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Mes chères cousines – Chapitre 3




Le lendemain, je me suis réveillé en milieu de matinée, mes cousines déjà activées à préparer le petit-déjeuner avec une assiduité quasi militaire dans la cuisine, tandis que mon parrain nous avait laissés pour aller travailler tôt dans la matinée.

Mes cousines m’avaient annoncé que la neige était énormément tombée pendant la nuit et que le bus ne pourrait pas les emmener au gymnase pour leurs différentes activités extrascolaires. Par conséquent, on allait devoir aviser et trouver de quoi s’occuper dans la maison. Cependant elles m’annoncèrent également, toutes deux avec beaucoup d’enthousiasme, que l’une des voisines était aussi la meilleure amie de Julie et qu’elle passera certainement la journée avec nous.

Léa, la fameuse voisine, ne se fit pas attendre puisque dès lors que la table du petit-déjeuner fut débarrassée, la sonnette retentit et Léa rentra, je fus le premier à la voir dans l’entrée.

Je m’avançai vers elle tout en la regardant, elle avait de timides traits asiatiques et des cheveux noir profond, elle portait un gilet épais rouge qui couvrait un simple débardeur blanc, ce qui me parut courageux de porter vu la température extérieure. Celui-ci était rattrapé par un jean taille haute, assez abîmé, qui s’arrêtait un peu avant la fin de ses mollets qui se terminèrent sur de vieilles converses noires assez usées, qu’elle déchaussa avant de se tourner vers moi, lèvres étirées par un large sourire, les joues rougies par le froid en me saluant comme si on se connaissait depuis toujours.

Elle me demanda si j’étais bien le fameux « cousin » dont elle avait tant entendu parler, et dans un rire timide j’acquiesçai, rejoint par Julie étrangement gênée par l’accueil qu’elle m’avait réservé.

Je remarquai très vite, après que nous nous étions tous assis sur les canapés, que Léa, à l’inverse de mes cousines et de moi-même, était très vive, à la limite d’hyperactif, et souriait énormément, elle était très crue et s’intéressait à énormément de sujets. Elle connaissait mes cousines depuis presque toujours et leur relation était étrangement fusionnelle malgré leur différence de classes sociales.

Julie et Emma nous laissèrent pour aller continuer le plat qu’elle nous préparait pour le déjeuner, Léa avait un an de moins que moi mais nous étions dans la même classe que moi et Julie, elle me parla d’elle quand tout à coup elle aborda un nouveau sujet qui ne me laissa pas de marbre :

— Tu aimes beaucoup tes cousines on dirait, dit-elle assez naturellement

— Oui elles sont super gentilles, lui répondis-je avec un enthousiasme que j’eus beaucoup de mal à refouler.

— Ça se voit à la façon dont tu les regardes, tu ne les lâches pas des yeux à croire que tu les vois constamment nues

Elle dit ses mots tout en s’affalant sur le canapé, son débardeur était tiré par son jean taille haute et son gilet s’ouvra sur les côtés ce qui découvrit son buste. Malgré ses traits asiatiques, sa poitrine était plutôt honorable, 85B environ, plutôt bien en place malgré aucune trace de soutien-gorge.

— Comment ? Non c’est juste que je les apprécie, rien de plus, répondis-je avec un sourire encerclé par mon visage qui rougissait.

Elle se redressa, arborant un large sourire enjoué, tenant son visage de côté avec une main et plaça son autre main sur ma cuisse ce qui me rendit paralysé d’incompréhension.

— Ne t’en fais pas, je te comprends, moi-même, quand on prend nos bains ensemble, j’ai beaucoup de mal à contenir mon excitation.

— Vos bains ? Ensemble ?

— Oui ensemble, on a l’habitude depuis qu’on est enfant donc rien de plus normal, du moins jusqu’à ce que mon esprit ne voie plus que leurs corps, nues, s’agiter lorsqu’on joue, que mes tétons se frottent à leurs corps, que ma cuisse, entre conjointement aux leurs et que leurs délicates lèvres vaginales se frottent à ma cuisse. Depuis, chaque week-end se passe chez elles et je chéris nos bains.

Au fur et à mesure qu’elle me disait ses mots, sa voix devenait torride et chaude, sa main montait le long de ma cuisse et elle se rapprocha dangereusement de mon pénis qui grandissait à chacun de ses mots. Incapable de dire quoi que ce soit, ni même d’envoyer un quelconque stimulus physique, elle continua sur le même ton après une courte pause.

— Et ce n’est pas tout !

Dit-elle avec beaucoup d’entrain tout en s’approchant sensuellement de mon oreille.

— Un après-midi alors qu’Emma n’était pas avec nous, j’avais convaincu Julie de prendre un bain pour la première fois seule avec moi et une fois dans la salle de bain, après qu’elle ait jeté sa culotte de côté et qu’elle ait immergé son corps dans l’eau bouillante et limpide, elle semblait anormalement timide et, malgré le fait que mon corps n’avait pour elle plus aucun secret depuis les années, elle me lançait des regards anonymes sur mon corps lorsque je faisais mine de rêvasser.

