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Maman très chaude, enfants pervers. – Chapitre 17




Chapitre 17 : Sally teste sa machine sur Kate.

Je me tourne pour chercher Sally mais elle n’est pas là, le siège en cuir noir de la machine à baiser est vide. Je réalise que Lola et Adam ont été les derniers à passer la porte et la boutique est complètement vide.

— Sally ! Je crie, mais pas de réponse.

Je regarde derrière le comptoir, juste au cas où, pour voir si elle est là. Rien. Je me dirige vers la pièce ou moi et Aurélie nous nous sommes nettoyées du sperme que nous avions reçu dans la cabine vidéo et de glory-holes et je jette un coup d’il dedans. Sally est penchée sur le bureau son joli cul en l’air à la recherche de quelque chose derrière elle. Encore une fois, j’admire la jeune fille pour son cul parfaitement formée. Ses hanches sont pleines et avec son cul rebondi couplé avec ses gros seins et ces anneaux transperçant ses tétons, elle réussi toujours à m’allumer chaque fois qu’elle m’approche.

Mais je dois me comporter comme une femme d’âge mûr et pas comme une adolescente excitée. Je mets un masque sur mon visage et je siffle.

Très joli, Sally. Quel cul magnifique tu as !

Elle tourne sa tête pour me regarder avec un grand sourire sans changer de position.

— Merci, je me trouve un peu grosse. Je suis à moitié mexicaine, tu sais.

-Whaoo ! Pas du tout, Mais tu es parfaite. Tu sais que ma fille Aurélie m’a surprise dans une position similaire une fois.

Merde, ou je vais là ? Il semble que voir les fesses de Sally me font dire n’importe quoi !

— Ah oui ? Qu’est-il arrivé ?

Sally me regarde par-dessus son épaule et ses yeux brillent de curiosité.

Elle se penche pour sur le dessus du bureau pour atteindre quelque chose dans le tiroir du bas. Je m’approche d’elle et ;

— Je pense que le mieux, c’est que je te montre ce qu’elle m’a fait. De cette façon, tu comprendras mieux.

Penchée ainsi sa jupe est remontée au dessus de son cul et je suis émoustillée. Je me colle derrière elle.

— Kate… que vas-tu faire ?

Elle ne bouge pas, ses cuisses sont lisses et bronzées, et elle sait que ses jambes sont écartées avec juste assez d’espace entre ses cuisses pour voir ce que cache sa minuscule jupe. Je lui fais un coup d’il et d’un sourire amusé je lui claque ses fesses.

Ses yeux immédiatement grands ouverts elle fait une grimace de douleur.

— Outch ! Mon Dieu, Kate ! Ça ne va pas !

Je relève ma main et sa jupe et je claque de nouveau mais directement sur la peau des fesses.

— Outch ! Oh mince ! Ta fille t’a fessé le cul comme çà ? Et çà t’a fait plaisir ?

Je ne réponds pas et je fesse chacune de ses joues joufflues.

— Putain, Kate, Whaoo ! C’est bizarre je me sens bien

Elle pose ses mains sur le bureau et tout en arquant son dos elle fait ressortir son cul. Cette chaude femme sexy me nargue ! J’ai envie d’elle et je sens qu’elle aussi. Les claques sur ses fesses sont une stimulation sexuelle ! Je ne sais pourquoi mais j’hésite à soulever sa jupe pour voir son cul magnifique. Je ne sais si elle lit dans mes pensées mais :

— Laisse-moi t’aider, Kate

Et je la regarde lever lentement sa jupe exposant son cul pour moi. Son cul en impose, mais il est ferme et sexy, la fente de ses fesses un peu plus sombre que le reste de sa peau s’ouvre plus bas sur les lèvres de sa chatte déjà humide et brillante. J’essaye de garder mon contrôle quand elle me regarde avec un léger sourire tout en faisant trembler son cul sous mes yeux.

— Tu veux vraiment une fessée,

— Oh oui, je suis une très vilaine fille et je mérite une punition.

Dit-elle avec une voix impatiente de recevoir son châtiment.

J’ai souri et ma main frappe de nouveau.

— Aïe ! OuyouyouilleAtch !

Je ne vais pas la décevoir ! Je lui fous une belle fessée sur sont cul qui se trémousse et qui prend de belles couleurs. Je nen reviens pas ! Apres ma fille je donne une fessée à une autre femme et cela m’excite ! Ma dépravation monte d’un cran !

Je tombe à genoux derrière elle pour mieux voir sa chatte qui palpite au rythme de mes claques et j’ai envie d’aller plus loin. Sally tourne la tête une seconde pour voir ou je suis et soudain écarte ses pieds et je comprends qu’elle me donne tacitement son accord pour que j’en fasse plus.

