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Photos de famille – Chapitre 7




Ce fut une chouette petite soirée. Ophélie retrouva avec bonheur la famille d’Anton et chacun se souvint d’un événement, d’une anecdote qui leur tenait à cur. Ces évocations laissèrent ensuite la place à la révélation de l’avenir proche. Sabrina trépigna à l’annonce de ses futures séances de pause avec Ophélie. Elle éclata de joie en apprenant qu’il ne s’agissait pas seulement de faire des photos pour passer le temps. Toutes la félicitèrent, et ces effusions retardèrent comme prévu l’annonce de la venue de Kanyaphat. Si les deux frangines et la photographe étaient déjà plus ou moins dans la confidence, Rachel, elle, tomba des nues. Anton avait eu la gentillesse de la faire asseoir avant d’annoncer la nouvelle. Il l’avait fait de manière très discrète, s’étant assis en sa compagnie sur la banquette, et Rachel n’avait en rien soupçonné ce qui allait suivre.

Anton avait adressé à sa famille proche enfin réunie un petit discours improvisé ; en tout cas, cela y ressemblait fort. Rachel et ses deux filles étreignirent Ophélie en guise d’approbation lorsque l’unique représentant de la gent masculine déclara la considérer comme sa troisième sur.

– Il me semblait bien que j’avais eu une fille de plus ! avait plaisanté la mère en serrant la jeune photographe dans ses bras.

Quand elle apprit l’existence de la jeune Thaï, elle avait montré sa joie sans équivoque puis avait semblé se rembrunir. L’impression avait été fugace, et personne ne s’en rendit compte, les trois filles étant toutes à leur joie de pouvoir évoquer le sujet qui n’était plus un secret. Pour Rachel, cette nouvelle changeait la donne. Elle était prête à rabrouer son fils après une discussion entre quatre yeux concernant ce qu’elle avait découvert le matin même. Là, elle ne savait plus quoi penser.

La petite fête toucha à sa fin. Ophélie se vit proposé de dormir sur place. Il était tard et elle avait bu, sans excès, mais bu tout de même assez pour qu’une rencontre fortuite avec la maréchaussée lui soit préjudiciable. Elle accepta volontiers. Rachel, souhaitant éviter que sa fille aînée retrouve le chemin de la chambre d’Anton, demanda à Sabrina de partager sa chambre avec Gwenaëlle qui céderait la sienne à Ophélie. Alors que tout ce petit monde se préparait à rejoindre ses pénates, Rachel fit signe à Anton de la suivre. Pour plus de discrétion, l’explication se ferait dans sa chambre.

Était-ce l’alcool ? Le ton fut plus animé que prévu. Rachel laissa sa colère prendre le dessus malgré les tentatives d’Anton pour ramener le calme, si bien que des bribes d’engueulades parvinrent aux oreilles de Sabrina qui ne comprenait pas qu’après une si belle soirée les choses puissent tourner au vinaigre. Prétextant se rendre aux toilettes, elle se rapprocha de la scène du drame. Elle s’en voulait d’écouter aux portes, mais entendre sa mère élever ainsi la voix tenait du phénomène si rare que cette nouveauté attisa sa curiosité.

Ce qu’elle entendit la sidéra. Elle avait offert sa virginité à Anton, et il lui avait fallu batailler pour y parvenir. Elle ne se considérait pas amoureuse de son frère, d’autant plus qu’elle le savait engagé avec Kanyaphat ; mais apprendre qu’il avait passé toute une nuit avec sa sur aînée lui fit l’effet d’un coup de poignard. Elle avait envie d’en pleurer mais une colère sourde montait en elle. Et cette colère, Gwenaëlle en était la cible. Ce ne pouvait être personne d’autre qu’elle la responsable. Elle retourna dans sa chambre, bien décidée à demander des comptes à sa sur.

La porte s’ouvrit dans un grand fracas puis claqua aussitôt.

– Espèce de sale garce ! Tu disparais de la circulation et tu réapparais de nulle part, juste pour me piquer mon frère…

Sabrina se rua sur sa sur qui recula et évita un poing rageur. Gwenaëlle chercha à gagner du temps avant de répliquer, quelle que fût sa riposte : il lui fallait comprendre quelle mouche l’avait piquée. Constatant que sa colère aveugle ne servait à rien, que sa sur parvenait à esquiver sans cesse ses attaques brouillonnes, elle craqua et fondit en larmes. Quand Gwen, pas rancunière, s’approcha pour la réconforter, Sabrina la repoussa. Gwenaëlle allait franchir la porte.

– Pas la peine d’aller voir Anton dans sa chambre : il se fait enguirlander par maman !

– Pfffouuu ! Non, je vais chercher une bouteille… Je crois que nous devrions avoir une discussion des plus sérieuse. Tu veux quoi ?

