7 – LE FEU QUI ME CONSUMAIT …

Cela faisait maintenant un mois que je me suis installée chez François, entrecoupé en cela par un retour au bercail dès que mon mari revenait sur Paris. Mais hélas, ce dernier fait ne pouvait jamais durer car mon mari est tout le temps en voyage à nouveau. Je tentais de persuader mon mari de prendre des vacances pour qu’on puisse partir tous les deux durablement mais c’était particulièrement la mauvaise période. Lui restait toujours ignorant de mes crimes. Ca ne rendait nos ébats que plus passionnés … enfin pour lui car moi, je le trouvais insipide comparé à François. Il détecta néanmoins une amorce de déprime chez moi et ça ne le rendait que plus triste de devoir partir. Mais il partait … Et je fus ’obligée’ d’aller retourner m’installer chez mon amant pour oublier … pour étouffer ma culpabilité dans ses bras.

Je délaissais Emilie qui s’énerva de ne plus pouvoir passer ne serait-ce qu’une soirée avec moi. Je déclinais tout le temps les soirées entre filles en invoquant de faux prétextes. Elle finit par me coincer en débarquant au bureau un midi : nous déjeunâmes ensemble et sous son insistance, je finis par lui tout lui raconter. Emilie en fut estomaquée ! Elle ne réussit pas à avaler la fin de son repas … Elle m’embrassa pour me réconforter mais hélas, je devais retourner au travail. Elle repartit en me faisant promettre de se téléphoner pour en discuter plus longuement. Elle se leva pour partir et en m’embrassant :

— Je t’aurais bien proposé de nous voir un soir pour en discuter mais …

— Je ne peux pas …

— C’est lui qui t’en empêche ?

— Non, même pas …

— C’est bien ce qu’il me semblait … On en discutera demain au téléphone …

’Demain’, c’était samedi. Emilie me téléphona en début de soirée. Je venais de sortir de mon bain et sur le sofa, j’étais nue assise en tailleur en train de traquer les rares poils de mon sexe avec une pince à épiler, une serviette autour de la tête. François et moi n’étions pas sortis, passant la journée à faire l’amour encore et encore. Sa grande bâtisse est ma prison … Une prison où j’étais la détenue volontaire … François, toujours fasciné par mon épilation était en train de me filmer longuement avec sa caméra numérique : je prenais soin de ne pas me cacher à la voracité de son objectif, prenant prétexte à mon épilation pour écarter mes grandes lèvres avec mes doigts. François fit quelques plans large sur mon corps dénudé et zooma sur ma chatte, ne perdant aucun détail sur mon intimité rose sombre en parfait contraste avec la blancheur virginale de ma peau. Chaque repli intime était enregistré pour la postérité. Une bosse déformait son pantalon : il était excité pa r ma pose, mon offrande et moi, je mouillais rien qu’à l’idée d’alimenter ses fantasmes. Mon sexe était lisse comme une patinoire mais je continuais néanmoins à faire semblant de ballader ma pince à épiler sur la moindre surface de peau.

Je coinçais mon portable entre mon oreille et mon épaule.

— Coucou ma vieille

— Emilie … Tu vas bien ?

— C’est plutôt à toi que je dois demander ça …

— Ca va … Tant que je suis avec Lui, ça va …

— C’est à ce point là ?

— Je n’y peux rien … J’ai beau me raisonner …

— Tu vas quitter R ?

— Je ne sais pas … Non … Je ne sais pas …

— Tu ne peux pas continuer comme ça … Il faut te décider …

— Je sais …

— Il est là ?

— Oui … devant moi …

— On ne peut pas vraiment discuter alors ?

— Si … Je crois qu’Il s’en fout de ce que je peux raconter …

— Tout ce qui l’intéresse c’est te baiser ?

— Ce qui l’intéresse ? Je ne sais même pas …

Un sanglot me prit à la gorge : vite refoulé. Emilie ne répondit pas tout de suite, décontenancée :

— Il n’aime même pas baiser avec toi ?

— Si mais …

— Je ne comprends pas …

— Disons que j’ai l’impression que si je n’étais pas là, ça ne Le dérangerait pas plus …

J’aurais aimé que François, à deux mètres de moi, me démente mais Il semblait totalement extérieur à la conversation. Seul son film l’intéressait. Emilie fut de plus en plus décontenancée :

— Il a une autre femme peut-être …

— Même pas … A part la semaine dernière où R était à Paris pour la semaine, je squatte tout le temps chez Lui depuis un mois … J’aurais vu s’il fréquentait quelqu’un d’autre …

— Et c’est lui qui veut que tu habites chez lui ?

— Non … C’est moi qui reviens tous les soirs … Lui, ne me demande rien.

