Je m?appelle Julie et j?ai maintenant 19 ans. J?ai les cheveux noirs et d?immenses yeux bleus. Je mesure 1m70 et je pèse 55kg. J?ai de belles formes et je porte du 95C. L?histoire qui suit m?est arrivée lorsque j?avais dix-sept ans.
En cette première semaine de juillet j?avais l?habitude de rester en famille pour fêter l?anniversaire à ma soeur. Cette année là ma mère a décidé que nous irions dans un chalet au bord d?un lac. Le chalet appartenait à des amis de ma mère et ils pensaient faire un gros party pour ma soeur. Alicia n?était pas emballée d?aller là-bas sans amies de son âge. Il faut préciser que ma soeur a dix ans de plus que moi. Elle invita donc quelques amies de filles et nous sommes parties de Montréal pour aller au chalet dans les Laurentides.
Le chalet était perdu au fin fond des bois, mais tout près d?un immense lac. Il ressemblait à une maison de stars hollywoodiennes et était immense, ce n?était pas un chalet mais un château californien. La devanture du chalet était entièrement vitrée. Il devait être 8 heures du soir lorsque nous sommes arrivées et le party était déjà pris dans la maison. Il y avait plein de monde, environ une soixantaine et le monde continuait d?arriver. Nous sommes aller porter les bagages dans une chambre et ma mère à refuser qu?on aille dans les autres. Elle ne nous à pas dit pourquoi, peut-être parce qu?elle pensait que j?étais trop jeune, mais ça ne veut pas dire que je suis stupide. ?a faisait assez longtemps que je me masturbais en cachette et comme ma mère est divorcée, les cassettes pornos ne sont pas difficiles à trouver à la maison. Bref il y avait sûrement du monde en train de baiser dans les autres chambres. Ma mère nous emmena voir notre hôte pour nous le présenter. Il s?appelait Vincent, il avait 45 ans tout au plus et il avait du charme. Il avait de très beaux yeux bleus et semblait être encore assez musclé, on voyait ses abdos à travers le chandail moulant et que dire de ses biceps ! Ses cheveux étaient blonds et frisés. Il nous dit qu?il avait rencontré ma mère dans un bar où il était bouncer. ?a explique bien des choses. Ma mère est chanteuse le soir dans les bars et secrétaire le jour dans une compagnie de finance à Montréal. C?est une personne assez dépravée et je dois dire que je l?ai déjà entendu baiser de nombreuse fois dans sa chambre avec des gars qu?elle rencontrait dans les bars. Bref, c?était une salope. Mais elle ne voulait pas que ses filles soit comme elle. C?est sûrement en ramenant Vincent à la maison qu?ils sont devenus amis.
Comme ma mère voulait rester avec ses autres connaissances et que Alicia avait ses amies avec elle, Vincent me proposa de me faire visiter la maison. Je m?empressais d?accepter. Il me dit que la maison avait même une piscine intérieure et que je ne m?ennuierais pas cette semaine avec toutes les autres choses. Il commença par m?emmener au sous-sol, malgré le monde qu?il y avait j?ai pu voir qu?il y avait un écran géant et une collection impressionnante de DVD et de CD ainsi qu?un bar. Il y avait une table de billard, dans un recoin il y avait une autre salle, c?était une salle de musique. Il y avait même un système de karaoké. Et on n?était seulement au sous-sol ! Il me fit visiter la piscine et le spa. Et on monta à l?étage, il me montra ma chambre et me dit qu?on allait aller voir celle de ma s?ur.
Je ne savais pas trop si je devais le suivre car il semblait loucher souvent sur ma poitrine, et j?étais habillé assez sexy. J?étais en jeans et en talon aiguilles, ce qui n?était pas hors normes, mais j?avais un petit haut camisole en satin noir et le décolleté était assez plongeant. Lorsque nous sommes arrivés au bout du couloir il ouvrit la porte. Je n?eux pas le temps de rentrer dans la chambre que des mains mon agrippée et mon pousser sur le lit. Vincent, me maintenais couchée sur le lit et j?aperçus un autre homme dans la pièce qui s?approchait avec des cordes. J?ai commencé à me débattre mais Vincent était trop fort pour moi. L?homme m?attacha les mains derrière la nuque.
