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La bonne fée Morgane est une vraie salope ! – Chapitre 4




C’est bien connu, il suffit de faire miroiter une belle grosse queue bien raide à une femme pour lui faire déplacer des montagnes ! Et Éléonore, malgré son rang social très élevé et son éducation catholique irréprochable, ne dérogea bien sûr pas à la règle.

Complètement oublié, son beau prince charmant parti méditer dans un ashram… D’ailleurs, il pouvait bien y rester, à boire du lait de yack caillé et à faire tourner des rouleaux de prières toute la journée ; la belle n’en avait vraiment plus rien à battre. Seule cette monstrueuse queue de l’âne de son oncle, avec laquelle les deux autres chaudasses la faisaient saliver, l’obsédait maintenant… Elle voulait la sentir, la palper, la prendre en bouche, la glisser entre ses cuisses, se l’enfiler jusqu’à atteindre l’extase… et il n’y avait plus que ça qui comptait pour elle !

Elle s’était d’ailleurs empressée de téléphoner à son cher papa pour qu’il lui prête son jet privé et un pilote, afin de pouvoir rallier rapidement Argenteuil depuis Nice. A peine avait-elle eu son accord, qu’elle décida de faire ses valises, car il fallait qu’elle ait ses robes de grands couturiers et ses bijoux, bien sûr ! Enfin, faire ses valises était un bien grand mot…

"Luna, allez chercher mes deux grosses valises au deuxième étage, dans la buanderie, et préparez ma garde-robes, je vous prie ! Il faut que nous soyons partis dans trente minutes au plus tard !

— Mais, mademoiselle Éléonore…

— Il n’y a pas de mais, ma petite Luna ! Dépêchez-vous !… Vous demanderez à Omar de les porter jusqu’au taxi qui va nous emmener à l’aéroport !

— Éléonore, je crois que votre bonne voulait juste vous dire de prendre le temps de vous laver. Vous êtes encore couverte de sperme de notre valeureux bélier et, sans vouloir vous faire offense, vous sentez un peu fort le bouc. Je doute d’ailleurs que vous comptiez partir dans cette tenue d’Eve même si cela serait terriblement excitant ! D’autre part, Luna doit savoir combien de jours nous partons chez votre oncle, pour préparer vos valises en conséquence.

— Et bien, jusqu’à demain matin, tante Morgane ! A dix-sept heures, je suis invitée à un vernissage chez SAPONE et je ne voudrais le manquer pour rien au monde ! Il y a la princesse Caroline de MONACO et Brigitte BARDOT qui seront présentes pour une uvre de charité pour la défense des lapins nains d’appartement… c’est trop chou !

Brigitte BARDOT ! Jean-Édouard tendit l’oreille car l’information pouvait bien l’intéresser. Il fallait qu’il puisse s’entretenir avec cette dernière et lui toucher un mot de l’horrible condition des béliers, confrontés à une concurrence totalement déloyale des ânes et autres chevaux. A priori, elle en connaissait un rayon sur la protection des moutons… elle pourrait peut-être vraiment le comprendre et faire voter une loi pour interdire la zoophilie avec les animaux dont la bite dépasse les vingts centimètres, voire même de limiter la pratique uniquement avec des béliers !

Certes, tout bon juriste pourra rappeler à notre valeureux prince charmant que nul n’est censé ignorer la loi et donc lui reprocher de ne pas connaitre l’article du Code Pénal du 9 mars 2004, qui précise que même avec les pauvres béliers, la zoophilie est interdite en France. Seulement, on pouvait aisément lui reconnaitre, à notre bon Jean-Édouard, la circonstance atténuante que jusqu’à ce matin, il n’avait pas vraiment de raisons de s’intéresser au sujet. Et puis, il avait tellement d’autres choses qui accaparaient son esprit…

En tout cas, Jean-Édouard reprit le fil de la discussion entre sa future épouse et la "bonne" fée Morgane…

— …Pour autant, j’ai besoin de toutes mes robes car je ne sais pas encore laquelle je veux porter ! Imaginez-vous, tante Morgane, que ce soit justement celle que je n’ai pas prise que je veuille mettre là-bas !?

— Ma petite chatte, nous allons dans une écurie avec du crottin et des mouches… Je ne vois pas à quoi vont vous servir vos robes CHANEL ou Christian LACROIX, surtout que vous y allez avant tout pour baiser avec un âne ?!

— Vous ne voulez quand même pas que je m’habille comme une souillon, tante Morgane !?!

— Bien sûr que non, ma belle princesse…

Deux énormes valises pleines à craquer uniquement des affaires d’Éléonore, garnirent donc le coffre du taxi…

Bon, ceci dit, le voyage jusqu’à Argenteuil se passa sans encombre, même si les chauffeurs des taxis, que ce soit à Nice ou à l’aéroport du Bourget, rechignèrent l’un et l’autre à l’idée de transporter un bélier sur les sièges en cuir de leur "Mercos" flambant neuves ! Seulement, dans les deux cas, la "bonne" fée Morgane prit sur sa personne et leur promit une petite gâterie pour leurs jolies petites couilles à l’arrivée de leur course respective… ce qu’elle fit, mais malheureusement pas de la façon dont ils se l’imaginaient !