J’écarte les lèvres de sa chatte humide et je vois son trou sombre à baiser avec sa parois rose et Ohhh, son clitoris qui commence à sortir de sa fragile cachette. Elle sent si bon ! Ce parfum de chatte féminine à le don de mexciter.

Maintenant, j’ai mes deux mains sur son cul et autant que je peux j’écarte ses fesses vers l’extérieur pour apercevoir la rosette sombre de son trou du cul.

Oh mon Dieu, je…Je devrais arrêter cela. Je…Je ne suis pas une lesbienne ; Je suis mariée et mère de famille ! Mais j’entends son murmure.

— Oh Dieu Kate ! Que vas-tu me faire ?

Mes mains maintiennent ses fesses les plus écartées possibles et je vois son sphincter se contracter et se relaxer, et à chaque fois s’ouvrir un peu plus. Inconsciemment ma bouche reste ouverte de stupéfaction et hypnotisée.

— Kate ! Oh mon Dieu, Tu vas le faire ?

Demande Sally en me regardant encore une fois par-dessus son épaule.

Je réalise quelle perversion il faut pour la regarder comme çà et je relâche ses fesses qui rebondissent l’une contre l’autre pour finalement me cacher cette vue abominablement vicieuse.

— Je suis désolée, murmurai-je.

Sally fait la grimace et elle se redresse face à moi, inclinée contre le bureau. On se regarde toute deux en pensant à ce qu’on vient de faire.

— Désolé Sallyje ne voulais pas faire çà.

— OK, pas de problème et c’est un peu de ma faute. Kate as-tu déjà été avec une autre femme ?

Quoi ? Sa question me surprend et je ne sais quoi répondre. Dois-je répondre avec qui ? Dois-je lui dire la vérité ? Je suis d’ailleurs fort surprise qu’elle n’a jamais été avec une autre femme. Apres son escapade et prouesses sexuelles à l’arrêt de bus et…et aujourd’hui à la machine à baiser, j’aurais mis ma main au feu que faire l’amour avec une autre femme lui était déjà arrivé.

— Oui, Sally, il y a quelque temps. Alors quand je t’ai vue aujourd’hui sur la machine et maintenant… Ça m’a rappelé un sentiment que je n’ai pas ressenti depuis.

Et je n’ai pas avoué que c’était avec ma fille.

— Whaou ! Cool ! J’ai toujours voulu essayer mais je n’ai jamais eu l’occasion.

Ses yeux se déplacent sur mes seins et mon corps se tend de plaisir comme si ses yeux touchaient cette partie de mon corps. Je sais bien que ma petite robe montre une bonne partie d’entre eux, mais mes mamelons sont cachés.

— Alors tu as aimé faire çà ?

— Ohhh oui, c’est merveilleux, au moins ce que j’ai vécu l’était. Mais je pense que c’est comme avec un homme, il suffit de trouver la bonne partenaire pour rendre ce moment spécial.

Elle me regarde rêveuse avec ses yeux noirs comme une fille préadolescente qui écoute sa copine qui lui décrit sa première expérience sexuelle avec un homme. Elle est si jolie.

— Bon en tout cas j’ai eu du plaisir aujourd’hui, baisé par une machine, Une bonne fessée par une belle femme… quelle journée Dit-elle en riant.

J’éclate aussi de rire et mon cur bat quand elle s’approche de moi et m’embrasse. Je suis rend son baisé et nous restons à nous câliner dans les bras l’une de l’autre un instant.

— Humm, il me semble que tu as pris du plaisir aussi, Kate

— Bien sûr j’en ai eu.

— Mais sûrement pas comme moi. J’ai une idée, je ferme la boutique et c’est à ton tour d’essayer la machine à baiser, dit-elle déjà excitée.

— Quoi ! Pas question ! Surprise qu’elle me suggère cela.

— Si ! Si ! Il faut que tu fasses çà. Je ne vais quand même pas être la seule à donner mon avis sur cette bite mécanique. Personne ne te voit alors

allons-y.

Elle m’attrape par la main et me tire vers la salle ou se trouve la machine. Je panique un peu, il faut que j’arrête cette jeune fille sauvage, mais une partie de moi, que vous connaissez bien, me dit de le faire.

— Sally, je ne peux pas !

— Ah oui, et pourquoi pas ?

— Parce que… parce que…Je ne sais pas, je ne peux pas.

J’essaye de trouver une raison de ne pas le faire, mais je n’en trouve aucune. Sally me dépose prés de la machine et va verrouiller la porte et ferme les stores pour que l’on soit en toute intimité.

