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Maman offerte et soumise – Chapitre 1




Ma mère est une maman tranquille de 3 enfants, habitant une sage petite ville bourgeoise de province. C’est une femme plutôt classique, distinguée, appréciée de tous pour sa respectabilité.

Mais un jour, tout a basculé. C’était un après midi de printemps.

En rentrant de l’école, je l’ai trouvée allongée sur son lit, entièrement nue, un bandeau sur les yeux, pieds et mains attachés aux quatre côtés du lit.

Sa position, couchée sur le dos, jambes grandes écartées, ne lui laissait aucune possibilité de dissimuler son intimité. Son sexe bien fendu, sa grosse chatte de femme mûre était même la chose qu’on voyait en premier.

J’ai pris peur, j’ai cru à une agression, un viol, je ne sais quoi.

Je me suis précipité sur elle et je lui ai enlevé son bandeau.

— Maman ? Qu’est ce qui t’es arrivé ? Qui t’a attaché ?

Ma mère pris un air navré.

— C’est rien, ne t’en fais pas. Va demander à ton frère…

— Léo ? Mais pourquoi ? Il est où ?

— Dans le jardin. Il doit fumer une cigarette

Je sortais alors dans le jardin, bien curieux de savoir ce qui se passait.

Mon frère en effet était assis sur un banc, tranquillement en train de fumer. Léo avait 5 ans de plus que moi. Je savais qu’il était très porté sur le sexe. Il eu l’air surpris en me voyant.

— Kevin ? Qu’est ce que tu fais là ? T’es pas à l’école ?

— Non, je suis rentré plus tôt. Mais Léo, c’est quoi ça ? Pourquoi maman est attachée toute nue ?

— Ne t’en fais pas, elle est d’accord. Maman est un peu speciale, tu sais. Elle est beaucoup moins sage que ce que tu imagines. Elle a des goûts vraiment pervers. En gros ce qui la fait kiffer c’est être soumise. Moi j’ai rien contre. J’aime bien ça même ! Elle se fait attacher et je lui fais toutes sortes de choses, plutôt cochonnes. Je te fais pas de dessin…

— Mais c’est fou, ça ! C’est notre mère !

— Et alors ? Elle adore ça ! Tu devrais essayer. Viens, on va dans la chambre. Je vais te montrer.

Je n’en revenais pas. Il se passait vraiment des choses bizarres chez nous…

Avec Léo on est retourné dans la chambre. Notre mère n’avait pas bougé, ce qui n’avait rien d’étonnant : les noeuds qu’avaient fait Léo étaient solides.

Jambes écartées, bras attachés en croix aux coins du lit, elle était livrée à nous.

Léo s’avanca vers elle et lui remis son bandeau sur les yeux.

— Voilà. A toi de jouer ! me dit il.

— Quoi ? Je fais quoi ?

— Soit pas idiot. Mets les mains, les doigts, ce que tu veux. Elle te plait pas ? C’est pas toi qui disait que c’était la plus belle des mamans, quand tu étais petit ? Tu la trouve pas excitante ?

— Heu ben si…

— Alors régale toi ! Elle est à toi !

Je regardais ma mère, son corps nu offert, ses formes superbes de femme mûre, grande, généreuse, appétissante.

Mon frère avait raison : quelque part j’en avais toujours eu envie.

Il y avait sa grosse, fantastique poitrine. Ca devait être un bonheur de la caresser. Depuis longtemps j’en rêvais. Alors puisque l’occasion m’en était donnée et que ma mère était d’accord pour se livrer entièrement à nous, je pris la décision d’en profiter.

Je m’approchais et pris chacun de ses deux gros seins à pleines mains. Ils étaient vraiment beaux, un peu mou, mais si doux ! Je me mis à les malaxer avec lenteur et un grand plaisir. C’était réellement délicieux. J’excitais les tétons qui à ma grande surprise durcirent et se dressèrent.

Alors doucement j’ai fait glisser ma main sur son ventre, son nombril, son bas ventre… J’eu quelques frissons mêlé d’appréhension lorsque mes doigts frôlèrent les poils de son pubis, puis les lèvres de son sexe. La peau de sa vulve était d’une douceur incroyable, fraîchement épilée.

Aller plus loin ? J’hésitais. Ma mère était impassible, immobile. Le bandeau sur ses yeux m’empêchait de lire ses réactions.

— Léo, tu es sûr que…

— Elle est d’accord, je te dis, Kevin. Fais ce que tu veux d’elle ! C’est une cochonne. Elle aime ça, je te dis !

Ma mère ne disait rien, ne réagissait pas, ce qui pouvait confirmer les dires de mon frère.