Les deux fois, elle commença par ouvrir leur braguette avec beaucoup de sensualité, à glisser une main experte à l’intérieur et… avec ses pouvoirs maléfiques dont on ne connait pas toute l’entendue, elle leur laissa une poignée de morbacs affamés sur leur pilosité pubienne respective.

Ils doivent probablement toujours l’un et l’autre se gratter les couilles, à l’heure qu’il est !

Jean-Édouard se fit d’ailleurs la réflexion que tous les chauffeurs de taxi qui se grattent les couilles en conduisant avaient sans doute déjà croisé le chemin de la "bonne" fée Morgane, cette dernière les initiant à une forme très particulière de zoophilie. Se faire sucer le nud par des morpions, il fallait quand même être bien motivé !?

Revenons à nos moutons…

Jacques-Henri fut ravi de cette visite impromptue des trois jeunes femmes, toutes plus jolies les unes que les autres… Il ne savait plus où donner du regard, lui qui n’avait pas été à pareille fête depuis la disparition de son unique fils, Hubert, et le décès de sa femme peu de temps après.

Il se sentait d’ailleurs vraiment seul ces derniers temps, dans sa grande propriété d’Argenteuil. Encore heureusement, il avait ses nombreux animaux pour lui tenir compagnie et lui rendre sa solitude moins difficile ! Certaines mauvaises langues laissaient même entendre qu’il entretenait des relations "contre-nature" avec certains d’entre eux… mais cela restait à l’état de rumeurs car ce ne sont pas des choses dont on parle dans la bonne société française…

De toute façon, Éléonore s’en foutait comme de l’an quarante, des états d’âme de son oncle. A peine arrivée et accueillie par le propriétaire du domaine, elle prétexta une envie de pisser et partit en courant en direction des écuries, Jean-Édouard lui emboitant le pas tel un dévoué garde du corps. Surtout, il ne pouvait pas lui laisser faire n’importe quoi avec son cousin Hubert, car ceût été incestueux et complètement immoral !

Jaloux, Jean-Édouard ? Non… pas le moins du monde ! Mais si ce putain de canasson osait toucher ne serait-ce qu’un poil pubien de sa future épouse, il ne savait de quoi il était capable… la situation pouvant très rapidement dégénérer et se transformer en carnage… Jaloux ?… Non ! Et puis, si cela se trouvait, elle s’était rasée le minou comme elle le faisait relativement régulièrement !? D’ailleurs, il n’avait même pas fait attention si elle était épilée ou non, en la tringlant ce matin ?…

En tout cas, la jeune princesse semblait attirée comme un aimant par la fameuse bite de son cousin, car elle tomba du premier coup sur le box de l’âne, certes un peu à l’écart du haras pour éviter que ce dernier aille se chopper les juments de race et leur coller un mulet dans le buffet.

La première chose qu’Éléonore regarda en rentrant dans le box fut bien sûr l’entre-jambes de l’animal… mais sa déception fut de taille car l’objet de sa convoitise était très loin d’avoir les dimensions annoncées… tout au plus quinze centimètres, en comptant large !? Elle regarda même à plusieurs reprises, faisant le tour de l’animal et se baissant, pour être sûre qu’il n’avait pas une deuxième bite plus grosse cachée le long d’une de ses pattes arrières. Mais non… rien ! Elle s’était bel et bien faite abuser sur la marchandise par les deux autres salopes !

Une colère froide submergea l’esprit de la belle et jeune princesse…

Le cousin Hubert, comme chaque longue journée de sa triste vie, réfléchissait comment il pourrait déjouer la surveillance des palefreniers employés par son père et par quel subterfuge il parviendrait enfin à saillir une des belles jeunes juments du coin ? L’aspect technique de sa réflexion ne lui provoquait aucune excitation particulière, bien sûr…

C’est pourquoi il fut pris complètement au dépourvu quand sa jeune et très belle cousine entra en trombe dans son box, suivie par un drôle de bélier qui, à sa première impression, ne semblait pas avoir inventé l’eau chaude. Tout de suite, bien sûr, Hubert pensa aux sortilèges maléfiques de la tante Morgane et à ce jeune arriviste prétentieux. Ah, si c’était bien Jean-Édouard que l’autre salope de Morgane avait transformé en mouton… il était prêt à lui pardonner tout le reste !

Fut-ce cette pensée jouissive ou plutôt de voir le très joli petit cul de sa jeune cousine, moulé dans une robe a priori signée Giorgio ARMANI, lui tourner autour… toujours est-il que l’âne retrouva son instinct de mâle ; son sexe commença à gonfler et se tendre.

Sans doute aussi, le souvenir des longues parties de cache-cache de leur enfance, lors des réunions de la famille BUISSET DE BOMPANA, où il suivait volontairement sa plus jeune cousine dans sa cachette et lui caressait la zézette en lui disant que c’était un jeu… amplifia encore son émoi.

