Invité à Mons à une soirée mondaine chez un collègue rhumatologue, qu’elle est ma surprise d’y retrouver dans la foule des invités ma patiente de rêve chez qui j’avais en urgence réparé une dent et … !
Elle était avec son mari, un homme plus âgé, grisonnant et assez grossier.
Elle plus superbe que jamais, une jupe porte feuille fuseau blanche, ouverte jusqu’à la taille, mettant sa croupe très en valeur, un chemisier très échancré cachant une poitrine désirable que j’ai déjà eue en mains enfermée dans un soutien push up dévoilant à tout mouvement plus qu’il ne cache… !
Je suis aux anges, en permanence dans les parages de cette bombe, je m’enivre de son parfum qui me tue.
A table, par chance, je suis à ses côtés, assise, la jupe est ouverte, indécente, livrant à mon regard éveillé de magnifiques jambes gainées d’autoportants.
Son mari est à l’autre bout de la table, ignorant complètement son épouse.
Je profite de tous ses mouvements pour jeter des regards indiscrets dans son décolleté affriolant.
Nous nous montrons assez discrets, l’envie l’un de l’autre est là, la tension monte. Le dessert se fait attendre, une pièce montée en glace qui doit arriver juste in time.
Ma voisine prend l’initiative de laisser traîner sous la nappe assez large une main sur ma cuisse. Cette main s’active, elle monte, elle descend lentement, elle masse ma virilité qui est plus qu’en émoi. Elle masse, elle palpe, elle gratte … ! Que c’est agréable ces sensations à l’insu de tous, surtout qu’elle entretient en même temps une discussion avec son autre voisin. Elle est délicieuse.
Ma verge est à l’étroit dans mon pantalon. Elle le sent, elle appuie avec insistance, j’aime. Soudain, elle abaisse ma tirette, et elle engouffre sa main dans mon slip à plat sur ma verge tendue et de petits mouvements circulaires, elle fait en moi monter la pression. Vais-je savoir tenir, j’ai peur que non. C’est jouissif à mort. Je n’en peux plus, j’éjacule puissamment !
Sa main est pleine de sperme, elle la porte à son nez et sent mon odeur, elle s"essuie à sa serviette comme si de rien n’était.
A mon tour, d’aventurer une main sur ses cuisses qu’elle tient fermées. Je la force à ouvrir le compas de ses jambes et je plaque ma main sur son mont de venus. Elle est trempée, son string est percé de son jus. Je la doigte à mon aise, je suis sur son clitoris que je sens darder hors de sa gaine, je la sens vite vibrer et venir. Le dessert est enfin là, nous sommes présentables à nouveau.
Nous avons toujours faim l’un de l’autre, mais il faut rester très discrets. La soirée suit son cours, tous dansent, la musique est année 80, c’est super. Vers minuit, les uns sont avachis dans les fauteuils dont son mari, les autres sont sur la piste. Quelques beaux rocks, je l’enlève, elle danse comme une déesse, je ne la lâche plus. Des slows, on est dans les bras l’un de l’autre, bassins collés, je suis à nouveau en émoi. Je lui déclare ma flamme, mon souhait de pouvoir encore l’aimer, lui faire l’amour, pouvoir éjaculer au plus profond d’ elle. elle ronronne, je lui dis sortons un peu, trouvons un endroit calme. Elle sort la première pour ne pas éveiller les soupçons, je la rejoins, nous sommes dans le jardin plein de bosquets et d’arbres. J’ai découvert un endroit discret, je l’emmène et là contre un mur, j’écarte sa jupe, je lui ôte son string et je la prends en hussard brutalement. Mouillée comme une folle, mon sexe s’enfonce au plus profond d’elle, nous sommes bien, je reste planté en elle pendant que je l’embrasse comme un adolescent, elle se laisse faire, elle est appuyée sur moi, moi en elle. Je commence à la limer, je la sens onduler du bassin pour rendre mes mouvements plus puissants, la jouissance est proche, je la sens mouiller beaucoup plus, elle explose et j’éjacule en elle. Que c’est bon. Je l’essuie avec son string et le garde en souvenir.
On se veut, on se promet d’autres moments câlins à deux …