(chapitre unique)
Je suis un jeune trentenaire avec une bonne situation de cadre dans une banque à Paris.
Célibataire endurci (mais je suis encore jeune) j’ai cependant des aventures féminines qui durent parfois plusieurs mois…
C’est ainsi que l’an passé à l’automne, je suis parti à Djerba avec Camille, ma copine du moment dont j’avais fait la connaissance au cours de l’été. Normalement nous devions passer deux semaines dans un bel hôtel donnant sur une immense plage de sable blanc.
Mais le sort en a décidé autrement… Camille est repartie au bout de la première semaine car son agent lui avait trouvé un rôle dans une série télévisée dont le tournage commençait dès le lundi… En fait, elle devait remplacer au pied levé une autre fille qui venait de faire défection.
J’étais donc seul pour cette dernière semaine et je dois avouer que je me suis quelque peu ennuyé : Les « locales » étaient surveillées de près et passablement farouches et toutes les touristes étaient en couple. Je me suis donc reposé, faisant des nuits de presque dix heures de sommeil. Cela ajouté au farniente quotidien, j’allais être en super forme pour la rentrée…
De retour à Paris, j’ai téléphoné à Camille pour savoir comment s’était passée la première semaine de tournage… malheureusement : pas de réponse… Le message d’accueil indiquait simplement qu’elle était à l’étranger et injoignable pour le moment !
Plusieurs tentatives et toujours la même réponse…
Comme nous ne nous devions rien, j’ai laissé tomber !
Les fêtes de fin d’année passées, tout le personnel de l’agence s’est retrouvé dans une salle louée pour l’occasion… Le directeur faisait le point sur l’année écoulée et souhaitait ses vux aux uns et aux autres… c’était aussi le jour où tout le monde se retrouvait pour un repas…
Les maris ou épouses étaient conviés eux aussi et comme j’étais seul, je me suis retrouvé encadré par deux nanas que j’avais croisées dans les bureaux de l’agence sans trop y prêter attention.
J’aurais pu tomber plus mal… Deux jolies brunes, pas trop typées méditerranéennes mais leurs cheveux noirs encadrant un visage rieur étaient agréables, toutes les deux avaient des yeux marron et leur robe sage, juste un peu décolletée, laissait deviner des formes menues.
Après le toast d’usage par le patron, le repas lui-même a commencé.
Je ne me suis pas ennuyé car mes deux voisines, en plus d’être charmantes, avaient beaucoup d’esprit et lorsque j’ai lancé quelques vannes un peu osées, elles sont entrées dans mon jeu…
A la fin du repas, elles ont dit :
— qu’elles avaient envie de faire la fête…
— qu’elles avaient envie de danser un peu…
— que le lendemain, c’était dimanche…
— qu’il n’était point besoin de se lever de bonne heure…
Cela ressemblait fort à une invitation…
— Pourquoi pas ? Si vous voulez, ma voiture est au parking, je vous emmène où vous voulez !
— Chic alors… ce sera mieux que le taxi !
Un quart d’heure plus tard, nous débarquions tous les trois à proximité d’un célèbre établissement de l’Avenue Foch, réputé pour son ambiance musicale diversifiée.
Si au cours du premier trajet à pieds jusqu’à ma voiture, les deux filles s’étaient tenues simplement bras dessus bras dessous à mes côtés, au cours de 200 mètres nous séparant de cet établissement, elles m’ont encadré et ont glissé un bras sous les miens en disant qu’on allait bien s’amuser !
Je passe volontiers sur les deux heures à danser et à flirter avec l’une ou l’autre des filles mais elles semblaient réfractaires à mes tentatives de séduction…
C’est en retournant à ma voiture que tout a basculé quand Annie (celle qui semblait l’aînée) nous a dit :
— On va chez qui ? Chez toi ou chez Amandine ?
— Laquelle habite le plus près… Pour moi, on doit aller en banlieue nord-est.
— Donc on va chez Amandine… elle habite le XIIIème en bordure du périph !
— OK… qu’elle indique la route !
Cette fois, l’invitation à finir la soirée en bonne compagnie était clairement annoncée…
Quinze minutes de voiture et deux minutes d’ascenseur plus tard, Amandine nous ouvrait la porte de son « chez elle » : un immeuble récent, un appartement résolument moderne avec des meubles en bois laqué et beaucoup de chromes… Des poufs et deux divans compétaient le décor de la salle de séjour avec cuisine à l’américaine !
C’est vrai que dans la banque, on gagne bien sa vie et les crédits sont quasi gratuits…
— Installez-vous, je prépare les boissons… Il fait soif !
Je m’installe sur le divan et aussitôt Annie s’assoit sur mes genoux, dénoue ma cravate, glissant une main dans mon col et m’embrasse avec passion… n’écartant ses lèvres que pour dire :
— Fais de moi ce que tu veux ! Depuis le temps que tu nous chauffes, tu vas voir de quel bois on est faites !
