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Le secret incestueux de ma femme – Chapitre 3




Le lendemain fut difficile au réveil que ce soit pour moi ou pour ma chérie, gueules de bois obligent. Nous nous étions permis une grasse matinée en ce dimanche pluvieux. Il était midi passé quand nous avons ouvert l’il et les images de la veille me revinrent immédiatement à l’esprit, malgré un mal de tête aigu…

Ma chérie s’était comportée en véritable salope complètement soumise à ses frères et son père, elle s’était laissée aller à des pulsions extrêmes… j’étais bien curieux de voir dans quel état d’esprit elle serait ce matin-là. Je m’attendais plutôt à ce qu’elle éprouve une sorte de honte à mon égard pour son comportement de la veille. Mais il n’en fut rien. Elle s’est réveillée, certes la tête embrumée, mais sans laisser transparaître le moindre regret ou la moindre amertume. Elle me fit comprendre qu’elle avait besoin de repos et de se changer les idées, et qu’on aurait l’occasion de discuter de la soirée. Elle admettait que j’avais énormément besoin de parler à la suite de cette aventure.

Elle aussi en éprouvait le besoin. Comme en libertinage, il faut énormément se parler dans un couple, avant et après pour se retrouver. Nous avons laissé passer le reste de la journée et la nuit suivante, qui fut réparatrice, avant de remettre le sujet sur la table.

Le lendemain, ma chérie était toute guillerette avant d’aller au travail. Les images me trottaient dans la tête, et cette obsession pour ma femme ne s’est toujours pas arrêtée aujourd’hui encore. Je la désirais terriblement, et cela ne s’arrangea pas lorsque je la vis partir au travail, vêtue d’une robe d’été légère moulant bien ses formes et de petites sandales plates mettant parfaitement en valeur ses petits pieds, tenue conventionnelle, mais sexy !

Juste avant de partir, elle me glissa dans l’oreille :

Chéri, ce soir je te raconte le coup avec mon frère, il y a un mois, tu veux ?

Ouiii, j’en ai trop envie, je veux savoir !

Rien que le fait d’en parler comme ça, cela me fit un effet immédiat et je me mis à bander !

Et elle fila sans plus attendre, me laissant seul dans mes pensées en train d’imaginer la soirée.

La journée fut très longue et je me disais qu’elle devait très certainement se faire draguer au boulot, car ma nana était loin de laisser indifférent le moindre mec qui la croisait, surtout à cette saison ou elle sait s’habiller avec légèreté.

A cette interrogation, elle me répondit :

Tu sais mon chéri, je ne sais pas si tu as remarqué, mais j’ai ce qu’il faut à la maison ou dans la famille devrais-je dire, j’ai d’autres chats à fouetter !

Oui effectivement, tu as déjà bien à faire !

Et tu veux que je te dise ? Je m’amuse suffisamment comme ça pour ne pas avoir à aller chercher ailleurs.

Donc, cette situation avec tes frères, ton père … ce n’est pas une contrainte pour toi, ça te plaît ? Excuse-moi, mais j’ai besoin de savoir.

J’étais loin d’être fière à l’issue de mon premier faux écart avec mes frères et mon père ! J’ai eu honte et je me suis posé bien des questions. C’était… bizarre, et je me disais que nous étions une famille de dégénérés. Il a fallu vivre avec ça, puis nous avons recommencé, puis encore… Et je me suis rendu compte que cela nous donnait du baume au cur, à nous 4. Au fil du temps, l’appréhension et les remords ont laissé place au plaisir. Et puis, j’ai décidé d’y aller franco, de ne pas regarder en arrière, de vivre au jour le jour. Et finalement, je vais même te dire que j’avais trouvé un certain équilibre, aussi bizarre que ça paraisse. Je te rappelle que je sortais avec mon copain de l’époque depuis 5 ans, et que ce dernier me délaissait côté sexe. J’ai d’ailleurs quelques anecdotes à te raconter des aventures que j’ai vécues avec mes frères, mon copain n’étant pas loin, un comble quand même ! Et puis je t’ai rencontré et là tout fut différent. Tu es très porté sur le sexe et très vite je me suis dit que je pourrais concilier notre vie de couple avec ma vie de famille « particulière ».

