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Maman salope et ses jumeaux – Chapitre 1




Je mappelle Justin. Ma sur Juliette et moi sommes jumeaux, mais cest elle lainée, mayant précédé au monde de quelques minutes, il y a 18 ans de cela. Nous sommes bruns, les yeux noisette, de taille moyenne.je fais beaucoup de sport et je dois dire que ça se voit ! Juliette est une jolie jeune fille, avec de jolies formes, et le regard à la fois timide et coquin Nous sommes très proches et complices, comme tous les jumeaux..En fait, beaucoup plus. Vous pourrez en juger bientôt !

Nous sommes revenus hier de New-York, après quelques années passées auprès de notre père, divorcé de Maman depuis longtemps déjà Maman quil nous tardait tant de serrer dans nos bras ! Elle est naturellement venue nous attendre à la descente de lavion. Nous avons eu du mal à ne pas courir vers elle, comme des gamins, mais avons retenu nos pas, profitant de ce moment inoubliable où nous approchions delle, la valise à la main.

Maman se prénomme Sophie, elle a 43 ans et cest la plus belle femme du monde, je trouve. Assez bien en chair, cest elle qui nous a transmis la couleur de nos cheveux et de nos yeux. Elle a gardé les cheveux assez longs et épais et portait à loccasion de nos retrouvailles un pantalon de toile blanche et une chemise bleue ciel, laissant largement deviner la générosité de son corsage. Enfin, nous étions à ses côtés !

Ne montrant aucune préférence, elle nous enlaça tous deux en même temps, nous pressant contre elle avec émotion. Elle avait lair dêtre prête à pleurer mais arborait un sourire radieux tandis que nous nous embrassions chaleureusement sur les joues. Son parfum était le même que dans mes souvenirs les plus anciens, elle nen avait jamais changé et cela ne fit quaccroitre mon émotion. Elle recula dun pas, comme pour nous admirer de son regard maternelle : « comme vous êtes beaux, mes chéris, encore plus beau que sur skype et que sur vos plus belles photos ! Oh, Justin, tu dois toutes les faire craquer les petites américaines, et toi ma Juliette, tu es comme moi à ton âge, en beaucoup plus belle encore !

Un taxi nous attendait. Les bagages chargés, nous nous installâmes à larrière, Maman, entre Juliette et moi, tandis que nous regagnions Paris. Durant le trajet, Maman, passant un bras sur chacun dentre nous, nous demanda des nouvelles de Papa, de nos études, de notre vie à New York.arrivés à lappartement parisien de Maman, il fut beaucoup moins question de ces sujets banals !

Lappartement ne comportait que deux chambres, aussi Justine et moi devions-nous partager le même lieu, un canapé-lit y ayant été installé spécialement à cette attention. Cette chambre, comme celle de Maman, avait sa propre petite salle de douche.

Juliette, à peine ses bagages posés dans la chambre, mindiqua quelle allait tout de suite lutiliser, bien que jaie le premier émis le souhait de me rafraichir en cette belle et chaude fin daprès-midi dété. Tandis quelle contournait le lit pour aller vers la douche, je lattrapai vivement par le bras et la taille : « pas de ça ma belle ! ». Elle tenta de me repousser en riant et nous tombâmes sur le lit où je dus lutter pour la maintenir sur le dos. Tandis que je reprenais souffle, elle passa la main derrière ma nuque et approcha son visage du mien pour embrasser doucement ma bouche.eh oui.Juliette et moi sommes plus que des jumeaux et notre amour physique, fort et secret, nous rapproche comme jamais frère et sur ne furent proches.

En fait, bien que lon puisse penser que jai de nombreux succès auprès des jeunes femmes de mon entourage, aucune ne mintéressait et navait eu mes « faveurs ». Ma sur est la seule à qui jai fait des câlins très poussés, même si elle était, comme moi, encore vierge. Elle seule connaissait chaque parcelle de mon corps, comme je connaissais au bout des doigts !- le sien.