Alors un de mes doigts s’immisca au milieu, à l’entrée de son vagin. Je rentrais un doigt, puis deux, puis trois.

Sa position, attachée jambes grandes ouvertes, laissait un accès aisé à son sexe, et je pouvais la doigter en toute tranquillité en prenant mon temps. Tout entier absorbé par l’examen de sa féminité, je constatais, ravi, les modifications que mes caresses produisaient. C’était fantastique. Petit à petit la vulve s’ouvrait, le vagin s’élargissait. Je rentrais et ressortais mes doigts régulièrement. A chaque fois ils ressortaient plus mouillés. Je rentrais deux, puis trois, puis quatre doigts, presque toute la main. Visiblement ma mère était elle même bien excitée par la situation. Léo avait bien raison : quelle cochonne, quand même !

J’eu alors une idée folle. Et si j’allais encore plus loin ? Baiser ma mère. Voilà un fantasme qui m’avait toujours paru irréalisable. J’enlevais ma ceinture, retirais pantalon et slip.

Léo sourit et acquiésca de la tête, ce qui voulait dire "vas y frérot, éclate toi !"

Ma queue était déjà bien dure.

Il faut dire aussi que des mois d’abstinence, sans copine, n’avaient pas eu pour effet de me calmer…Mon excitation était complète…Je bandais comme un fou.

Alors je grimpais sur le lit, entre les jambes écartées de ma mère, et je dirigeai ma queue vers la vulve offerte…

Je poussais.

Ma mère poussa un léger cri en sentant mon sexe entrer en elle. De surprise ou de plaisir ? Qu’importe. Elle ne prononça pas un mot, ne fit pas un geste. Elle se laissait faire. 

Quelle chose incroyable de sentir sa queue fondre dans la chaude intimité de sa maman !  Je la rentrais en totalité, jusqu’au fond. C’était tellement bon ! Jamais je ne me serais attendu à ressentir un tel plaisir.   

J’ai entamé de longs va et vient, doucement, enivré par le plaisir. C’était divin.

Je regardais ma queue aller et venir, dans ce sexe si excitant, disparaître au fond entièrement, puis ressortir trempée. En même temps je jouais avec sa grosse poitrine, pinçais les tétons. Je passais la main derrière ses fesses, les soulevais légèrement pour faciliter la pénétration, puis introduisais un doigt dans son anus, tout en continuant à la baiser.  

Ma mère n’était plus qu’un sexe, offerte, soumise et avilie, livrée à nous, pour notre plus grand plaisir.

J’ai encore augmenté ma cadence, la baisant comme un fou, à grands coups de rein qui faisaient trembler le lit, qui auraient démonté des femmes plus fragiles qu’elle…

De temps en temps, je m’arrêtais, pour me calmer.

Puis je remettais ma queue et envoyais à nouveau des coups de rein bien sentis…  

…Jusqu’à sentir le plaisir m’envahir, me déborder. Je me laissais alors aller dans les entrailles de ma génitrice, avec délectation. La jouissance était délicieuse, tellement intense !   

Après une bonne minute, étourdi par le plaisir, je me retirais, laissant mon sperme couler de la chatte de ma mère.

J’étais encore sous le choc. Un tel plaisir m’avait achevé. 

Léo, assis à côté du lit, me regardait, amusé et visiblement satisfait de ma performance avec ma mère.

— Tu as fini ? me demanda t-il.

— Oui.

— Bien. Tu t’es débrouillé comme un chef ! Je suis sûr qu’elle a dû bien jouir ! Allez, détache la maintenant. On recommencera demain. Moi aussi j’ai bien envie de la baiser, mais on a plus le temps. Il faut que j’y aille. Je vais bosser et après je rentre chez moi direct.

J’obéis à mon frère et défis les liens de ma mère. 

Léo nous dit au revoir et s’en alla, nous laissant seul elle et moi.

Maman attrapa sa culotte à côté du lit. Elle n’osait pas me regarder, visiblement honteuse de la situation, de sa faiblesse à céder à ses pires instincts, et du plaisir qu’elle retirait à se retrouver soumise sexuellement face à ses fils.

Moi même j’avais quelques appréhensions à me retrouver seul avec elle.

Elle était en train de terminer de se rhabiller, lorsque pour casser la glace, elle me demanda :

— Tu as bien aimé ? Tu voudras qu’on recommence ?

— Heu oui…

— Bon garde les cordes alors, cache les dans ta chambre. Demain c’est toi qui m’attachera. C’est pas compliqué mais il faut de bons noeuds, comme t’as dit ton frère..

Et elle fila dans la cuisine préparer à manger…

Que se passa t-il le lendemain ? …. La maman perverse et soumise accepta t-elle de remettre ça ? La suite très bientôt…

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