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De Julien à Julie – Chapitre 18




De Julien à Julie 18

Résumé : Julien est devenu Julie, suite à un traitement hormonal. Elle est amoureuse de Patrick gérant d’un bar chez qui elle vit. Ce qui ne l’empêche pas de faire l’amour avec d’autres partenaires. Récemment, avec sa sur et même sa mère qu’elle revoit aujourd’hui.

Carole qui ne donne pas de cours aujourd’hui, propose à ma sur de passer la journée chez elle. En effet, l’une et l’autre ne souhaitent pas s’incruster dans l’appartement de mon homme.

Elles ne prennent pas le temps de faire leur toilette prétextant de la faire chez Carole. Je crois qu’elles sont surtout pressées d’avoir du bon temps dans l’intimité.

Ce matin, je n’ai que deux heures de cours à l’issue desquelles, comme promis [16], je file chez ma mère.

Quand j’arrive à la maison, je la trouve radieuse. Outre son maquillage qui la met en valeur ses yeux pétillent de joie de me voir. Ça me fait énormément plaisir de constater qu’elle s’applique à penser à elle !

Je constate que sa tenue n’est pas ordinaire. D’ailleurs je ne la reconnais pas vêtue ainsi.

Elle porte un caraco en satin rouge bordé de dentelle noire, sans soutien-gorge au vu des tétons qui pointent au travers du tissu. Elle a une jupe en cuir qui la moule jusqu’à mi-cuisse. Elle tourne sur ses talons aiguille et me demande :

— Je te plais ?

— Absolument ! Et puis avec ces bas à couture, tes jambes sont sacrément mises en valeur !

— Je suis allée faire quelques achats, hier ! J’ai suivi tes conseils et décidé de me « relooker »

— Tu es sublime comme ça ! On s’embrasse maintenant ?

Je l’enlace et notre baiser dure si longtemps que j’en perds haleine.

J’aime presser son corps contre le mien, lui flatter le postérieur avant de repartir dans un nouveau baiser passionné.

Elle sent bien mon sexe durcir sur son pubis, mais elle préfère se détacher de moi et me propose de l’aider à préparer le repas. Durant ce temps, nous jouons toutes les deux à nous caresser furtivement ou nous biser lorsque nous sommes proches l’une de l’autre.

Plus aucun tabou ne nous entrave. Je lui mets même la main aux fesses, ce qui la fait roucouler, quand elle se penche vers le bac à légume dans le frigo. Elle en sort un cncombre qu’elle m’agite sous les yeux.

Pour (faussement) se venger de mon geste déplacé, elle me contourne, se place derrière moi, soulève ma jupe et appuie le légume sur mon derrière pour mimer un coït.

Je n’en reviens pas que ma mère si prude puisse avoir un tel comportement ! Mais elle semble revivre et vouloir rattraper un temps perdu.

— Humm maman ! Arrête, ça me fait envie !

— C’est un peu gros quand même !

— Non ça va ! Pas tant que ça !

  Je pense à Roger, l’ami africain de Patrick, qui n’a rien à envier à cette cucurbitacée.

Nous rions à nouveau et reprenons nos préparatifs culinaires.

Très sérieusement tout à coup maman dit :

— Après le repas j’aurais quelque chose à te confier

— Ah bon ? Quoi donc ?

— Je t’en parle après le repas ! Sois patiente

J’ai beau la tarabuster, elle ne lâche rien ! Sinon pour affirmer que c’est un secret, qu’après mûres réflexions, elle se décide à me révéler.

Je suis impatiente, ma curiosité est forte mais je cesse de la harceler par mes questions. Elle ne dira rien !

Nous parlons chiffon lors du déjeuner et enfin vient le moment tant attendu.

La table desservie, la vaisselle faite, je me dirige vers le canapé pour écouter ce qu’elle a à dire, mais maman me recommande de la suivre. Je suis surprise qu’elle veuille monter au grenier.