La voix de maman se fit entendre : « Ca va les enfants ? Vous vous installez tranquillement ?». Je répondis aussitôt : « Oui Maman. Nous nous installons, nous prenons une petite douche et nous arrivons au salon !».

Juliette me glissa à loreille : « je suis la prem à la douche, et ce soir je te suce, OK ? ». Je ne pouvais résister à largument ! Je pris le temps de lembrasser à pleine bouche et à pleine langue, tandis que mes mains caressaient durant de longues secondes son 95C, avant quelle ne se relève et remette de lordre dans sa chevelure.

Elle retira son t-shirt et son soutien-gorge en marchant vers la douche, dont elle laissa la porte entrouverte. Tout en vidant ma valise et en rangeant mes affaires dans le placard, je ne pouvais mempêcher de ladmirer discrètement. Il ny avait pas pour moi de plus belle fille que ma sur : peau nacrée, lignes parfaites, courbes de reins et hanches voluptueuses, beaux seins ronds..elle avait aussi une petite chatte brune délicate que javais moi-même taillé en ticket de métro avant de la déguster longuement, deux jours auparavant, dans sa chambre de notre appartement de New-York.

Elle avait tout de même fini par fermer la porte et jentendais la doucher crépiter. Je me déshabillai moi-même, conservant mon boxer, et partis rejoindre Juliette. Elle avait arrêté le jet et vidais du gel douche dans sa main. Je lui pris le produit et entrepris de lui savonner le corps, commençant par son dos et allant rapidement sur ses seins, dont je marquai larrondi avant de rejoindre les pointes brunes. Je les savonnai du bout des doigts en les pinçant doucement et je me mis à pétrir les seins, recouverts de mousse, de Juliette, tandis quelle fermait les yeux. Maccroupissant devant elle, je me mis à savonner ses belles fesses et posai ma bouche sur sa petite chatte, que je léchai quelques instants tandis quelle me regardait dorénavant faire, un petit sourire au coin de la bouche. Je me relevai, passant derrière, calant ma queue entre ses fesses et passant la main sur son ventre puis sa petite chatte. « Il faut se dépêcher, pas le temps de jouer, Maman nous attend », me dit-elle. Elle me fit me relever et, après sêtre savonné lentrecuisse, se rinça puis se sécha, tandis que je me mis à mon tour sous le jet de leau rafraichissante.

Juliette avait enfilé un short et un t-shirt dans la chambre et revint près de la douche récupérer sa montre tandis que je me savonnais à mon tour. Elle ne put sempêcher de sapprocher de moi et de poser sa main sur ma queue pour la faire grossir rapidement sous la mousse. « Ça, cest la belle grosse bite de mon petit frère », dit-elle dune voix enjouée et enfantine. Je ne sais pourquoi, mais malgré la fatigue et le décalage horaire, nous étions particulièrement excités. Tandis que je me rinçai rapidement, elle ne put sempêcher de sagenouiller et de prendre le bout de ma queue entre ses lèvres et de me suçoter quelques secondes le gland, avant de se relever : allez petit frère, il faut y aller, Maman attend ». Javais la queue bien raide en sortant de la douche, Juliette juste derrière moi lorsque je vis que Maman était là, assise sur le lit, à côté dune pile de serviettes quelle avait amenée :

— Jai tout mon temps, les enfants, ça fait des années que je vous attends

— Oh mon Dieu, tu étais là, Maman ??? Dis-je stupidement, mortifié.

— Ca nest rien mon grand, ne sois pas gêné.tu es vraiment devenu un homme magnifique ; tu as le même sexe que ton père, tu sais !

Maman avait le regard fixé entre mes cuisses tandis que je cherchais des yeux mon short ; elle lavait à la main : « Viens, Justin, je vais taider comme quand tu étais petit ! ». Elle écarta le short, près du sol, pour que je lenjambe et que je le passe, ce que je fis, ma queue toujours raide passant non loin de son visage. Je rangeais difficilement mes 20 centimètres dans le short que Maman boutonna, fermant ensuite délicatement la braguette. Elle ne put sempêcher de passer rapidement deux doigts le long de ma queue dressée, à travers le tissu.

