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Sophie et Laurence – Chapitre 4




Sophie lit le message de Laurence sans vraiment comprendre et sourit en regardant la photo de sa belle, elle lui envoie un baiser et coupe son téléphone.

Elle est assise à côté d’un jeune mec ado qui la regarde parfois à la dérobée croyant qu’elle ne le voit pas, elle boucle sa ceinture tandis que l’avion roule doucement pour rejoindre sa piste, décolle et stabilise sa vitesse.

Le message habituel de bienvenue et de l’état du ciel annonçant un vol tranquille sort des haut-parleurs, deux hôtesses font leur apparition proposant des boissons, Sophie lève les yeux et reconnaît tout de suite l’hôtesse black qui avait chauffé Laurence. Arrivée à sa hauteur elle demande à sa collègue de continuer seule un petit moment puis se penche vers le jeune homme.

— Je parie que tu as envie d’aller aux toilettes

— Heu pas vraiment non

Sophie observe amusée du culot de la belle et de la gêne du petit puceau et lui pose la main assez haut sur la cuisse provoquant une poussée rougissante sur les joues puis tout le visage de l’ado.

— Ecoute la dame beau gosse et laisse-nous un moment après nous pourrons mieux faire connaissance pendant le vol et prend ton temps.

Il se leva et en se frottant au passage à la belle black qui lui lance un regard de biche.

— Je pense qu’il va se tripoter une fois aux toilettes dis-moi t’as peur de rien toi.

Elle rit doucement pour ne pas trop attirer l’attention et s’assoie près de moi.

— Salut Sophie moi c’est Chloé et j’ai croisé Laurence juste quand elle repartait, c’est elle qui m’a dit ton prénom et que tu étais sur ce vol.

— Oui et alors tu nous veux quoi ?

Je l’observe elle est belle les traits fins, de beaux grands yeux de biche en amende et à la place des seins deux obus tous droits semblant tenir comme par magie et cherchant à traverser le chemisier de son uniforme, la taille fine et un cul bien rebondit, des épaules larges et des cuisses puissantes on devinait une sportive mais très femme quand même la vraie nana quoi.

J’ai aimé les petits signes quand vous avez quitté le parking ça veut dire que pour ma petite drague c’est sans rancune non ?

— T’en fais pas nous sommes ensemble depuis trois ans mais pas fermées non plus.

Elle me sourit, pose une main sur ma cuisse tout en regardant si personne ne nous observe.

— J’ai deux messages pour toi un de Laurence et un de ma part

Et là sans que je m’attende à quoi que ce soit elle m’embrasse sur la bouche lèvres légèrement entrouvertes pour venir lécher furtivement les miennes rester closes de surprise puis elle se recule un peu et plonge ses yeux dans les miens.

— Ça, c’est celui de Laurence et le mien si tu veux le connaître tu attends que j’aie fini la tournée avec ma collègue et tu me rejoins vers les toilettes femmes à l’avant

Sa main caresse encore une fois ma cuisse remontant vite fait sur mon minou à travers mon jeans puis elle se lève pour rejoindre son binôme.

Je me mis à regretter de ne pas être en jupe, cette Chloé est décidément une drôle de nana elle me plaît bien et ma petite culotte en coton blanc commence à s’en apercevoir, je suis sûr que Laurence va apprécier aussi je souris en imaginant déjà un petit plan à trois enfin bon on va bien voir si je me trompe ou pas.

Quelques minutes passent puis mon charmant petit voisin revient s’assoir il est plutôt beau gosse et doit plaire aux minettes il n’aura pas de mal à se faire dépuceler cela me fit rire au moment où il se posa sur son siège.

— Cest moi qui vous amuse ? Elle voulait quoi l’hôtesse ? Elle ne vous a pas importunée au moins ?

— Tu poses toujours autant de questions toi ? Alors non elle ne m’a pas importunée et pour info ce mot ne va pas dans la bouche d’un gamin de ton âge.

Il tente de protester mais je lui pose la main sur la cuisse.

— Doucement beau gosse il ne faut pas couper la parole aux dames, tu dois dire gonfler ou faire chier hi hi hi et ce qu’elle veut c’est la raison qui fait que je ne te prendrai pas ton petit pucelage mon poulet tu vois elle connaît ma femme et veut que l’on fasse un plan à trois.

Je le regarde droit dans les yeux et remonte doucement ma main je commence à caresser sa queue de haut en bas, son pantalon large de toile fine me permit de bien sentir les détails de ce que je caresse.

