Chose promise, chose due…. La suite :
Après des semaines dattente pour lui et pour moi, le fameux jour arriva. Le jour où Théo, mon fils de 18 ans, allait pouvoir profiter de son cadeau danniversaire, cest-à-dire faire de moi ce quil veut. Je lui offre une journée de soumission totale où il peut me faire tout ce dont il a envie sans que je puisse contester. Enorme cadeau me direz-vous ? Oui mais je comptais aussi en profiter. Et si cela se passe bien, joffrirai la même chose à mon autre fils pour son prochain anniversaire !
Cétait donc quelques semaines après son anniversaire que Théo décida de prendre son dût. Il choisit un samedi où son frère et sa sur étaient absents pour la journée, mon mari ayant de toute façon quitté le domicile conjugal à ma demande. Le divorce était en cours de négociation.
Côté travail, je venais de devenir la nouvelle directrice de ma boîte et je commençais à être de plus en plus « sollicitée » par le conseil dadministration. Mais cette semaine avait été calme et cest avec plaisir que javais accepté, la veille, la proposition de Théo de profiter de son cadeau aujourdhui.
Samedi, il était minuit passé de quelques minutes quand je sentis quelquun se faufiler dans mon lit.
Alors que jémerge de mon sommeil, des mains commencent à me caresser, à me toucher les seins et le sexe. Elles sont douces mais vont droit au but. Alors que je me rends compte quil sagit de Théo, celui-ci me baisse la culotte en me murmurant à loreille :
— On est samedi.
— Humm cest vrai, dis-je en baillant.
Il passe alors sous le drap et commence à me lécher le sexe. Même si je suis encore un peu endormie, ses caresses sont agréables et me font immédiatement du bien. Il me doigte et me masturbe, sort mon clito de sa petite peau et donne des coups de langues sur cette zone très sensible. Puis il se replace dans mon dos et me pénètre en position de la cuillère. Il est dabord très tendre puis accélère le mouvement à ma demande. De sa main droite, il continue de me caresser, si bien que sous le double effet de ses doigts et de son sexe, je jouis en quelques minutes.
Sitôt mon orgasme dissipé, Théo se retire sans avoir joui et me chuchote à loreille.
— Tu as apprécié ?
— Oui, bien sûr, mais tu peux continuer, si tu veux
— Non, je me réserve pour plus tard. En tout cas jespère que tu as apprécié car pour tout le reste de la journée, ce sera uniquement anal !
— Uniquement anal ??
— Tu as bien compris Je vais tester avec ton cul tout ce qui me passera par la tête. Et jai déjà plein didées. Je suis désolé mais tu vas déguster !
— Fais quand même attention de ne pas aller trop loin, Théo Je suis ta mère, pas une poupée gonflable !
— Tu mas promis que je pouvais faire ce que je voulais, non ?
— Oui, mais
— Et tu avais dit « aucune limite », non ?
— Cest vrai
— Bon. Donc, maman, avec tout le respect et lamour que je te porte, aujourdhui tu seras mon esclave. Je vais abuser de ton cul comme jamais et je vais me montrer particulièrement imaginatif. Soit préparée et, comment dire, disposée Tu sais dans ton Tu vois ?
— Oui je vois bien Tu veux que jai le fion bien propre.
— Hum oui.
Il sort alors de mon lit et me dit :
— Essaie de dormie car ça va être très éprouvant pour toi Je veux que tu sois nue quand je me lève. A plus tard.
Je ne répondis pas tellement jétais inquiète de la journée quil mavait réservée.
Mon réveil sonna à 8h30 pour préparer les affaires dHugo et de Chloé qui partent avec leur club aujourdhui et qui seront donc absents toute la journée jusquà tard ce soir. Il est 9h00 quand ils quittent la maison en me laissant seule avec Théo, mon maître pour la journée.