Et tu vois, 3 ans après, il fallait que je t’en parle, car je pense qu’on va pouvoir trouver les bons compromis !

J’ai remarqué que ton frère est le meneur et que tu focalises vraiment sur lui, tu sembles à sa merci, pas vrai ?

Oui, son tempérament me fascine et il a du charisme. Et je m’éclate avec lui, il m’envoie au septième ciel à chaque fois, tout comme toi, mais depuis plus longtemps, et il a une espèce d’ascendance sur moi qui me déstabilise et me fait mouiller dès qu’il en use ! Tu sais quoi, j’ai déjà envie qu’il m’appelle ou me SMS ! Je suis fine excitée à cette idée !

Mais ça fait à peine 2 jours ?

Je sais, c’est comme ça, ça me travaille le bas-ventre ! Tu veux que je te raconte la dernière fois qu’il m’a appelé il y a un mois ?

Avec plaisir… On baise en même temps ?

Non, j’ai une meilleure idée !

Ah bon ?

Oui, je vais te raconter en te branlant et en me godant en même temps ! Comme ça, tu pourras me mater en train de me goder en pensant à mon frère, et j’adopterai des postures que tu vas adorer mon chéri. Tu es candauliste, tu aimes partager ta femme, donc tu vas me regarder me faire enfiler ! D’accord ?

Cette proposition indécente eut pour effet immédiat de me foutre une trique d’enfer !

Putain, oui ça m’excite… Viens, on va sur le lit, on s’y met tout de suite !

On s’est mis à poil tous les 2 et, direction le lit, avec le gode préféré de ma chérie et le lubrifiant. Elle commença par m’administrer une pipe d’enfer et très vite je me suis retrouvé raide comme un âne !

Vas-y, branle-toi maintenant cocu, tu vas regarder comment mon frère va me baiser !

J’avoue que ses paroles eurent un effet immédiat, je me mis à me masturber frénétiquement. Elle se mit à lécher le gode le cul en l’air comme une chienne, et appliqua du lubrifiant sur le gode ! Aussitôt, elle se mit face à moi en écartant vulgairement les jambes et en s’enfonçant le gode brutalement dans la chatte, tout en me regardant dans les yeux ! Elle lâcha un râle de plaisir lorsque l’objet pénétra son intimité, elle commença un long va-et-vient lentement… Et elle se mit à raconter son aventure…

(Darla raconte)

Un jour, je reçois un SMS de mon frère que je n’avais pas vu depuis plus d’un mois. Comme j’ai toujours très envie de lui, car c’est mon meilleur amant (clin d’il), je m’empresse de lire :

Salut la grosse, j’ai envie de ton cul, il faut qu’on se voie !

Ben, c’est que je n’ai pas prévu descendre chez papa prochainement !

Rejoins-moi à mi-chemin, tu me vides les couilles et on repart aussitôt.

T’es gonflé, j’aime bien passer un peu de temps avec toi !

On passera 5 minutes ensemble, c’est déjà pas mal !

Tu veux qu’on fasse comment ? Je te rejoins où ?

Près de Salins, au parking du Chalet, on se retrouve là-bas vers 15H00, on prendra ma voiture ensuite pour aller dans un coin tranquille…

Je m’habille comment ? Il ne fait pas très chaud aujourd’hui.

Ta minijupe en jean, ce que tu veux aux pieds, sans culotte bien sûr, et dessus accessibles que je puisse choper tes nibards facilement, LOL ! Et tu te mets dans cette tenue depuis chez toi ! Je sais que ça t’excite de savoir que je vais te tringler surette !