— Merci Jo, dit Vincent. Je te le revaudrai
— La prochaine est à moi, dit le dénommé Jo
Et l?homme quitta la pièce. Mais Vincent n?allait pas me laisser là toute seule. La musique était trop forte et j?avais beau crier personne ne pourrait m?entendre.
— Tu penses que faire ton innocente va t?aider. Tu va voir quand on m?aguiche j?en profite petite salope.
Sa voix était dure. Il m?embrassa et j?ai tenté de résister. J?aimais me masturber mais l?idée d?être violée et de connaître le sexe de cette façon ne me tentait pas du tout.
— Je t?en pris laisse moi partir, je ne cherchais pas à t?aguicher, lui dis-je en un souffle.
Il enleva son chandail et enleva ma camisole par en bas. Je ne portais pas de soutient gorges puisque ce n?est pas très esthétique avec le haut que je portais.
— Alors comme ça on ne porte pas de soutient-gorges, petite pute, tu voulais que ça arrive.
— Non je te le jure.
Et je ne pus retenir mes larmes, j?avais tellement peur… Il enleva mon jeans et découvrit un string noir, rien pour aider ma cause.
— Tu va voir ce que je fais aux salopes dans ton genre.
Et il commença à m?embrasser les seins, puis il arracha mon string d?un coup. J?épilais ma chatte depuis 6 mois déjà car je trouvais ça plus beau.
— T?es jeune mais tu retiens déjà de ta mère. On va voir si tu couine aussi fort qu?elle.
Et il repris le massage de mes seins. Ils étaient durs et Vincent les pétrissait sans aucune douceur. Il continuait de m?embrasser, et je continuais à l?éviter en pleurant. Sa main droite se dirigea vers ma chatte et j?ai commencé à me débattre de plus belle. Il ne m?aurait pas docilement.
— Tu va te laisser faire, oui ! De toute façon c?est inévitable. J?ai envie de sexe et t?es là alors reste tranquille.
Il écarta mes jambes avec force et les a maintenues en place avec ses genoux. Sa main s?aventura dans mon con. Je bougeai de plus belle.
— Mais c?est que t?es mouillée petite cochonne. Alors comme ça t?aimes ce que je te fais, ça te fais jouir ?! T?a rien vu pauvre pute.
Je me mis à hurler, et il pris le string plein de mouille et me le mit dans la bouche.
— ?a devrait te tenir tranquille.
Ses doigts jouaient avec mes lèvres et mon clitoris, mais je savais bien qu?il allait aller plus loin, ces doigts prirent d?assaut mon vagin vierge. Un puis deux, ça faisait mal.
— Comme ça on est vierge… Tu va voir comment tu va aimer ce qui va suivre !
J?avais de plus en plus peur, mais je n?avais plus la force de bouger. Sa main s?activait en moi, et je ne pouvais retenir mes gémissements. Je me surprenais à aimer ce qu?il me faisait subir. Il s?arrêta subitement, se releva et enleva son jeans. L?érection était bien visible et je savais qu?il ne tarderait pas à assouvir ses désirs. Il enleva son slip. J?ai eu la peur de ma vie. Son membre devait faire 20cm minimum et un diamètre de 4,5cm.
— Alors, tu trouve que ma bite est belle. Attend, tu va avoir le droit d?y goûter.
Comment ça allait rentrer dans ma bouche, je n?avais jamais sucé quelqu?un et encore moins un pénis de cette envergure. Mais je n?ai pas eu le temps de protester.
