Chapitre 5 : la suite des vacances
Après nos ébats de la nuit précédente, surtout une grande nouveauté pour nos deux, nous avons découvert, « la sodomie » avec un plaisir certain.
Au petit matin, le réveil se fait en douceur, nous sommes dans les bras l’un de l’autre. Nous nous réveillons par un baiser langoureux, des caresses mutuelles.
— Dis donc mon petit cochon de fils, tu as mis du cur hier soir pour m’enculer !
— J’en avais très envie, mais… C’est toi qui m’as balancé le lubrifiant, et là, je n’ai pas pu me retenir, j’avais trop envie de perforer ton joli petit cul.
— Moi aussi je voulais connaître aussi ce nouveau plaisir, j’ai adoré ton perforage, comme tu dis.
— Ouaaaah Maman, tu es une vraie dévergondée, même une grosse cochonne !!!!
— Oui je suis une grosse cochonne, c’est toi qui me rends comme cela, je l’ai voulu, je l’assume, et je veux encore faire l’amour avec toi mon amour, JE T’AIME PIERRE !!!!
— Moi aussi JE T’AIME MARY !!
— Mais jusqu’ à la fin des vacances, tu laisses mon petit trou tranquille, c’est un peu douloureux ce matin… On recommencera en rentrant à la maison.
Aujourd’hui sera une journée visite, avec au programme la rhumerie St-James, avec dégustation du breuvage local. Maman est vêtue d’un maillot deux-pièces blanc, plutôt sage, laissant imaginer ses courbes, sans trop rien monter, tout en suggestion !…
Noué sur sa poitrine, elle a passé un paréo par-dessus, aux couleurs locales, sa peau bronzée, couleur caramel ressort parfaitement. Je n’ai qu’une envie : la croquer !!… Elle s’est coiffée d’une casquette, la queue de cheval passée dans la fixation de celle-ci, et de grosses lunettes de soleil, la parfaite touriste. Moi, short et tee-shirt, également le parfait touriste, mais encore plus amoureux se sa « MARY ».
Après la visite de la rhumerie, dégustation de rhum, planteur. Maman y va de bon cur avec la dégustation. Pour moi, ce sera seulement jus de fruits, je conduis. Les routes de la Martinique ne sont pas de toute tranquillité, il est préférable d’être sérieux. Maman est un peu pompette, collée contre moi, elle me dit à l’oreille :
« J’ai envie de baiser !!… » – « Et c’est moi le gros cochon ?! »
— Mais J’ai très envie mon chéri !…
— On part, et on trouvera un endroit calme pour notre petite affaire.
Nous remontons en voiture, j’aide maman, l’alcool ayant fait son effet, elle a bien du mal à conserver son équilibre. Je lui boucle sa ceinture. Direction le nord de l’île. Sur une brochure vue à l’hôtel, J’ai repéré qu’il y avait une belle cascade dans la forêt, à voir absolument. Nous roulons depuis cinq minutes, maman s’est assoupie.
Je la contemple du coin de l’il, qu’elle est belle ma « MARY » elle dort la tête appuyée contre la fenêtre, peut-être rêve-t-elle de nous deux !…
Juste avant d’arriver à destination, maman ouvre les yeux, s’étire sur son siège. Elle fait tellement gonfler sa poitrine, que le haut de son maillot va craquer.
— Oulalah, je crois que j’y suis allée fort sur le planteur, jai encore la tête qui tourne.
— Voilà ce qui arrive quand on ne tient pas l’alcool !…
— C’est pas beau de se moquer de sa petite maman !
— Je ne me moque pas, je constate seulement, ma très chère Maman… Et l’on éclate de rire de nos enfantillages.
Arrivés à destination, nous enfilons chacun des baskets, nécessaires pour descendre le chemin escarpé. Un sac à dos avec serviettes de bain, et quelques bricoles complètent notre équipement.