Obéissante, je vais à la salle de bain faire ce que jai à faire lorsque je sais que mon cul va être particulièrement sollicité puis jenlève ma culotte et mon vieux T-shirt qui fait office de pyjama. Me voilà donc nue dans ma cuisine attendant la curée
Alors que je prends mon café, Théo se lève et entre dans la cuisine. Il me voit assise, comme à mon habitude, sur un tabouret de bar en train de lire mon journal.
— Mmmhh parfait, dit-il en me voyant ainsi.
Il me caresse le dos du haut vers le bas puis touche mes fesses qui dépassent du tabouret. Il commence direct à titiller mon trou du cul avec son majeur. Il suce son doigt et lenfonce sans ménagement dans mon fion. Il me doigte un peu, fouille à lintérieur et y enfile un deuxième.
Me faire stimuler ainsi lanus nest pas désagréable mais en général, on me fait cela en me faisant lamour, non pas à froid le matin au petit dej
Toujours est-il que Théo fouille bien profond dans mon fion, écarte les parois, etc. Puis il recule un peu mes fesses pour que mon trou du cul dépasse bien du tabouret et il crache dans sa main. Il se lubrifie le sexe en commence à me lenfoncer dans le cul. Il y va progressivement car je suis encore relativement serrée puis, une fois le passage fait, il commence à me limer.
— Tu ne perds vraiment pas de temps, lui dis-je. A peine levé que tu mencule déjà !
— Et ça ne fait que commencer
— Pas de problème Vas-y, abuse bien du cul de ta salope de mère !
Sur ces belles paroles, il accélère le mouvement, écarte bien mes fesses et menfile sa queue entièrement à chaque passage. Il se retire souvent pour contempler mon cul bien ouvert et le lèche avec avidité, fourrant sa langue à lintérieur. Puis il y retourne, me sodomisant avec fougue. Je sens quil profite de son cadeau, fait durer le plaisir et en prend beaucoup. De mon côté, ce nest pas désagréable, au contraire, mais japprécie surtout la sodomie lorsque je suis très excitée. Quand je suis en trance, on peut me ravager le cul, jen redemanderai toujours Là, disons surtout que mon fils se sert de moi sans se soucier de savoir si jaime ou pas. Mais ça ne me dérange pas, jai lhabitude dêtre considérée comme un objet !!
Alors que je suis penchée sur le bar depuis quelques minutes et que mon cul se fait ramoner, Théo craque enfin et se repend en moi. Je me dis alors que je pourrais passer une journée tranquille mais je me trompais cela ne faisait effectivement que de commencer !
Théo sort de mon cul et laisse son sperme sen écouler et tomber par terre. Il mordonne :
— Lèche ça !
— Heu tu comptes me parler sur ce ton toute la journée ?
— Jusquà minuit ce soir tu es ma chose, alors je te parle comme je veux Ok ?
— Ok
— Alors, par terre et lèche, salope !!
Jouant le jeu, je descends du tabouret, me mets à quatre pattes en tendant bien le cul vers Théo et commence à lécher son foutre refroidit au sol. Il me regarde aspirer et avaler les dernières goutes puis passe dans mon dos. Il me donne alors une grande claque sur le cul en disant :
— Cest bien, tu es une bonne chienne. Maintenant je vais te mettre ta laisse. Ne bouge pas !
Endolorie par sa fessée, je ne réponds pas et attends la suite. Il va dans sa chambre et revient avec un gros sac à dos. Il en sort un collier et une laisse de cuir quil me passe autour du cou.
— Voilà. Mais il manque quelque chose. Ah oui !
Il fouille à nouveau dans son sac et en sort un plug anal se finissant par un long panache de poil. Il passe dans mon dos et me lenfonce dans le cul. Le diamètre est assez imposant et me maintient lanus bien ouvert. Ne ressort alors de mon cul que la partie la plus large du plug avec la queue en poils synthétiques. Me voilà vraiment une chienne !
— Parfait Maintenant tu vas rester comme ça, près de moi en permanence. Comme une chienne. Et tu feras tout ce que je te dis, quand je te le dis. Cest compris ?
— Oui
— Oui qui ?
— Oui maître je suppose.
— Tu supposes bien.
A suivre…