— Aller ouvre la bouche espèce de salope, avale-la ! dit-il en me forçant à la prendre en bouche. Tu va voir comment c?est bon. T?a jamais sucé mais ça s?apprend vite.
Je n?avais que son gland dans ma bouche et je ne pouvais plus rien avaler. Il ne se laissait pas faire et il me l?enfonça plus profond, j?étais entrain de m?étouffer. Il commença à faire des va et vient. Je résistais encore mais je ne pouvais pas m?empêcher d?aimer le goût de la bite d?un homme.
— Je t?en pris détache moi et je te promets que je m?enirais pas !
— Alors comme ça t?aime le goût de ma bite. Jo tu peux rentrer !
Jo rentra et est venu derrière moi.
— Détache là et va-t?en mais reste encore devant la porte je veux pas qu?elle s?en aille, elle est trop une belle salope.
— Mais je veux avoir mon tour !
— Va t?en chercher une autre !
Jo sortit en furie, mais j?étais contente qu?il ne me prenne pas en plus.
— Alors tu veux sucer, va y salope.
— Si je suce ça va s?arrêter ?
— Si j?en ai assez oui, alors applique-toi !
Je me mis à genoux par terre devant lui. Mes mains inexpérimentées allèrent jouer après ses bourses pleines. Je repris son gland violacé par le plaisir dans ma bouche. Puis, je commençais à faire des va et viens avec me doigts sur sa verge et ma bouche engloba ses couilles. Il ne retenait même plus ses gémissements. Il aimait bien qu?une fille inexpérimentée prenne soin de son sexe. Je reprit sa queue dans ma bouche et j?ai commencé à l?enfoncer et à faire des va et viens. Ma main gauche continuait de masser ses testicules et ma main droite continuait de glisser sur sa bite. Il prit ma tête dans ses mains et me força à tout avaler encore une fois mais il n?arrêta pas et commença à tout diriger. Sa queue gonfla encore plus et il lâcha son foutre dans ma bouche.
— Une vraie salope avale tout, alors lave bien mon membre et t?aura une récompense.
Je peux vous dire que j?aurais fais n?importe quoi pour raccourcir mon calvaire. Quand j?eus fini de prendre tout son sperme dans ma bouche, il me fit lever.
— Alors t?aime le goût de mon foutre ?
— Oh oui ! (C?est vrai que ce n?était pas mauvais)
Il me prit en dessous des bras et me coucha sur le dos sur le lit King. Il recommença à m?embrasser
— Je peux m?en aller ? lui demandai-je très poliment tout en étant sensuelle.
— T?as une récompense à avoir et j?ai pas fini avec toi !
— Mais tu as dit que je pourrais m?en aller !
— Non j?ai dit que ce serait à voir. Alors couche-toi et arrête de pleurnicher.
Sa main recommença à chauffer mon con, mais je retenais mes gémissements, il n?aurait pas le plaisir de me voir aimer ce qu?il me faisait. Mais après trois minutes de ce traitement les cris sont venus tout seul.
— T?en veux plus ?
— Non je t?en pris arrête !
— Tu couines encore plus fort que ta mère, alors ne vient pas me dire que t?aime pas ça !
— Arrête !
Il me frappa au visage et me rattacha les mains
— Tu va voir Julie, quand j?ai envie de sexe c?est difficile de m?arrêter.
Il m?écarta les jambes encore plus et se massa la bite pour qu?elle reprenne de la vigueur. J?étais horrifié, cette bite allait me déchirer mais je ne pouvais plus rien faire, mes jambes étaient trop molles pour que je lui donne des coups.
— Ta chatte mouillée va enfin manger une bite digne de ce nom !
Et il m?enfonça sa queue sans ménagement. Je n?avais jamais hurlé aussi fort. Je pleurais comme une Madeleine, mais il n?arrêta pas et commença les va et viens.
— Mmmmmmm, hummmmm
Il aimait ça le porc. Il gémissait plus que moi ! Mais bientôt la douleur s?atténua et mes gémissements reprirent de plus belle. J?aimais ça !!!!!
