LE BOUGE (2)

Exacerbée par cette présence étrangère, cette odeur d?urine qu?elle sent couler sous ses genoux, ivre d?une excitation inconnue, elle se met à lécher sensuellement le méat du gland qui se trouve devant son visage. Elle me regarde et l?heureux voyeur prés de moi…et la bouche distendue aspire le bout de cette barre d?ébène. Elle continue de branler de plus en plus furieusement les deux autres blacks, elle ouvre en grand ses lèvres pulpeuses, rouges du désir et happe la moitié de la verge d?un seul coup…l?énorme dard lui écarte la bouche…mais elle le suce !avec fougue autant que la taille de l?engin le lui permet. Le mec est complètement parti, totalement excité. Je vois le sexe noir se gonfler dans la bouche dégoulinante de salive de mon épouse.

Je la regarde accepter avec soumission les indignités auxquelles je la force…je la déprave en la livrant totalement au stupre le plus obscène.

Mon voisin qui de réjouit du spectacle, s?allonge le sexe en poussant de légers soupirs :

? C?est votre femme ? Me demande-t-il…on peut dire que vous l?avez bien dressée ! C?est une vraie suceuse…elle va en prendre plein la bouche…c?est un régal de la regarder pomper ce marin ! ?

Le grand noir la maintient maintenant par les cheveux et la contraint à une copulation buccale extrêmement éprouvante. Son énorme verge, en effet, ne peut pénétrer dans la bouche de Maria jusqu?aux testicules. Alors, il lui tape dans la gorge avec une puissance qu?elle soutient admirablement en poussant des grognements et en masturbant les deux autres à petits coups de poignée parfaitement réguliers. Elle possède ainsi les trois mecs durant un bon moment. Elle abandonne le premier pour sucer le second, toujours à genoux sur le dallage sale et froid, puis attaque le troisième…et à chaque succion nouvelle elle n?arrête pas de masturber copieusement les deux autres.

A un moment, elle se détache quelques secondes pour me regarder et regarder le bonhomme prés de moi qui n?en croit pas ses yeux :

? Tu aimes me regarder sucer ces trois mecs ? C?est bon tu sais ! J?aime ce que tu me fais faire ! ?

Je lui répond en lui commandant de se mettre nue : ? Je veux qu?ils te baisent…je veux les voir te piner jusqu?à ce qu?ils te crèvent de plaisirs et de hurlements. Mets toi à poil lentement qu?on puisse profiter du spectacle, montre toi toute nue à ces trois brutes…tu vas sentir ce qu?ils vont te mettre, et je vais te regarder hurler…ou plutôt on va te regarder hurler, n?est-ce-pas mon ami ? ? Et je me tourne vers mon voisin.

? Oh ! oui ! Allez, enlève tout poupée et montre nous comment tu te fais monter ! ?

Maria, soumise et surexcitée par ces paroles et ces pratiques, dégrafe lentement sa robe longue qui tombe à ses pieds. Elle est maintenant juste dévêtue de bas de résille rouge et d?une serre taille en satin du même rouge. Une vision de rêve. Les trois marins américains et le petit homme, en bavant et en se masturbant, admirent ses seins que j?aime tant pour leur vitalité, ses tétons, au centre d?auréoles très brune, gonflés, son ventre un peu bombé, le triangle plus sombre des poils de sa chatte, ses cuisses pleines et les rondeurs insolentes de ses fesses somptueuses…le tout relevé par des escarpins en vernis rouge.

D?une voix sourde, un des marins émet quelques appréciations en anglais que Maria ne peut comprendre, mais dont je saisis fort bien l?obscénité tout à fait admirative. Je traduis pour ma femme :

? Il a dit que tu es une sacrée jument, une belle bête de sexe…et il a ajouté que ses amis et lui vont te crever ! C?est un programme que j?aime ! ?

