Je viens à peine de sonner à la porte qu’elle m’ouvre en souriant, elle porte une guêpière noire ainsi qu’un string assorti à ces bas coutures opaques tendus pas quatre paires de jarretelles. Une tenue bien sombre, mais en toute sobriété qui donne beaucoup d’effet.
Malgré son abondante chevelure et ses traits fins qui la rendent de plus en plus belle et désirable, je devine sans mal un renflement équivoque à la naissance de ses cuisses. Sans dire un seul mot, je la laisse m’entraîner dans la chambre.
Dans ma tête, je me disais qu’aucune femme ne m’avait jamais autant aimé ni donné de plaisir par le passé et que c’était une personne comme cela qu’il me fallait depuis longtemps, même si celle-ci m’avait porté durant neuf mois avant de me mettre au monde.
D’un seul coup, elle me décoche un regard brûlant et me déshabille rapidement. Je suis entièrement nu quand sa main droite remonte lentement à l’intérieur de mes cuisses et se referme sur mes bourses bien pleines, puis elle esquisse un sourire en voyant ma queue déjà bien dressée et débordante d’envies et de désirs se plaquer contre son ventre.
Sous son regard, je passe de longues minutes à l’observer droit dans les yeux, puis maman baisse sa tête et commence une fellation toujours en me fixant le visage intensément, avec par moments des prises intégrales de mon sexe au plus profond de sa bouche. Sa longue chevelure chatouille agréablement le haut de mes cuisses et je suis tellement en extase que rapidement un flot blanc et épais envahit sa bouche pour descendre jusqu’au plus profond de son estomac.
Tu es super craquante avec cette lingerie, je suis très enthousiaste.
Merci mon amour, j’aime me faire plaisir et nous faire plaisir.
Pris soudain d’une envie pressante, je me rends aux toilettes pour soulager ma vessie en laissant la porte ouverte, elle m’a suivie et se caresse le minou. Me rendant compte de sa présence, je me retourne et elle s’approche de moi. Je sens son souffle chaud et saccadé sur ma nuque lorsqu’elle prend ma bite à pleine main pour la masturber.
Je profite de la situation pour lui glisser un doigt dans l’anus que j’avais au préalable lubrifié abondamment avec ma salive.
Puis accrochant mes mains à ses hanches, elle fléchit se retourne avec le cul bien cambré contre la cuvette des toilettes, j’ai le souffle court et les jambes en coton en sentant mon dard pénétrer son illet. Je donne de vastes coups de reins pour l’embrocher totalement, et voulant la faire jouir assez rapidement, j’accélère les mouvements pendant que ces cris de plaisirs se font de plus en plus rapprocher puis reste soudé à elle et explose au fond de son anus par des multiples jets brûlants.
Un moment plus tard, elle m’allonge sur la table du salon avec toujours cette lueur d’excitation qui brille dans ses yeux et en tremblant de désir, elle monte sur moi à califourchon et s’empale d’un trait sur mon sexe.
Remplie-moi de sperme chéri, j’en veux encore et encore.
Elle s’extasiait réellement au-dessus de moi pendant que je lui caressais sa poitrine et pincer ces tétons.
Oh oui, mon dieu, que c’est bon l’amour avec son fils, va y achève moi.
J’avais pourtant une position tranquille, mais me voyant sur le point de jouir, elle continua et c’est elle qui m’acheva dans une jouissance mêlée à nos gémissements. S’en suivit un orgasme fulgurant qui me fit éclater littéralement en elle lui inondant le minou.
Terrassé par ce moment intense et jouissif, je ne sentais plus mes jambes, et profitant de mon émoi distinctif, elle poursuivit la séance en me reprenant directement en bouche, mais mon visage se tordait déjà sous ses coups de langue rapides.
Envoie la purée mon amour, j’ai soif.
Oui ma chérie tout ce que tu veux.
Elle s’activa de plus belle, et une dizaine de minutes après son gosier était inondé, et elle avala tout sans en perdre une goutte.
Ah, il est toujours aussi bon ton sperme.
Je me relevai tant bien que mal en lançant un regard fugace, puis pris ma bien-aimée pour la caler contre la table et lui infligeai une séance rapide en levrette accompagnée d’une sodomie des plus amoureuses.
Elle hurla son plaisir avec des mots crus tant et si bien que j’y allais de plus en plus vite.
Oui, c’est bon ça mon fils, j’aime quand tu m’encules.
Tu es déjà bien ouverte ça facilite les choses.
Poursuivant la chose, elle se met des doigts dans la bouche pour étouffer ces cris, et dans un dernier grognement, je lui remplissais le fondement.
Elle me contemple en me souriant, nous nous embrassons langoureusement et allons prendre un café.
Nous étions épuisés et toujours autant subjugués par autant d’amour.