— Aller cris plus forts, dis le que t?aimes ça ! Cris pauvre conne !
— Non ! Tu me dégoûte !
Ce n?était pas faux, mais la jouissance était trop forte
— Aller dis-le ! Où je vais te faire encore plus mal !
Je ne pouvais plus supporter ces cris … Il me mit la main au visage
— Crie salope !
— Va y défonce-moi ! Je ne suis qu?une salope qui en veut plus ! Je veux jouir !!
Les mots sont sortit tout seul mais les larmes continuèrent de couler. Je sentais sa queue en moi, prendre toute la place. Je n?en pouvais plus, je vis tout noir et c?est ainsi que j?eus mon premier orgasme, mais au rythme ou Vincent s?activait ça n?allait sûrement pas être le dernier. Je ne voulais pas jouir, je ne voulais pas et j?ai recommencé à me débattre.
— Arrête ça ! J?en peu plus !
Et il me frappa encore. Ma tête tournait, je ne le regardais plus. Je ne pouvais plus supporter de le voir me défoncer. J?ai regardé le plafond et je vis 3 caméras fixer à ce dernier. J?ai recommencé à paniquer, et s?il le montrait à ma mère ? Mais il n?y avait pas que celles-là, il y a en avait 4 autres répartie aux quatre coins de la pièce.
— Tu viens de les remarquer, dit-il en souriant. Tu va voir comment ta mère va être fière de toi ! mmmmmmm….
La jouissance le tenait, je me sentis envahit de son flot.
— Aller, nettoie-moi bien la bite et tu va pouvoir avoir un peu de répit.
Façon de parler, je ne m?attendais pas à sortir avant le matin. Il me prit et me transporta dans la douche de la chambre. Là aussi il y avait des cameras.
— Met-toi à genoux dans le bain.
J?obéissais. Il partit l?eau et mit le jet sur ma chatte.
— Tu dois aimer ça, toutes les femmes aiment ça. Lève-toi et écarte bien les jambes !
Il rapprocha le jet d?eau et mis ses doigts dans mon trou. Le jet était à la position massage et il était très puissant. Je ne pouvais pas retenir mes cris. Il orienta le jet vers mon clitoris. Je perdis l?équilibre et m?accrochai à la pôle.
— Ah ! T?aimes ça pauvre pute. Tient on va te donner une raison de gémir.
Il me mit deux doigts dans la chatte et s?activa comme un malade. Je criais, je gémissais mes jambes étaient molles. Les larmes coulaient. Je ne voulais pas, mais je ne pouvais pas m?arrêter de jouir. Soudain, une vague m?envahit, je tremblais comme une feuille, plus aucun son ne sortait de ma bouche.
— Alors, comment t?aimes ça Julie être baisée par un Dieu ?
— Je n?en peux plus, laisse moi partir, je t?en pris.
Il me mit deux doigts dans le vagin.
— Tu mouille encore attend, j?ai pas fini avec toi. Sors de là !
Il me lança sur le lit.
— ?carte les jambes !
Il commença à me déguster la chatte. La jouissance me repris, il inséra ses doigts et suçait mon clitoris. Ses doigts se dirigèrent vers mon anus.
— Non pas ça
— Est-ce que je t?ai demandé ton avis ?
Et il m?enfonça un doigt, puis deux. Je me suis remis à hurler. Et c?est son poing dans mon visage qui me fit arrêter. Il me retourna et je sentis sa bite pressée contre mon cul.
— T?es très étroite mais tu va voir, je vais te l?écarter ton petit trou.
Les larmes me coulaient sur les joues, je ne voyais plus rien. Mais je sentis sa queue entrer en moi. La douleur était tellement forte que je ne pouvais pas crier. Il allait vite et sans douceur. C?était son plaisir avant le mien.
— Jo tu peux rentrer !
— Non pas lui !
