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Petite-fille et fille, perverses ou nymphos. – Chapitre 17




Chapitre 17 : Martine rencontre Blandine.

Quelques jours plus tard, mon père me dit que son amie Blandine souhaite me rencontrer et quil a pris rendez-vous pour cet après-midi. Elle connait bien ma fille et elle désire rencontrer sa mère. Il fait beau et je passe sur moi juste une petite robe très courte et très décolletée.

Papa me dépose devant sa maison en me disant.

— Passe un bon moment mon cur. Tu vas voir, elle est très accueillante.

Je sonne et une voix chaude et sensuelle me répond.

— Entrez, Martine, je vous attendais.

Jentre dans une sorte de patio et au fond une femme qui mattend dans une sortie de bain assez transparente sous laquelle je devine un bikini. Une femme au corps parfait et apparemment de mon âge. Elle marche vers moi dun pas assuré.

-Bonjour, Martine. Excusez ma tenue mais il fait tellement beau que je me prélassais au bord de la piscine.

De près, je constate que son bikini est vraiment mini et cette femme extrêmement sensuelle échauffe mon bas ventre. Depuis que jai fait lamour avec Chantale je regarde les femmes différemment.

La forme de ses hanches est parfaite et lorsquelle me dit de la suivre et que je marche derrière elle, jai sous les yeux un cul superbe même pas gâté par la marque du bikini qui savère être un string.

Arrivées dans le patio près de la piscine, elle sassied sur un grand pouf et me dit dune voix chaude, très sensuelle.

— Vous êtes très belle, Martine. Aussi belle que votre fille mais avec la maturité en plus ! Asseyez-vous près de moi.

Cette femme me trouble énormément et jobéi immédiatement à ses ordres.

— Vous aussi, madame. Je

— Voyons, appelez-moi Blandine. Votre père ma dit que récemment vous avez fait lamour avec une femme pour la première fois. Ça vous a plu ?

Je manque de métrangler en avalant ma salive ! Je ne sais que dire tellement je suis prise de court !

— Il ne faut pas en vouloir à votre père, Martine. Nous sommes très intimes et jadore quil me raconte ses prouesses sexuelles.

Mon dieu ! Quest-ce que Papa a raconté à cette femme

— Vous très sexy et désirable, Martine. Jai très envie de comparer votre corps et vos talent damoureuse avec ceux de votre fille

— Quoi ! Ma fille et vous. Vous avez.

— Votre fille a une sensualité à fleur de peau mais elle est encore jeune et il lui reste encore beaucoup de chose à découvrir sur les plaisirs du sexe. Vous devez avoir plus dexpérience quelle et je brule de le vérifier par moi-même.

Cette femme est diabolique ! Rien quen parlant et ne me déshabillant du regard jai ma chatte qui devient humide. De sa main elle mattire vers elle et pose ses lèvres sur les miennes. Comme je ne proteste pas, son autre main caresse un de mes seins et je pousse un doux gémissement quand sa langue caresse la mienne. Sans lâcher ma bouche, je sens quelle déboutonne ma robe et dégrafe mon soutien-gorge dune main experte. Elle se recule et regarde ma poitrine nue.

— Superbe ! Et de beaux tétons !

Sa bouche se pose tout de suite sur eux et elle les embrasse tour à tour en les caressant du bout de sa langue. Ils durcissent encore plus et elle les aspire dans sa bouche pour les exciter avec sa langue.

— OOooooooohhhhhhh.

Je nai pu retenir ce gémissement de plaisir quand mon corps frissonne sous ses caresses.

Sa bouche remonte et je retrouve ses lèvres chaudes pour un nouveau baiser sauvage.

Puis sa bouche dévore chaque parcelle de mon corps avec une nette préférence pour mes gros seins aux tétons tendus qui tremblent sous ses attouchements.

— Vous avez des seins aussi sensibles que les miens, Martine. Nous allons bien nous entendre toutes les deux !

Je ne réponds pas mais je me laisse aller en arrière quand ses mains se posent sur mes hanches et retire mon slip trempé. Puis remontant derrière mes cuisses, ses mains viennent presser les fesses de mon cul, les écartent, les libèrent, et elle recommence en laissant ses doigts sapprocher progressivement de mon trou du cul et de ma chatte.

— AAhhhhh, ouiiiiiiiiiiii.

Je nen reviens pas ! Ça fait 15 mn que jai fait connaissance de cette femme et je me retrouve toute nue, à sa merci, et jadore ce quelle me fait !

— Arrêtez, Blandine !

— Vous naimez pas

— Ooohh, si ! Mais si vous continuez je vais jouir tout de suite !

Elle plonge ses doigts dans ma chatte qui fait des bruits de clapotis tellement elle est humide et me dit.

– Mais laissez-vous aller nous avons toute laprès-midi pour nous donner du plaisir, chère Martine.

Ma chatte est en ébullition mais je dois tenir encore un peu plus longtemps. Mais 2 minutes plus tard quand elle pose sa bouche sur mon sexe pour le caresser avec sa langue je craque !

— AAAAAhhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiii !

Et jarrose sa bouche dun jet de chaud jus de cyprine.

Pendant que je jouis sur sa bouche collée à mon sexe, ses mains écrasent mes fesses et un de ses doigts titille mon trou du cul palpitant.

Nos bouches se réunissent une nouvelle fois et nous partageons la saveur de mon sexe en éruption pendant que nos langues dansent un slow langoureux.