Je regarde la chaise en cuir noir et ses attaches de jambe qui ressemble à une chaise de gynécologie et je m’imagine assise dedans avec mes jambes écartées et un énorme gode en caoutchouc qui va et vient en moi pendant que cette jeune fille regarde. Ohhhhhhhh… ma chatte est déjà mouillée à cette pensée !

— Ok, nous sommes prêtes, dit Sally très excitée.

— Sally, s’il te plaît, ne me tente pas, ce n’est pas juste, chuchotais-je.

— Pourquoi pas ? T’as peur parce que je vais te regarder ? Tu m’as bien vu, toi, et à l’exception de mon copain personne n’a vu ma chatte se faire baiser !

Elle a un petit ami ? Qui est-ce ? Pourquoi je ne l’ai pas encore vu ? Je me demande s’il sait tout de ses activités supplémentaire Entre-temps elle a pris la bite en caoutchouc dans sa main. Putain je suis gênée mais c’est vachement excitant !

— Tu es prête ? La bite qui en place est assez grosse pour toi ? T’en veux une plus grosse

— Non ! T’es folle !

Que je réponds en regardant l’épaisse bite en caoutchouc courbée vers le bas. Elle est même plus grande que la bite d’Eric c’est peu dire !

— Mon dieu, que vas-tu me faire faire

— Quoi ! Tu ne veux pas ! T’es sure qu’une partie de toi n’a pas envie de se faire défoncer par une bite mécanique ?

Elle a raison, je me demande ce que ça lui a fait quand cette bite monstrueuse c’est glissée accidentellement dans sa chatte un peu plus tôt et qu’elle c’est mise à se tortiller comme un poulet embroché sur bâton.

— Heu…oui un peu. Mais promet moi de faire çà doucement.

— Bien sûr, dit-elle, avec son sourire angélique.

Je m’avance pour m’installer sur la machine mais elle m’arrête.

— Attends ! Tes vêtements !

En plus elle veut me foutre à poil ! C’est une vraie voyeuse. Elle veut voir mon corps nu pendant

Je ne la quitte pas des yeux et je déboutonne ma robe pour dévoiler mes seins et mes mamelons. Mes tétons sont déjà dressés et dur et Sally regarde mes mouvements. Lentement, je laisse tomber ma robe et elle voit le bas de mon corps. Je respire lourdement car rien que d’être nue, devant elle dans cette pièce, augmente mon excitation.

— Très beau slip, me dit elle en regardant mon minuscule slip qui a du mal à cacher ma chatte.

— Merci et je tire dessus pour rester là, complètement nue, alors qu’elle observe mon corps. Je peux dire qu’elle aussi est très excitée au rythme de sa respiration.

Reculant un peu je sens la bite en caoutchouc toucher mon dos ce qui provoque un petit courant électrique de haut en bas de ma colonne vertébrale et qui s’intensifie méchamment quand je tourne sur moi-même pour me planter dans le fauteuil. Sally me regarde, et une fois que je suis bien installée, elle attrape un de mes pieds pour le soulever et le placer dans un des reposes pieds. Je vois bien qu’elle regarde entre mes jambes. Je ne sais pas ce qui me plait le plus la pensée d’être baisée par une machine ou la voir me regarder !

— Dieu, Que tu es belle murmure-t-elle avec un tendre sourire.

Je ne peux parler tellement je suis excité et j’essaye de le cacher. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai peur que ma voix tremble. Elle s’installe juste en face de moi et prend mon autre pied pou faire de même. Je suis maintenant les cuisses bien ouvertes et ma chatte humide et dans l’axe de sa vue. Sally est toujours entre mes jambes le regard fixe et un moment j’espère qu’elle va me toucher, mais elle ne le fait pas. Elle farfouille dans la mécanique qui retient la queue pour faire quelques ajustements et place ainsi le gland très représentatif sur les lèvres de ma chatte.

— Ouais je n’ai même pas besoin de lubrifier cette chose, tu es tellement mouillée

— Mon dieu

— Ça t’excite, hein, ma belle,

— Oui…

— Tu as déjà pris une bite si grosse avant ?

— Non. Et je ne suis pas sûre que je puisse

— Moi je suis sûre que tu peux. Et si tu veux je peux en mettre une plus grosse si tu en as envie

Me lance-t-elle d’un regard interrogateur.

"Noonnn…s’il te plaît, c’est très bien comme çà.

Putain ! Je suis tellement excitée que je me demande ce qu’elle attend pour me coller cette chose en moi et me baiser avec elle. Sentant mon impatience Sally saisi le boitier de contrôle et appuie sur un bouton. Avec un léger bruit de moteur, je vois le gode avancer et tout à coup la tête de celui-ci écarte les lèvres de ma chatte pour atteindre l’ouverture de mon trou à bite.