— Attends, tu va aimer ce qui s?en vient ! et il me frappa encore.
Jo ne parlait pas, il avait l?air de savoir où il s?en allait. Il ressemblait à Vincent, au niveau du corps, mais son visage étais sans charme. Il avait les yeux et les cheveux bruns, et une mâchoire couper au couteau. Il se déshabilla, son membre était plus modeste que celui de Vincent. Il devait faire un bon 15 cm et faisait 3,5 cm de diamètre.
— Je vais enfin avoir le droit de te défoncer la chatte, si tu savais le temps que j?ai passé à me masturber derrière la porte pauvre salope !
Vincent se retira et laissa Jo se coucher sur le dos. Il me mit en haut de sa bite. Jo me pris part la taille et m?empala de force.
— C?est tout ce que tu mérite ! Je suis moins doux que Vincent alors du calme ou tu va en manger une !
Vincent se remit derrière moi mais n?alla pas dans mon anus. Il pris sa bite et la colla à celle de Jo. Il attendait son tour pour me prendre dans la chatte.
— Non pas vous deux en même temps !
C?est Jo qui me frappa et avec moins de ménagement que son copain.
— Tu la ferme et t?endure ! T?es qu?une pauvre conne assez niaiseuse pour te faire violer, alors ferme ta grande gueule c?est pas toi qu?on veut faire jouir !
Je me remis à pleurer de plus belle. Vincent mis sa queue d?un coup en même temps que Jo. Les cris ne sortaient plus. Mais ma jouissance grandissait. Je ne voulais pas, mais le sexe, ça reste du sexe, et quand les gars savent s?y prendre et ben la fille elle ne peut s?empêcher d?aimer ça. Je gémissais, et Jo le remarqua.
— Alors t?aimes ça ? Aller cris le !
— Fais-le cris à quel point tu aimes ce qu?on est entrain de te faire subir ! cria Vincent.
— Aller plus fort déchirer moi la chatte, je veux jouir, j?en veux plus, plus vous entendez !
Et l?orgasme arriva. J?étais molle, accotée sur Vincent qui me pétrissais les seins. Les orgasmes venaient à la chaîne et les gars eux n?éjaculaient pas.
— Videz votre foutre en moi !
J?étais étourdie et je n?en pouvais plus. Il fallait que ça s?arrête. Vincent vint me manger la bouche et je sentis leur sexe gonfler avant l?explosion.
— Aaaaaahhhhhhhhhh ! cria Vincent
— Poufiaaaaaaasssssse ! Hurla Jo en me donnant une claque au visage et en me déchargeant son foutre au fond de ma chatte.
Je me suis écrouler sur Jo et Vincent s?écroula sur moi. Je ne pouvais plus bouger. Et je me suis évanouie.
À mon réveil plus de trace des deux violeurs. Mais j?étais toute collante alors je suis aller prendre une douche. Je me sentais sale et salope. Lorsque je suis sortie de la douche, Vincent était dans la chambre un pistolet à la main.
— Maintenant tu va faire ce que je te dis et si jamais tu parle de cette nuit à ta mère elle va pouvoir te voir en action grâce aux vidéos et elle ne te reverra pas autrement que morte c?est clair !
— Oui ! Je t?en pris laisse moi partir !
— Il ne reste qu?une chose que je veux te voir faire. Couche-toi sur le lit ! dit-il en pointant son arme sur moi. Maintenant masturbe-toi, caresse-toi en pensant à ton viol, jouie fort aller.
J?ai commencé à me masser les seins, ma main droit descendit jouer dans ma chatte déjà mouillée. Je caressais mes lèvres gonflées, et je titillais mon clitoris, je le faisais rouler entre mes doigts. J?aimais le fait que quelqu?un me regarde faire. Vincent sortit sa bite déjà bien dure et il commença à se masturber. Je voulais le provoquer, je me mit à sucer mon index puis j?ai fais le tour de mes seins avec, je le remis dans ma bouche.