Toujours debout dans sa presque nudité perverse, Maria se tourne vers celui qui vient d?émettre ces adorables obscénité et lui prend goulûment les lèvres, en descendant voluptueusement pour lui lécher le cou, lui mordre la pointe des seins…

Dans cette relative obscurité, le corps laiteux de ma femme nue se livrant à ces hommes, irradie par sa beauté.

Le blacks se presse contre elle. Je peux voir sa grosse queue, bien bandée, frotter contre le ventre de Maria. Elle le sent et avance vers lui. Un autre s?est rapproché dans son dos et pointe son membre. Maria frissonne en sentant le gros dard solliciter ses fesses.

Debout devant elle, le géant noir la prend aux seins et les malaxe avec un brin de bestialité et un brin de douceur pendant que le troisième profite de l?écartement des cuisses de Maria pour glisser deux doigts entre les poils de sa chatte et lui titiller avec science le clitoris. Mon épouse se livre maintenant corps à corps :

? Aah ! Mes salauds…c?est bon ! ? Elle continue de masturber les deux noirs et de lécher leurs deux torses puissants. Elle secoue les deux verges dont ses petites mains n?arrivent pas à saisir complètement les hampes. Elle n?en continue que plus résolument ses actes dépravés, tandis que la troisième queue d?ébène s?agite entre ses fesses avec un surcroît d?insistance :

? Do you want my cock ? You like ! You are a real bitch !’

’Il te demande si tu veux sa bite et a rajouté que tu es une superbe salope ! ?

? Aah oui, je la veux sa bite…mets là moi salaud, mets là moi – gémit-elle en tournant la tête pour voir son futur baiseur – Je mouille comme une vraie salope que je suis…prends moi, comme çà, debout, pendant que je continue à gâter tes deux copains. ?

La vision que j?ai de mon épouse est proprement hallucinante. Elle tortille des fesses lascivement, sans pudeur, livrée de nouveau – comme elle du l?être cet après-midi pendant que je l?attendait à l?hôtel – aux déchaînements impérieux des ses ardeurs sexuelles. La bite du black l?excite follement. Elle l?a saisit enfin à pleine main et la dirige vers sa raie bien écartée jusqu’à ce que le gros glands pourpre atteigne et touche ses douces lèvres humides et chaudes de sa chatte enflammée. Elle se penche en avant et écarte un peu plus les jambes pour mieux s?ouvrir à l?empalement. Le mec la soulève du sol comme une plume et d?un coup de reins s?introduit en elle…

Un long feulement de louve s?échappe de la gorge de ma femme. Elle râle et gémit comme une bête, folle de désir et de plaisir de sentir une queue aussi volumineuse lui explorer le vagin. Elle n?a plus aucune conscience qu celle qui lui commande de se faire baiser !

Elle lève les yeux vers moi et mon voisin qui s?est légèrement rapproché pour mieux voir sa croupe et le formidable engin qui la pistonne :

? Aah ! Toi aussi tu aimes me mater…me voir monter par ces males en rut !

Remet toi prés de mon mari et régale toi, ce n?est que le début…je vais me les prendre tous les trois jusqu’à ce que sois crevée de sexe…tu es vrai cochon…comme mon mari ! ?

Je la sens complètement femelle dans cette posture et dans les bras d?un partenaire aussi vigoureux. Le black l?enserre dans ses muscles, la prend aux hanches et au ventre et s?enfonce d?autant mieux que Maria est totalement humidifiée de plaisir et qu?elle remue son cul avec plus de force. Le mec souffle comme un boeuf sur la nuque fragile de ma femme…elle en est encore plus excitée. A tel point, qu?elle se penche un peu plus en avant, et parvient à toucher du bout de la langue la pine de l?un des deux autres monté sur la lunette des toilettes. Il la saisit à la nuque, sans douceur. Elle pousse un petit cri, ouvre en grand sa belle bouche et laisse y pénétrer le membre épais aussi dur et aussi pourpre que celui qui lui fouille les entrailles. Bientôt, aidée par les petits coups de reins de son amant, elle suce à plaisir le pénis tout entier, des testicules à la base du gland. Elle n?a pas trop le loisir de perfectionner sa fellation car les secousses de celui qui la possède par derrière l?en empêche. A nouveau, je la vois contrainte à se livrer au coït buccal le plus rude, le plus indigne…mais elle tellement excitée qu?elle s?empare à pleine main du phalus du troisième marin. Elle se met à lui secouer la colonne de chair avec une volonté bestiale, harmonisant ses coups de poignées avec les élans de l?autre sexe d?ébène dans sa chatte et aux coups de boutoir du troisième dans sa bouche accueillante et gourmande.