J’ouvre la bouche en sentant cette grosse chose pousser mes chairs et les dilater jusqu’à ce que… ma chatte s’ouvre et elle entre dedans.

— Oooohhhh

Je ne peux m’empêcher de gémir quand je la sens glisser doucement dans mon corps et pousser les parois de mon vagin avec force. Je ne sens aucune douleur, juste le sentiment brûlant d’être remplie par une grosse bite qui s’enfonce en moi en frottant contre un millier de minuscules terminaisons nerveuses.

— OOOOOoohhh, Sally..

Sally regarde le gode me pénétrer et bientôt il bute sur mon col de l’utérus. Je lève immédiatement ma main et Sally bloque la course de cette bite à la limite de profondeur maximale. Puis elle inverse le mouvement, la bite se retire lentement et elle l’arrête juste avant que le gros gland ne sorte et appuie sur le bouton mémoire.

— Huuummm, Sally ça fait un drôle d’effet ! J’ai eu l’impression d’accoucher quand elle c’est retirée.

— Je te l’avais dit que tu aimerais ! OK, je suis prête. Toi aussi ?

— Oui mais putain elle est longue et vachement grosse. Je ne sais pas si je la supporterais longtemps.

Je saisis les accoudoirs et Sally déplace le sélecteur de vitesses et tout à coup le gode saute dans ma chatte pour me remplir complètement et puis il recule pour entamer son mouvement de va-et-vient. J’ouvre la bouche je suis vachement mouillée mais ce monstre a besoin d’être plus lubrifié.

— Sally, je pense qu’il faut que tu mettes du gel lubrifiant ! C’est tellement gros

Rapidement, elle saisit la bouteille de lubrifiant et en met une quantité généreuse sur la queue en mouvement. Bientôt, je ressens du plaisir et je mouille encore plus sous cette bite irréelle qui glisse maintenant sans effort dans ma chatte.

— Oh oui…Oh ouiiiiii… ouiiiiiiiiii

Elle augmente progressivement la vitesse et mon corps réagit de plus en plus sous les coups de cette queue infatigable.

— Kate, çà va ? Dis-moi Kate, tu aime ? C’est bon ?

Me demande Sally demande en regardant le gode me baiser en entrant et sortant de ma chatte avec des bruits de succions.

— Ouiii, Ouiiiii jeje

— Dis-moi ce que çà te fait ! Tu l’aime cette grosse bite !

Mes tendres lèvres de chatte sont tellement étirées autour de ce gros pieu comme si je me faisais violer par un monstre de l’enfer. Il me baise sans pitié.

— Sally, ooooooh SallyAAaahhhh.

Sally sur le coté regarde comment je me fais baisé par cette putain de machine et j’aime qu’elle me regarde. Petit à petit, elle s’installe en face de la chaise pour bien voir l’action de la bite dans mon vagin, son visage prend des couleurs et je peux presque sentir ses yeux sur ma chatte.

Tout cela augmente encore mon excitation sexuelle déjà exacerbée et je suis impuissante pour maitriser les frissons qui vont et viennent dans mon corps. Je devrais lui dire d’arrêter de me fixer comme çà mais au lieu de cela, je tourne ma tête vers elle et je pousse mes hanches au devant de cette bite infernale et je grogne quand je sens la tête de celle-ci frapper le col de l’utérus.

Il me semble que mon col s’ouvre désormais sous la pression de ce gode à chaque fois que j’avance mes hanches pour s’installer profondément à l’intérieur de moi. Ma chatte est tellement dilatée que ce monstre de bite artificielle se déplace librement dedans sans aucune douleur, je me sens merveilleusement remplie et sexuellement satisfaite par quelque chose de grand.

— Mon Dieu, Kate, cette chose va si profondément en toi ! C’est inimaginable !

Son commentaire me rend folle et appuyant plus forts sur la bite en caoutchouc je crie :

— AAAAGGGGGHHHHHH !

Avec l’impression que mon corps va s’ouvrir en deux.

Je vois dans les yeux de Sally de l’incrédulité tellement stupéfaite que je puisse en prendre autant. Je suis moi-même étonnée de sentir soudainement les boules épaisse à la base du gode titiller mon cul. Mon Dieu, j’ai plus de 20 cm de gode en caoutchouc en moi ! Je remonte un peu pour diminuer la pression et le gode continu ses vas et vient librement en moi.

Sally ne quitte pas ma chatte des yeux pendant un moment puis me regardant avec une lueur lubrique dans ses yeux elle arrête la machine. Je la regarde sans rien dire mais véritablement déçue qu’elle ne laisse pas la machine m’amener à un orgasme incroyable que je sentais venir.