Escalader cette échelle de meunier n’est pas chose aisée avec nos talons. En la suivant, j’aime contempler ses formes, des chevilles au fessier ! Il est vrai que je ne la regarde plus de la même manière désormais.

Nous allons vers le fond du grenier en prenant garde à ne pas nous tordre la cheville en marchant entre les objets qui jonchent le sol.

Elle s’arrête devant une malle et en retire le cadenas qui la ferme.

— Vas-y ouvre le couvercle ! Me propose-t-elle.

Je m’exécute et découvre un tas de choses hétéroclites. En résumé, c’est une véritable panoplie sadomasochiste. Une cagoule, un bâillon boule, martinet, cravache, fouets, cordes, menottes et autres jouets fétichistes, ainsi que des vêtements divers comme une tenue d’écolière, par exemple.

— C’est C’est quoi tout ça ?

— Ce coffre appartenait à ton père. Il est resté fermé depuis fort longtemps jusqu’à aujourd’hui. Je ne voulais pas être seule pour l’ouvrir.

— Je ne comprends pas, c’est mon père qui aimait ces choses ?

— C’est ce qu’il voulait utiliser avec moi pour assumer ses fantasmes.

— Tu veux dire que ces objets de torture, c’est sur toi qu’il les utilisait ?

Maman acquiesce d’un signe de tête, une larme perle au coin de l’il.

Par un réflexe de gêne extrème, je referme prestement le couvercle, mais ma mère le ré ouvre et prend quelques objets avant de m’inviter à redescendre. Je reste très circonspecte de la suite. Elle me guide à sa chambre, s’assied sur le lit et m’invite à en faire autant.

Elle me dit :

— Je vais te raconter quelque chose de très intime, que je garde en moi depuis trop d’années :

— Je t’écoute ! Dis-je, intriguée

Maman entame alors un récit qui me bouleverse.

« Comme tu dois le savoir ton père était plus âgé que moi. Pour moi, il était le grand amour de ma vie. Nous nous sommes mariés et très vite j’ai été enceinte. Pendant la grossesse de ta sur, puis de la tienne, il me délaissait sexuellement.

Il passait son temps dehors, dans des bars ou à jouer aux cartes avec ses amis, me disait-il.

Il n’assumait rien de son rôle de père et me laissait complètement gérer la tenue du foyer, les courses et bien sûr, m’occuper de vous.

En réalité, quand il était de sortie, c’était surtout pour aller voir des femmes.

À plusieurs reprises, j’ai retrouvé des cheveux de taille et de couleur différentes sur ses vêtements, jusqu’à dans ses slips. Il n’était pas rare qu’il y ait des traces de rouge à lèvre sur ses cols de chemise, ou que ses habits sentent le parfum.

Un jour, j’ai même constaté qu’il avait des griffures d’ongles dans le dos. Je ne savais avec quelle tigresse il était, jusqu’à plus tard. Les longs cheveux roux que j’ai trouvés ce jour-là auraient dus me donner une indication. Je te dirai plus tard de qui il s’agit. »

Je demande à maman :

— Pourquoi ne disais-tu rien ? Tu étais son épouse légitime.

— Laisse-moi continuer, je vais t’expliquer :

«  Je me taisais pour éviter sa colère, mais j’en ai quand même parlé à ma sur. Sophie m’a conseillée de le reconquérir, en étant plus sexy. J’ai acheté quelques dessous coquins et ça a marché un temps !

Il était plus souvent à la maison et me faisait à nouveau l’amour régulièrement.

Je m’abandonnais de plus en plus à ses fantaisies et y trouvait même de l’intérêt, moi aussi.

Il allait de plus en plus loin dans ses délires et je me pliais à ses exigences. Parfois ça m’amusait, d’autres fois j’avais un peu peur que ça dégénère.

Quand j’acceptais ses sodomies avec de plus en plus de plaisir, ça ne lui convenait plus ! J’en suis arrivée à accepter qu’il me batte avec les trucs que tu as vus là-haut !

