches ses fesses. Je vois qu’elle rit. Après quelques minutes, ils se dirigent tous trois vers la mer. Bruno toujours caressant et excitant le corps d’Anne, son compagnon plus discret mais jamais loin, plongeant et passant près du couple enlacé pour ressortir en riant à deux mètres. Cela dure une demie-heure pendant laquelle ils nagent proches en jouant et s’éclaboussant. Ma femme nue finit allongée sur le dos dans 20cm d’eau, Bruno sur elle, faisant passer son bassin sur sa peau. L’autre homme, à genoux les regarde, il bande légèrement, la verge posée sur ses cuisses, à un mètre d’elle.

Ils se décident à revenir vers les serviettes, Bruno, bande franchement, arborant sa virilité comme un fanion. Anne, s’allonge et lui se colle à elle lui baisant les seins et glissant sa main entre ses jambes. Anne se redresse et se penche vers la verge dressée et l’embouche gaillardement, commençant une pipe en pliene plage, à peine masquée par le comparse qui bande aussi fort maintenant. Elle s’affaire, s’applique à faire reluire le dard de Bruno qui a fermé les yeux et apprécie l’hommage. Je me retrouve en spectateur de la débauche de mon épouse, si prude apparemment jusqu’à hier!

Je remarque que l’autre homme, lui aussi contemple la scène avec intérêt et maintenant il est tout proche et il saisit la main de ma femme pour la placer sur son sexe érigé. Anne ne semble pas de froisser et au contraire entame un mouvement de va et vient sur la hampe sans cesser de sucer son amant béat. Le comparse laisse ses mains caresser mon épouse consentante. Je les vois glisser sur elle, palper sa poitrine, pincer ses hanches, glisser entre ses fesses. On dirait qu’il l’a pénétrée de ses doigts car il agite sa main en cadence sur son derrière.

Bruno bouge et semble vouloir attirer Anne sur lui pour la pénétrer. Elle est à genoux le visage sur son bassin, les fesses pénétrées par le second homme. Elle discute avec lui ne semblant pas d’accord, faisant non d ela tête. Ils se lèvent, serviettes en main, tous les trois pour se diriger vers la dune et moi-même, Bruno et Anne enlacés. J’ai à peine le temps de me dissimuler. Il passent près de moi et s’enfoncent vers le sous bois, garni d’aiguille pins. Je ne les perds pas de vue et vient les observer avec prudence, d’environ 10 m. les serviettes sont au sol, formant un tapis confortable, je les vois de profil. Anne agenouillée suce de nouveau Bruno. Il est pressé de la prendre et la fait se coucher en arrière, s’allongeant sur elle il l’embroche d’un coup, la faisant gémir. Je le vois jouer du bassin en rond, lui faisant sentir son organe, pendant qu’il l’embrasse hâtivement en lui pinçant les mamelons. Ma femme soupire sous lui : oh oui oh oui oh oui!.

L’autre homme, debout les regarde en bandant fort, il est bien membré, surtout bien large, sa verge est tendue vers le ciel. Bruno s’agite de plus en plus vite dans le sexe de ma femme, qui exprime sa joie par de petits soupirs aigus. Il donne de la longueur sortant presque puis replongeant au fond. Elle l’accompagne de ses reins . Bruno lui remonte les genoux sur les épaules et la pénétrant au plus profond, lui arrache de nouveaux cris de joie. Le comparse s’est agenouillé et semble leur parler. Bruno se retourne alors sur le dos, entrainant Anne qui se retrouve à chevaucher son beau membre. Elle s’y donne avec ardeur et glisse sur le mat de cocagne avec énergie, montant et redescendant en soufflant et couinant. L’autre homme a glissé un main au cul de mon épouse et en profite pour la masturber. Sa main a pris un rythme rapide qui accompagne celui des amants.

Moi-même je bande comme un cerf. Ma main se retient de me caresser car je me lâcherais.

Anne continue sa danse sur le dard de Bruno, quand je vois le second larron venir se placer à genoux derrière elle, vit dressé. Il le glisse entre ses fesses. Elle se tient bien droite, enfoncée immobile sur le sexe de Bruno.

L’homme la saisit par le torse la plaque contre lui et vient l’embrasser, elle lui rend le baiser à pleine bouche avec ardeur, tandis qu’il donne des coups de reins dans ses fesses . Cela ne rentre pas semble-t-il et il la fait se pencher en lui parlant à l’oreille. Anne aplatie sur le torse de Bruno envoie alors ses mains écarter ses fesses, offrant obscènement son anus aux regards. Le deuxième homme applique sa virilité à l’orifice exposé et pénètre sans difficulté, l’antre soyeux de ma femme. La voici doublement pénétrée, enculée et enconnée. La bouche grande ouverte elle souffle une sorte de ÔÔÔ qui dure un long instant tandis que son sodomiseur envahit l’espace qu’elle lui offre. Les trois amants sont immobiles savourant l’intensité du moment. Anne gémit en sourdine, un son aigu mais étouffé dans un souffle, mi-douleur, mi-plaisir.

Le crâne rasé se met en mouvement, je vois son gros braquemard lui glisser dans le cul sans arrêt.

Elle crie « aaah aha aha aha» selon le rythme qu’il applique à son anus. Il lui demande : « Tu jouis salope ?

Oooh ouiiii ! Ooooh ouiiii , continueeeee!» Et il continue, fort la soulevant à chaque fois qu’il atteint ses fesses avec son pubis. « Tu jouis salope ?

Oooh ouiiii ! Ooooh ouiiii , continueeeee!

Tu aimes ma bite dans ton cul ?

J’adoooore !

Tu aimes te faire enculer ?

Oooh ouiiii ! Ooooh ouiiii , continueeeee!

Tu vas aimer te faire enculer maintenant !

Oooh ouiiii ! Ooooh ouiiii , c’est booooon !

Par les grosses queues des inconnus ?

Oooh ouiiii ! Ooooh ouiiii !

Dis-le !

Anne approuve :

Je je . .. vaiiiis aimeeeéuh me faiiiire enculééééér !Oooh ouiiii ! Ooooh ouiiii !

Par les grosses queues des jeunes, dis le .

Ouii ! Oui !! Par les grosses queues des hommes !!! oooh ouiiii !»

Puis de concert les deux hommes se mettent à aller et venir avec vigueur. Anne ne peut retenir des sanglots puis une espèce de cri de bête qui porte loin. Son plaisir semble la dépasser et lui ravir ses esprits. Ils y vont fort pendant plus de cinq minutes où elle ne cesse de crier à tue-tête. Puis Bruno d’abord, le second monsieur ensuite, ils s’abandonnent à l’intérieur de ma chérie, qui de tord sous eux en couinant comme une possédée.

Il ne bougent plus comme épuisés, le deuxième homme roule sur le coté entrainant ma femme sans quitter son cul, Bruno se trouve dégagée et demi bandant, se relève, la bite humide, en regardant ma femme toujours empalée par son ami, il s’écrie : ’’Enculée, tu as aimé ça!

— Oui!’’ répond ma femme.

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