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Aventures érotiques à Toulouse – Chapitre 1




Lors de notre séjour à Toulouse, ma femme a vécu plusieurs expériences très intéressantes.

Je vous ai raconté son gang-bang au sauna.

Voici une autre de ses aventures.

Avions convenu d’un rendez-vous au bar d’un hôtel chic de la ville.

Nous avions alors 33 ans.

Lui est arrivé, 45 ans, distingué, directif.

Il se disait militaire. Ce qui était sans nul doute vrai, mais je le voyais bien dans le "service action" d’un célèbre service d’espionnage plutôt que de commander une compagnie.

Autour d’un délicieux cocktails comme savent en concocter les barmen d’hôtels, il manifesta son intérêt pour Sandra.

Et de nous proposer l’élaboration d’un scénario dont nous n’aurions pas toutes les ficelles, pour ménager le suspens.

Peu après cette soirée, nous eûmes encore différents échanges par (le web n’existait pas, bien sûr, en 90) Minitel.

Ayant accepté cette soirée domination de Sandra par lui, il nous livra ses exigences.

Sandra devrait porter certains dessous : soutien-gorge dentelle noir, culotte assortie, porte-jarretelles et bas de même couleur, hauts talons rouges.

Puis, au dessus, elle devrait juste enfiler unimperméable.

Pas de chemisier, ni de jupe ou pantalon.

Ainsi habillée, nous devrions aller le chercher à un point de rendez-vous, moi conduisant, elle assise à l’arrière de la voiture.

Ce qui fût fait.

Sandra se prépara exactement de la manière ordonnée.

Puis, à 17 heures, nous sommes allés le chercher.

Il est monté à l’arrière de la voiture et m’a ordonné d’effectuer une "balade" dans Toulouse, de rouler sans m’occuper de ce qui se passait à l’arrière.

Vous pensez bien que j’avais l’il constamment sur le rétroviseur intérieur !!

Il commença à la peloter à travers l’imperméable, à l’embrasser dans le cou.

Cela dura un moment.

Puis, lentement, il ouvrit l’imperméable, bouton par bouton.

D’un coup, il écarta les deux pans du vêtement.

Sandra apparût en sous-vêtements.

Il se mit alors à la caresser doucement, respectueusement.

Sandra se mit à gémir, tant les caresses l’excitaient.

Il lui embrassait quelquefois délicatement le ventre, le nombril, les côtes, les cuisses.

Soudain, je constatai qu’il lui avait sorti un sein du bonnet, puis l’autre.

Seins qu’il se mit à lui sucer doucement, l’un après l’autre.

Puis, tout en lui prodiguant ces caresses, il passa sa main dans sa culotte.

Tout s’accéléra.

Les succions et caresses, et la main dans la culotte à Sandra.

Tout cela en roulant dans Toulouse !

Les gémissements s’intensifièrent, devinrent des cris, puis deux hurlements.

Sandra venait de jouir sous la masturbation.

Et moi qui était encore une fois cocu, mais excité et heureux de ma condition.

Il ne demanda rien pour lui.

Sandra rajusta culotte et soutien-gorge, referma et reboutonna son imperméable.

Il m’ordonna de prendre la direction d’un hôtel de luxe du centre ville.

Une fois garés, nous nous rendîmes à cet hôtel..

Mon sang ne fît qu’un tour en passant devant la réception.

Il nous conduisit au bar de l’hôtel, un endroit chic.

Et commanda trois flûtes de champagne.

Un jeune serveur vînt nous les apporter.

Après une bonne 1/2 heure de discussion, notre homme sortit une clef de sa poche.

Il la posa devant ma femme en lui donnant le numéro de chambre.

"Tu montes dans la chambre, tu enlèves ton manteau, soutien-gorge, culotte. Tu gardes porte-jarretelles et bas, tes talons. Tu trouveras un bandeau noir sur le lit. Tu le mets autout de tes yeux et tu attends à genoux sur le lit, mains croisées derrière le dos, tu ne fermeras pas la porte à clef".

Les instructions étaient claires.

Sandra obéit, prit la clef et s’éloigna.

La discussion reprit entre lui et moi, pas forcément sur le sexe.

J’imaginais ma femme "en tenue" à genoux sur le lit, yeux bandés.

A un moment, maladroitement, je lui indiquai qu’elle avait laissé sa flûte de champagne, mi-pleine.

Il me répondit en désignant le serveur : "je vais lui demander de la monter dans la chambre".

L’angoisse me prit instantanément.

Si le jeune serveur montait la flûte de champagne, il allait tomber sur ma femme quasiment nue, attendant sur le lit.

L’angoisse me tenaillait de plus en plus, et l’homme continuait à discuter.

Heureusement, il n’appela pas le serveur.

Il décida que nous allions monter dans la chambre.

J’imaginais ce qui allait se passer : il allait la baiser.

Après avoir gravi les étages, nous sommes arrivés à la chambre, dont la porte, curieusement, était entrebâillée.

Nous sommes entrés, ma femme n’était pas à genoux sur le lit, mais assise sur le bord.

Seins nus, sexe à l’air, juste vêtue de son porte-jarretelles, de ses bas et hauts talons rouges.

Ce que je ne vis pas tout de suite me sauta brusquement aux yeux !

Son sein gauche dégoulinait de sperme !!

L’homme prit alors de nombreuses photos de ma femme, lui enlevant ensuite le bandeau des yeux, en différentes positions, mais en laissant le sein toujours enspermé.

Ensuite il y eût une discussion où il lui demanda ce qui s’était passé.

