Seule à la maison en tête à tête avec mon père pour les vacances de noël, pendant que ma mère était au chevet d’une tante malade, je profitais du fait que mon père prenait des somnifères pour l’avoir tout à moi.

La nuit avait commencé par une longue fellation tandis qu’inconscient il m’éjaculait dans la bouche.

Les joues en feu je relevais la tête, tout en le fixant, les yeux dans le vague. Machinalement je me passais la langue sur les lèvres encore toute excitée d’avoir aspirer entre mes lèvres la semence de mon père. Selon ses dires quand il prenait ses somnifères il dormait d’une traite pendant au moins 8h. Et ça faisait moins d’une heure qu’il était allé dormir. Je décidais d’un peu d’aller me rafraîchir, histoire de garder les idées claires. Mais en sortant du lit j’ai bousculé la table de chevet et j’ai entendu quelque chose glissé.

Je me suis penchée pour voir ce que c’était, ça avait l’air d’être un magazine. Je le ramassais.

Quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’il s’agissait d’un magazine de bd cochonne. Mais pas des histoires comme les autres, des histoires d’oncle qui se font sucer par leur jolie nièce, des cousins qui sodomisent leur cousine… D’un regard avide je parcourais le magazine, sentant ma mouille inonder ma culotte, je dis à voix haute : "et ben mon cochon de papounet, on dirait que j’ai de qui tenir!". Le pauvre s’il savait!

Je trouvais cette découverte fascinante et je me lançais dans une fouille en règle de la chambre. Dans le meuble de la télé je trouvais des k7 sans titre, des dvd pornos, une caméra reliée à la télé. Je l’alluma et m’assis sur le rebord du lit la télécommande en main, pressée de voir ce qu’il y avait sur la k7.

Je vis mon père régler la camera et rejoindre ma mère sur leur lit elle portait mes vêtements, une jupe écossaise et un chemisier…, il lui parlait avec des mots crus :" han salope, t’aimes ça hein, dit le que t’aime ça! Espèce de putain, t’es ma p’tite pute hein" et ma mère qui ondulait comme une chatte en chaleur "ouiii ouii je suis ta pute!" et lui "je vais te défoncer, si fort que tu vas crier comme la chienne que tu es!" et ma mère dit "ouii!"

Ils semblaient tous les deux en transe, "je…je …la tringlerais….cette…cette…chienne!" Il semblait jouir à fond en disant cela. Il est évident que dans des mots d’excitation quand on dit "putain, chienne", c’est une vue de l’esprit mais ce que je venais de regarder comme k7 me conforta dans l’idée que mon père avait des pulsions…le tout était qu’il se décide. Sans compter que sur la K7 ma mère avait une coupe de cheveux qui me fit comprendre que cette k7 avait été tourner il y a au moins 3 ans.

C’est alors que se forma dans ma tête un plan digne de machiavel, faire en sorte que mon père se décide à passer à l’acte, en le chauffant à mort!

Mais avant… Je me replaça entre les jambes de mon père et le prit en bouge. Je commençais en faisant de long et lent va et vient sur sa verge, puis je le branla un instant à la main jusqu’à ce qu’il ait une bonne vigueur pour placer une capote, je me relevais et m’assis sur lui, m’empalant moi même sur sa queue rutilante. Une fois en place, je posais les mains sur son torse et commença à aller et venir en gémissant comme une belle salope, assurée que personne n’entendrait la chienne que j’étais. Toute cette soirée, m’avais tellement excitée que je ne mis pas longtemps à jouir. Restant sur lui, et lui en moi, je repris mon souffle calmement.

En temps normal quand le plaisir vient trop vite j’en redemande mais là je devais prendre mon temps. Demain serait un autre jour.

Mais pour commencer, je devais le mettre en situation équivoque. Je lui retirais la capote, et plaça sa propre main autour de sa verge, son magazine de cul ouvert prés de lui et dans son autre main la télécommande de la télé allumer sur la bande et j’ai laissé la porte largement entre ouverte.

Puis fatiguée j’allais me coucher.

Le lendemain a peine les yeux ouvert j’entendis du bruit dans la cuisine, je pris le temps de me rafraîchir, mais je descendit en pyjama (p’tit haut en dentelle rose, et mini short).

-"tu es déjà réveillé papounet?!"

-"euh…oui oui…"

Il avait l’air gêné

-"ça va? T’as l’air tout fatigué…je pensais que tes cachets devaient de faire dormir pourtant t’as pas l’air reposer."