Une heure durant j’abreuvais Emilie de mes états d’âme sans pouvoir m’empêcher de pleurer. François imperturbable continuait de me filmer tandis que je gardais les cuisses écartées éxagérément pour permettre à mon chéri d’assouvir ses fantasmes. Puis, il éteignit enfin la caméra et se leva pour vaquer à des occupations dans son bureau … Je fus soulagée quelque peu que François quitte la pièce : je me sentais un peu plus libre de me confier à Emilie …

— Et vous sortez des fois ?

— Rarement …

— Il a honte de toi ?

— Non, ça n’a pas l’air de Lui poser de problème que je L’accompagne dans ses soirées.

— Et toi, tu ne l’emmènes pas dans tes soirées ?

— Je n’y vais plus … D’ailleurs tu serais au courant depuis longtemps si c’était le cas.

— C’est vrai … Et ton mari aussi … R ne se doute de rien ?

— Je ne crois pas … Et tu le connais, s’il était au courant, il m’enfermerait au sens propre du terme.

— Exact … Et ce soir, vous faites quoi ?

— On sort … Il a une réception chez des amis … J’étais en train de me préparer tranquillement quand tu m’as appellée.

— Et il attend patiemment que tu aies fini de papoter … Il est trop chou …

— En fait, Il était en train de me filmer en train de m’épiler le minou …

— QUOI ????

Emilie éclata de rire.

— Tu as repris tes bonnes vieilles habitudes ma vieille …

— Arrête, ce n’est pas drôle …

— Excuse-moi … Mais c’est un peu vrai non ?

— Non … Avec R, c’était différent : à l’époque, les plans cul qu’on avait, aussi osés soient-ils, étaient toujours à son initiative. Moi, je me contentais de lui faire plaisir … Avec François, c’est différent …

— Comment ?

— Là, c’est moi qui ai tout le temps envie. Dès que je Le vois, j’en ai envie … La journée, toute seule à Paris, c’est une torture … Je te jure …

Je lui racontais l’épisode de Deauville ainsi que deux ou trois autres …

— En fait, ici, ça va on vit à peu près normalement sans contraintes mais dès qu’on sort …

Je m’arrêtais, hésitante … Emilie ne me laissa pas de répit :

— Oui ? Dès que vous sortez ?

— Je ne sais pas comment te l’expliquer …

— …

— Dehors, je suis tellement heureuse qu’on me voie à Ses bras … Ca m’excite énormément …

— Alors ?

— Alors, je n’arrive jamais à tenir jusqu’à notre retour à la maison.

— Hannn … La vache !

Emilie a toujours eu ce langage parfois châtré des bisexuelles sûres de leur pouvoir de séduction.

— Donc, tu es obligée de t’enfermer ?

— Non, je Le supplie de nous trouver un endroit pour baiser …

— Punaise … Là, tu me bats Flo et de loin …

— Je te rappelle que je ne fais pas un concours …

— Et ce soir ?

— Ce soir ? Je ne sais pas … Je vais me tenir, c’est sûr …

Nous continuâmes à nous échanger des banalités durant presque une heure.

Lorsque je raccrochais, un peu plus heureuse d’avoir pu soulager mon coeur auprès de ma chère Emilie, je croisais François sans un mot dans la chambre avant de m’enfermer dans la salle de bain. Je me lavais le visage un peu bouffi par mes larmes. Je pris longuement le temps de me faire un brushing et de me maquiller avant de revenir dans la chambre où François me regardait toujours aussi silencieux. Nous étions attendus pour vingt-et-une heure et il était déjà vingt heures. En comptant le trajet, nous allions être en retard. Je m’attendais à des reproches de la part de François, il n’en était rien … comme d’habitude … Ca me déprimait : une dispute emmènerait un peu de vie dans mon couple illégitime et m’aiderait forcément à prendre une décision.

Juste vêtue d’un string couleur chair, je me choisis une robe de soirée que mon mari m’avait offerte, pour une réception dans une ambassade quelconque il y a un an : rouge vif, décolletée jusqu’au nombril mais dont le col était ajusté en haut, retenant les bretelles de glisser et de la faire tomber au moindre mouvement. La robe laissait mon dos nu jusqu’au bas des lombaires et elle était fendue jusqu’au milieu des cuisses. J’étais sexy à tomber et pourtant, François, allongé sur notre lit me regardait avec un air d’une désespérante indifférence. J’avais l’impression que l’expression humaine et chaleureuse de François ne ressortait que lorsque nous faisions l’amour. C’est peut-être pour ça que je n’avais de cesse que nous nous retrouvions dans le sexe. J’étais perpétuellement en train de le chauffer, de tenter de l’exciter …

Exprès, je me tins debout devant lui et lui posais un pied sur la cuisse sous le prétexte d’enduire ma jambe de crème adoucissante. L’air faussement maladroite, je lui effleurais l’entre-jambes de mes orteils vernis. Il ne réagit pas. Je haussais les épaules dépitée mais je laissais mon pied sur sa cuisse lorsque je me penchais pour saisir l’une de mes sandales à talons. Je me l’enfilais de la façon la plus sensuelle possible puis la nouait lentement au pied. Je recommençais avec l’autre …

Toujours rien ! Au contraire, il éteignit sa cigarette et se leva :

— Tu es prête ? On y va …

— Merde, maugréais-je en mon for intérieur.

