Nico baisait sa tante partout, tout le temps, dans toutes les positions !

Quand Marc rentrait du boulot, il entendait les gémissements de sa femme, en train de se faire prendre comme la salope qu’il avait toujours rêvé qu’elle devienne : vu exaucé… un peu trop même… car les deux tourtereaux n’arrêtaient pas.

Au début, cela l’avait bien excité. La première fois qu’il les avait surpris, il était rentré un peu plus tôt que d’habitude, sur la pointe des pieds. Il se demandait si Nico aurait profité de son absence pour baiser sa femme, sans sa permission. C’était après tout le lendemain de cette nuit torride de triolisme. Et est-ce que Cécile allait accepter de se faire sauter comme ça par son neveu, sans la présence de son mari ? Il ne fut pas déçu !

Le premier son qu’il entendit fut la voix de sa femme qui provenait de la chambre à coucher :

Oui, vas-y, encore ! Plus profond ! Bouffe-moi la chatte !

A quoi répondirent des bruits de succion assez obscènes… bon, pas besoin de lui faire un dessin, Marc avait compris qu’il n’avait pas été attendu pour la suite des réjouissances.

Montant doucement l’escalier, et regardant pas l’entrebâillement de la porte, il vit sa femme complètement nue, cuisses grandes écartées, la chatte offerte à la voracité du jeune homme, la tête entre ses jambes, qui lui dévorait la vulve. Cécile poussait des gémissements qu’il ne lui avait jamais entendus proféré avant…"Sympa", pensa-t-il !

Dès ce moment, il comprit qu’un truc allait lui échapper. Il était censé rester le maître du jeu, diriger les ébats de sa femme avec le jeune Nico, peut-être favoriser certaines expériences sexuelles avec le jeune, qu’il était censé ne pas pouvoir pousser au bout… et puis non ! Voilà que les deux se débrouillaient très bien sans lui ! Il y avait de quoi se poser des questions !

En définitive, sa femme se laissait aller beaucoup plus facilement avec son neveu qu’avec lui-même. Il décida néanmoins de ne pas intervenir et d’observer le couple continuer ses ébats. D’abord parce que ça l’excitait énormément : voir sa femme à poil, se faire sauter par un jeune homme, de plus son neveu, et d’autre part, il était très curieux de découvrir quel type de choses sa femme allait accepter de son jeune amant ; là encore, il ne fut pas déçu !

Prends-moi maintenant, tu m’as tellement bien léché la chatte que je suis toute mouillée, et folle d’excitation ! Baise-moi profondément… Ouiiiii ! Comme çaaaaa ! Prends mes jambes et mets-les sur tes épaules ! Aaaahhhhhhh Ouiiiiiiiiii !!

La salope, pensa Marc, l’enclume ! Elle lui demande de la prendre dans la position que je préfère… sauf que ce n’est pas pour m’emmerder, elle ne sait pas que je suis là !

Putain, le petit salop doit avoir toute sa bite enfoncée jusqu’à la garde, dans la chatte de ma fidèle épouse ! Il doit se régaler avec la vue qu’il a sur sa fente, que j’imagine ouverte comme la "Porte des étoiles" !

Marc avait incité sa femme à baiser avec Nico, il avait tout manigancé… mais il se sentait un peu dépassé par la situation. Même si le spectacle l’excitait énormément, il ressentait quand même une angoisse sourde, une jalousie qui se distillait en lui comme un poison lent, mais efficace. Il décida de filmer la scène…ça pourrait toujours servir pour la suite.

Lorsque bien souvent, sa femme lui faisait interrompre le rapport parce qu’elle fatiguait, parce qu’elle avait mal aux jambes, ou encore pour trente-six mille raisons plus ou moins fondées, là, elle ne demandait aucune interruption ! Au contraire, elle ne cessait de crier, gémir, ahaner, alors que le jeune la bourrait comme un malandrin !

Jamais il n’avait vu sa femme comme ça ! Une véritable goulue ! S’il avait voulu transformer son épouse en putain, en trou à bites, c’était amplement réussi !

Certes, il avait partagé Cécile avec Nico cette nuit-là, et ils l’avaient baisée ensemble, mais c’était dans l’obscurité la plus profonde. Dans le cas présent, il voyait tous les détails, le sexe pénétrer la moule de sa femme, les pointes des seins durcies par le plaisir, les mains de Nico caressant sa poitrine, le visage de sa femme crispé par le plaisir. Tout cela était surréaliste ! Il n’avait jamais vu sa femme exprimer autant d’émotions lors de leurs rapports sexuels !

ET circonstance aggravante, par rapport à la nuit orgiaque qu’ils avaient connue à trois, cette fois-ci il n’était pas présent, il n’était pas le maître de cérémonie !