Quelqu’un était entré dans la chambre, alors qu’elle était "en position" sur le lit.

Il ne parla pas. S’approcha et se mit à la caresser longuement, partout.

Puis il la fît descendre du lit pour la faire s’asseoir sur le bord, là où nous l’avions trouvée en entrant dans la chambre.

Ensuite, elle entendit le bruit caractéristique de la fermeture éclair de sa braguette.

La suite, vous l’imaginez.

Elle dût le sucer longuement. Il lui prît la bouche, promena son sexe dressé sur son visage, prolongea la fellation.

Avant de jouir et de maculer son sein gauche de sperme.

De sa visite, ne subsistait qu’un journal économique en langue anglaise, laissé négligemment sur le lit

Il sortit aussi soudainement qu’il était entré, laissant la porte volontairement entrebâillée, ce qui faisait que n’importe qui passant dans le couloir pouvait entrevoir ma femme assise sur le lit, quasiment nue

Après la séance photos, notre complice lui dit simplement "Vas te laver !".

Ensuite, il annonça qu’il allait donner la pellicule à développer dans un magasin de photos du centre ville, et qu’elle devrait aller elle-même chercher les clichés.

Sandra et moi eûmes la même angoisse : à l’époque, quand vous alliez chercher vos photos, le photographe ouvrait la pochette et vérifiait les clichés devant vous.

Nous imaginions Sandra, découvrant ses clichés très intimes (y compris le sein couvert de sperme), devant un inconnu !

La soirée n’était pas terminée.

Il nous conduisit au restaurant chic de l’hôtel, où il nous invita.

La honte me submergea.

Parmi les nombreux convives, celui qui avait profité de ma femme se trouvait peut-être (sûrement ?) parmi eux !

Honte ressentie durant tout le repas, que Sandra avait dû passer en imperméable, n’ayant que ses sous-vêtements dessous !

Mais dans ces établissements de luxe, visiblement, on n’a pas l’habitude de poser de questions embarassantes

Après le repas, il décida que j’allais les conduire sur les hauteurs de la ville, sur un lieu réputé comme étant un rendez-vous de voyeurs et de couples exhibitionnistes.

Ce qui fût fait.

Nous sommes descendus de voiture pour aller vers le côté du parking.

Rapidement, les premiers voyeurs firent leur apparition.

L’homme demanda à Sandra de défaire lentement les boutons de son imperméable.

Elle obéit.

Il écarta les pans du vêtements, montrant les sous-vêtements.

Puis lui enleva l’imperméable.

Elle apparût alors en soutien-gorge, culotte, porte-jarretelles et bas, hauts talons au milieu du groupe d’hommes, j’en comptai 7.

Puis il dégrafa le soutien-gorge, libérant les seins à la vue des mecs.

Baissa et enleva la culotte.

"Enlève ton porte-jarretelles et tes bas !".

Elle obéit et se retrouva entièrement nue, juste vêtue de ses hauts talons rouges.

Je fus chargé de tenir l’imperméable et les sous-vêtements.

L’homme la caressa partout lentement et tendrement.

Puis fit signe au groupe d’hommes qui s’approcha plus près.

Les hommes comprirent le signal.

Immédiatement, le corps de ma femme fût parcouru de mains baladeuses.

Sur les seins, le ventre, la chatte, les fesses

Cela dura une bonne demi-heure.

Au bout d’un moment, certains commencèrent à sortir leurs queues et à les astiquer.

Bientôt, toutes les queues étaient dehors

Sandra les sentait sur son ventre, ses cuisses, ses fesses

"Maintenant, tu vas leur faire du bien !".

"Commence par les branler !".

Sandra prît une bite dans chaque main et fît ce qu’on lui suggérait.

Tous y passèrent volontiers.

"Mets toi à genoux, et suce les !".

L’excitation était à son comble.

Sandra s’agenouilla au milieu d’eux.

Les préservatifs exigés sortirent et ma femme commença les fellations à la chaîne, à genoux sur le bitume, entièrement nue.

Il leur demanda de ne surtout pas éjaculer, de garder ça pour le "final".

Quand elle eût sucé tout le monde, il leur ordonna : "Maintenant, jouissez sur ses seins !".

Les hommes se mirent en cercle, et les 7 bites crachèrent sur les seins à Sandra.

Moi, mari-cocu, je vis les éjaculations. Certaines rapides, de nombreux jets pour certaines, épaisses. Les hommes criaient, grognaient. Les jets fusaient.

Le sperme dégoulinait des seins, Sandra en avait partout : poitrine bien sûr, cuisses, ventre.

Les hommes étaient rassasiés, heureux d’avoir vidé leurs couilles.

Ma femme dégoulinait de sperme.

Il n’y avait rien pour l’essuyer.

L’homme me demanda son imperméable, et lui fît enfiler, le corps maculé de semence.

Nous sommes rentrés dans la voiture, il me demanda de les conduire à l’hôtel.

J’ai compris qu’il voulait ma femme pour la baiser, pour une nuit d’amour.

Gardant juste les sous-vêtements, j’ai été chercher Sandra après leur petit déjeuner, vers 11 heures.

Elle m’a raconté qu’après une douche bien méritée, il l’avait baisée une partie de la nuit.

Nous n’avons plus jamais eu de nouvelles de ce complice d’un soir, pas plus que nous n’avons su qui était entré dans la chambre se faire sucer.

Sommes rentrés chez nous, Sandra rayonnante, et la première des choses a été de placer l’imperméable souillé de sperme dans la machine à laver et ma femme de prendre une douche !

Une belle aventure en tout cas.

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