— T’es une gouine ? Une lesbienne ou une goudou je ne sais pas comment te dire sans être vulgaire ou te blesser.

— Tu peux dire comme tu veux, pas de problème mais tu vois ce qui me blesse c’est parce que je suis comme toi et que j’aime les femmes tu te permettes de me tutoyer.

Et là doucement je prends ses couilles en main et commence à serrer doucement puis de plus en plus.

— Oh pardon je ne veux pas te heu pardon vous manquer de respect.

— Alors c’est parfait personne ne nous voit, tu aimes bien à en juger par le gonflement de ta queue elle te fait bien bander la gouine hein petit.

Il ne répond pas mais pose son blouson sur ses cuisses afin de cacher le manège de ma main, je remonte un peu et descends le zip de son jeans, je prends sa main et la pose sur un de mes seins je le regarde en souriant tandis que je rentre ma main dans son boxer et prends sa bite, il est pivoine de peur que l’on nous voie mais ne retire pas la main bien au contraire il me pelote maladroitement et commence à respirer fort.

Je le branle maintenant plus vite il bande dur, pas une grosse bite mais bien raide et dix secondes plus tard il lâche la purée je serre fort et lui soutire sa semence jusqu’à la dernière goutte, je m’essuie dans son froc et ressors la main, je lèche les dernières gouttes de son jus sur mes doigts.

— Alors poussin tu as aimé ? Ça t’a soulagé ? Elle est bonne ta liqueur, ma dernière dégustation remonte à bien longtemps.

Il lâche mon sein et n’ose plus me regarder quel ingrat, tu lui fais une douceur et après il t’ignore et ne me répond même pas puis se détourne de moi se penche un peu de l’autre côté, j’approche ma bouche tout contre son oreille.

— Tu vois c’est en partie à cause de ce comportement de connard que j’aime les femmes, petit trou du cul.

Je pose ma main sur sa bouche faisant un bâillon bien étanche et d’un coup je mords son oreille à pleines dents si fort que je sens de suite le goût du sang dans ma bouche, j’insiste encore, il hurle mais ma main remplie parfaitement son office étouffant son hurlement puis je desserre ma mâchoire, il cesse de crier je retire ma main de sa bouche et lui crache son sang au visage, le regarde dans les yeux en lui faisant mon plus beau sourire.

— La prochaine fois évite de te conduire comme un sale con quand une fille est gentille avec toi sinon tu finiras tout seul comme une merde petit bonhomme, tout petit bonhomme !

Sur ces bonnes paroles je me tourne vers le hublot et contemple le ciel bleu parsemé de jolis nuages tout blancs, paysage magnifique.

— Désirez-vous un café ?

— Oui avec plaisir ma demoiselle.

Chloé me sert et profite de me toucher les doigts en me donnant le petit gobelet de plastique.

Je la remercie tout en plongeant mes yeux dans les siens et la gratifie d’un sourire concupiscent, ses yeux sont gourmands d’impatience.

Mon café terminé il se passe encore quelques minutes puis Chloé pose son chariot et se met à discuter avec son homologue je me lève pour aller au point de rendez-vous.

— Je te présente Marie, Marie Sophie, Marie est ma meilleure amie et je suis marraine de ses jumeaux.

La poignée de mains que nous échangeons est ferme et franche pleine de chaleur aussi tant nous semblons heureuses de faire connaissance.

— Enchantée

— Moi également

Nous échangeons de grands sourires chaleureux et francs

— Marie, tu peux me couvrir je voudrais m’isoler quelques minutes dans le local de service avec Sophie

Nous la fixons toutes les deux interrogatives.

— He bien vous en avez sacrement envie les filles allez taillez mais pas plus de cinq minutes Chloé nous allons bientôt passer en procédure d’atterrissage et tu dois être là ok si on demande il y avait des cochonneries dans les toilettes du fond et tu es restée pour nettoyer ok, allez filez et elle me claqua les fesses

— Si ça craint tu toques à la porte Marie, merci

Chloé ouvre la porte marquée d’un sens interdit, me pousse à l’intérieur et referme derrière nous, passe ses mains sous mon polo et fait monter mon soutif au-dessus de mes seins puis les empaume direct, nos bouches se collent déjà ouvertes, nos langues avides de faire connaissance s’entortillent, se roulent et se mordillent dans tous les sens, ses doigts jouent avec mes tétons qui durcissent vite tellement ils aiment les mains de la belle.