— Tu va vouloir une vraie queue tantôt. Allez montre-moi que t?a aimé ça te faire violer !
Il avait toujours le pistolet dans une main, alors je n?ai pas osé protesté. Mon index gauche vint s?enfoncer dans mon vagin. Je tentais de feindre la jouissance, mais elle vint pour vrai. Je m?enfonçais maintenant trois doigts dans la chatte pendant que l?autre main s?occupait de mon clitoris. Les spasmes ne se firent pas attendre, je hurlais ma satisfaction.
— Attend, il me tendis un énorme gode, met toi ça et regarde moi, pense à moi.
Le gode me faisait vibrer. Mes seins en redemandaient. J?accélérais le mouvement de l?énorme jouet. Je bougeais comme une folle sur le lit. Je vint une seconde fois lorsque j?ai effleuré mon clitoris.
Vincent avait une énorme bosse au niveau du pantalon.
— Tu veux pas que je m?occupe de toi mon mignon.
Je l?ai dit de la façon la plus aguichante possible en espérant qu?il me laisserait partir après.
— ?carte tes jambes sale pute.
Il lâcha le pistolet et me rentra sa bite d?un coup. Il m?embrassait et me mordait la langue. Il mit met jambes sur ses épaules et me défonça comme une bête. Il n?arrêtait pas de grogner. Ma chatte était en feu je n?en pouvais plus, c?était trop en une nuit.
— Aller salope ! Bouge un peu !
J?étais épuisée mais mon bassin prenait la mesure.
— T?es aussi étroite qu?hier. Tu va voir encore quelques jours de traitement et tu va pouvoir en accueillir dix comme moi. Oh merde !
Sa bite grossissait en moi je le sentais venir.
— Vas-y défonce moi sale porc. Tu sais que j?en veux plus !
Il se lâcha et s?effondra sur moi me licha tout le corps et se dirigea vers la porte.
— Maintenant va t?habiller, et tu la ferme. Ne remet jamais plus de décolleté dans mon visage ou tu va voir que je peux être moins conciliant.
Je quittais la pièce pleine de soulagement. J?avais survécu, j?avais même réussit à prendre mon pied ! Je passais la semaine dans le spa et un soir Vincent est venu me baiser en bonne et due forme dans la piscine. Jo pointait le revolver sur moi, alors je n?ai pas eu le luxe de refuser. Jo s?assit sur le bord de la piscine et enleva son short. Il me fit signe de m?approcher.
— Aller mange un peu espèce de cochonne, je suis sûr que tu en rêve depuis des jours. Je m?appliquais à lui faire une fellation, le revolver coller sur ma tempe. Vincent me pris par derrière.
— Surprise ! Alors on en redemande.
— Non arrêter quelqu?un pourrait nous voir. J?ai fait tout ce que vous vouliez c?est assez. Je vais appeler la police.
— Tu dis encore ça une fois et Jo va te tirer pour de bon. Laisse toi faire.
C?était une bête qui ne savait pas s?arrêter et je dois dire que je ne compte plus le nombre d?orgasme que j?ai eu. Il me place devant le jet de la piscine, Jo me remis sa bite dans la bouche. Tout mon corps ressentait la jouissance. Mon clitoris ne pouvait plus supporter la pression du jet. Je devais être folle d?aimer me faire violer.
— Stop je n?en peu plus
Et vlan ! Je reçu un coup de la crosse du revolver en plein visage.
— T?es pas là pour aimer ça ma jolie. Tu me sers de poupée en attendant que ta mère veuille bien me recevoir dans son lit, dit Vincent.
Je me tu jusqu?à la fin. Les deux bozos éjaculèrent en même temps et me laissèrent dans la piscine en train de pleurer. Le lendemain matin nous partîmes du chalet sans aucun regret. Ma mère ne vit jamais les cassettes et ma s?ur ne se douta jamais de rien. Mais moi je savais.