Tout y est passé, y compris le fouet !

Ce qu’il préférait, c’était me mettre une cagoule et me bâillonner quand il me frappait.

Je ne pouvais plus crier et évitais ainsi de vous réveiller ta sur et toi.

Et puis, comme je me débattais trop à son goût, il s’est mis à m’attacher dans le lit avec ça ! »

Maman me désigne les liens en cuir qu’elle a en main, avant de reprendre son récit, très confuse pour parler.

Ses mots peinent à sortir, mais elle se force à continuer :

« Un soir, il m’a fait porter la culotte fendue que tu as pu voir, sous des habits de petite fille. Il m’a bâillonnée, enfilé la cagoule, m’a mise sur le ventre et m’a attaché les bras et les jambes aux pieds du lit, plus fermement que d’habitude.

J’étais complètement écartelée. Mes poignets et chevilles étaient serrés à m’en faire mal. La bouche obstruée, je ne pouvais pas protester et de toute façon il n’en avait cure.

Il a soulevé ma jupette, et m’a soigneusement doigté l’anus avec du lubrifiant. Je pensais qu’il allait me prendre, mais non !

Il est parti, me laissant l’attendre dans cette position inconfortable.

J’entendais la télévision, il regardait une émission de sport alors que je souffrais le martyr. Mes bras étaient ankylosés au possible alors que le temps passait.

Tout à coup, j’ai entendu sonner à la porte, puis des voix d’hommes. J’étais totalement paniquée ! Il aurait dû me détacher avant qu’ils n’arrivent ! »

Maman reprend sa respiration et se lance dans la suite :

«Ils ont discuté un moment, sans que je ne puisse entendre clairement les mots prononcés. Soudain, la porte de la chambre s’est ouverte brusquement et mon mari a dit :

Alors les gars ? Ce n’est pas un beau petit lot cette gamine ?  Regardez-moi ce joli cul que j’ai préparé à votre intention !

Les gars ont fait des tas de commentaires grivois, puis sont repartis.

La porte s’est refermée alors que j’étais absolument paniquée !

J’ai compris que j’étais l’objet d’une enchère en les entendant brailler au-dessus des commentateurs d’un match à la télé. 

En plus de ma peur, j’étais en colère contre ton père qu’il puisse me considérer comme un objet.

Je vois que maman hésite à poursuivre et je ne fais rien pour la presser, j’ai conscience que son secret est lourd à porter et que la description de ce qu’elle va dire a du mal à sortir de ses lèvres.

Je la rassure en lui bisant la joue, puis la main, très affectueusement.

Elle poursuit sans me regarder :

« La porte s’est ouverte et j’ai entendu un gars se déshabiller. Il a tourné autour du lit quelques instant puis s’est allongé sur moi ! Pour me forcer l’anus !

Il m’a prise d’un coup sans prendre garde à moi et s’est mis à s’agiter dans mon derrière en feu. C’était un gros type qui sentait mauvais et m’écrasait de tout son poids pour me violer.

Il me déchirait littéralement et j’avais atrocement mal. Il est resté longtemps en moi avant de se vider.

Je ne pouvais plus respirer, même quand il est parti. Un deuxième type l’a remplacé ! Lui, en plus, c’était un pervers. Outre que lui aussi m’ait violé le cul, il prenait un malin plaisir à me serrer le cou pour m’étrangler. Plus je suffoquais, plus il grognait de jouissance.

Une fois qu’il eut éjaculé en moi, il s’est appliqué à me frapper les fesses violemment en m’insultant.

Le troisième était différent, il m’a chevauchée, mais pour me masser le dos avec délicatesse. J’étais tellement tétanisée par ma posture et ce que je venais de subir, que j’appréciais ce moment de répit.