Elle revint avec un pack de bières qui leur offrirait de longues heures de palabres sans assèchement de la gorge. Sabrina s’installa sur son lit tandis que Gwenaëlle occupa le fauteuil de cuir confortable où sa sur passait des heures à regarder sur son ordinateur des séries qu’elle consommait sans trop de modération. Les explications commencèrent.

Entre temps, Anton avait rejoint sa chambre, tout penaud, et accusait le coup de la révélation de sa mère. Il aurait souhaité, d’un claquement de doigts, se retrouver en Thaïlande dans les bras de Kanyaphat.

– Ça n’a pas l’air d’aller ?

– Ah… Ophélie. Je ne t’avais pas entendue venir.

– Je pensais que l’occasion était propice pour continuer ce que nous avions commencé, mais je peux repasser si ça ne va pas.

– Non, reste.

– Qu’est-ce qui ne va pas ? Kanyaphat te manque ?

– Oh oui, elle me manque ! Mais ce n’est pas la raison. En fait, ma mère a découvert que j’ai couché avec une de mes surs.

– Elle sait pour Sabrina ou pour moi ? Puisque je suis maintenant ta troisième sur officielle.

– Non, Gwen…

– Logique, jamais deux sans trois !

Anton ne put s’empêcher de sourire à la plaisanterie. Il soupira sans pour autant y trouver d’apaisement.

– Quitte ta chemise et couche-toi sur le ventre, je vais te faire un petit massage.

Dans sa chambre, Sabrina déballait tout ce qu’elle avait sur le cur et exposait à sa sur tous les reproches qu’elle avait à son encontre. Gwenaëlle était loin de se douter de la longueur de la liste. Une chose cependant revenait : Sabrina avait vécu comme une trahison le départ de sa sur après la mort de leur père.

– Tu as raison, j’ai été égoïste de te laisser. Je n’imaginais pas que tu te sentirais seule puisque tu avais Anton, mais je ne pouvais concevoir de rester à la maison ; la douleur était trop dure à supporter. Je voulais oublier… Ici, tout est empreint de Papa ; il s’est tant investi dans cette maison que je le vois partout. Quand je m’approche de la piscine, je le revois juste après avoir démoli l’ancien bâtiment. Je ne comprenais pas pourquoi il cassait une partie de la maison qu’il avait achetée. Il m’avait alors soulevée comme si j’étais à peine plus lourde qu’une poupée puis il m’avait prise dans ses bras pour m’expliquer qu’il y aurait bientôt une immense piscine où il m’apprendrait à nager. Tout ça me semblait une uvre pharaonique ça l’était d’ailleurs en quelque sorte et je le regardais avec des yeux admiratifs. Puis tout ça s’est écroulé quand il y a eu cet accident. Je m’excuse de ne pas avoir assez pensé à toi. Si j’avais su… Hé, mais tu pleures !

– Un instant j’ai cru revoir Papa. Je t’envie parce que je n’ai pas eu la chance de le connaître aussi longtemps que toi.

Gwenaëlle serra sa sur contre elle. Sa vision se fit trouble et elle en déduisit qu’elle aussi pleurait.

– Et tu vois… maintenant je fais le chemin inverse : je reviens ici pour oublier la vie que j’avais là-bas ; la preuve que c’était une hérésie de partir. Je te jure que mon retour n’est pas un plan pour te piquer Anton. D’ailleurs il semblerait que l’on se le soit fait piquer toutes les deux. Au mieux, il nous reste quelques mois… De toute façon, tout ça ne peut être que passager ; ni toi ni moi ne devrions imaginer faire notre vie avec lui. À propos de ce dont tu as entendu parler cette nuit, oui, j’ai couché avec notre frère, mais ça n’avait rien de prémédité ; juste un concours de circonstances dû à une abstinence involontaire. J’avais besoin de me sentir femme, et comme tu l’auras remarqué au cours de cette petite fête, Anton était le seul mâle disponible.

– Alors si c’était pour ça, je ne t’en veux pas. J’ai trop réagi par instinct au lieu de me servir de ma tête.

– Ce n’est pas grave ; ça aura le mérite d’avoir mis les choses à plat.

– Pourquoi veux-tu tout oublier à nouveau ?

– Pour commencer… mon mairi Reuné, fit-elle, prenant un accent Québécois caricatural.

Elles éclatèrent de rire, signe que les ressentiments étaient dissipés.

– Donc mon mari préfère les hommes et je me retrouve comme une conne. Tu en fais une tête… qu’est-ce que j’ai dit ?

– Oh rien, c’est juste que…

– Que ?

– Je peux te dire un secret ? Faut vraiment que ça reste entre nous !