Un peu dégoûté par la "séance", après avoir maté pendant dix bonnes minutes, il préféra se retirer toujours en silence, pour sortir de la maison, incognito. En tout cas, les deux étaient tellement grisés par leur performance sexuelle, qu’ils ne s’étaient absolument pas aperçus de sa présence !

Il revint deux bonnes heures après, comme si de rien n’était. Sa femme préparait le repas dans la cuisine, tandis que Nico était dans le salon sur son téléphone portable. Il s’approcha de sa femme pour l’embrasser. Celle-ci lui présenta ses lèvres de façon assez torride, il l’embrassa profondément :

Alors comment s’est passée cette journée ? Tu es excitée par notre nuit passée avec lui ?

Oui, je n’ai pas cessé d’y penser, on recommence l’expérience ? lui demanda-t-elle, les yeux brillants d’excitation.

Bien sûr ! On va passer d’autres caps, cette histoire est trop excitante !

Tout en enlaçant sa femme et en l’embrassant, il passa sa main sous son tablier de cuisine, et sa jupe un peu courte. Il fut étonné de tomber sur une jarretelle, et suivant le pli de la cuisse, retrouva sa main caresser le petit triangle de poils du pubis de sa femme :

Tu as mis des porte-jarretelles, des bas et pas de culotte ?

Cela te gêne ? lui dit-elle, avec un sourire espiègle. Je pensais que cela t’exciterait beaucoup !

Cest bien le moins. Heu… vous n’avez rien fait pendant mon absence ?

Non mon chéri. J’aime ces jeux érotiques avec Nico, mais je préfère que tu sois là, pour assurer la situation !

C’est bien, mais tu sais, il ne va pas te violer… c’est déjà fait !

Non, mais je préfère, c’est toi mon mari, et je veux que tu sois présent !

Mais dis donc, tu mouilles, espèce de petite salope !

C’est tes mains qui me rendent folle, mon chéri. Et puis, me promener nue sous ma jupe m’excite à mort !

Ah ! brave femme pure, innocente et honnête !

Pensa-t-il goguenard…

Continuant son inspection, il caressa la fesse, et se permit de venir titiller la rondelle de son épouse. Une idée lui était venue à l’esprit… faisant pénétrer un doigt dans l’anus de sa femme, il ne rencontra pas de résistance, il commença alors à branler le cul de sa femme… celle-ci s’abandonna dans ses bras, la tête en arrière, les paupières closes, la bouche ouverte. Elle gémissait doucement.

Mais dis donc, tu es complètement ouverte du cul ! Je pourrais même y mettre ma queue !

Je suis tellement excitée, j’adore ce que tu me fais ! Tu m’excites trop mon chéri !

Ça vous dérange si on pense à manger ? J’ai faim, moi !

Le jeune Nicolas observait les deux amants enlacés, les bras croisés, le dos appuyé contre le chambranle de la porte.

Comme si elle faisait un pas de danse, Cécile toujours enlacée à son mari se retrouva dos à son neveu. Celui-ci découvrit alors que sa tante avait le cul dénudé, et que son mari, tout en lui caressant la fesse, avait son doigt bien introduit dans son anus. Fixant les fesses de sa tente, la jupe relevée sur les hanches, le porte-jarretelles apparent, et ce doigt qui venait lui soutirer des gémissements de plaisir… Nico n’eut tout à coup plus du tout faim…

Tu nous rejoins ? lui susurra Cécile entre deux gémissements.

Nico enlaça alors sa tante qui lui offrit sa bouche. Elle se retourna vers lui pour lui présenter son petit triangle blond, au-dessus du porte-jarretelles. Et tandis que Marc dans son dos, s’occupait toujours de son cul avec ses doigts, elle dit à Nico :

Branle-moi la chatte !

Nico passa une main sur le pubis dénudé pour caresser les poils blonds, tandis que l’autre s’inséra entre les cuisses de sa tante, et que deux doigts envahirent la fente toute chaude et humide.

Cécile, qui avait le sexe et le cul à l’air, prise en sandwich entre les deux hommes, qui la caressaient et la pénétraient de leurs doigts, s’exclama avec extase :

Branlez-moi tous les deux, c’est trop bon !

Marc fut surpris par la demande de sa femme de mêler Nico à leur étreinte d’amour… mais il n’y put rien.

Alors abandonnant son épouse aux bras de son neveu, il observa les deux amants s’embrasser avec passion, le jeune caresser sexe et cul de sa femme, ses doigts envahir les deux orifices en même temps. Tandis que sa femme gémissait et ahanait.

Il se sentait un peu hors jeu, mais voir ce jeune homme prendre de grandes libertés avec sa femme, et cette dernière s’abandonner avec délice aux baisers langoureux, et aux caresses l’excitait trop pour qu’il intervînt.