De mon côté je ne suis pas en reste et dans son dos je défais le bouton et descends le zip de sa jupe que je laisse tomber sur ses chevilles, d’une main elle déboutonne mon jeans, passe entre ma peau et l’élastique de ma sage culotte et glisse entre mes lèvres déjà gonflées, chaudes et humides, j’empoigne ses fesses pleines et musclées.

— Ho petite salope, tu n’as pas de culotte.

Nous rions et reprenons un peu notre souffle tout en se bécotant.

— Si j’en avais une mais je l’ai virée quand j’étais au fond pour que tu puisses vite me caresser, tu fais chier avec ton jeans

Puis de ses deux mains réunies elle descend mon jeans à l’envers jusqu’à mi-cuisse, ma culotte subit le même sort.

Après avoir profité un peu de ses remarquables fesses, je pousse un doigt derrière et un devant qui disparaît dans sa chatte mouillée et je commence à lui branler frénétiquement ses deux trous tous chauds et tout doux mais elle serre un peu les fesses.

— Laisse-moi tranquille derrière chérie j’ai un peu mal, et toi derrière ça va ?

— Pardon c’est vrai pas assez de préparation mais on a si peu de temps, oui moi j’adore vas-y ne te retiens pas.

Chloé, il ne faut pas lui dire deux fois et bien que mon jeans ne me permet pas d’écarter beaucoup elle se mit à me défoncer de partout, deux puis trois doigts s’agitent dans tous les sens au plus profond de mon corps.

Je remonte une main par en dessous je la rentre dans son soutif et caresse tour à tour ses seins, je n’en ai jamais touché de pareils ce n’est pas de la chair mais de l’acier et des tétons tellement pointus hum, tandis que sa petite chatte me coule sur les doigts je sens la jouissance monter en nous j’accélère encore mes caresses imitée par Chloé qui me démonte la chatte et le trou du cul, les tremblements possèdent nos corps, la chaleur et la force d’un orgasme délicieux et si rapidement atteint grimpent, grimpent puis d’un coup on jouit toutes les deux, je, laisse échapper un cri, puis nous rions après être redescendus un peu du septième.

— Hum superbe service à bord Madame l’hôtesse vivement le jour où on va te coincer avec ma petite Laurence tu vas mourir de bonheur.

— A moi aussi il me tarde ce jour quand tu seras de nouveau à ta place je te donnerai ma carte avec mes coordonnées et prendrai les tiennes.

Elle me claque un nouveau baiser tandis que nous remettons de l’ordre dans nos fringues Marie tape à la porte.

— Oh merde vite Sophie sinon je vais me faire gauler

— C’est bon j’ai fini j’ajusterai mon soutien-gorge quand je serai à ma place.

Chloé défait le verrou et ouvre doucement, Marie ouvre en grand et me tire par le bras pour accélérer le mouvement.

— Sophie t’es chier quand tu jouis fais-le en silence ça s’est entendus jusqu’au dixième rang au moins, je ris lui pose un bisou sur le front, la remercie et rejoins ma place non sans envoyer un baiser a ma belle amante.

Je m’assois sous le regard de mon puceau qui ne manque pas de remarquer au passage ma braguette au trois-quarts déboutonnée et mon soutif qui dépasse dans l’échancrure de mon polo.

— Vous avez fait quoi vos fringues sont tout en désordre ?

Je défais complètement mon jeans pour le reboutonner correctement non sans avoir ajusté ma culotte laissant au passage mon voisin apercevoir ma petite touffe, puis je réajuste mes seins dans mon soutif les touchant un peu plus que nécessaire, je regarde le jeune mateur qui est de nouveau écarlate.

— Nous venons de baiser comme des folles.

Puis je lui passe mes doigts sous le nez et les porte à ma bouche, je les suce doucement les yeux plantés dans les siens provocant sans doute une nouvelle tempête dans son slip.

— Hum sa chatte est délicieuse, bon va te branler et laisse-moi tranquille on arrive bientôt.

Et je me tourne vers le hublot non sans avoir sorti une carte avec mes coordonnées et remis au stylo celle de ma douce pour Chloé qui passe peu de temps après vérifier si tout le monde a bien bouclé sa ceinture puis me tend sa carte et prend la mienne, nous nous envoyons un baiser du bout des lèvres et nous descendons pour nous poser.

— A très vite je rentre dans trois semaines pour un peu de vacances et je reste sur Mauguio, dis-moi tu m’autorises à faire un message à Laurence ?

— Oui si tu veux de toute façon dès que je suis posée je l’appelle et lui raconte notre petit entracte, bisous à très bientôt il me tarde Chloé.

— Moi aussi Sophie bisous.

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