— Je crois avoir deviné… Vous êtes deux coquines qui ont envie de se faire plaisir avec un mec !
— T’as raison… mais tu ne sais pas tout !
— Je ne demande qu’à voir !
— Tu verras !
Et tout en m’embrassant à nouveau, mêlant sa langue à la mienne, elle caresse mon bas-ventre d’une main agile et fait sortir mon sexe qui se dresse aussitôt hors de mon pantalon.
— Oh… Amandine… on a tiré un bon numéro ! Il a un sexe de compét !
— Espérons qu’il a aussi de bonnes réserves !
— On ne saura… que quand nous aurons tiré tout son jus…
— J’achève de le mettre en forme et il pourra te baiser en premier… Moi, je vais prendre une douche en attendant.
— Tu sais où tout se trouve !
Je suis abasourdi par ce dialogue… Je n’aurais jamais imaginé que ces deux filles, apparemment sérieuses, pouvaient être deux dévergondées, partageant leurs amants…
Dès que je suis nu, la bite dressée sur mon pubis, Annie s’écarte et laisse la place à Amandine :
— Voilà… Elle me semble prête !
— D’abord, je vais la prendre en bouche… je pense qu’elle doit encore pouvoir se développer !
Je ne suis même plus un homme…
Elles parlent de mon sexe comme s’il s’agissait d’une personne…
Amandine se penche sur mon bas-ventre et engloutit ma bite jusqu’au bout dans une gorge profonde qui me laisse pantois : elle a avalé pratiquement les 20 centimètres de mon sexe sans marquer un temps d’arrêt ! Puis elle la recrache en s’adressant à nouveau à elle :
— Maintenant que tu es bien humide, tu vas bien glisser dans ma chatte ! Elle est humide elle aussi et tu seras bien au chaud !
C’est à ce moment que je réalise qu’Amandine s’est changée… Elle a quitté sa petite robe sage et je découvre un ensemble de lingerie très coquin : un soutien-gorge à demi-bonnet, un serre taille qui retient des bas fins… et surtout pas de string ! Quand l’a-t-elle ôté ?
Waouh… elle est TOP bandante comme cela !
Elle s’installe sur mes cuisses et commence à me chevaucher en se frottant à moi…
Mon sexe entre dans le sien sans que je pense à me couvrir… Trop tard… son vagin est trop bon et sa position met ses jolis petits seins sous mes yeux… et à portée de ma bouche !
Je ne sais si c’est la température de la pièce ou l’excitation du moment, mais toujours est-il que les aréoles bistres sont granuleuses et les tétons pointés à l’horizontale… comme s’ils appelaient mes baisers ! Et je ne m’en prive pas !
Notre position est très érotique et j’apprécie cette cavalcade… Amandine joue elle-même avec mon sexe… Elle monte et descend, le frotte entre ses lèvres vaginales avant de le faire pénétrer à nouveau… Pourquoi l’interrompre ? Elle cherche sa jouissance dans une sorte de domination qui n’est pas sans me plaire…
J’aime assez quand ma partenaire prend l’initiative…
Mais soudain Amandine se tétanise et pousse un grand cri : elle vient de jouir… et moi, je n’en suis pas loin ! Je projette mon bassin vers le haut à plusieurs reprises pour finalement éjaculer au fond du vagin de ma partenaire qui s’affale sur mon épaule !
C’est à ce moment-là que je découvre Annie assise dans un fauteuil à côté de nous… Elle manie un gode de belle taille dans sa chatte, les cuisses largement écartées comme ses lèvres vaginales qui ont bien du mal à laisser passer cet ersatz de sexe… Elle est presque nue elle aussi et savoure ce qu’elle fait les yeux fermés…
Mais elle fait la réflexion suivante :
— Ben… vous êtes des rapides…
— Oh oui… sa bite me fait tellement de bien que je ne me suis pas retenue… et cette position… c’était TOP !
— J’ai à peine commencé !
Amandine quitte la position et je peux me pencher sur le sexe d’Annie dont j’écarte les lèvres avec mes mains en retirant le gode qu’elle a laissé à l’intérieur… Tout comme son amie, sa toison pubienne est taillée en ticket de métro très dense et ses lèvres sont ornées de petits anneaux d’or du plus bel effet…
— Et bien maintenant, je vais m’occuper sérieusement de toi et de ta chatte !
Je vais tout d’abord lécher le capuchon du clitoris qui sort aussitôt de sa cachette et pointe insolemment devant mes yeux, gonflé de sang et très sensible… Dès que ma langue le frôle, Annie pousse des soupirs d’aise et plaque ma bouche contre l’orée de son sexe. Ma langue s’insinue entre les nymphes puis je visite l’entrée de son vagin… Humm… qu’il sent bon… un mélange d’odeurs indéfinissables mais très excitantes !