Juliette était demeurée silencieuse durant cette scène qui navait pas duré une minute. Elle vint sassoir près de Maman : « Maman, je ne sais pas quoi te dire.jai trop honte, je suis désolée ».

Maman prit la main de sa fille dans la sienne, comme pour la rassurer : « Ce nest rien, ma chérie. Cest ainsi ; il y a des instincts et des élans contre lesquels on ne peut pas lutter ! Cest dailleurs inutile et néfaste..Viens tassoir près de moi, Justin.vous savez, je comprends mieux certaines allusions de votre père à votre sujet..concernant les liens, entre vous.Cela ne semblait pas le préoccuper, dailleurs, mais plutôt lamuser !. ».

— Cest vrai, Maman, tu ne nous en veux pas ?

— Mais non mon chéri, bien au contraire me dit Maman en nous prenant tous les deux dans ses bras Nous sommes de la même chair, de la même peau, et nous sommes tellement attirés les uns vers les autres..vous savez, jai connu ça aussi avec votre oncle, mon frère, Guillaume.

Maman nous passait à chacun une main douce dans le dos. Nous étions, Juliette et moi, à la fois rassurés, étonnés, toujours remplis dune excitation lancinante. Ce retour nallait pas se dérouler comme nous lespérions ; il allait être encore plus formidable !

Comme nous nous levions, je ne pus mempêcher de prendre Maman dans mes bras et de la serrer tout contre moi seul. Elle posa ses mains sur mes hanches tandis que je pressais mon torse sur sa poitrine, dont je ressentis avec volupté le volume et la fermeté à travers sa chemise échancrée. Elle ne portait pas de dessous.

Nous prenant par la main, elle nous entraina dans le salon : « Venez, mes chéris ». Nous avions tant de chose à nous dire et de moments inoubliables à vivre ensemble

En cette fin daprès-midi, les discussions au salon, autour de rafraichissements fort bienvenus, furent souriantes et même enjouées. Nous parlions, Maman, Juliette et moi, non des années passées séparément, mais du présent et de lavenir proche : la poursuite de nos études, les activités que nous allions pratiquer (je menquis auprès de Maman des salles de sports installées dans le quartier et à proximité tandis que ma sur jumelle sintéressait à la localisation de la piscine la plus proche mais surtout à la nature des enseignes commerciales du quartier).

Pourtant, tout en parlant, nous échangions des regards très particuliers, profonds et directs. Parfois, les mains se frôlaient sur la table, alors que nous nous servions. Juliette avait posé amoureusement son pieds nu sur le mien et je ressentais londe de sa sensualité passer de sa peau à la mienne.

Parfois, Maman nous regardait lun après lautre, semblant à la fois émerveillée des jeunes adultes que nous étions devenus et dubitative quant à la nature des relations particulières quelle avait rapidement découvertes entre ses deux jumeaux. Malgré la courte scène à laquelle elle avait assisté une heure auparavant – scène ne laissant pourtant la moindre place au doute- elle semblait chercher la confirmation de lextrême sensualité de cette relation et en guettait tous les indices.

Pour ma part, laveu de Maman sur sa propre relation incestueuse avec mon oncle ne cessait de moccuper lesprit et celui-ci vagabondait dans des scènes torrides tandis que je regardais tendrement maman en lécoutant parler, observant alternativement toutes les parties visibles de son anatomie et devinant celles qui métaient cachées par ses courts vêtements dété.

Son décolleté, notamment, ne cessait de mattirer et je devais faire des efforts méritoires pour ne pas avoir le regard définitivement hypnotisé et fixé sur la naissance de ses gros seins. Il me semblait bien quelle ne portait pas de soutien-gorge. Le maintien des seins de Maman, comme leur rondeur, mimpressionnait. Lors dun croisement de regard, je ne pus cacher la nature de cet intérêt et son sourire qui suivit mapporta presque une bouffée de chaleur et une forte érection.