Après une petite marche, nous parvenons à destination : la cascade. L’eau dégringole de la montagne, achevant sa course dans une grande piscine naturelle. « Waouh que c’est beau ! » s’écrie maman. Selon la brochure, il s’agit d’un site très fréquenté, mais là, nous sommes seuls, nous n’avons croisé qu’un couple qui remontait.
— On se baigne ? Dis je.
— Pourquoi pas, mon amour.
Maman enlève son paréo et ses baskets, moi short et tee-shirt. Nous rentrons dans l’eau main dans la main. Nous passons sous la cascade, l’eau nous éclabousse, je prends Maman dans mes bras et lui roule une pelle. Une envie subite me traverse l’esprit : « j’ai envie de te sauter tout de suite ! »
— Mais quelqu’un pourrait venir !…
— On s’en fout, jai trop envie de toi, sens comme je bande !!…
— Je vois que le monsieur a une grosse envie !.
Je soulève Maman par les fesses et la pose sur une grosse pierre polie par l’eau, je lui écarte les jambes, je baisse mon maillot, prends ma bite d’une main, de l’autre écarte son maillot sur le coté. Je positionne ma bite à l’entrée de sa chatte. « Eh bien dis donc, tu es toute trempée ! »
— Que veux-tu, moi aussi jai envie de me faire bourrer !! Je rentre d’un trait, lui déclenchant un grand soupir de satisfaction. Maman me cramponne par le cou, gardant toujours les jambes largement écartées. Je la pénètre. Non, je la bourre sauvagement !
— Vas-y encore plus fort, bourre ta salope, oh oui encore, encore !!…
J’y mets toute ma puissance, c’est bestial, maman me cramponne fermement, mes mouvements sont amples et vigoureux. Maman gémit fort, j’accélère encore, la sauce ne va pas tarder… Les contractions de son vagin me compriment la queue, ce qui fait monter mon excitation à son paroxysme. Et les vannes s’ouvrent enfin ! Planté au fond de sa matrice, je me vide dans un cri rauque de bonheur, Mary n’est pas en reste, sa jouissance est aussi violente que la mienne, elle hurle littéralement ! Nos cris se voient couverts par le bruit de la cascade.
Je lui dis à l’oreille :
— J’y suis peut-être allé un peu fort…
— Ah que non, putain c’était le pied de se faire exploser la chatte !!!!
— Heureusement que nous étions seuls, tu te rends compte du spectacle que l’on aurait donné !…
De retour à la voiture, nous nous séchons sommairement, puis garnissons les sièges de nos serviettes. Avant de remettre son paréo, Maman retire le haut de son maillot. Quels beaux nichons, je me dis secrètement. En me regardant avec un grand sourire, et gonflant sa poitrine, elle me dit :
— C’est tout mouillé, ce n’est pas très agréable et je vais tremper mon paréo…
Une fois le paréo remis, je devine ses formes, quel régal pour les yeux ! Et l’effeuillage n’est pas fini, une fois dans la voiture, le bas prend le même chemin que le haut. Et d’ajouter avec un air coquin :
— Le bas est aussi trempé, et en plus c’est tout poisseux, mon gros cochon de fils a bien vidé ses couilles dans ma minette !…
— Ma cochonne de mère n’en demandait pas moins…
— Tu sais bien que j’aime quand tu te vides en moi mon amour.
Nous reprenons la route, direction l’hôtel, tout en discutant. J’admire ses jambes tout en conduisant.
— Regarde donc la route, plutôt que mes jambes, on va avoir un accident !…
— Elles sont tellement belles, que je ne peux pas m’en empêcher ma chérie !…
— Pour en revenir à tout à l’heure dans la cascade, tu y as été fort mon cochon !! C’est pas que je n’ai pas aimé, mais je préfère de beaucoup quand tu me fais l’amour en douceur.
— Désolé, mais le lieu m’a rendu fou, et je me suis lâché.
— OK, mais il ne faudrait pas que cela devienne une habitude…
Notre séjour touche à sa fin, pour l’avant-dernier jour, visite de la presqu’île de la Caravelle, et bronzette sur la plage de Tartane.