Durant les deux heures de trajet pour rallier Paris, nous n’échangeâmes aucun mot. Je boudais dans mon coin et François tapota tout le long sur son Palm. Pour l’embêter, j’étendis mes jambes sur ses cuisses : il n’eut que le temps d’écarter son appareil avant de reprendre son activité comme si de rien n’était. C’est la première fois que François m’énervait à ce point, car c’est la première fois que François me résistait. Ca ne faisait qu’attiser le feu qui me consumait.

*-*-*-*-*-*-*-*

La soirée fut d’un ennui total pour moi … Il faut dire que j’étais aidée par mon ressentiment trouble envers mon Homme. Je ne supportais pas d’être l’attraction lubrique de tous les convives qui nous voyaient, seul couple mixte de la soirée, représenter l’eldorado. Ils complimentèrent François sur sa ’réussite’, ajouté à cela, leurs clins d’oeil plus ou moins dissimulés. J’en fis part à François de mon malaise de ne représenter qu’un trophée mais il me dit de ne pas m’en faire et qu’il s’en foutait de l’avis des autres.

En dehors de ça, c’étaient de parfaits machos parlant exclusivement travail et dont les femmes étaient cantonnées au fin fond de la salle. Lorsque j’essayais de me mêler à la conversation, ils se détournèrent ostensiblement de moi. Les femmes elles semblaient être frappées d’interdiction de parler et le peu de choses qu’elles disaient tournaient exclusivement autour de couches culottes.

Dépitée, je demandais à François si on était obligés de rester … Il me chuchota que c’étaient des relations de travail et qu’il était obligé de faire acte de présence. Il m’embrassa furtivement pour me consoler. Je le suppliais une dernière fois de m’emmener ailleurs :

— Pourquoi pas Montmartre ? Je te jure que tu ne le regretteras pas.

Je lui fis un clin d’oeil lourd de sous-entendus. Il me sourit :

— On partira dès que possible, je te promets …

Il m’abandonna.

Le repas fut une réelle torture. Je fus obligée d’écarter les mains baladeuses de mon voisin. Rien ne semblait vouloir calmer ses ardeurs, même lorsque je me blottis contre le bras de François. L’autre faisait semblant de s’intéresser à moi mais devant ma froideur, il finit par se tourner vers son autre voisine. Et je fus définitivement cantonnée au rôle de plante verte. Ne pas pouvoir avoir mon Homme pour moi tout seul me mettait réellement en fureur et ne me donnait que plus envie de lui faire l’amour. Je lui caressais le sexe sous son costume en flanelle mais il écarta ma main discrètement et fermement. J’allumais une cigarette alors même que personne n’avait fini de manger et je soufflais la fumée dans la figure de François. Il fit semblant de ne rien voir.

J’écrasais ma cigarette dans mon assiette devant la mine abusée de l’assemblée. Puis je me levais pour m’enfermer dans les toilettes. Lorsque je revins, je chuchotais à François :

— Regarde dans mon sac

Il glissa la main discrètement par terre pour l’ouvrir et y jeter un coup d’oeil. Il manqua de s’étouffer : là, comme une pétale sur la rosée du matin, gisaient les lambeaux de mon string que j’avais enlevé puis déchiré avec acharnement … J’avais posé ma main sous la nappe sur son pénis qui instantanément s’était dressé. Je lui chuchotais à nouveau :

— Accompagne-moi dans la voiture mon chéri …

Il tenta de se reprendre en reprenant la conversation. J’insistais, suppliante :

— Je n’en peux plus …

Il posa lentement sa serviette sur la table et bredouilla une excuse que personne ne sembla entendre … Puis de concert, nous nous levâmes sous le regard abusé voire outré des convives.

Il tentait de garder sa dignité en marchant normalement mais je lui tirais la main en lui passant devant.