Elle attrape les supports de pieds pour les soulever et les bloquer au plus haut. J’ai maintenant mes jambes repliées sur mes seins. Dans cette position, mon cul a glissé vers le bas et mes fesses s’écartent. Je me sens salope, mais en même temps c’est tellement excitant.

Malheureusement, ma chatte est maintenant mal alignée à cause de l’angle de la bite en caoutchouc. Sally le remarque tout de suite et ajuste la machine vers le haut pour mettre le gode en ligne avec mon trou à bite grand ouvert et l’enfoncer doucement.

— Kate, je crois que je vais me venger pour la fessée que tu m’as donné tout à l’heure.

En se redressant à côté de moi, ses gros seins frôlent mon bras et son visage est vraiment proche du mien. J’ai presque pensé qu’elle allait m’embrasser et j’aurais aimé.

— Fais-moi confiance…

Dit-elle dans un murmure et me prenant mes mains elle m’attache les poignets en hauteur !

Je suis totalement immobilisée et un peu inquiète mais mes craintes s’envolent en la voyant sourire amicalement. OK, je vais la laisser faire et voir jusquoù cette fille veut aller.

Elle fixe mon entrejambespuis mes seinsrevient dans mon entrejambes et :

— Très belle vueHuuummm…sympa… T’as vraiment un beau cul, Kate

Je dois avoir l’air apeurée car Sally s’approche de moi et en appuie ses gros nichons contre le coté d’un sein et chuchote dans mon oreille.

— Fais-moi confiance Kate, tu vas adorer ce que je vais faire pour toi…

Je sens son gros téton bagué sur ma peau et je me demande comment elle réagirait si je tirais dessus. Mais ligoté ainsi je ne peux rien faire.

Sally met son visage juste devant le mien et regarde mes lèvres.

— Ferme les yeux et ouvre bien ta bouche, Kate…

Elle est si belle avec ses traits si délicats et ses grands yeux sombres brillent d’excitation de ce qu’elle fait. Je ne peux dire non, je ferme mes yeux et ouvre grand ma bouche comme elle me demande. Je sens qu’elle enfonce quelque chose de dur et rond dans ma bouche et le la referme en silence. Je sais ce que c’est et je m’en avant même qu’elle me demande d’ouvrir ma bouche… un bâillon-boule !

Ma respiration augmente et j’autorise cette belle jeune femme à fixer ce bâillon boule derrière ma tête avant que je rouvre mes yeux. Sally me regarde et sa respiration comme la mienne s’accélère montrant dans quelle excitation sexuelle elle se trouve. Ses yeux ont glissé vers le mes seins et j’ai l’impression d’être sur des charbons ardents. Mes mamelons déjà durs s’allongent encore.

— Uuuhhmmm… Un autre gémissement m’a échappé.

Je n’en reviens pas qu’être ligoté et bâillonné m’excite autant ! Je n’ai jamais expérimenté la domination et la soumission, mais maintenant, être ligotée, bâillonnée et impuissante çà amplifie mes sensations sexuelles.

Les yeux de Sally descendent plus bas entre mes jambes écartées et elle s’installe devant la chaise. Je tremble de la voir me fixer toujours empalée sur cette bite incroyablement grosse en caoutchouc. Je voudrais hurler de plaisir, mais je ne peux pas, je voudrais me baiser sur cette bite toujours à l’intérieur de moi, mais je ne peux pas. Je suis impuissante et à la merci de cette belle jeune fille.

Sally sourit et je vois un petit gode en caoutchouc dans sa main. Quand je dis petit c’est en comparaison avec la bite qui ma bourré la chatte. En réalité c’est une bite de taille moyenne pour un homme bien constitué. 15 à 17 cm environ. D’un regard suspicieux je la vois se déplacer et placer ce nouveau gode sous le premier.

— Huuummm….

Je sais exactement ce qu’elle s’apprête à me faire ! Sally aligne le nouveau gode avec… avec mon cul et se relève en saisissant le tube de lubrifiant.

Je gémis sous mon bâillon et mon cur bat la chamade et je ne peux rien faire ! Je la regarde mettre une quantité généreuse de lubrifiant sur la deuxième bite et bien frotter dessus. Puis elle regarde mon cul bien exposé et après une profonde respiration elle tend sa main et touche mon cul.

— AAaahhhh…

Mon ventre frissonne quand ses doigts écartent mes fesses et qu’ils glissent juste en dessous de ma chatte pour caresser ma rosette plissée. Dès que le bout de ses doigts touche mon trou du cul je sens ma petite ouverture se détendre.