En chemin, la pluie nous accompagne. En arrivant sur place, il pleut toujours, nous patientons dans la voiture. Maman s’est vêtue d’une petite robe légère, bien décolletée, épaules dénudées, arrivant à mi-cuisses, et de couleur bleu azur, et d’un grand chapeau de paille. « Putain qu’elle est belle Mary ! » me dis-je dans ma tête. La pluie cesse aussi rapidement qu’elle a commencé, nous sommes seuls, les touristes ont sûrement déserté l’endroit, à cause de cette flotte.
Nous visitons les ruines, admirons la mer, le paysage. Maman se colle dans mon dos, m’enserre de ses bras, et me dit à l’oreille :
— J’ai envie de me faire baiser !!
— Mais du monde peut arriver !
— Ahah, tu te dégonfles mon coco, tu m’as pourtant bien sautée dans la cascade…
Piqué au vif, vexé par les paroles de Maman, je la retourne, la colle contre le mur.
— Tu l’auras voulu !
Je passe ma main sous sa petite robe, et constate qu’elle n’a pas de culotte. La coquine, elle avait bien préparé son coup !
— Mais tu as la minette à l’air, ma salope !
— J’ai enlevé mon string dans la voiture mon salaud.
— Tu es une sacrée chipie !
— Toi tu as eu envie dans la cascade, moi c’est ici. Maintenant saute-moi !…
Il ne faut pas me le dire deux fois, je sors mon engin, relève la robe, Maman écarte légèrement les jambes, mon gland se retrouve au contact de son minou, je sens toute la cyprine qui coule. Mary est très excitée de se faire sauter en plein air et peut-être aussi de se faire surprendre.
Je pénètre Maman, tout en lui roulant une pelle monstrueuse. Je commence mon pilonnage dans cette position pas spécialement confortable, mais plus rien ne compte que notre plaisir, nous sommes seuls au monde. Je m’affaire cette fois en douceur. C’est alors que nous sommes surpris par un couple, un « SORRY ! » résonne, mais nous continuons à baiser. Notre jouissance ne tarde pas, je me vide une fois de plus dans sa matrice, la jouissance de Maman n’est absolument pas discrète. Un long cri aigu clôture son bonheur.
— Ah ces Français, toujours le feu au cul ! S’exclame l’homme.
Nous retrouvons notre calme, nous rhabillant rapidement. Nous repartons main dans la main, croisant le couple, sûrement des Américains. Nous échangeons des sourires de connivence. Le monsieur se retourne en nous faisant un signe du pouce, nous éclatons de rire.
De retour à l’hôtel, nous passons devant la réception, deux employés nous saluent, avec un sourire de circonstance. Maman me dit :
— Tu crois qu’ils ont remarqué que l’on était à poil sous nos fringues ?
— On s’en fout, c’est les vacances, et on repart après-demain.
Nous retrouvons notre chambre, où l’on s’octroie un petit câlin. Bisous, caresses, tendresse. Toujours collée contre moi, Maman me dit : « on a fait fort aujourd’hui, tu m’as baisée deux fois, et bien baisée, et de plus dehors, je ne me reconnais plus, moi, une femme rangée et pudique ! »
— Maman on appelle cela L’AMOUR, et tu sais, moi aussi je me surprends, tu m’inspires, je suis tellement amoureux de toi mon amour !
— Moi aussi, je suis follement amoureuse de toi mon chéri, je suis aux anges quand je suis avec toi !…
Nous prenons notre repas, en amoureux, tout en nous dévorant des yeux, notre amour réciproque, se lit sur nos visages.
Nous dansons collé/serré un petit moment, Maman, la tête sur mon épaule. Je lui caresse doucement le dos, nous profitons de notre avant-dernière soirée du séjour, tout en tendresse, en délicatesse.
Maman me susurre à l’oreille :
— On va se coucher, je suis fatiguée, la journée m’a épuisée !…