Dans la cour sombre, il ordonna au chauffeur d’aller faire un tour. Le bruit du verrou qui claquait quand nous nous sommes enfermés dans sa mercedes ressemblait dans ma tête à une porte de prison qu’on déverrouillait. Je fis passer ma robe par dessus ma tête tandis que François déboutonna son pantalon. Il peina avec ses deux mètres à se soulever pour baisser son boxer mais il y arriva. Il se dégagea tandis que je m’allongeais sur la banquette arrière, faisant passer une de mes jambes sur le dossier avant du siège passager, l’autre reposa sur la lunette arrière. Le claquement du talon de ma chaussure sur la vitre arrière ressembla à une détonation. François s’allongea sur la vallée composée de mes jambes écartées et en tâtonnant quelques secondes, il posa le bout de son pénis sur la grotte bouillante de mon sexe. J’étais brûlante, humide et tellement excitée que j’étais ouverte comme une pastèque trop mûre. François enfonça son mat sans aucune résistance jusqu’au fin fond d e mon ventre : j’avais l’impression qu’il m’ouvrait en deux. Frustrée depuis des heures, je jouis instantanément en imaginant ce pieu noir me fouiller le ventre. Des saccades secouèrent mon ventre, mes ongles s’enfoncèrent sur la flanelle du costume de mon amant, presque jusqu’au sang. Je gémis longuement en me baillonant dans son cou. Mes orteils se recroquevillèrent comme ceux d’un bébé. François me serra puissament le torse, écrasant mes seins contre sa poitrine : là, il était tel que je l’aimais, passionné, aussi chaviré que je pouvais l’être, faisant corps avec moi, crispé pour se retenir de ne pas jouir aussi vite que moi. J’entendis vagument des pas au dehors mais je n’en avais cure. Je voulais encore jouir … Encore … François commença à me donner des coups de reins : son sexe sembla râcler chaque centimètre carré de ma paroi vaginale. Je lui saisis les joues puis, je lui prodiguais un baiser long et agressif comme celui d’une affamée. Je jouis à nouveau tandis qu e François continuait à me labourer le ventre. Une transpiration malsaine perla tout le long de mon corps. Je voulais encore jouir …

Emilie avait réussi à me faire voir François sous un oeil critique pour la première fois mais ce n’était que pour que ma passion aveugle pour lui me revienne dans la tête avec une puissance décuplée.

François à l’allure d’un métronome fou, continuait à me labourer le ventre. Mes gémissements continus se transformèrent en sanglots. François me labourait toujours le ventre, faisant renaitre la houle qui me taraudait le vagin. Je haletais à nouveau. Mes halètements se transformèrent bientôt en jappements tandis qu’un troisième orgasme me balaya le corps. Je me liquéfiais, me décomposais. Et c’est sans consistance que je subis l’arrivée de l’orgasme de François qui, à coup de sperme fécond, finit par éteindre lentement le feu qui me consumait le ventre.

Nous sommes restés enlacés durant de longues minutes avant de nous détacher. Je soupirais enfin d’aise : pour la première fois de la soirée, la boule d’anxiété qui me serrait le coeur finit par s’en aller. Je remis ma robe à tâtons et, tant bien que mal ajustée, j’attendis dans la douceur printanière que mon Homme finisse de se rajuster. Je recoiffais tant bien que mal mon chignon défait. Un coup d’oeil dans le rétroviseur extérieur me renvoya l’image d’une nymphe détendue … Enfin … J’essuyais avec un mouchoir en papier la cascade de sperme qui s’écoulait lentement le long de mes jambes. Des petits rires féminins résonnèrent pas très loin.

— Je m’en fous … C’est moi qui l’ai, pensais-je. Moi et moi seule …

Une lionne protegeant ses petits n’aurait pas pu être plus féroce.

EPILOGUE

J’étais en train de cuisiner dans notre appartement parisien lorsque mon mari rentra. J’avais eu le temps de dépoussiérer rapidement en étant rentrée du boulot exceptionnellement tôt. Mon chat gambadait partout, heureux de retrouver enfin ses marques, son territoire. J’avais réussi à redonner de la vie à notre foyer. R m’embrassa tendrement :

— Tu sais quoi ma chérie ?

— Non …

— J’ai pris des congés … Je t’emmène à Venise pour deux semaines.

— Oohh mon amour, c’est génial …

Je retrouvais mon mari, celui qui par ses trouvailles savait toujours me séduire.

— Ben oui, comme tu as dû souffrir de rester seule durant longtemps, c’est le moins que je puisse faire.

— Deux semaines ? C’est tout …

— Après … Surprise !

Une surprise ? Je savais que je pouvais compter sur lui.

J’ai juste laissé un SMS à François : ’C’est fini. Je suis désolée … Je t’aime’.

Je sais, c’est lâche mais je ne voulais plus basculer rien qu’en entendant sa voix.

Il ne m’a jamais appelée avant. Il ne m’a jamais rappelée.

Je ne L’ai plus jamais revu.

J’éspère seulement qu’en revisionnant les films qu’il a fait de nous, il penserait à moi avec délices.

(Fin)

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