Dans ses yeux je peu deviner ce qu’elle pense

" Oh mon Dieu…Je n’en reviens pas de faire çà"

Moi non plus d’ailleurs. Les doigts de Sally vont et viennent sur mon trou du cul pour étaler de la crème lubrifiante. J’apprécie sa façon de me toucher, même si c’est incroyablement pervers, ses doigts massent mon sphincter pour bien le détendre.

Tout à coup, le bout d’un doigt se presse contre mon petit trou et il entre à l’intérieur de mon cul avec facilité. Choquée, je relève ma tête et il est trop tard pour dire n’importe quoi, si je pouvais dire quelque chose ! Je l’entends murmurer quand elle glisse son doigt et le retire,

— Ooohh, Kateoh mon Dieu

Elle est à genoux juste en dessous de la chaise et entre mes jambes, juste à côté du gode qu’elle s’apprêtait à utiliser sur moi. Son visage est rouge et ses yeux plein d’émerveillement, quand son doigt glisse encore dans mon trou du cul. Je ne me sens même pas humiliée et je ne veux pas qu’elle s’arrête !

Elle me jette un coup d’il, mais j’ai tourné ma tête pour voir, dans un miroir judicieusement placé, son doigt aller et venir dans mon petit trou. Au plus profond de mon âme j’ai envie qu’elle baise mon cul toute la nuit.

Tout à coup un autre doigt presse mon anneau anal déjà détendu et ce deuxième doigt glisse sans effort a coté de l’autre !

Oh mon dieu ! Je me sens de plus et plus ouverte, plus dilatée. Avec le gros gode encore à l’intérieur de ma chatte dilatée, et maintenant deux doigts, dans mon petit trou du cul ouvert, qui vont et tournent dedans, la sensation est incroyable. J’en gémis de plaisir en mettant ma tête en arrière et fermant les yeux pour bien apprécier ce qu’elle me fait.

Rapidement je sens les doigts de Sally se retirer et quelque chose se presse sur ma rosette ouverte. Je baisse la tête et je vois que c’est le deuxième gode juste sous le premier que Sally fait glisser dans sa glissière et qui le pousse dans mon trou du cul avant de l’immobiliser !

— Ahhhhhhhhhgrrreeeeee…

Ce gémissement incompréhensible sort a travers mon bâillon boule qui obstrue ma bouche quand je sens cette deuxième bite qui écartèle mon anneau anal et qui glisse dans mon trou du cul.

Les deux bites maintenant correctement

ajustées Sally se lève et saisit le boîtier commande de cette machine infernal. La grosse bite dans ma chatte commence lentement à bouger d’avant en arrière sous les yeux excités de Sally qui tourne le second bouton.

-AAAAAAAAHHHHhhhhhhhhh

La bite dans mon cul vient de prendre vie et de glisser plus loin dans mon boyau jusqu’à ce qu’elle soit complètement enfoncée dedans. Mes gémissements sont inarticulés et je n’ai jamais senti quelque chose comme ça avant ! Mes deux trous sont utilisés… violés ! Je suis attachée, bâillonnée, je ne peux l’arrêter et elle m’utilise comme un jouet sexuel… comme un jouet de baise dans mes fantasmes !

Je crie en vain ! Tous mes muscles se contractent et se détendent de façon spasmodique, comme ça met jamais arrivé avant. Ma chatte dégouline de mouille et mon trou du cul enserre cette bite envahissante, mais je n’ai pas envie que cela s’arrête. Mon cul se serre et se détend… se serre et se détend, et je hurle d’extase essayant d’exprimer ce que je ressens ! J’arque mon dos, sors mes seins, et des vagues de plaisir déferlent dans mon corps sous l’effet d’un énorme orgasme, provoqué par deux godes qui me baise en même temps.

Et ça dureça dure avant que mon corps soit déchargé de toute cette énergie orgasmique et que je me détende malgré ses deux bites qui bougent encore très lentement dans mes orifices intimes et dévastés.

J’ouvre mes yeux pour voir Sally à côté de mes cuisses ouvertes qui me regarde avec fascination et envie. Je reconnais immédiatement ce regard ; elle est mon maitre et je suis son esclave sexuelle soumise.

Mon corps en sueur brille sous la lumière de la salle. Mes gros seins montent et descendent au rythme des bites qui me baisent encore doucement et qui me font gémir malgré mon épuisement. Bâillonnée je ne peux même pas lui dire d’arrêter !

— OOOnnnnnhhhhhhh.

J’essaye de lui dire que je n’en peux plus, Mais Sally ne semble pas comprendre. Elle reprend la crème lubrifiante et en remet une quantité généreuse sur les 2 bites mécaniques puis tourne de nouveau les molettes.