Comme nous débarrassions la table et rangions les verres, Juliette me glissa dans loreille « Elle ne te laisse pas indifférent, hein, Justin, notre Maman chérie ?…Tu sais, elle na pas mis de culotte ». Cette remarqua piqua naturellement mon intérêt : « Tu es sûre ? Comment tu le sais ? ».

Juliette approcha au plus près sa bouche de mon oreille : « je me suis baissée pour ramasser un morceau de gâteau que javais laissé tomber et jai vu entre ses cuisses, elle croisait les jambes très haut ». Ma soeur membrassa très rapidement dans le cou, aussi discrètement quelle le put et séloigna vers la cuisine. Javais du mal à simuler une indifférence que je ne ressentais pas. Cela fut dautant plus le cas que Justine, repassant dans le salon, me glissa de nouveau : « Cest tout poilu et tout brun entre les cuisses de Maman. »

Juliette savait bien que cette confidence me remémorerait comment, lorsque nous étions tous deux enfants et que nos parents partageaient encore le même toit, nous admirions par le trou de la serrure de la salle de bain la toilette de Maman et comment nous étions alors tous deux impressionnés par sa pilosité noire. Juliette appréhendait à lépoque davoir à grandir et de se retrouver ainsi velue tandis que je minterrogeais moi-même sur ce que cette touffe abondante pouvait cacher et que je ressentais une trouble excitation. Juliette profita de mon désarroi pour poser sa main sur ma queue raide, à travers mon short : « Ooh, petit frèrecest pas bien de bander si fort en pensant à sa petite Maman ». Comme celle-ci revenait dans la pièce, je repartis dans la chambre récupérer quelques affaires : nous devions tous trois partir faire un tour en ville et diner ensuite dans un restaurant indien dont Maman nous avait vanté la carte.

La soirée fut formidable, tendre, aimante et sensuelle comme cela avait été le cas à la maison ; il y avait des ondes irrésistibles qui circulaient entre nous trois.

Nous ne rentrâmes pas trop tard à lappartement, ayant un peu bu (surtout Maman) et discutant sans cesse. Maman nous tenait la main à tous deux alors que nous franchissions la porte.

— Oh, mes chéris, quelle belle journée, lune des plus belles de ma vie, dit Maman. Semblant heureuse et émue, elle avait presque la larme à lil. Elle nous serra de nouveau entre ses bras.

Maman nous accompagna dans la chambre qui nous était destinée et nous regarda tous deux dun regard étrange : « si ça se trouve, vous dormez dans le même lit.non ? ». Je me tournai vers Juliette, gêné : « hummce nest quasiment jamais arrivé. Chez Papa, on faisait attention, tu sais, même sil nétait pas souvent à la maison ».

Elle fit demi-tour, non sans nous avoir chacun embrassés dans le coin de la bouche. Je regardai les mouvements de son cul tandis quelle quittait la pièce ; elle était vraiment magnifique.

Je fermai attentivement la porte et enlaçai ma sur Juliette, comme tous les soirs, en plaquant mes mains sur ses hanches et sur ses petites fesses. Elle me serrait fort quand elle me dit doucement : « Toi, je suis certaine que tu as envie de faire de gros câlins à Maman.tu me raconteras ? ».

Je navais pas envie de lui mentir. Après un court silence, je lui répondis sincèrement : « Tu as raison, grande sur, je suis sûr que ce doit être formidablejadorerais dormir avec vous deuxtu as vu les seins quelle a Dis, au fait, tu as vraiment pu admirer sa chatte ? ». Juliette me fit un sourire énigmatique et séloigna vers la salle de bain.

Je pris rapidement ma décision et me dirigeai vers la chambre de Maman. Je frappai. « Entre, Justin Ah…Tu vois, jétais certaine que cétait toi Je tattendais mon chéri ». Elle était dans son immense lit, en nuisette noire, à demi recouverte par une couette rouge. « Je peux me doucher ici ? Juliette passe trois heures à se déshabiller ». « Bien sûr mon Justin, vas-y, cest juste ici. »

Je me déshabillai dans le coin douche et fis rapidement couler leau sur mes épaules. Je mes me savonnais encore lorsque Maman entra.