-"et bien…" Il restait le nez plongé dans son bol de café.»Quand tu es allée te coucher, ma porte était ouverte ou fermé?!"

Je pris un air d’innocence.

-"pourquoi?!"

-"ben comme ça."

-"hum, laisse moi réfléchir…fermée! Oui c’est ça fermée!"

-"ah!" je n’aurais pu dire s’il était soulagé car il ne souvenait l’avoir fermée ou gêné qu’elle fut ouverte par quelqu’un…par moi.

-"et tu es venue cette nuit me voir?!"

-"Pourquoi je serais venue?"

-"pour…rien mais je me demandais."

D’un ton très protecteur je lui dis :

-"papounet, tu as l’air inquiet, que s’est il passé cette nuit pour que tu me poses autant de question?"

-"…"

-"PAPA! Si tu es malade, je vais appeler maman, elle rentrera plus tôt!"

-"NON!" Il fut surpris de son éclat de voix puis se radoucit

-"c’est juste que ce matin en me réveillant j’étais…j’avais…ma porte de chambre était entre ouverte, or je me souviens bien l’avoir fermée!"

-"ah !!! C’est que ça! J’ai cru que tu étais malade!"

-"tu dis ça comme si ça n’était rien!"

-"bien sur que ça n’est rien! Ça doit être un effet secondaire de tes cachets! J’ai un ami à la fac qui m’a raconté qu’une fois totalement inconscient il avait joué le somnambule tout nu chez ses parents, ça aurait pu être pire."

-"nooon, j’crois pas qu’il y ait ce type d’effet!"

-"bah c’est soit ça soit c’est un fantôme!" dis je en riant.

"Et puis ça pourrait être pire papounet, quand on a plus de contrôle sur sa conscience on en a plus non plus sur ses inhibitions. Mais ce type de truc ne concerne que les personnes frustrées, toi t’es pas un frustré papa hein!"

Je vins prés de lui et me serra contre lui

-"allez c’est pas grave mon papounet! Concentrons nous plutôt sur le programme du jour"

Je collais la pointe de mes seins tout contre lui, il du le sentir car il se tourna mit son bol dans le lave vaisselle et parti vers sa chambre en disant :

"On est en décembre Sabrina couvre toi un peu!"

J’avais un petit sourire en coin, en m’approchant de sa porte de chambre, je l’entendais murmurer "mon dieu, mon dieu, mon dieu!"

Il du prendre le téléphone car j’entendis après un silence :

-"Bonjour chérie, écoute j’ai un problème, je ne sais pas quoi faire! (Silence) je te promets que c’est important! (Silence (ma mère devait lui répondre) j’ai du bouger pendant que je dormais, je me suis réveillée la main autour de ma queue la porte de ma chambre entre ouverte! (silence) non non Sabrina n’a rien vu, la pauvre enfant elle aurait pu être choquer (silence) oui oui bien sur, je sais que tu as raison, mais j’ai un peu peur que ça se renouvelle (silence) d’accord, je sais bien qu’elle doit savoir ce que c’est mais, le voir via son père c’est pas très (silence) ah ah ah tu as raison, je suis trop stressé ça doit être ça, ça et parce que tu me manques mon amour! (Silence) très bien, moi aussi, je t’aime!"

L’idiot s’il savait! C’est lui qui serait choqué! J’imaginais parfaitement bien ce que ma mère lui avait dit :" c’est naturel chéri, elle est grande, si un jour elle te surprend elle saura que c’est pas voulu et puis c’est naturel bla bla bla…"

Mon plan commençait bien, il semblait à fleur de peau, suffisamment pour être exciter.

Je l’entendis s’approcher de sa porte, et je courus vers le salon, puis je me mis de dos au couloir, et je me penchai bien en avant pour montrer mon cul rebondi, comme si je faisais des étirements. Lorsque mon père arriva, je l’entendis avoir un hoquet de surprise, il resta un instant silencieux puis dit d’une petite voix :

-"que…que fais tu?"

-"oh tu es là!…un peu d’étirement ça fait toujours du bien non!

-"euh oui..Je venais lancer le lave vaisselle avant d’aller prendre une douche."

-"ok"

Je prenais des poses suggestives et gracieuse mettant en avant mon cul de bonnasse et mes gros seins en lançant de ci de là des "ahh", des "ohhh" des "han".

Je savais que j’avais capté son attention car aucun bruit ne venait de la cuisine (qui donne sur le salon séparer par une sorte de bar). Il me matait le cochon.

À suivre.

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