— NOOOONNNNNN.

Je crie sous mon bâillon dès que je sens les queues en caoutchouc bondir à l’intérieur de moi. Bientôt Sally réussi à dépasser la vitesse précédente et les deux bites vont et viennes en dans mes boyaux avec fureur. J’ai beau crier, les bites glissent en moi une précision mortelle et une force mécanique qui me fait gémir sans arrêt et crisper mes orteils et mes mains car terminaisons nerveuses déjà molestées à l’intérieur de ma chatte et mon canal anal sont dans un état d’excitation incroyable. Mon corps, hors de tout contrôle, répond à cette baise incroyable et mon cerveau commence à transformer cette torture en plaisir réel.

Ma vision se trouble et tout ce que je peux faire c’est de pousser des petits couinements de femelle animale chaque fois que les godes s’enfoncent profondément à l’intérieur de moi pour atteindre des endroits que personne n’a jamais atteint avant.

— Ugghh… ugghh… ugghh… ugghh…

Je gémis en rythme de ces putains de queue et ma tête roule de droite à gauche sous la monté du plaisir.

Ma chatte se contracte sans cesse autour de l’énorme bite qui va et vient dans mon jus féminin, mes lèvres de chatte s’enroulent et se déroulent autour de ce mandrin impitoyable sur chaque veine saillante que quelqu’un a réussi à reproduire dans cette réplique de bite. Mon anneau anal libre d’accès sans restriction, permet à la bite de caoutchouc assez importante de se déplacer dedans et dehors… sans aucun problème. Je n’ai jamais senti mon trou du cul s’ouvrir comme ça, et peu importe combien j’ai envie de fermer mon trou du cul, que je ne le peux pas. Mes muscles internes, tant anal que vaginal spamment autour de ces bites et cela me rend folle d’être aussi sale et pervertie.

Je relève ma tête faiblement et je vois Sally qui, avec ses grands yeux, me regarde et regarde surtout ces godes incroyables qui me baise, qui me viole !

Elle peut voir sans réserve mes trous qui se déforment honteusement et en plus, elle se penche encore un peu, pour regarder de plus près mon trou du cul dilaté comme jamais, tandis que les bites me pénètrent à une vitesse incroyable. Je sens mon anneau anal enflé et torturer etje ne vais pas pouvoir le supporter plus longtemps.

— Aaaaaagggggggrrrrrrrrmmm…

J’ai crié aussi fort que j’ai pu et une nouvelle fois un orgasme dévastateur a éclaté dans mes reins.

Mes trous torturés me brûlent et des milliers de minuscules aiguilles piquent partout mon corps brûlant. Je ferme les yeux et je sens cette lave orgasmique faire son chemin du bas ma chatte et de mon cul vers mon esprit en passant par mes seins. Tout d’abord, c’est l’extase féerique puis, j’ai peur de mourir et je tombe en perdant conscience.

Je ne sais pas quand Sally a éteint la machine, mes yeux sont fermés et il n’y a aucun bruit, aucun mouvement à l’intérieur de moi. Je peux encore sentir les bites en caoutchouc à l’intérieur de mon corps, elles sont làmais immobiles.

Mes paupières sont si lourdes que je ne peux les soulever. Mon corps a encore quelques soubresauts nerveux mais de moi-même je ne peux bouger un muscle.

— Kate, ça va ? Kate répond ça va ?

J’entends la voix de Sally, mais elle me semble si lointaine.

Je sens la pression de la balle en caoutchouc se relâcher quand Sally desserre les sangles et qu’elle la retire de ma bouche. J’avale ma salive avec un sentiment de libération.

— KateKate Tu vas bien

Encore une fois j’entends la voix de Sally et j’ouvre les yeux pour voir cette jeune fille qui a réussi à probablement me faire avoir l’orgasme le plus dingue que j’ai jamais eu.

— Je vais bienSally. Donne-moi juste un instant,

Murmurai-je, me sentant toujours euphorique partout dans mon corps et mon esprit.

Les deux queues qui sont encore en moi commence à être douloureuses sur mes chairs irritées.

— Sally… pouvez vous les faire ressortir, s’il vous plaît ?

Je suis encore attachée à la chaise, mes bras au-dessus de ma tête, mes jambes fermement tenues sur les repose-pied. Sally se déplace et tire lentement le gode dans mon cul jusqu’à ce qu’il a glissé dehors. Je regarde dans le miroir et quand il sort enfin de mon trou du cul, mes yeux s’écarquillent en voyant mon cul béant, grand ouvert et j’essaye de le refermer rapidement mais aucun muscle ne réagit. En forçant sur mon sphincter il se referme un peu mais, dès que je me détends, il s’ouvre tout grand ! J’ai déjà eu cette sensation avec Eric, qui après avoir baisé mon cul je ne pouvais pas faire grand chose.