Elle avait maintenant la main sur mon pénis, recouvert par mon jean, qui était bientôt à sa taille maximale et, lorsqu’elle remarqua mon excitation, jeta un il à l’endroit où mon pénis forcé une bosse à travers mon jean, pourtant assez épais, mordit ses lèvres et continua son histoire.

— Ses jambes étaient dépliées jusqu’à la droite de mes fesses et ses bras étaient à moitié fermés sur sa poitrine timidement. Dans un élan d’audace je m’agenouillai, enjambai ses jambes et, toujours sur les genoux, me penchai sur elle, plaçai mon bras à gauche de son visage et l’observai, minutieusement et sans défense devant moi.

Elle déboutonna mon pantalon pour y glisser sa main, froide mais pas désagréable, sur mon pénis et commença à faire des va-et-vient, penchée à côté de moi, ses tétons durcis à travers son débardeur et continua son histoire.

— J’ai commencé par prendre ses bras et les mettre derrière sa tête pour ne plus qu’elle tente de se cacher, elle avait le regard apeuré, comme celles que les biches ont quand la lumière des phares leur dénude du voile d’obscurité qui les préserve, cependant sa respiration me disait de continuer.

Je descendais progressivement mon regard sur le corps de ta cousine qui était devenue mon esclave sexuelle totalement donnée à moi.

Je déplaçai ses cheveux sur la gauche de son visage pour pouvoir libérer son coup, coup qui était jonché de micro pics de chair qui, quand j’y passai ma langue, ajoutait une rugosité à sa peau immaculée de ma salive qui ruisselait tout en suivant les courbes de son corps, passa entre ses seins presque parfaitement ronds qui étaient à moitié immergés dans l’eau du bain. Elle se cambra, comme pour m’inviter à profaner ses seins que j’étais la première à pouvoir fouler pour le plaisir ce qui me parut bien trop facile pour tant de beauté, je mis ma main dans son dos et la griffa lentement pour la punir, sa bouche voulut émettre des cris de douleur qui furent apaisés par le plaisir et l’excitation.

Voyant son visage se tordre dans cette délicieuse incertitude de sensations, je pris son sein droit et le mordillai gentiment. Ses longs tétons durcis et sa réaction fut instantanée, ses complaintes silencieuses se sont transformées en de légers cris étendus et son bassin se mit à se décoller du fond de la baignoire pour se frotter à mes cuisses écartées.

Elle fit une pause, enleva sa main de mon pantalon pour humidifier ses doigts de sa salive et replongea la main dans mon caleçon pour venir déposer abondamment sa salive chaude sur mon gland puis le massa énergiquement, j’avais de plus en plus de mal à me retenir et elle avait l’air de bien le sentir et après un léger sourire satisfait, elle reprit la parole.

Après quelques minutes de douleurs divines je décidai de la libérer en me remettant à ma position initiale en prenant soin de lui ouvrir les cuisses pour lui découvrir ses parties intimes, parsemer des légers poils ne me laissant que très légèrement apercevoir ses lèvres interdites et chastes.

Mon pied, longeant sa cuisse droite pour finir sur son vagin. Avec mes doigts de pieds, je longeai ses lèvres de haut en bas juste en les effleurant au rythme de ses gémissements qui s’intensifiaient. Quand ses gémissements furent aux plus rapides, je m’arrêtai de lui faire plaisir et regardai sadiquement ses pathétiques mouvements de bassins pour tenter de prolonger le plaisir, plaisir que je lui avais refusé. Après quelques secondes à me délecter de son pathétique plaisir inassouvi, je me levai, me séchai et allai dans sa chambre, pris sa brosse à cheveux et me l’introduisit dans le vagin pour me libérer de mon excitation.

Ses mouvements s’accéléraient de plus en plus jusqu’à la dernière seconde je me retins pour finalement me lâcher dans les mains de Léa déjà maculées de salive. Elle ôta sa main de mon jean pour la porter à sa bouche et goûter ma semence, après grand sourire qu’elle me porta, elle se leva et partit dans la cuisine, près de mes cousines pour se laver les mains.

Quand elle revint de la cuisine, elle s’assit contre moi puis se tourna vers moi pour continuer, comme si rien ne s’était passé, nos sujets de discussions banales du début.

Quand mes cousines mirent enfin leur plat au four pour revenir vers nous, Emma vit la proximité que Léa avait instaurée avec moi, et décida, dans un élan de jalousie et de possessivité, de se mettre également à côté de moi pour se lancer dans une compétition de qui d’eux sera la plus tactile et proche avec moi.

Je passai de câlin en câlin tous plus mignons les uns que les autres, incapable de me défaire de leur emprise envahissante mais, pourtant, si chaleureuse.

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