Amandine n’est pas en reste… Elle se glisse entre mes jambes et vient gober l’extrémité de ma queue qu’elle suce brièvement puis elle se relève et commence à me masturber pour faire renaître ma bandaison.
L’ambiance de luxure et la perspective de baiser deux jolies filles au cours de cette nuit ont vite fait de faire renaître mon sexe qui est à nouveau bien rigide !
Annie est à point et moi aussi !
— Quelle est la suite du programme… Je pense que c’est au tour d’Annie ?
— Oouuuiiiiiiii !
— Mais allons dans la chambre… on sera mieux ! Un grand lit, c’est quand même mieux pour ce qu’on veut y faire !
Je suis les deux filles et nous franchissons une porte pour nous trouver dans une chambre avec un grand lit rond qui nous attend !
Annie s’allonge sur le dos et me tend les bras :
— Viens… Ce que j’ai senti tout à l’heure n’a pas cessé de me faire mouiller !
— Comment refuser à une jolie fille qui s’offre ainsi ?
— Trêve de bavardage… je t’attends !
— Tu veux être baisée ? Alors attends-toi à être secouée !
— Oh oui… prends-moi fort !
Je monte sur le lit, j’attrape Annie sous la pliure des genoux et je remonte ses jambes sur son torse… Sa chatte est largement ouverte et je vois qu’elle mouille abondamment ! Je fais aller et venir mon sexe entre ses lèvres vaginales puis, d’un seul coup, je m’introduis dans ce cratère bouillant !
— Ooohhhhhh ! Ooouuuuuuiiii ! Fort… J’adore !
Il ne me fallait pas plus d’encouragements… J’ai entrepris de baiser Annie à longs traits… Je sortais de sa chatte presque à chaque fois et lorsque je la pénétrais à nouveau, je faisais claquer mon pubis contre le sien…
— Ooohhh ! Je sens tes couilles contre mon petit trou… c’est trop bon !
— Et ta chatte, elle n’en a pas assez ?
— Si… ta queue est bonne mais je sens comme un manque ! Amandine, mets-moi un jouet dans le cul !
En fait, on s’est retournés… Désormais Annie me chevauchait, faisant elle-même les mouvements sur ma bite et j’imagine qu’elle offrait à Amandine une vue parfaite sur sa raie. C’est l’avantage de la cavalière face à face : quand la femme est allongée sur le torse de l’homme, elle offre une vision charmante sur la raie culière…
— Ah… Tu veux un jouet ! Devine lequel je vais te mettre !
— N’importe… pourvu que mon cul soit plein lui aussi !
— Alors… tu vas être servie !
Tant bien que mal, Amandine est venue entre nos jambes et c’est là que j’ai découvert qu’elle s’était harnachée avec un gode ceinture dont la taille n’avait rien à envier à celle de mon sexe… Elle a graissé le fondement d’Annie et elle a introduit le sexe factice jusqu’à ce que son pubis soit en contact avec les fesses de sa copine…
Ces deux-là n’en étaient certainement pas à leur coup d’essai et cette nuit, j’en étais l’heureux bénéficiaire !
Vu la position, c’était Annie qui faisait l’essentiel du travail, faisant monter et descendre son vagin sur mon sexe dans le rythme que lui imposait Amandine… Quand cette dernière se reculait sans sortir du sphincter d’Annie, celle-ci se pressait sur mon pubis de manière à sentir ma bite au fond de sa chatte…
J’avais la confirmation que ces deux coquines n’en étaient pas à leur coup d’essai… Elles coordonnaient trop bien leurs mouvements !
Bien que j’aie déchargé abondamment une première fois dans le sexe d’Amandine, je sentais à nouveau la sève monter dans ma bite… et les encouragements d’Annie y étaient pour quelque chose… Elle voulait que je la remplisse, que je la baise fort, elle me sentait bien… et elle disait à Amandine de la saillir comme une catin…
Quand la jouissance est arrivée, pratiquement en même temps pour Annie et moi, ça a été comme un éblouissement… mais qu’est-ce que c’était bon… si bien qu’il nous a fallu près de dix minutes pour sortir de la léthargie amoureuse.
Nous étions bras et jambes mêlés sur le lit, Annie d’un côté, Amandine de l’autre…
Cette dernière s’est redressée pour s’adresser à moi :
— T’es un bon coup… Ne va pas te vanter de ta bonne fortune au boulot… mais maintenant, tu nous laisses… On a eu ce que nous voulions depuis que nous nous sommes retrouvées à table à côté de toi…
— OK… mais on recommence quand vous voulez… Vous êtes vraiment trop bonnes !
— Ça, c’est pas un problème !
J’avais vraiment passé une bonne soirée et ma copine pouvait bien aller se faire voir… J’avais fait la conquête de deux ravageuses !