— Martine, vous jouissez merveilleusement ! Hier soir, je pensais a vous pendant quun de mes amant me baisait, dans lattente de ce week-end.

— Et bien moi, je ne mattendais pas à ça ! Mon père va me le payer ! Mais pour linstant je suis heureuse dêtre là et vous êtes très désirable madame Blandine !

Vite fait je la déshabille pour la mettre nue comme moi et je prends en coupe ses deux seins.

— Mon dieu, quils sont beau et fermes ! Et plus gros que les miens !

— Suce-les, Martine ! Ils nattendent que ça ! Mords-les, ils adorent ça !

-Ooohh, ouiiiiii

Jen gémis quand ses gros tétons se retrouvent entre mes dents et que je commence à les sucer.

— Ouiiii, suce-moi bien ! Oooohhhh, ouiiiiiiicomme çààààà

Je suce, je mordille, je tire ses énormes tétons avec mes dents mais jai envie de lembrasser encore une fois. Je délaisse ses tétons si sensibles et je reprends voracement sa bouche ouverte.

Gémissant comme deux femelles en chaleur, je retourne moccuper de ses tétons incroyablement durs et je passe mes doigts entre ses fesses pour trouver lentrée de sa chatte.

— OOOh, ouiii, chériefouille ma chatte !

Je plante deux de mes doigts dans sa chatte bien humide et avec mon pouce je frotte son clitoris qui me semble aussi gros et aussi long que ses beaux tétons !

— Vous êtes si désirable Blandine et jai envie de vous ! Mon père a raison. Je suis bisexuelle ! Mais comment résister devant votre corps si splendide !

— Ne résister surtout pas Martine ! Et nous remercierons votre père dès quil sera là.

Et Blandine fait comme moi, elle enfonce ses doigts dans ma chatte brulante pour me masturber au même rythme que moi. Par moment nous retirons nos doigts trempés de cyprine, pour les mettre dans notre bouche ou celle de lautre, et déguster ce jus succulent qui nous excite encore plus.

— Martine

-Ouiiiiiiiiiiii.

— Jeje vais .jouiiirrrr

Du coup, je mordille un de ses tétons et jenfonce quatre de mes doigts le plus loin possible dans sa chatte bien ouverte par mon doigtage et quand elle jouit en criant

— AAAAAHHHHHH, OUIIIIIIIIIIII ! OUIIIIIIIII !

Je sens deux ou trois spasme rapides écraser mes doigts avant quelle ninonde ma main de sa chaude cyprine.

Dès quelle se calme un peu elle me dit.

— A toi maintenant ! Je vais te faire jouir !

Elle pose sa main sur mon dos pour me pencher en avant.

Debout derrière moi elle s’accroupit et me dit dune voix rauque.

-Je vais encore dévorer cette chatte qui jouit si bien.

Et sa langue est de nouveau entre mes lèvres intimes pour les caresser puis elle les aspire dans sa bouche pour les sucer. Je suis de nouveau en extase.

— Oooohhh, Blandine, cest booonnnnn !

— Cest ta chatte qui est succulente ! Je me régale !

Pendant au moins 10 minutes sa langue et sa bouche ravage ma chatte avec une dextérité que seule les femmes peuvent avoir. Sa langue va partout et elle écarte ma chatte de ses doigts pour aller le plus profondément possible. Quand elle tourne autour de mon clito et quensuite elle tape dessus avec la langue je suis au bord de lorgasme.

— Aaahhhtoi tu sais vraiment bouffer une chatte !

— Cest parce que la tienne à un gout particulier. Ton père a raison. Quand il me baisait hier après-midi, il me disait que ta chatte est un fruit exotique et quelle en a la saveur. Il a mille fois raison !

Elle gémit de contentement et me tenant les hanches fermement, elle fait tournoyer sa langue autour et dans ma chatte, me faisant délirer.

— Blandine ! Cest infernal ! Jen peux plus ! Je vais jouir !

— Jouis ma petite chatte ! Jouis comme ton père te fait jouir quand il te déguste et quil te baise avec sa grosse bite !

— Oooohhhhh, papa..ta dit.

Mais je ne peux continuer car lentendre parler de mon père qui me baise déclenche mon orgasme et ma chatte se pâme sous sa langue en folie.

Pendant les 15 minutes suivantes, je suce son gros clitoris tout dur et je lui doigte son cul. Elle se retient pour ne pas jouir trop vite mais je sens bien que son orgasme couve comme un volcan. Jinsère ma langue profondément à l’intérieur de sa chatte pour laper tout ce qui coule puis je la baise avec deux doigts dans son trou du cul et mon pouce roule sur son clito.

— AAAhhhh, ouiiiiiiiiiiiiii, OUIIIIIIIIIII !

Pendant quelle jouit je sens son sphincter qui se referme et souvre sur mes doigts à chaque spasme qui traverse sa chatte qui enserre mon pouce bien enfoncé dedans.

Je suis encore entre ses cuisses quand jentends une voix.

— Et bien je vois quon ne sembête pas ici !

Nous nous redressons toutes les deux et Blandine sécrie.

— Putain de merde ! Guy ! Quest-ce que tu fais là !

— Javais envie de ta jolie chatte mais je vois que tu as quelqu’un qui sen occupe très bien. Tu me présente ?

A suivre

Phantome

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