Effectivement, ces messages eurent un effet immédiat sur moi, je n’ai pas pu résister à ses avances.

OK, à tout à l’heure.

Ce jour-là, tu es venu déjeuner à la maison et je me suis frottée à toi, bien décidée à te laisser bander jusqu’au soir, je voulais aussi me chauffer !

Je buvais les paroles de ma chérie qui jouait avec mes émotions. Je bandais comme un âne et me branlais. De temps à autre, elle venait me caresser les couilles avec ses pieds tout en se godant et en racontant l’histoire.

Donc, vers 14H00, ma chérie a pris sa petite voiture dans sa tenue de salope exigée par son frère, et ce, malgré le temps maussade, jupe courte, mules de salope et chemisier blanc sans soutien-gorge, pas vraiment adapté pour la saison, elle prit un imperméable au cas où… Durant tout le trajet, elle se demandait à quelle sauce elle allait être mangée et ce que lui réservait son frère. Elle sentait ses seins libres sous son chemisier, ce qui stimula ses tétons sensibles, et elle ne pouvait s’empêcher de passer sa main sur sa chatte nue facilement accessible tout en conduisant. Elle se rendit compte qu’elle mouillait déjà abondamment.

Ils se rejoignirent donc sur le parking convenu. Il n’y avait pas âme qui vive sur ce parking paumé, et Darla ferma à clef sa voiture pour rejoindre son frère dans la sienne.

A peine installé, le frangin saisit sa sur, l’attira à lui et l’embrassa à pleine bouche, longuement. Darla appréciait les jeux de langues et David le savait ! Ils étaient comme 2 amants qui se retrouvent après une longue période d’éloignement. Elle avait la tête en arrière bien installée dans les bras de son frère.

Ouvre ta bouche !

Elle s’exécuta. Il cracha dans la bouche de sa sur qui avala aussitôt. Ils mêlèrent leurs langues avec la salive, David lui suçait avidement la langue et recommença à cracher plusieurs fois en lui demandant d’avaler, ce qu’elle fit sans broncher en gémissant de plaisir, signe d’une grande complicité.

Puis, il parcourut son corps, souleva sa jupe, pour accéder à son entrejambe. Il joua avec le petit rectangle de poils de sa sur, tiraillant ces derniers pour la faire réagir, et enfila rapidement, sans ménagement, 2 doigts dans sa chatte trempée !

C’est bien salope, tu n’as pas mis de culotte ! Et tu mouilles déjà ! tu sais que je vais te prendre hein ?

Elle eut pour réponse un gémissement. Ensuite, il remonta sous son chemisier :

Nickel, j’adore tes nichons… putain, j’ai trop envie de toi, salope !

Il l’embrassa à nouveau en la pelotant, la doigtant énergiquement… Il aventura même son majeur à l’entrée de son cul, et l’enfila facilement grâce à la mouille vaginale… Il en tira un gémissement délicieux qui l’encourageait à lui fouiller l’anus davantage !

Vas-y, doigte-moi le cul j’adore ça !

C’est vrai, salope, tu aimes mes doigts dans ton cul ?

Ouiiiiii, plus fort s’il te plaît, plus profond ! Je veux que tu m’encules !

Darla haletait de plaisir sous les explorations intrusives de son frère.

Soudain, un bruit, une voiture puis 2 qui arrivent sur le parking… Les 2 amants se relèvent sur leur siège respectif et se remettent alors rapidement en ordre, mais ce qu’ils étaient en train de faire ne trompait personne. Cela n’aurait pas été suspect plus que ça, si ce n’est que le frère et la sur ont des traits de ressemblance assez marqués. Il aurait été difficile de nier qu’ils étaient de la même fratrie !

Putain, ça craint. Lâcha le frangin.

Il démarra en trombe et quitta le parking. Il roula bien 10 minutes avant de s’enfoncer dans un chemin de bois et trouver un coin tranquille.