– OK, tu peux y aller ; on est à nouveau surs, il me semble.

– Oui, répondit Sabrina avec un sourire pourtant embarrassé. C’est à propos d’Anton. J’ai découvert par hasard en regardant ses photos sur son ordinateur que Kanyaphat…

– Eh bien, quoi ?

– Il se trouve que cette fille n’est pas constituée comme nous au niveau de l’entrejambe. Sinon le reste est plutôt bien foutu… Enfin, même avec une queue, c’est une jolie femme.

– Alors où est le problème ?

– Ben, quand tu as dit que ton mari préférait les garçons, je me suis demandé si Anton était gay. Comme il a fallu que je le pousse dans ses retranchements pour qu’il accepte de me rendre femme…

– Oh, ça m’étonnerait, vu l’ardeur qu’il a mis à s’occuper de moi la nuit dernière. Au début il a été réticent, mais c’est normal, après tout. Si mon mari me baisait comme Anton l’a fait, je te jure que ça ne me dérangerait pas qu’il s’envoie en l’air avec des mecs.

– Pourquoi ne pas chercher un amant ?

– Pourquoi me compliquer la vie ? Je vais tout simplement divorcer et j’envisage de revenir plus près. C’est l’occasion rêvée de tout changer : d’homme, de métier, de vie !

Dans l’autre chambre, Ophélie était bien décidée à rattraper le temps perdu. Anton ne chercha pas à esquiver, se disant qu’il devait y avoir une raison particulière pour que tout finisse par tourner autour du sexe depuis son retour, mais il était incapable d’en discerner la cause. Cela pouvait autant être parce que Sabrina n’avait plus rien d’une petite fille et qu’elle diffusait une aura sensuelle à laquelle personne ne pouvait résister que venir de lui-même ; depuis qu’il filait le parfait amour avec Kanyaphat, sa sexualité était exacerbée. Il espérait toutefois que cela se calmerait à son arrivée. S’il devait assurer auprès de quatre bombes tout en se cachant de sa mère, il lui faudrait prendre des produits dopants pour tenir le coup.

– [slurp] Reste concentré [slurp] s’il te plaît, Anton ! Contente-toi d’avoir ta tête [slurp] entre mes jambes et pas ailleurs.

– Désolé…

Anton se concentra à nouveau sur Ophélie dont il broutait le minou dans un soixante-neuf préliminaire. Sa langue surfait sur les lèvres gonflées de désir. Tandis que sa bouche récoltait les saveurs intimes, ses mains caressaient les cuisses et les fesses de sa partenaire. Plus les mains se faisaient insistantes, plus Ophélie désirait sentir la queue qui palpitait sous sa langue envahir ses orifices. Après avoir hésité en contemplant le membre chaque fois qu’elle le ressortait d’entre ses lèvres, accompagnant le geste d’un son bruyant et humide, elle décida de se le carrer dans l’oignon. Elle croisa ses mains derrière la nuque d’Anton et lui roula une pelle longue comme un manche télescopique tandis qu’elle s’empalait sur la verge dressée. Elle se l’enfonçait avec une lenteur exquise mais remontait dare-dare, et à nouveau, millimètre après millimètre, elle descendait sur le dard. Avec la pipe qu’elle lui avait administrée, elle se doutait qu’elle n’aurait pas à attendre la Saint-Glinglin avant qu’Anton ne lui envoie un missile liquide, aussi s’ingénia-t-elle à faire durer autant que possible le ramonage qu’elle aurait souhaité pourtant plus vigoureux.

– Tu penses pouvoir remettre le couvert plus tard si je te fais jouir maintenant ?

– Si tu souhaites une faciale abondante, je ne te garantis pas le déluge… Gwen a fait main basse sur le stock la nuit dernière, mais s’il s’agit de faire une seconde séance de rodéo, tu peux compter sur moi. Ça te dirait de faire trempette dans la piscine entre les deux ?

– Oh oui ! Mais je n’ai pas de maillot de bain.

– Ne me fais pas croire que ça te gênerait de te baigner nue devant moi après t’être enfoncé ma queue dans le fondement !

– Devant toi, pas de problème. Mais que dirait ta mère s’il lui venait l’envie de faire quelques longueurs parce qu’elle ne trouve pas le sommeil grâce à son séducteur de fils qui couche avec ses surs ?

– Oui, tu as raison. Je pourrais aller en demander un à Sabrina, même si au niveau de la poitrine tu risques de nager, et pas que dans la piscine.

– On verra, mais merci de souligner au passage que les nibards de ta sur t’impressionnent plus que les miens !

– Tais-toi et occupe-toi de me faire éjaculer dans ton petit cul de gourgandine.

