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Les tourments de Julie et Carine – Chapitre 6




David

Je suis à table avec les parents de Seb, Christian et Maude. Christian est petit, trapu, fort. C’est un paysan qui travaille la terre. Ses mains sont caleuses. Il est un peu bedonnant.  Maude est forte, grosse même, avec une belle poitrine et un gros cul. Elle a des cheveux auburn mi-longs.

Maude s’occupe bien sur de la ferme mais, surtout, c’est une excellente cuisinière.

Cela fait longtemps que je les connais et nous avons déjà eu quelques aventures succulentes ensemble. Maude se révèle être très perverse dans ces moments-là, Christian est un voyeur qui de temps en temps aime mettre son grain de sel.

Seb arrive avec sa méhari. Il me regarde

— Voilà, c’est fait

— Elle est mignonne ?

Seb rougit

— oui

— A-t-elle été gentille

Il devient écarlate

— Oui

Son père intervient,

— Laisse le tranquille. Il a transporté une jolie gonzesse et il l’a matée. Il a bien raison. Maintenant, il va aller rejoindre sa dulcinée et on ne va pas le revoir du week-end.

Seb se sauve vite, soulagé de ne pas avoir à répondre à mes questions.  Maude me regarde, sourit et dit :

— Je connais ce petit regard vicieux que tu as. Tu as encore fait un coup pendable, allez, avoue?

— Pendable, non. Mais cette jeune demoiselle, comme dit ton fils, je lui ai dit de laisser un pourboire

— Un pourboire?

— Oui, elle a sucé ton fils pour le remercier d’avoir été la chercher

Ils se mettent à rire et comprennent mieux la gêne de Seb.

–  Êtes-vous prêts pour la soirée de demain soir? J’ai invité les deux autres couples, ainsi, on va bien s’amuser. C’est Paul, Marie, Jeff et Dominique

— Pas de souci dit Christian. Maude sera à la cuisine et nous on s’amusera bien

— Parce que tu crois que je ne vais pas m’amuser dans la cuisine? Tu vas voir, rétorque Maude.

— Tu ne seras pas toute seule dans la cuisine, j’ai prévu quelqu’un qui t’aidera.

— Il faut qu’elle soit solide, sinon, je vais la dresser rapidement, tu vas voir, répond Maude

— Tu verras, c’est quelqu’un de très bien. Je suis sur que vous allez vous entendre.

— Espérons dit elle, et puis si c’est une bonne lécheuse

— Je sais qu’elle aime se faire lécher, mais est-ce une bonne lécheuse ? Je n’en sais rien. J’espère que l’as bien entretenu, ton nid d’amour ?

— Tu me prends pour qui ? Bien sur qu’il est entretenu. Pas de fouillis, tout est bien net et aucune toile d’araignée, elles n’ont pas le temps d’en faire tu sais. Il est très souvent visité

— Je sais. Je te connais tu sais, c’est moi qui t’ai dépucelée, je te rappelle. Tu te souviens, dans la meule de foin

— Si je me souviens, comme si c’était hier. Putain, qu’est ce que c’était bon. Et tu avais, Christian, mon futur mari, qui nous regardait. Je crois que c’est là que je me suis dit, c’est lui qu’il me faut, un bon voyeur , un qui est heureux que je m’envoie en l’air.

— Tu avais déjà de belle forme à l’époque

— Moi, c’est ça que j’aime, dit Christian, ses formes. Je ne veux pas qu’elle devienne maigre comme ces mannequins, moi, j’aime les femmes plantureuses. Et, puis, c’est vrai, elle aime le sexe, elle est même assez insatiable. Des fois je la retrouve jupe retroussée, culotte aux chevilles, entrain de se branler parce qu’elle a vu un taureau monter une vache. Alors, je m’approche et la regarde, et là, elle en rajoute. Souvent le taureau a fini son affaire, que ma Maude continue à se branler

— Et comment tu te branles Maude ?

— Toujours de la même façon, je commence par des caresses sur mes lèvres, mon majeur s’insinue entre mes lèvres, caresse mon clitoris. Je fais cela un certain temps, et quand je suis bien trempée, j’enfonce deux doigts dans mon vagin et j’appuie avec la paume de ma main sur mon clito, l’effet est immédiat.

Maude se caressait par-dessus sa jupe en disant cela.

— Bon, il est tard, il faut que j’y aille. A demain

Je retourne à la maison. Elle est à cinq cents mètres en passant à travers champs. Je vois Julie et Carine de dos côte à côte, à genoux au milieu de la pelouse. Il est pratiquement dix-neuf heures cela fait un bout de temps qu’elles sont ainsi. Elles sont vraiment très obéissantes. Il faut que je sois à la hauteur de leurs attentes. Je sais que Julie veut dépasser ses limites. J’ai encore quelques surprises pour elle. Pour Carine, c’est autre chose, elle veut juste me faire plaisir. C’est son but. Mon but à moi, c’est que je sois bien et que je les rende heureuses toutes les deux. Pour l’instant, je sais que c’est le cas, elles me l’ont dit. .Je m’approche, elles ont un grand sourire en me voyant. Je me penche, touche leurs chattes, elles sont trempées.

— très bien, vous n’avez pas eu trop chaud par ce beau temps. Vous allez avancer à quatre pattes.

Je prends les laisses et tire dessus. Nous avançons jusqu’à la terrasse. Je me mets dans le rocking-chair. Je demande à Julie de regarder dans le buffet et de nous servir l’apéritif. Je sors mon sexe et demande à Carine de se mettre à califourchon sur moi. Quelques va et vient suffisent pour que Carine jouisse. Je change de partenaire. Julie s’empale sans problème et jouit encore plus vite que Carine. Elles étaient vraiment en manque. J’enlève les menottes, nous prenons l’apéritif et mangeons. Elles me racontent leurs voyages. Carine me dit pour Seb. Seb est peut-être comme son père un éjaculateur précoce. Nous discutons pour savoir si cela est héréditaire. Il est presque vingt trois heures, il faut aller se coucher. Demain la journée va être longue. Avant d’aller dormir, je vais voir Carine et l’encule pour me vider. J’adore l’enculer surtout que ce n’est pas ce qu’elle apprécie le plus.

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