Chapitre 3 Soirée Ratée

Jeudi soir dans notre cher bar irlandais, le Duncan, à boire des bières irlandaises au nom imprononçable. Il est 19h30 Deuce arriva dans son habituel peignoir ouvert sur un short et un chemise bleu terne avec un énorme trait jaune en plein milieu. Lunettes de soleil sur le visage et barbe très bien taillé avec une moustache qui descendait sur le menton et qui remontait en collier comme dans les 50, les années 1850. Ses grosses bottes en cuir faisait un bruit à réveiller les morts alors qu’il marchait vers notre table et ses deux banquettes en cuir rouge.

"Salut les gars. Zachary t’as le bleu?

— Ahahah. Siri et moi te conchions.

— J’aime pas les trucs scatho j’t rassure."

Cela faisait quelques jours que Zachary avait reçu un mauvais coup de poing dans le visage de la part de Deuce comme vous aviez pu le lire précédement. Zachary gardait sa capuche rouge pour cacher son énorme cocard sur l’il. Avec sa barbe de trois jours mal taillée, oscillant entre blond et blond platine il ressemblait à un camé dans un mauvais film. Natascha elle gardait sa classe habituelle avec son verre à la main tranquillement attendant une vanne de Deuce sur sa nouvelle coupe de cheveux plus court. Elle portait désormais une coupe légèrement plus longue qu’un carré. Maeva elle restait étonné devant cette amitié des purement masculine entre Zachary et Deuce, ils adoraient se vanner, d’ailleurs ils passaient leur temps à ça.

"J’ai une bonne nouvelle ce soir.

— tu vas fermer ta gueule?

— C’est ce que ton iphone t’as dis de dire?

— Calmez vous Ernest et Bernie. Réclamas Natascha.

— Bon, ce soir je me tapes Nevada, c’est décidé!

— Qui est Nevada? Demanda Maeva alors que tout le monde trinquait et félicitait Deuce.

— Pour résumer Nevada est une prostituée qui vient chercher ses clients au bar tous les soirs. On l’as surnommer Nevada car on ne connait pas son nom mais elle doit venir de Las Vegas et Nevada sa sonne comme une actrice porno.

— Elle est là bas.

— Wow wow wow. Calme toi. On se barre.

— Quoi? Tristan je me la tape ce soir où jamais.

— ça sera jamais alors. On part.

— Qu’est ce qu’il y a? Demandas Natascha.

— Longue histoire."

Pas si longue en fait je finis par leur avouer la vérité. Il y avait à côté de Nevada accoudé au comptoir un fantôme de mon passé. Une fille Deborah. Vous avez déjà vécu une histoire d’amitié qui finit en amour? Moi oui c’était Debby, j’ai passé deux ans à cacher mes sentiments. Puis un jour elle m’annonçait qu’elle était amoureuse d’une fille. Bref j’avais mis du temps à m’en remettre. Elle était là à pendouillait un passé que j’aurais voulu laisser derrière moi. Quand le lycée arriva à son terme je partis loin. J’avais dis au revoir à une vie d’échec et de ratée pour embrasser une vie d’étudiant plus positive et là elle se trouvait non plus tapie dans la pénombre mais en chair et en os cette vie qui me rattrapait, celle de Tristan le puceau, Tristan la rouquine, Tristan la tapette. Enfin Debby était en face de moi mais je ne voulais pas la voir car elle symbolisait cette époque que je voulais brûler dans un grand feu de joie.

"Vous savez quoi? Il y a que moi qui ait un problème, je m’en vais."

Je me levais pour partir quand Zachary fort de ces deux années de psycho me donna un discours.

"Mec, est ce que tu es ce Tristan qu’elle connaissait? Non. Ton corps veut fuir un moment douloureux mais tu as changé. Tu n’es plus ce mec. Tu ne l’es plus. Tristan est un winner qui se tape sa prof tous les samedis.

— C’est vrai que si on regarde comme ça. En plus mes samedis avec Elise.

— Quoi? Tu te tappes notre prof du vendredi? T’aurais pu me le dire." Se plaignait Maeva.