Un nouveau palier est franchi dans sa débauche et elle se livre sans restriction à la fureur lubrique de ses trois amants. La chaleur de leurs vits, la vigueur de leurs assauts, le musc de leur peau la transportent à tel point qu?elle jouit sans cesse en criant pour qu?on la prenne toujours plus fort. Je fais alors remarquer à mon voisin voyeur le liquide blanc qui coule de son vagin, le long de ses cuisses jusqu?en haut des bas :

? Elle est toute trempée, regarde ! Tu sens l?odeur de la femelle en chaleur…elle se régale avec ces mecs ! ?. L?homme ne répond pas mais continue de ahaner, observant le spectacle de ma femme aux paroxysme de ses orgasmes répétés en se caressant la bite de plus en plus vigoureusement.

Mais le noir qu?elle suce et celui qu?elle caresse sur toute la longueur de la hampe n?entendent pas la connaître uniquement de cette manière. Ils adressent à leur congénère, une série d?exhortations qui le font se décider à terminer sa course. Alors, a grands coups de bassin, il éjacule en rugissant dans le vagin de ma femme en transe et qui jouit encore plus follement en poussant de longs cris et en tortillant frénétiquement des fesses.

Ses cris ont du s?entendre dans tout le bouge car doucement la porte des toilettes s?ouvre et une demi douzaine de poivrots lorgnent timidement la femelle en délire. Je les invite à entrer et à regarder de plus prés la suite des événements.

Les seins de Maria sont tendus comme des obus prêts à éclater. Elle a lâché les deux verges et regarde les hommes qui viennent de rentrer. Sa poitrine résonne des cris qu?elle pousse toujours, trahissant l?intense félicité qu?elle puise de ce moment unique à recevoir en son ventre le sperme du male qui la pistonne jusqu’à épuisement. Celui-ci, vidé de toute substance par l?intense frénésie du vagin de mon épouse, ressort de la gaine brûlante, toute inondée et largement ouverte aux désirs luxurieux du deuxième marin. Celui-ci oblige ma femme à se mettre à quatre pattes sur les dalles froides, sales, puantes de pise. Elle se soumet à ce désir et reçoit aussitôt entre les fesses le sexe volumineux qui la sabre à grands coups. A plusieurs reprises, elle manque de s?étaler sur le sol tant sont fougueux les coups de boutoirs de l?américain qui fait claquer son bas ventre contre ses fesses laiteuses. Il la chevauche bestialement en soufflant puissamment, haletant, tandis que devant le visage en sueur de la belle Maria, le troisième marin présente aussi sa verge.

Elle n?hésite pas une seconde à lui ouvrir ses lèvres et à le sucer aussi régulièrement qu?elle peut…les élans de son baiseur qui la monte comme une chienne sont parfois si puissants et tellement incontrôlés qu?elle s?empale la bouche sur la pine de l?autre, si fort qu?elle doit tout avaler et manque de s?étouffer.

Après de longues minutes de ce régime, le marin tressaute, frémit et tremble intensément au dessus d?elle. Je vois très bien sur toute la longueur la grosse queue dans la chatte dégoulinante de ma femme…elle se tend et gicle bientôt de longs jets de foutre épais et gluant qui se mêle au précédent. Ce mélange brûlant la fait de nouveau hurler comme une louve, sans aucune retenue devant tous ces hommes qui la regardent jouir en la traitant de pute et en se masturbant férocement à deux mètre d?elle et de ses trois baiseurs.

