Sur la route du retour de notre intermède avec les routiers, je décide de faire une dernière halte dans une station autoroutière. Ma tante est toujours à poil sous son imper, juchée sur ses escarpins. C’est très éclairé, je gare la Clio un peu loin du bâtiment. Nous descendons de la voiture .Il y a un type qui se repose dans une grosse berline.
Il nous jette un regard quelconque. Après tout deux femmes qui marchent dans la nuit, quoi d’extraordinaire? Je m’approche de Charlène et me place juste derrière elle. J’écarte les pans de son manteau et fait admirer la poitrine de ma tante au chaland. Ça le requinque immédiatement. Je pelote ses seins nus puis glisse ma main vers son bas ventre tout en lui mordillant le cou. Elle se laisse faire docile.
Ça suffit! Je prends la main de ma tante et l’entraîne vers le bâtiment illuminé. Il y a peu de monde à l’intérieur, quelques couples fatigués et quatre ou cinq célibataires, tous attablés devant des boissons énergétiques ou du café. C’est ce que nous choisissons. La machine est en bout de magasin. Personne devant nous. Par chance il n’y en a qu’une qui fonctionne.
Le temps de faire le premier café, deux types, un assez jeune et un sexagénaire attendent leur tour derrière nous. Quand ma tante se penche en avant pour récupérer le gobelet, je soulève le bas de son trenchcoat et sa croupe dénudée apparaît. Je tourne la tête vers les deux gars. Ils sont sidérés.
J’introduis une deuxième pièce dans la machine. Charlène me tend le gobelet mais je le refuse. Le deuxième breuvage est prêt et elle l’attrape de sa main libre. Quand elle se retourne, j’ouvre largement son vêtement et les deux voyeurs ont l’opportunité de mater le côté pile.
Charlène ne bouge pas, les mains prises, et je fais un petit signe au plus vieux qui comprend rapidement. Il glisse sa main sous la gabardine ouverte et vérifie de sa main l’état des lieux, bientôt accompagné par le plus jeune. La séance a attiré le regard d’un couple assis un peu plus loin.
Je fais signe à ma tante d’avancer, toujours débraillée, son corps se révélant et disparaissant au gré de ses pas. Nous nous dirigeons vers la table du couple où deux places restent libres. La femme à l’air passablement gênée alors que son compagnon manifeste un intérêt soutenu à la vue de ma tante.
C’est un couple sans âge, elle assez volumineuse et lui plus sec. Charlène opte pour sa compagnie alors que je choisis madame. Nous les saluons poliment et je leur demande si nous pouvons nous asseoir en leur compagnie. Elle a l’air de trouver cela assez saugrenu car la salle du restaurant routier est aux trois quarts déserte, mais elle n’ose refuser.
Nous échangeons quelques banalités en buvant notre café. Assise en face de ma tante je vois sa poitrine et son ventre jusqu’au nombril. Le mari est placé devant un dilemme absolu. Le voir faire est jubilatoire. Son regard hésite entre celui de sa femme, qui ne le lâche pas des yeux et l’envie de constater ce qui se passe à sa droite.
Je vois l’imper de ma tante bouger au niveau de la taille. Le coquin a choisi de se fier à ses mains. Avec des précaution de sioux il avance sa pogne, l’air de rien. Sa femme ne peut pas le voir car la table masque son geste mais moi, placée en biais, je jouis d’une vue imprenable sur l’avancée des travaux.
Charlène, qui a un bon fond, décide d’aider le pauvre homme en écartant généreusement ses jambes tout en me souriant. J’en profite pour détourner l’attention en engageant une conversation soutenue avec la femme sur la Picardie, dont elle est originaire et dont j’ignore tout.
Du coin de l’il je vois maintenant l’index du gars atteindre le capuchon du clitoris de Charlène. Il effectue de petits mouvements furtifs qui passent finalement inaperçus.
Les deux types de la machine à café ne sont pas loin et ils en redemandent visiblement. Je les regarde, l’air ingénu. Je signale à ma tante que nous avons encore un peu de route et nous laissons le zigue au doigt mouillé régler ses comptes avec sa mégère.
En sortant je me retourne pour m’assurer que les deux gars nous suivent. Mon regard est une invitation sans équivoque et ils nous emboitent le pas, quelques mètres derrière nous. Arrivées à la voiture, je demande à ma tante de me rendre mon imper, ce qu’elle fait naturellement. J’ouvre la porte et elle s’installe sur le siège passager.
Je monte à mon tour dans le véhicule et condamne les portières. Les deux types sont littéralement collés à la vitre droite du véhicule. Comme il fait un peu sombre j’allume de bonne grâce le plafonnier. Je demande à ma tante d’écarter les jambes et je commence à la masturber en l’embrassant.
Mes caresses lui font visiblement de l’effet car elle saisit mon poignet pour l’inciter à plus de vigueur. Les deux gars ont sorti leurs machins et se branlent avec effronterie. Je stoppe mon avancée car je sens Charlène fort humide. Je récupère dans la boite à gants un gode vibrant qui ne traînait pas là par hasard et le transmets à ma compagne.
Elle en connait bien l’utilisation, c’est même son préféré. Le résultat est convaincant, la branlette des gars devient frénétique. Le plus jeune envoit son foutre contre la vitre et disparaît rapidement dans la nuit. Comme le plus vieux tarde un peu, je baisse la vitre côté passager de quelques centimètres, ce qui lui permet de palucher ma tante.
Il ne s’en prive pas. Ses gestes sont très saccadés, on l’entend respirer lourdement. Charlène se gode avec délectation, bien aidée à vrai dire par mes caresses qui se sont jointes à celles de l’homme. Je finis par baisser complétement la vitre, ce qui fait que le timide sexagénaire peut présenter à Charlène son membre idéalement gonflé. Ma tante le prend en bouche et notre compagnon en profite sans plus tarder pour décharger une bonne rasade de foutre dans sa gorge. Il râle comme un cochon qu’on égorge tant Charlène le pompe à fond.
Il plie bagage rapidement. C’est fou comme les gens ont peu de reconnaissance!
Bien il est fort tard et demain je reprend mon service à l’hôpital. J’embrasse ma tante et en profite pour goûter au sperme du vieux puis je mets le cap sur le Cap. Charlène s’endort dans la voiture et pousse de temps en temps de petits soupirs de satisfaction. je me dis qu’elle a passé une bonne soirée.