Là, ils décidèrent de se griller une clope tous les 2 et sortirent dehors juste devant la voiture, Darla ne pouvant aller bien loin dans sa tenue, et qui plus est avec ses mules nu-pieds à talons hauts.

On va pouvoir reprendre la grosse, fais chier d’avoir été interrompus.

Oui, j’aimais trop ce que tu me faisais !

Putain, qu’est-ce que tu es bandante dans cette tenue, petite pute. Dit-il en tirant une taffe !

Je te plais ?

A fond salope !

J’adore baiser avec toi… tu ne prends pas de gants, c’est génial.

Comme tu dis, je ne prends pas de gants… retourne-toi et lève ta jupe que je continue à t’explorer le cul.

Elle s’exécuta, releva sa jupe sans se préoccuper de savoir si c’était risqué ou non, elle se sentait en sécurité avec son frère… elle tendit son postérieur, appuyée avec sa cigarette entre les doigts sur le capot de la voiture, le cul bien en arrière :

Oui, vas-y explore mon cul, David !

Ce dernier vint écarter les fesses de sa sur et plongea d’abord le visage entre les 2 sublimes fesses rebondies, et se délecta du sexe et du cul ainsi offert. Il lécha longuement son petit trou brunâtre et vint enfoncer son index sans ménagement à nouveau, et commença à doigter d’abord uniquement de son index, puis il ajouta le majeur. La miss gémissait et en demandait encore… Alors, il cracha entre les 2 belles fesses, lubrifia ses doigts et tenta 3 doigts d’un coup ! C’est rentré sans difficulté, alors, il insinua son petit doigt entre les 3 autres et tenta 4 doigts groupés dans le beau cul qui se laissait visiter ! Il fut satisfait lorsqu’au bout de quelques minutes à lui travailler le cul ainsi, il avait réussi à insérer la moitié de sa main, il ne manquait que le pouce pour envisager le fist.

Putain la grosse, j’ai vraiment envie de t’enfiler la main entière dans le cul !…

Non, pas maintenant… Une autre fois si tu veux… Là tout de suite, j’ai envie que tu m’encules, je t’en prie… je veux ta queue !

Alors le frangin prend ses fesses à pleine main, introduit l’index et le majeur de chaque main dans l’anus béant et écarte fort pour ouvrir ce dernier, offrant une vue imprenable sur l’orifice tant convoité !

Il crache dans son cul plusieurs fois en la traitant de putain, et vient lécher l’intérieur du conduit longuement avec application, essayant d’enfoncer sa langue le plus loin possible…

Ton cul est délicieux, j’adore ton goût de salope, tu as pris une douche avant de venir ?

Bien sûr, je me suis préparée comme chaque fois que je viens vous voir !

La prochaine fois, tu ne te laves pas et tu ne te prépares pas, je veux ton odeur de cul…

C’est dégueulasse !?

Je m’en fous, tu feras ce que je te dis, je veux ressortir ma queue sale de ton cul, tu as compris ?

Comme tu voudras, mais tu vas le regretter… Prends mon cul s’il te plaît !

Non je te dis, je veux ton cul sale !

Alors, le frangin sort sa queue de son pantalon et vient aussitôt enfiler sa sur qui n’attendait que ça. Une fois la queue enfoncée au maximum, il saisit les 2 seins de la miss et se met à lui défoncer le cul à grands coups de reins, il la fend littéralement en 2, la secoue comme un salaud en râlant et en l’embrassant dans le cou… Il continue sans relâche à aller et venir dans son cul, toujours plus violemment, sans ménagement, recherchant à aller le plus loin possible dans le conduit… Ses couilles cognent contre son cul et il sent qu’il ne va pas tarder à jouir…

Ma sur, tu es une superbe salope, je vais te remplir le cul, tu es trop bonne !

Vas-y, balance-moi ton foutre ! Dit-elle, folle d’envie.