Sally me jette un regard et passe à la grosse bite à l’intérieur de ma chatte. Elle le retire lentement et quand il sort complètement de ma chatte je me sens vide, comme s’il me manquait une partie de mon corps. Pour cette jeune fille qui voit çà c’est surement une vue érotique ou… très perverse, je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est que mes deux mes trous sont béants en cet instant et qu’elle les regarde.

— Sally, mes bras… Je chuchote, essayant d’attirer son attention, alors elle est ailleurs.

— Oh, oui, bien sûr, Désolée, murmure-t-elle, surprise.

Elle me libère les bras et fait de même avec mes pieds. Une fois libre, je ramène mes jambes et me lève. Tout doucement je descends du podium, et je sens enfin mes orifices intimes qui commencent à se fermer. Sally est assise juste à côté de moi.

— Whaou, t’as eu un putain d’orgasme !

Je la regarde en souriant.

— Oui mon Dieu je ne peux pas croire que j’ai fait ça, dis-je en rougissant.

— Tu l’as fait ! Et t’étais sacrement chaude ! Et que tu es belle quand tu jouis !

Elle hésite un instant et rajoute dans un murmure,

— Et tu m’as drôlement excitée

Je sens que Sally se découvre une attirance vers moi et elle ne sait pas comment se comporter avec moi. Je suis toujours nue à côté d’elle et prenant son menton dans ma main je tire son visage près du mien et je murmure en regardant ses lèvres pleines.

— Merci Sally

En fixant ses grands yeux, je lui plante un baiser mouillé sur ses lèvres en appuyant les miennes dessus. Elle ne fait rien pendant cinq secondes puis je sens sa bouche bouger dans une sorte de baiser, et sa langue glisse entre mes lèvres. Je la laisse faire sans tenter de forcer ma langue dans sa bouche juste pour qu’elle s’habitue à embrasser une autre fille. Après un moment, je m’échappe et je la regarde. Le visage de Sally rayonne et ses tétons pointent sous son mince chemisier.

— Je me suis fait plaisir, KateCrois moi j’ai aimé faire çà et te voir jouir comme une folle. En tout cas, si tu as envie de le refairedis le moi et je mets la clé sous la porte. À tout moment

Je souris de la voir si excitée de me demander de refaire çà une nouvelle fois, mais j’ai autre chose à l’esprit.

— Je m’occuperais bien avec toi, mais il est temps que je pense à moi.

Elle regarde mes longues jambes, ma chatte rasée, mon ventre plat et mes seins gonflés avant de me regarder dans les yeux. J’aime son regard fixe et tendu, et je tire mes bras au-dessus de ma tête pour laisser son regard briller en regardant mes seins qui la nargue.

-je dois y aller, Sally, je dois rentrer chez moi et me nettoyer avant que mon mari ne rentre à la maison.

Sally se lève et me regarde en silence pendant que j’enfile ma robe. Je ramasse mon slip qui vient de Gina et j’hésite un instant. Sally voit ce que je tiens en main et je pense que Sally à été si bonne pour moi que je dois la remercier. Mais dois-je m’engager plus loin avec cette jeune fille ? J’ai déjà assez à faire avec mon fils, ma fille, la petite amie de mon fils… et d’autres alors maintenant Sally ?

— veux tu ceci en souvenir

Elle fixe mon slip trempé par ma chatte il y a peu et elle tend sa main pour le saisir. Elle est un peu indécise, comme si prendre ma culotte est l’aveu d’un désir pour une autre femme qu’elle n’a jamais ressenti avant.

— Merci Kate, je vais la garder dans ma boîte à secret, dit-elle en rougissant.

Et je me dirige vers la porte dans ma petite robe serrée, sans soutien-gorge, sans culotte, et fraîchement baisée. Je me demande ce que je suis devenue il y a quelques mois je n’aurai même pas rêvé faire quelque chose d’aussi fou ! Et … maintenant je suis devenue une vraie salope, avide de sexe ou quelque chose qui ressemble à un sexe pour me baiser comme la plus nympho des putains.  ? Mais peu importe, je suis aussi une mère et une épouse aimante et maintenant j’ai besoin rentrer à la maison et de retrouver ma famille.

Je dis au revoir à Sally et je sors du Sex-shop au grand jour. Le soleil brille et réchauffe mes seins encore tendus et avec ma robe largement au dessus des genoux je rentre chez moi sous les regards concupiscent d’un vieux bonhomme assit sur un banc.

A suivre

Phantome

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