Surveillant de collège, c’est un job sympa. Je le fais depuis 4 ans et j’ai la chance depuis 2 ans d’avoir rencontré Pauline. Elle est surveillante comme moi, un peu plus jeune.
Moi je suis divorcé, elle mariée. Au départ nos rapports étaient très professionnels. Et puis, de discussions en allusions, nous avons découvert que nous étions deux coquins gourmands, un peu pervers et très joueurs… Notre liberté de déplacements dans l’établissement nous a donné de nombreuses occasions de passer de bons moments, avec l’excitation de l’interdit…
Nous sommes très prudents et en public, personne ne pourrait deviner ce qui nous unit. Mais dès que nous sommes seuls, la température monte très vite! Nous ne perdons aucune occasion. Parfois même, il nous est arrivé d’y associer quelques personnes de passage dans le collège. Cette fois, c’était la stagiaire d’un prof…
Nous étions vendredi, 16h… J’étais au bureau, sans trop d’occupation. Pauline finissait le tour des salles pour déposer quelques documents…
Julie, une prof d’anglais, avait une stagiaire pour la semaine. Elle avait dû partir rapidement, appelée par l’école de ses enfants. Sa stagiaire, Stéphanie, était restée pour finir de mettre au propre ses notes. C’était une belle fille, dans les 25 ans environs. Un air de Nathalie Portman, peut-être un peu plus grande. Des grands yeux qui pouvaient vous chavirer. Soyons honnête, elle nous avait tapé dans l’il dès son arrivée le lundi quand elle s’était présentée à notre bureau pour être guidé dans l’établissement. Pauline l’avait reçu et à peine leurs regards croisés il y avait eu un léger flottement… Vite chassé par l’une comme par l’autre, chacune étant avant tout professionnelle. Mais Pauline m’en avait parlé et je sentais bien qu’elle était très attirée par cette jolie fille. Moi aussi pour être franc. Surtout qu’elle portait chaque jour une tenue qui mettait en valeur son corps d’une adorable finesse…Pauline avait usé de mille ruses pour multiplier les passages dans la classe de la prof d’anglais pendant la semaine : un papier à apporter, un appel à vérifier (alors que tout est géré par ordi, une info inutile à transmettre).
A chaque fois elle avait cherché la stagiaire du regard. Cette dernière lui répondait toujours par un air mystérieux, mais rien de plus ne s’était passé. Toujours une prof ou des élèves dans les parages Mais là, elle était seule et Pauline le savait parfaitement. Son cur battait en montant les escaliers. Qu’allait-il se passer ? L’autre ressentait-elle le même désir ou y avait-il méprise ? Excitation du désir avant l’action, Pauline avait les seins tendus et l’entrejambe humide. Aujourd’hui, elle portait une robe très courte et délicieusement moulante, qui remontait légèrement au ras des fesses lorsqu’elle était assise. Dessous juste un string très fin qui laissait deviner sans effort ses courbes délicieuses. Le soutien-gorge, très fin lui aussi, ne parvenait pas à masquer ses tétons qui pointaient à travers sa robe. Stéphanie portait ce jour-là un pantalon particulièrement moulant et nous avions passé la journée à nous demander si elle avait quelque chose dessous ou non. Pour le haut un chemisier amplement déboutonné laissait plus que deviner ses seins parfaits dans un charmant soutient gorge en dentelle bleu.
Arrivée devant la porte Pauline est très excitée. L’étage est vide, tous les profs sont partis. Elle frappe et entre. La stagiaire est là, seule, un crayon délicieusement suspendu à ses lèvres, en train de reprendre ses notes.
« Salut » dit mon amie en allant s’asseoir sur la table juste à côté, les jambes croisées devant Stéphanie. Elle ne fait aucun effort pour redescendre sa robe qui est remontée jusqu’à ses fesses, laissant admirer ses cuisses superbes. L’autre relève la tête, croise son regard et laissent ses yeux parcourir son corps qui exhale l’excitation. Elle veut répondre mais ses mots semblent se perdent lorsqu’elle découvre ses jambes.
« Talus ! Euh salut. Euh » Elle rougit légèrement. Pauline s’amuse de cet embarras qui la rassure. Elle ne s’est pas trompée, l’autre n’est pas insensible à son charme. Elle profite de sa position légèrement dominante pour se rincer l’il sur le décolleté largement ouvert. Elle décide de pousser son avantage.
— Ton stage se passe bien ?
— Oui, Julie est vraiment une super collègue. Et les élèves sont plutôt sympas.
— Tu seras là lundi ? Tout en parlant, elle décroise lentement ses jambes, laissant Pauline admirer son string brillant d’humidité
— Oui, euh enfin non ! (Elle semble totalement hypnotiser). Ce n’était que pour une semaine. Après je retourne en formation.
— Dommage Si elle ne part pas en courant, c’est bon, se dit Pauline, légèrement angoissée en se demandant comment va réagir Stéphanie.
— Mais je suis encore là ce soir, réponds cette dernière, le regard captivé par l’entrejambe de ma collègue.
— Alors profitons en ! » tranche-t-elle en se levant. Elle vient derrière la jeune femme et lui dépose un baiser dans le cou.
Stéphanie se lève, lui fait face et va pour répondre à ce baiser lorsqu’elle s’arrête, presque paniquée.
— Mais si quelqu’un vient ?
— Il n’y a plus que nous et mon collègue au bureau.