La nuit se déroula encore à trois, en une débauche de positions toutes plus érotiques les unes que les autres… mais toujours dans l’obscurité… ainsi que le demanda sa femme.

Marc avait une envie, mais également une hésitation : il voulait qu’ils enculent sa femme tous les deux.

Néanmoins, franchir ce dernier cap le dérangeait un peu… non pas qu’il n’eût pas compris, que l’acte avait été déjà consommé dans son dos !

L’ouverture aisée de la rondelle de sa femme, sous ses doigts, en était la preuve.

Parti tôt pour l’exploitation agricole, il jeta un dernier regard ambigu sur les deux corps endormis, à moitié dénudés sur le drap souillé :

Nico avait une main possessive sur le sein droit de Cécile, tandis que la main de celle-ci était enfouie sous le drap, en direction du corps de son amant… pas besoin d’aller vérifier ce qu’elle tenait !

L’esprit embrumé par des doutes et des interrogations qui lui corrodaient la pensée, il eut du mal à se concentrer sur son boulot.

Il décida alors de regagner son domicile en laissant sa voiture à 100 mètres avant.

Entrant silencieusement, il entendit de grands cris, de même que des bruits d’eau. Caché contre la porte de la salle de bain, il poussa doucement le battant pour voir sa femme nue, debout dans la baignoire, en train de se faire savonner par Nico qui était dans son dos. Le sexe toujours tendu et son pubis contre le cul de sa femme, il ne faisait de doute qu’il l’enculait joyeusement, une main s’accrochant à la hanche, tandis que de l’autre, il passait le pommeau de douche à plein jet d’eau, sur le sexe et les seins de sa tante !

Cécile ahanait et riait aux éclats !

Écuré, après avoir filmé 3 minutes, il regagna sa voiture, se roula une cigarette, et se mit à réfléchir.

Sous ses yeux, le couple infidèle avait accompli l’un de ses plus grands désirs. Faire l’amour dans la baignoire, pratiquer la sodomie en jouant à des jeux d’eau. Marc avait toujours eu un faible et une pulsion sexuelle pour l’élément liquide… sans avoir pu accomplir ce souhait, non-sans-faute de l’avoir demandé maintes fois à son épouse !

Il était passablement énervé, mais demeura dans l’habitacle du véhicule, en rongeant son frein et en fumant plus que de raison.

A midi, s’approchant de la fenêtre de la cuisine, il vit sa femme préparer le repas en porte-jarretelles et petit tablier de cuisine pour tout vêtement.

Nico, affalé sur une chaise de la salle à manger, venait périodiquement dans le dos de sa tante pour lui passer les mains sur le corps nu, pendant qu’elle préparait le repas.

La main sous le tablier, venait pénétrer le sexe offert, pendant que l’autre agaçait les seins, les pelotant avec vigueur.

A un moment, il saisit sa tante par la taille, la poussa contre l’évier, lui fit courber l’échine, et sortant son sexe tendu à l’extrême, prit sa tante à la hussarde. Celle-ci se mit à crier toute sa jouissance. Le rapport fut bref, mais intense.

Marc revenu à son véhicule se dit qu’il avait fait une grosse connerie ! Il fallait qu’il reprenne les rênes, d’une façon ou d’une autre… les choses lui échappaient trop. Toute l’après-midi, les deux tourtereaux n’arrêtèrent pas de baiser, dans toutes les positions, dans pratiquement toutes les pièces, avec une régularité horaire.

Sur la table de la salle à manger après le repas, dans le canapé, dans l’escalier et deux fois dans la chambre à coucher ! A chaque fois, Marc venait assister au spectacle, alerté par les cris d’hystérie érotique de sa femme.

Alors que le soir tombait tôt en cette saison, ruminant sa faiblesse, il compta que sa femme avait été sautée 6 fois et enculée au moins 4 ! Et encore, il avait peut-être raté des trucs ! A son arrivée au soir, il trouva les deux, tranquille, comme si rien ne s’était passé !

Il embrassa rapidement sa femme et alla rejoindre Nico dans le salon.

Cécile, viens nous servir une vodka double… et pour toi aussi. Et tout de suite !

Le ton impératif surprit sa femme, mais elle obéit. Prenant son verre, elle en but une goutte et le reposa !

Non, tu bois tout cul sec !

Mais tu sais que j’aime pas trop l’alcool !

Cul sec, j’ai dit ! Et ce soir, on va jouer à un autre jeu !

Cécile comprit que quelque chose clochait, mais devant l’air dur et impérieux de son mari, elle obéit. Aussitôt, elle se sentit complètement désinhibée.

Ce soir, c’est moi qui donne les ordres. Lève-toi, remonte ta jupe sur tes hanches !