– Un gourdin pour une gourgandine, on ne peut pas trouver mieux…

Ophélie s’enfonça la bite jusqu’à la garde, arrachant un râle puissant un Anton. La course contre la montre était engagée. À chaque retour, la queue ressortait ; la photographe adorait la sensation que ce barreau de chair lui procurait lorsqu’il franchissait l’anneau de muscles. Anton fit de la résistance afin d’offrir à sa partenaire un maximum de plaisir ; la sueur perlait sur son front quand bien même il n’était pas celui qui s’activait le plus. Ophélie, elle, se défonçait le cul dans tous les sens du terme pour le moment libérateur qui l’inonderait. Depuis leur première fois dans les toilettes du bar, elle n’avait de cesse d’espérer ressentir le sperme d’Anton couler en elle. Il serra les mâchoires, espérant gagner encore quelques secondes, peut-être même des dizaines de secondes.

– Missile sur la rampe de tir !

Ophélie se déchaîna davantage. Anton sut qu’il devait céder ; il agrippa la jeune femme par les épaules et la harponna dans un ultime effort. Elle contracta ses muscles autour de la queue comme pour s’assurer d’en extraire la moindre goutte. Depuis le temps qu’elle attendait ce moment ! Rien que les soubresauts chaotiques auraient suffi à la faire jouir tant ils étaient pour elle annonciateurs de cette fulgurance crémeuse dont elle serait la bénéficiaire. Secoué par un orgasme spectaculaire, elle s’effondra sur son amant qui la serra contre lui.

Plongés dans une somnolence extatique, ils semblaient ne former qu’un corps. Leur respiration bruyante était la seule perturbation dans cette chambre maintenant plongée dans le plus grand calme. Sans se voir dans l’obscurité de la pièce, ils se souriaient. D’ailleurs ils ne cherchaient même pas à se regarder : Ophélie gardait sa tête collée contre le torse d’Anton, entendant son cur battre à rompre puis se calmer au fil du temps, couvert par la respiration profonde. Les yeux fermés, elle profitait d’un bonheur qu’elle savait limité par la venue prochaine de Kanyaphat.

Malgré son apparente torpeur, ses sens étaient en éveil. Enregistrer tout de cet instant qui avait de grandes chances de ne jamais se renouveler. L’ouïe et cette respiration ; l’odorat et son propre parfum mélangé à la sueur de son amant ; le toucher sous ses mains qui calquaient le corps musclé de son baroudeur au cur tendre ; le goût de sa peau salée par la sueur qu’elle léchait ou celui de sa queue, qu’elle entendait bien stimuler encore pour en recevoir l’ultime saveur sur la langue ; la vue, enfin, qu’elle utilisait le moins à l’instant sinon pour apercevoir quelques formes dans les infimes lux qui filtraient par les interstices des volets. Mais combien de fois l’avait-elle déjà observé ? Trop, et malgré tout jamais assez.

Leur respiration maintenant apaisée, ils revenaient à eux seconde après seconde. Elle sentait les mains d’Anton la caresser avec une infinie délicatesse. Elle aurait voulu que ce moment ne soit jamais interrompu et pourtant, ironie du sort, maintenant qu’elle parvenait à obtenir ce qu’elle avait toujours souhaité, la perte était peut-être définitive. Échouer si près du but… Il fallait considérer la chose d’une autre manière pour ne pas plonger dans la tristesse. Ce moment était comme un cadeau de mariage mutuel qu’ils s’offraient.

– Tu veux qu’on aille se baigner ?

– Si tu me promets de te montrer tout aussi tendre après, alors allons-y.

Anton tira deux serviettes de son placard, prêta son peignoir à Ophélie qui éclata de rire en l’enfilant. Ses bras ne dépassaient pas des manches et le bas du peignoir traînait sur le sol.

– Reprend ton bien et file-moi une serviette, je m’en contenterai…

Ils se faufilèrent dans le couloir, prenant soin de ne pas faire de bruit qui réveillerait Rachel ; ils y parvinrent sans trop de peine. La dernière étape consistait à monter l’escalier sans le faire grincer même si la chambre de sa mère était loin , et quelques craquements ne suffiraient pas à l’alerter.

– Et si ta sur est déjà endormie, comment trouver un maillot ? chuchota Ophélie.

Ils arrivèrent au sommet de la volée de marches ; le silence régnait. La porte était entrouverte. Ils jetèrent un bref coup d’il : la chambre était à l’évidence plongée dans l’obscurité. Sabrina ne pouvait pas être endormie depuis longtemps ; si Anton l’appelait à voix basse, elle lui répondrait. Il passa la tête par l’entrebâillement ; il n’obtint pas de réponse. Tendant l’oreille avec un peu plus d’insistance, ce qu’il entendit le laissa bouche bée.

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