A ces mots, les dernières résistances de la stagiaire cèdent et elle se blottie contre Pauline. Leurs regards s’échangent tout le désir refoulé de cette semaine et leurs bouches se rencontrent enfin. Pour l’une comme pour l’autre, c’est un déluge de sensations : le contact de leurs lèvres, leurs parfums, leurs haleines. La chaleur de Pauline, totalement excitée contre la fraîcheur de Stéphanie, encore abasourdie, leurs mains qui parcourent leurs dos, leurs reins Pauline prend la tête de sa nouvelle amante entre ses mains, caresse ses cheveux, ses tempes, la tire à elle pour plaquer sa bouche hermétiquement contre la sienne. Leurs langues se touchent, se découvrent, s’emmêlent. Les pointes de ses seins viennent toucher les seins de Stéphanie à travers le tissu. Les jambes se frôlent. Les mains de Stéphanie se posent sur les fesses de Pauline, la tire à elle. Lentement, elles remontent le tissu de la robe et se posent directement sur la chair.
Pauline est électrisée et mouille abondamment.
Les doigts se font plus insidieux à mesure qu’ils se rapprochent du sexe de Pauline. Ils sont maintenant souillés de son jus. Alors la stagiaire se recule légèrement et les porte à sa bouche pour les lécher, l’un après l’autre. « Je veux te boire… » dit-elle en s’agenouillant. Pauline retire l’ultime rempart de tissu et offre sa chatte lisse et dégoulinante à l’appétit de son amante. Mais cette dernière est joueuse, et, plutôt que de se précipiter vers le fruit offert, vient embrasser son genou gauche, puis lèche en remontant par l’intérieur la cuisse de Pauline, pour finir a quelques millimètres de ses grandes lèvres, par un baiser dans l’aine. Puis elle recommence du côté droit. Pauline commence à trembler sur ses jambes. Pantelante, elle attend le baiser libérateur sur son sexe. Mais la jeune stagiaire est bien décidée à faire durer le plaisir et recommence ses va et vient de haut en bas, à partir de mi-cuisse maintenant, tout en s’approchant de plus en plus avec sa langue de l’objet du désir.
Le sexe de Pauline ruisselle maintenant tellement elle est excitée. Elle implore Stéphanie de la laisser venir, ce que cette dernière ne tarde pas à accomplir en venant enfin s’occuper de son clitoris. Elle le titille du bout de sa langue puis dépose des baisers tout autour et finit par le prendre en bouche et l’aspirer. Elle continue son petit manège jusqu’à ce qu’elle sente l’orgasme de Pauline arriver. Pauline jouit en refrénant un soupir et doit se retenir au bureau pour ne pas chanceler de plaisir. Stéphanie se relève et vient embrasser Pauline, un baiser qui fait à nouveau chavirer Pauline dans l’extase.
« A mon tour de m’occuper de toi ! » dit Pauline en repoussant Stéphanie sur le bureau et en déboutonnant son chemisier. Elle en extrait délicatement les deux beaux seins de son soutien-gorge. Elle reste quelques secondes à les admirer. Ils sont un peu plus gros que les seins, plus ronds aussi. Ceux de Pauline sont plutôt menus et pointus (juste à la taille de ma bouche), et très sensibles. La stagiaire a des mamelons très sombres, avec une large aréole et des tétons qui semblent être des cônes fichés sur une colline. Puis elle en saisit un et approche sa bouche pour déposer de doux baisers tout autour de l’auréole. Elle se rapproche doucement du mamelon jusqu’à le prendre en bouche et le mordiller. Stéphanie soupire de plaisir. Pauline administre le même traitement à l’autre sein et se recule pour admirer son amie, les seins dressés de plaisir. Elle se rapproche pour échanger un baiser passionné avec Stéphanie puis entreprend de défaire le pantalon découvrant avec plaisir qu’il n’y a rien en dessous.
Tout en retournant titiller les seins de Stéphanie, Pauline glisse ses doigts dans son pantalon et découvre une chatte trempée. Elle commence à jouer avec le sexe de son amante. Elle mouille tellement que ses doigts glissent sans peine à l’intérieur. N’y tenant plus, Pauline s’agenouille, retire le pantalon de sa partenaire et vient goûter ce sexe tant désiré. Stéphanie dégouline de plaisir et Pauline vient la laper goulûment. Elle donne de petits coups de langue sur le clitoris puis descend pour essayer d’introduire sa langue dans le sexe de son amie. Elle revient suçoter, mordiller ce petit bout de chair qui n’a de cesse de grossir. Stéphanie gémit de plaisir et écarte un peu plus les jambes, Pauline en profite pour introduire un doigt dans son intimité. Deux autres doigts rejoignent bientôt le premier et elle commence les va-et-vient tout en continuant d’exciter le clitoris de son amante. Stéphanie soupire d’aise. Pauline se relève et vient échanger un baiser passionné et plein de cyprine tout en continuant ses va-et-vient.
Elle sent la jouissance de Stéphanie monter et retourne lécher son sexe. Elle sent les muscles de son amante se contracter autour de ses doigts et cette dernière refrène avec peine un râle de jouissance. Pauline est heureuse d’avoir donné tant de plaisir mais sa chatte aussi à besoin d’être comblée. Tout en gardant sa main dans le vagin de son amie elle lui demande « Et si je faisais appel à un ami ? » Stéphanie, qui n’est plus que jouissance, acquiesce dans un murmure. Quelques secondes plus tard je reçois le SMS suivant « 231 »