Je décidais de rester car Zachary avait raison, je ne devais pas laisser le passé blesser celui que j’étais devenu. Je décidas même de payer la prochaine tournée. Je me levais et allais au bar commandait cinq bières au nom irlandais toujours aussi imprononçable. Tout d’un coup alors que Arthur me donnait les bières, j’entendis d’une voix timide et quasiment caché par le brouhaha du bar mon nom. Surement une hallucination, ça arrive souvent. Mais non, il fut répété une seconde fois avec une voix à peine plus forte tout juste audible. Je priais pour ne pas l’avoir reconnus. Pas cette voix. Ce timbre, ces intonations en prononçant Tristan, je priais pour m’être trompé, avoir mal entendu et pouvoir retourné à ma table. Mais non cette voix était bel et bien la sienne, la seule et l’unique Debby.

"ça alors. Je t’ai à peine reconnu. T’as bien changé en deux ans.

— Ouais toi aussi."

Tu parles elle avait le même look. Sa vieille veste en simili-cuir un jean délavé un t-shirt avec un message faussement ironique sur son t-shirt. Une longue chevelure brune digne de Rapunzel et des yeux qui aurait donner envie à Magelan de voguer sur son bleu azur. Putain mais elle me fait quoi cette fille, même le souvenir de cette rencontre me donner envie de l’embrasser. Bref, Debby était vraiment belle et magnifique je m’en foutais de ses mensurations. Je crois que ses seins étaient légèrement plus gros que mes mains, elle avait par contre un fessier bien bombée.

"à quoi ressembles ta vie maintenant Tristou?

— Une version d’entourage à petit budget.

— Je peux me joindre à vous?"

Bon alors là c’était le moment où tout se décidais. J’ai répondus honnêtement.

"Non. Je n’ai pas envie de te revoir tu fais partie d’un passé que je veux fuir. J’ai aimé te revoir mais au revoir."

Malheureusement en vérité j’ai répondus avec ça:

"Ouais viens avec nous."

Oui j’étais con. Bref après ça s’en ait suivi les deux heures les plus humiliante de ma vie. Deborah mon premier amour révélant mes secrets d’ado à mes meilleurs amis qui en usèrent et en abusèrent durant la soirée. Puis la question fatidique arrivas.

"Alors il nous as dit que t’étais lesbienne ça fait quoi? Demandas Maeva.

— Tristou n’as jamais su tenir sa langue. C’est pas vrai?

— Bon alors? ça fait quoi? Demandas Deuce plus intéressé par cette discussion très humiliante pour moi que par sa quête originelle.

— Beh comment dire Il y a pas que les filles qui m’intéressent maintenant.

— Je le sentais. Lança Deuce comme une phrase d’accroche pour espérer qu’elle descendrait sous la table à l’instant où il finirait sa phrase.

— Désolé mais je fais pas de zoophilie.

— Je l’aime bien. Répondit Zachary avec un grand sourire sur le visage."

Je me levas et tiras Deborah par le bras. Vers l’extérieur du bar. Je bouillais intérieurement. Je n’en pouvais plus, j’avais envie d’exploser, la gifler, l’insulter. Mais je ne faisait rien je me retenais, une larme de colère coulait le long de ma joue comme une preuve que j’étais encore apte à avoir des émotions. Une fois arrivé dehors après avoir joué des coudes pour sortir je laissa toute cette colère sortir sans ménagement. Je me mis à hurler sans arrêt, je devais avoir l’air d’un illuminé devant tous les gens autour, cette discussion ne semblait tourner sur rien. C’était le moi de l’époque qui se laissait aller il lui hurlait tout ce qu’il a toujours pensé, qu’elle n’était qu’une conne qui ne savait pas ce qu’elle voulait, qu’elle l’as toujours traité comme un jouet et quand il as finalement pris un peu de courage et qu’il croyait avoir trouvé l’amour et l’avait trahis.

"Je n’ai rien voulu de tout ça, je te jure. J’étais perdue à l’époque. Je ne voulais pas te faire souffrir mais, tu Je on Je sais pas quoi dire. Je n’ai jamais voulu te blesser, je ne savait pas que tu ressentais des choses comme ça pour moi.

— Je ne ressens plus rien Si de la colère, beaucoup, je ne peux pas."