Elle sassit sur la chaise où javais posé mes vêtement et me regarda me rincer.ma queue grossissait tandis que ma mère me scrutait de bas en haut. Elle prit une serviette et commença à me sécher. Quand elle posa la serviette sur mon sexe, elle se baissa, approcha son visage et, tremblant légèrement dexcitation, me prit dans sa amoureusement dans sa bouche pulpeuse, commençant par me suçoter le gland avant de me téter à plusieurs reprises. Elle me garda en bouche quelques secondes, caressant mes couilles délicatement, puis membrassa rapidement sur le bout de la queue : « Tu ne vas peut-être pas me croire, mais je nai pas touché un homme depuis plus de six mois.quelle queue tu as, mon chéri. Elle me rappelle vraiment celle de ton père, grosse, raide et douce ».

Je pris Maman par la main, en silence, ressentant une émotion qui envahissait tout mon être et la guidai vers sa chambre et son lit. Je soulevai le coin de la couette pour quelle se couche, ce quelle fit, le regard plein dincertitude, puis me rendis de lautre côté du lit et my allongeai à mon tour.

Après une seconde dhésitation, jéteignis la lumière posée sur la table de nuit.

Pendant un instant, nous ne bougions plus et seul le son de nos respirations rompait le silence.

Je me déplaçai délicatement plus près de Maman et tendis le bras, jusquà ce que ma main effleure son épaule. Je sentais son souffle accélérer tandis que ma main droite cherchait son sein gaucheIl me sembla plus gros encore que je ne me limaginais. Je ne pouvais le prendre entièrement dans ma main.

Maman fit un mouvement pour retirer sa nuisette et je passai ma main dun sein à lautreComme ils étaient encore fermes, chauds et ronds ! Leur pointe avait durci et je ne pus me retenir dy poser ma bouche avide tandis que Maman me caressait les cheveux : « Ooh, mon chéri, mon chéri ». Je pétrissais doucement mais à pleines mains ses seins tout en les tétant, aspirant ces pointes durcis puis en les pinçant et les faisant rouler sous mes doigts. Jétais véritablement dans un état dextase inconnu et intense. Ma queue était énorme. Il me semblait que je ne pourrais jamais me lasser de lécher et de sucer les gros nichons de maman.

Elle prit ma queue dans sa main et commença un va et vient dexperte, serrant ma queue fermement et me branlant du bout de la queue jusquaux couilles dans un mouvement irrésistible. « Oh Maman, tes gros seins, tes gros nichons, tes gros nichons, je pourrais les sucer toute la nuit ». Son cur battait rapidement. Elle me dit, dans un souffle : « moi aussi je veux te téter, je veux encore ta grosse queue dans ma bouche ». Tandis quelle approchait sa bouche de mon membre, jeffectuais un mouvement vers son ventre.

Elle écarta les cuisses. Je caressai son ventre, passai le doigt sur son nombril avant de marquer un temps darrêt. Japprochai le visage entre les cuisses de Maman et ma bouche se trouva immédiatement sur une toison abondante, douce et bouclée que je léchai à pleine bouche, jaspirai ses poils, passai ma langue dans laine velue, repassai sur les cuissesje posai mes mains sur la chatte poilue de Maman et écartai ses lèvres pour y poser la bouche, léchant ce sexe somptueux et aspirant son clitoris. La tête entre les belles grosses cuisses de Maman, les mains sur son cul moelleux, je léchais à pleine langue et à pleine bouche tandis quelle me pompait véritablement et fortement la queue. Jétais comme dans un rêve, couvrant de ma salive cette ardente toison frisée, introduisant ma langue et le bout de mes doigts à lentrée de ce sexe qui commençait à ruisseler de plaisir. Maman Haletait en me suçant. Javais la sensation que je ne tarderais pas à éclater de bonheur dans sa bouche de velours

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