Il m’a délié les mains et déplacé les bras. Je ne pouvais plus rien faire par moi-même de mes membres complètement engourdis. Il m’a fait joindre les mains dans le dos pour me ligoter à nouveau les poignets.

Il a ensuite posé son sexe sur mes doigts et a repris ses massages. Il n’a pas eu besoin de me demander de lui caresser son sexe imposant, j’étais curieuse de constater combien il était gros par rapport à ceux que j’avais pu connaître jusqu’alors. Je ne l’ai pas vu, juste touché !

Il m’a détaché les jambes, puis m’a redressé le buste, il m’a caressée la poitrine avec beaucoup de douceur. Dans cette position, le sperme coulait de mon derrière. Une de ses mains a trouvé mon clitoris et ne l’a plus lâché.

Y compris quand il m’a sodomisée à son tour.

Même si son machin était hors norme, j’ai éprouvé du plaisir à le sentir me pénétrer. Ce type, d’une délicatesse incroyable m’a emmenée au septième ciel.

Ça n’a pas plut du tout à ton père ! Il voulait me mettre plus bas que terre en me faisant enculer par ces types et moi j’avais apprécié ce dernier partenaire, si délicat.

J’avais toujours les yeux et la bouche obstrués, les mains attachées dans le dos, mais je venais de jouir comme jamais il n’avait réussi à le faire, lui ! 

Les gars sont vite partis et j’ai eu droit à une séance de fouet. Il vitupérait que j’étais une grosse salope, une sale garce ! Il avait beau frapper fort pour me punir, ma résolution était prise. Il avait été trop loin ! Je ne pouvais plus rester avec ce mec !»

Maman et moi sommes en larmes toutes les deux. Je ne savais pas grand-chose de mon père, et là je comprends combien c’était un tyran vis-à-vis de son épouse.

Je la serre contre moi et tache de la réconforter au mieux.

Maman me dit :

— Ça m’a fait du bien de te parler de ça !

«Pour finir l’histoire, ton père a été plus ravi que moi du besoin de divorcer. Il a rapidement été rejoindre une de ses maîtresse. Sa cousine dans les bras de laquelle il aimait être plus particulièrement !

C’était elle, la tigresse à chevelure rousse dont je te parlais avant

Très vite, j’ai entamé la procédure mais avant tout jugement de divorce, il a eu son accident alors qu’il était en mission professionnelle.

En tant que veuve, j’ai pu bénéficier d’une rente et de diverses assurances qui m’ont évité d’avoir à travailler pour vous élever.

Par la suite, j’ai fais une croix sur les hommes, jusqu’à ce petit crétin d’Arnaud, auquel j’ai succombé il y a peu »

Toutes ces révélations de son passé m’ont noué l’estomac. Ainsi mes parents n’étaient pas divorcés comme je le croyais. Le plus grave restant de savoir que mon paternel était un vrai salaud envers maman.

J’arrive à lui dire :

— Merci maman de m’avoir révélé tout ça ! Et Sophie, elle est au courant ?

— Je pense qu’elle s’est doutée de quelque chose. Elle m’a avouée plus tard qu’elle avait repoussé les avances de ton père. Il aurait même voulu sauter ma sur, tu te rends compte !

— Je pense surtout que, maintenant, tu as un gros besoin de tendresse, allonge-toi sur le lit, je vais m’occuper de toi.

— Je préfèrerais que tu utilises ceci Si ça ne te dérange pas

Maman me tend la cagoule et le bâillon boule, puis joint ses mains dans le dos en attendant que je les lui attache. Je reste surprise de sa volonté de replonger dans ce passé scabreux et de constater qu’elle puisse aimer ce rôle de femme esclave.

Mais peut-être est-ce sa façon d’exorciser les démons qui la hantent ?

Elle se lève du lit pour me permettre de lui ôter sa jupe et sa jolie culotte.

La vue de sa toison fournie m’émoustille et je prends parti de l’allonger sur le lit, jambes ouvertes pour lui goûter la chatte.