Je reçus une claque que je devais avoir bien mérité, puis tout d’un coup venant de nulle part un baiser, suivi d’un autre, puis d’un autre. C’était comme si nous n’étions qu’un. On rentra beaucoup plus discrètement chez moi à vingt minutes à pied on en profitait pour parler plus calmement.

"Je sais que c’était pas ta faute si tu aimais une fille. Je veux dire ça se prévoit pas.

— à vrai dire. Moi et cette fille, on se connaissait depuis la primaire, je n’avais jamais pensé à elle comme ça avant de t’en parler. Donc je crois qu’on peut dire que c’est une peine d’amitié gagné."

Une fois arrivé chez moi on s’embrassait encore une fois, un regard complice et un sourire, on était de retour à nos seize ans. Je lui enlevais ses vêtements, elle se retrouvait là, ses long cheveux corbeaux cachant sa poitrine et ses mains cachant ses parties intimes. Je n’en revenais pas, Intérieurement je faisait un check avec mon moi plus jeune. Debby se décidas enfin à bouger et me poussait sur le canapé. Elle se posas sur ses genoux, approchas sa tête de mon entrejambe, Laissant un doux baiser sur la fermeture éclair de mon jean avant de défaire le bouton puis elle ouvris ma braguette avec ses dents. Si elle arrivait à ça avec uniquement les dents de quoi sa bouche aurait-elle pu être capable. Je la voyais là à genoux nue devant moi ses yeux bleus une énième fois m’hypnotisant. Ses magnifiques yeux bleus qui captent mon regard alors qu’elle à ses seins quelques centimètres plus bas totalement visible, des seins ronds et légèrement en forme de poire

Je sentais ces lèvres sur mon gland, frotter tendrement celles-ci sur mon bout. Comme un sentiment d’accomplissement dans cette simple sensation. L’excitation me fit durcir très vite. Elle sortit ma bite de sa bouche et commenças en me branlant tout en parlant de manière tout à fait normale, conclusion il y a pas à dire c’est avec la bite à l’air bien raide que vous avez les meilleurs discussions sur le PIB de l’Ouganda. Bref elle me branlait tout en se pinçant les tétons en gémissant. Elle était excitée autant que cela était possible. Elle se releva et commença à se toucher le clito devant moi comme un ultime acte d’excitation avant la fatidique pénétration qui semblait soit l’excitée soit qu’elle voulait éviter. Au stade où en était notre escapade il n’y avait plus réellement de retour en arrière pour nous.

Elle s’élança et sauta pour s’empaler pile sur ma bite. Elle commenças à sautiller sur toute la longueur. La douceur du grain de sa peau sur moi, ses longs doigts fins parcourant mon torse alors que mes mains parcourent le chemin entre ses hanches et ses côtes. Elle commenças à bouger ses hanches allant l’avant à l’arrière et inversement.

Je me relevais et la plaquais au sol pour l’empaler. Je posais mes mains juste au dessus de ses épaules et pouvait sentir sa poitrine être écrasé par mon torse. Des hurlements sourds sortait de ses cordes vocales. Je sentais sa petite chatte étriquée avoir des spasmes musculaires grâce à mes allez retours violents et puissants. Mes reins n’arrêtaient pas de faire des allers retour mes muscles pelviens étaient en train de souffrir alors que j’imitais les mouvement du King avec ses fans.

J’arrêtais et me retirais pour attraper ses deux jambes lui mettre les chevilles au niveau de mon coup et recommencer le même manège qu’avant. Désormais ses orteils se trouvaient à côté de sa tête.

Elle me murmura dans l’oreille "Je t’aime."

Puis soudain,

Je me réveillais dans un lit d’hôpital. D’après l’infirmière j’étais tombé sur ma tête hier soir et vu que je saignais on m’avait amené ici pour me recoudre et attendre que je revienne à moi. Bref toute cette magnifique expérience sexuel n’était en fait qu’un rêve.

Pour ceux qui se demande pour Deuce et Nevada voilà comme ça s’est déroulé et bien il s’est avéré que le Nevada avait la Floride entre les jambes. Deuce ne l’avait découvert que dans son camping car. Le lendemain il refusait même de parler de cette soirée.

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