La miss jouit de plaisir sous les coups de boutoir de son frère. Ce dernier explose dans son cul sublime, lui envoyant des saccades de sperme chaud et lui procurant un plaisir décuplé… Les 2 amants restent collés l’un à l’autre longuement, profitant de cet instant magique d’accouplement. La miss s’abandonne complètement dans les bras de son frère, retenue par le membre encore raide enfoncé dans ses entrailles ! Une fois de plus, son frère lui a inondé le cul comme jamais !

J’écoute attentivement son histoire en me branlant… j’adore. Et je vois un autre spectacle en même temps… tout en me massant les testicules avec ses jolis pieds, elle se gode comme une salope et se titille le clito en même temps ! Lorsqu’elle arrive au dénouement de l’histoire, au moment où son frère lui balance tout dans le cul, et alors que j’ai eu de la peine à me retenir jusque-là, je me mets à éjaculer abondamment sur ses jolis pieds, emporté dans un tourbillon de jouissance peu commun !

Je reprends difficilement mes esprits et alors ma chérie me demande :

Tu veux bien me goder le cul, j’ai trop envie de jouir aussi !

Je me saisis du gode, l’enduis de lubrifiant et le présente à l’entrée de son cul. Cette salope s’abandonne et je vois le petit illet brun se détendre et s’ouvrir comme pour inviter le gode à s’insinuer. Je lui enfile et ça rentre comme dans du beurre, et je commence tout de suite à la besogner sans précaution :

Tu aimes bien quand ton frère t’encule, n’est-ce pas ?

Ouiiii, j’adore ça, j’adore sa queue, je suis à lui !

On va t’enculer tous les 4 la prochaine fois, tu veux ma chérie ? Toute la famille dans ton cul de putain…

Ouiiiiiiii, je vous veux dans mon cul !

Pour l’instant, pense à lui, pense au moment où il déverse sa semence dans ton cul avec sa queue complètement enfoncée en toi, tu vas prendre ton pied salope !

Ma chienne de fiancée se met alors à jouir comme une folle, ses spasmes sont violents, l’effet est terrible, cest certain. Et je vois alors des jets de cyprine inonder notre lit conjugal à chaque coup de gode que jinflige à son cul, une véritable fontaine. Son orgasme dure, elle n’en finit pas de se tordre de plaisir tout en balançant son liquide ! Cette scène est particulièrement hard, je ne suis pas près de l’oublier !

Et ben dis donc, je n’en reviens pas que ton frère te fasse un tel effet ! Vous avez fait quoi juste après ?

Il s’est retiré, sa queue légèrement souillée… c’est ce qu’il voulait… alors je lui ai nettoyé avec un kleenex d’abord, puis je l’ai sucée pour parfaire mon nettoyage… c’était un peu dégueu, mais c’est ce qu’il voulait… Et bien sûr, il a aussitôt repris de la vigueur !

Ne me dis pas que vous avez remis ça ?

Non, non, j’ai arrêté tout de suite, mais je ne voulais pas repartir tout de suite. Alors il m’a invitée à boire un café dans un bar pas très loin.

Et alors ? Tu y es allée dans quelle tenue ?

J’ai enfilé mon imper et on s’est mis en route. On a discuté de choses et d’autres…

Incroyable, comme si de rien n’était ?

A peu près !

Et ensuite comment vous êtes-vous séparés ? Je veux tout savoir !

On a bu 2 cafés, et bien sûr pendant cette demi-heure passée au bar, il m’a passé la main sous l’imper et s’est remis à bander !

Et ?

On s’est retrouvés sur le parking devant ma voiture et il a exigé que je le suce une dernière fois ! Ce que j’ai fait… Eh oui, j’ai encore tout avalé !

Quelle salope tu fais ma femme… je veux t’épouser !

Chiche ?

Un an plus tard, nous étions mari et femme ! Je venais de m’engager avec une superbe salope avec qui je porte encore aujourd’hui le lourd fardeau de ses aventures incestueuses. Mais, sans déconner, qu’est-ce que c’est bon !

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