— Mais Julie ! Qu’est-ce que tu fais ? Tu ne veux pas m’attacher ?

— Plus tard ! Pour l’instant je vais te manger !

— Non ! Pas ça ! C’est sale !

— Tu n’as Tu ne connais pas ça ? On ne t’a jamais fait un cunni ?

— Non ! C’est trop dégoûtant !

— Si tu dis encore quelque chose comme, ça je te mets le bâillon !

— C’est sale ! C’est dégoûtant ! C’est degueu urmf

Je n’en avais pas l’intention mais je comprends bien sa provocation pour que je lui mette cette chose dans la bouche.

— Et voilà ! Maintenant tu vas être une gentille fille et te laisser faire !

Maman hoche la tête pour acquiescer, puis me laisse opérer.

D’abord contractée, elle s’abandonne progressivement à mes coups de langue. Elle se tortille de plaisir et émet des grognements étouffés. Je m’interromps quelques secondes pour lubrifier son anus avant d’y glisser un doigt.

Alors là, elle devient plus qu’impatiente.

Elle se redresse brutalement, me repousse pour me tendre la cagoule, puis s’agenouille sur le lit, bras croisés dans le dos. J’éprouve énormément de gêne à lui cacher le visage, mais elle insiste d’un regard implorant. J’attache ses poignets, sans serrer les liens, juste pour lui immobiliser les bras.

Je comprends qu’elle veut toucher mon sexe, aussi, je quitte ma jupe et ma culotte rapidement avant de m’agenouiller derrière elle. Ses doigts saisissent ma hampe, la malaxe un peu et guide mon bout vers sa raie.

Si elle veut jouer un rôle d’esclave, je ne l’envisage pas ainsi. Tout au contraire, je souhaite l’aimer avec énormément de délicatesse.

Quand je franchis son sphincter, elle tremble de partout. Mais, elle trouve le moyen de s’empaler d’un coup alors que je lui caresse le ventre et la poitrine.

Ses mouvements de bassin m’incitent à un rythme plus prononcé. Elle veut que je m’active plus sérieusement.

Comment lui désobéir ?

Elle se complaît dans ce rôle de soumission à ma queue invasive.

J’avoue que je me laisse convaincre à être plus brutal que je l’aurais souhaité.

Elle a la tête enfouie dans l’oreiller, le cul en l’air.

Ce qu’elle semble adorer, ce sont mes claques sur ses fesses, bien rouges désormais !

Quand elle jouit, ses cris sortent mal, mais ses contractions de l’anus me stimulent et j’éprouve un plaisir indicible à éjaculer en elle de nombreux jets.

Après ce moment d’extase, je m’empresse de lui retirer ses liens et de lui rendre la parole et la vue.

Ses premiers mots sont :

— Reste en moi ! Ne t’arrête pas !

Je ne l’écoute pas, j’ai trop chaud et il me faut quitter mon haut et mon soutien gorge.

Hormis mes bas, je suis désormais nue.

Je la retourne sur le dos et me penche sur elle pour lui offrir un téton à sucer. Elle hésite, troublée d’avoir un sein de femme sur les lèvres. Mon initiative la trouble, elle n’a visiblement jamais eu de relations avec une femme.

Sa bouche s’ouvre et instinctivement sa langue courre sur mon téton. La gêne passée, elle s’applique davantage et j’apprécie sa caresse.

Mon regard puis ma main se porte sur sa toison pubienne que je flatte avec douceur. Quand mes doigts entre dans sa vulve, ses jambes s’écartent et m’invitent.

Sans attendre, je la pénètre avec une infinie douceur.

Ma récente éjaculation me permet de tenir très longtemps. Nous roulons l’une sur l’autre sans jamais nous détacher.

Sa puissante jouissance provoque la mienne.

Je me sens infiniment heureuse de lui avoir donné du plaisir et surtout par cette énorme tendresse qui nous a unies.

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