Elle est au centre de la débauche et cette sensation la fait chavirer. Tellement épuisée qu?elle est à deux doigts de s?écrouler, elle se maintient quand même à genoux aux hanches du troisième blacks américains. Elle lui pompe toujours le vit en insistant sur le gland qu?elle suce et lèche voracement. De sa main droite, en experte, elle lui secoue la longue tige et de son autre main, lui titille vicieusement les testicules encore gorgées de sève. Elle le manoeuvre comme elle veut jusqu’à ce que, ivre d?excitation sous les coups de langues et les secousses du poignet de Maria, le male doit rendre les armes et perd toute contenance. C?est le moment que choisit Maria pour resserrer fermement ses lèvres à la base du gland.

Je m?approche un peu pour mieux observer les ultimes débordements de vice de ma femme et lui commande de tout avaler :

? Allez salope, avale lui la queue comme une cochonne, cet homme est un vrai chien, fais le crier ! ?

? Oui…je sais que c?est un vrai chien, tu as vu comment il m?a prise la bouche, je vais le faire devenir fou comme tu le désires ! ?

L?homme se crispe et presque aussitôt, je peux voir couler sur la langue de ma femme le liquide visqueux et chaud qu?il lâche a profusion dans sa gorge…

?Regarde ce qu?il me donne ce salaud… il est bon son foutre…je l?avale, je l?absorbe…il n?arrête pas de gicler…c?est un phénomène…il a vraiment les couilles bien pleines…tu me dépraves… tu me combles de baise…je suis ton esclave de sexe ! Je t?aime mon amour ! ?

Je suis bien entendu comblé moi aussi par les dépravations que je viens de faire subir à ma femme, mais cela ne me suffit pas :

? Allez, maintenant tu vas t?allonger par terre, sur le dos, et bien écarter les jambes pour que tous ces hommes qui t?ont regardé te faire baiser puisse te jouir dessus ! Je veux te regarder te dépraver encore plus, jusqu?aux portes de l?enfer, jusqu?à l?obscène et recevoir le foutre de ces hommes sur le moindre recoin de ton corps ! ?

? Oh Oui ! Halète-t-elle dans un râle. Je ferai tout ce que tu veux…tu me fais connaître des sensations et des orgasmes que je ne soupçonnais même pas – elle se tourne vers les voyeurs – Vous avez envie de cracher votre purée sur moi…Alors approchez et inondez-moi ! Je veux vous recevoir tous sur mon visage, mes seins, mon ventre… ?

Parfaitement soumise, Maria s?allonge sur le froid carrelage inondé de sperme et de pise, elle écarte ses longues et belles jambes gainées de rouge, comme je lui avais ordonné et se saisit de ses deux tétons pour les mordre à belles dents.

Aussitôt, les sept hommes l?encerclent et se mettent à lui éjaculer sur tout le corps comme elle le leur a demandé…sur son visage, ses seins et ses fesses quelle présente au bon moment. Elle pousse le raffinement jusqu? a darder sa langue sur tous les membres pour en recueillir les perles de sperme qui subsistent à l?embouchure du méat.

Je la regarde intensément…jamais je ne l?ai vu aussi belle que cette nuit, et en ce moment de dépravation totale, elle est auréolé de sa plus belle parure.

Je lui dit alors que je l?aime, la prend par la main pour la relever et rentrer à notre hôtel.

RJM

J?ai tellement pris de plaisir à vous conter les aventures de notre couple que je vais mettre en marche d?autres souvenirs torrides.

Vous pouvez m?écrire pour me dire ce que vous en pensez, vos encouragements et vos critiques.

A bientôt pour de nouvelles dépravations.

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