Elle s’exécuta, dévoilant son triangle d’or aux deux hommes, et son porte-jarretelles. Marc se leva, et sans douceur, lui fit pénétrer deux doigts dans son sexe, qu’il trouva évidemment dilaté et visqueux. Le cul de l’épouse fautive reçut le même traitement. Là encore, les deux doigts rentrèrent sans problème, tandis que Marc ordonna à Nico de se lever, et de venir contre sa tante. Il était excité par la tournure des événements, mais un peu aussi apeuré. Il sentait l’agressivité sous-jacente de Marc.

Cécile portait un pull chaussette vert émeraude, très moulant, dont l’étoffe laissait apercevoir les pointes des seins bien dressées. Il demanda à Nico de le lui enlever. Le pull passa au-dessus de la tête, laissant jaillir deux seins tendus par le désir.

" Et bien, ça devient une habitude de te balader dans la maison la chatte à l’air, et le porte-jarretelles sous les jupes. Dommage qu’il ait fallu qu’on invite Nico pour ce faire.

Dis donc Nico, tu t’ennuies pas trop quand je suis pas là ?

Heu… non, bredouilla le jeune homme.

Bien, mais qu’elle est excitée ma femme ! Ce doit être moi qui lui fais cet effet-là quand je rentre le soir !

Tu as vu Nico, les seins dressés, la chatte baveuse et toute grande ouverte, ainsi que son trou du cul. Tiens, mets les doigts pour vérifier ! "

Timidement, Nico inspecta les orifices de sa tante qui se laissait faire.

Tu as vu ça ? On en a fait une vraie salope à présent ! Bon, alors ce soir, on va baiser ici, en pleine lumière et Nico va t’enculer !

Non, s’il te plaît, je ne suis pas prête à ça… il me faut un peu de temps encore. J’ai encore ma pudeur. Le sexe oui, mais la sodomie… un peu plus tard !

Marc n’en revenait pas de l’aplomb et de la fourberie de sa femme ! Il décida de la pousser à bout.

", Mais que c’est donc une épouse honnête, qui respecte les prescriptions de son mari, en son absence ! Toi, à quatre pattes, comme la chienne que tu es devenue ! Nico, tu l’encules sans douceur, tu la bourres comme un soudard, et toi, tu me suces la queue en même temps !

Ça fera quoi ? La quatrième ou la cinquième fois que tu l’auras enculée, ta tante, aujourd’hui, Nico ? "

Silence de mort dans la pièce. Cécile, n’ayant plus que sa jupe tirebouchonnée, autour des hanches, au-dessus de son porte-jarretelles, et de ses bas, se mit servilement à quatre pattes, la tête entre les jambes de son mari, assis dans son fauteuil. Elle déboutonna la braguette, en sortit le sexe tendu à se rompre de son mari, et l’emboucha avec ardeur.

Nico, ayant quitté son pantalon, présenta son chibre gonflé de sang, entre les fesses de sa tante, et d’une bonne poussée du bassin, l’encula illico. Cécile poussa une clameur rauque, bientôt suivie de nombreux gémissements, quand elle quittait le gland de son mari. Celui-ci ne mit pas longtemps à jouir dans la bouche de sa femme, à gros bouillons… Cécile avala tout. Elle cria de jouissance sous la sodomie de Nico, qui la bourrait sans douceur.

Relevant le menton de sa femme, et la fixant dans les yeux, il s’aperçut qu’elle aimait être traitée de la sorte. Sa jouissance finale en fut l’écho. Elle hurla à un débit beaucoup plus important que ce que Marc avait pu entendre dans la journée.

Marc releva sa femme, lui gifla les seins et la poussa vers l’escalier. Nico ne savait que faire.

Toi tu restes ici, et tu attends que je t’appelle.

15 minutes après, alors que Nico avait entendu de terribles cris de souffrance et de jouissance, provenant de la chambre à coucher, et qu’il se tordait nerveusement les mains, il fut appelé par Marc :

" Reste dans le couloir, lui cria son oncle, alors qu’il entendait des bruits difficilement compréhensibles, et les gémissements de sa tante.

Alors, vous m’avez pris pour un con, tous les deux ! Tu baises ma femme en mon absence, Nico ? Et toi petite pute, tu jouis à gorge déployée avec lui, et tu fais des trucs que tu m’as toujours refusés ? Je vous ai filmé et j’ai envoyé les vidéos à ta mère, Nico !

Ta sur Alice, ma chérie ! Elle arrive demain cette espèce de salope ! Je suis sûr qu’elle assure encore mieux que toi ! Tu baises ton neveu à discrétion, moi je vais baiser ta sur ! Tu peux rentrer, petit con ingrat ! "

Nico s’arrêta sur le seuil de la chambre… il ne s’attendait pas trop au spectacle qui s’offrit à lui… il avait craint le pire. Mais c’était surtout le regard brillant et le sourire de triomphe de sa tante, qui le surprirent… en plus de tout le reste…

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