Éléonore, qui s’apprêtait à repartir en direction du château avec une colère noire et la ferme intention de congédier sa bonne pour cet affront… fut d’un seul coup témoin d’un miracle, un peu comme le Cardinal BILLÉ voyant son hostie faire un bond et se mettre en lévitation ! Le vin de messe devait être particulièrement bon, ce jour-là !!!

En tout cas, Éléonore, elle, resta scotchée devant cette belle grosse queue qui grandissait encore, et se mit même à parler toute seule… enfin, le croyait-elle !

— Ohhh ! Doux Jésus Marie… comme elle est belle… comme elle est grosse !… Comme elle doit être bonne !?… Hummm !…

Et s’adressant à l’âne…

— Monsieur l’âne, je peux la caresser, votre belle grosse queue ?!

La candeur de la belle ingénue finit de mettre Hubert dans un état d’excitation comme jamais il n’avait connu. Il bandait comme un âne… enfin, façon de parler !

Quant à notre beau prince charmant, il sentit que s’il n’agissait pas rapidement, il aurait bientôt une autre paire de cornes beaucoup moins agréables à porter que celles existantes. Être le cocu de service de l’histoire ne l’enthousiasmait pas du tout, pour être même tout à fait honnête… Mais bon, Jean-Édouard voyait bien que le baudet le regardait d’un mauvais il et qu’il risquait un mauvais coup de sabot s’il ne faisait pas attention. Il dut donc se résigner à voir l’insoutenable, dans un premier temps…

En effet, la sublime blonde s’était accroupie et prit l’imposante queue avec ses mains. C’était vraiment bizarre, cette sensation au touché… une espèce de grande trompe en caoutchouc gris foncé et rose, mais toute chaude. La jeune femme ne savait pas trop par où commencer avec ce chibre géant, comme intimidée par la bête.

Mais bon, Éléonore avait malgré tout une folle envie de le sentir bien profond en elle et son tanga s’humidifia de cette agréable perspective.

Elle s’avança donc de l’engin tout en commençant à le branler avec ses deux mains… et posa délicatement ses fines lèvres sur le bout presque noir de l’appendice. L’odeur était forte et âcre… et provoqua un recul de la jeune princesse, qui se fit même la réflexion que l’animal devait avoir une hygiène corporelle plutôt négligée. Et elle qui n’avait même pas pris son sac à main et son CHANEL numéro 5 !

Néanmoins, son fantasme de sucer cette magnifique queue prit le dessus sur ses principes et ses inhibitions… elle entama donc l’opération par de petits coups de langue sur celle-ci. Son excitation grandissait au fur et à mesure qu’elle transgressait ce qui était pour elle des interdits, notamment par rapport à tout ce qu’on lui avait dit au cours de son éducation de jeune fille de bonne famille.

Le cousin Hubert, lui, était aux anges car, en plus de cette fabuleuse fellation par sa jeune cousine encore très inexpérimentée, il était maintenant quasiment certain que le bélier qui trépignait à une petite distance de sécurité de ses sabots, était ce salopard de Jean-Édouard. Il allait donc utiliser toute sa virilité pour besogner la belle blonde et rendre un maximum jaloux le bovidé.

Éléonore avait maintenant entièrement le bout du chibre de l’âne dans sa bouche grande ouverte et elle pompait énergiquement la hampe avec ses deux mains. Tout son corps était parcouru de frissons de plaisir ; elle fermait les yeux pour encore plus profiter de l’instant, en attendant bien sûr d’enfiler cette fabuleuse queue dans sa jolie petite chatte. Elle accélérait… elle accélérait ses mouvements sur la colonne de chair… elle sentait que l’âne était sur le point de tout lâcher…

Jean-Édouard, qui s’était fait un peu oublié dans un coin du box mais qui ne supportait plus cette scène totalement immorale, prit son élan et fonça cornes en avant dans l’arrière-train du baudet… qui, surpris, lâcha d’un seul coup toute sa jouissance ! La queue du canasson rentra encore un peu plus dans la bouche d’Éléonore et un flot de sperme inonda la cavité, le liquide laiteux débordant de toute part. La jeune femme hoqueta, expulsant la colonne de chair qui, telle une lance d’incendie laissée à elle-même, projeta encore de longs jets de sperme sur le visage et le corps de la belle princesse, l’inondant littéralement !

Quand la "bonne" fée Morgane, Luna et l’oncle Jacques-Henri arrivèrent dans le box, il n’y avait plus qu’Éléonore à l’intérieur, assise dans du crottin, sa robe Giorgio ARMANI et son visage maculés de sperme comme si elle venait de prendre une douche de lait concentré ou de crème Mont-Blanc saveur vanille… et une nuée de mouches tout autour. Elle pleurait à chaudes larmes, même si elle avait joui juste avant !

Les deux quadrupèdes avaient, quant à eux, disparu !?

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