Ils arrivèrent à temps à laéroport et le vol se passa sans encombre. Leurs (maigres) bagages récupérés à Berlin, ils se retrouvèrent un peu perdu dans le hall du grand aéroport.
— Alors, où on va maintenant ? demanda Toni
— Je ne sais pas encore
— Et bien moi je sais ! Jai faim, donc on va au resto de laéroport. Cest vrai quoi, ces trucs emballés dans du plastique quon a reçu dans lavion, cest dégeu !
Sylla semblait hésiter
— Et puis, on ne va pas sauver le monde le ventre vide. Allez, suis-moi !
Un sourire aux lèvres, Sylla suivit Toni vers le restaurant. Elle était touchée par son enthousiasme. Il ne savait même pas pourquoi il était là, il ne savait pas qui ils allaient affronter il ne lavait même pas demandé ! Mais il la suivait. Sans se plaindre, toujours joyeux cest même lui qui avait fourni largent et les billets davion ! Par amour ? Elle limaginait. Et elle se dit que finalement, la présence de Toni la rassurait beaucoup. Elle faisait la fière, mais elle ne savait même pas où ils devaient aller !
Ils sassirent à une table. Elle fit parler Toni, de lui, de sa vie, et lécoutait, touché par sa gentillesse, son humour un physique pas des plus beau mais qui cachait un vrai diamant ! Pendant quils mangeaient, Sylla regarda les alentours. Un restaurant daéroport, assez banal, avec sur le mur des photos variées de paysage dAllemagne. Alors quelle allait porter sa fourchette à sa bouche, elle ressentit quelque chose. Sa fourchette tomba à terre.
— Sylla, ça va ? fit Toni, inquiet.
Alors que son regard passait sur les photographies, quelque chose lui avait parlé. Le regard de Sylla se posa sur la photographie en question. Des collines remplis dune grande forêt de conifères. Alors quelle regardait cette photographie, le ventre de Sylla se nouait, et elle ressentait de fort picotement dans ses mains, à lendroit précis où elle avait tenu le « bras » dolivier. Elle semblait hypnotisée par la photo, des larmes lui montaient aux yeux et elle commença à ressentir des frissons partout. Elle fut ramené à la réalité par Toni, qui lui secouait doucement le bras.
— Sylla, tu es sûr que ça va ?
— Cest là, fit-elle dans un souffle.
Ils quittèrent le restaurant sous le regard intrigué du personnel. Sylla ne se sentait pas bien, et avait besoin de prendre une douche. Toni loua alors une chambre dans un hôtel tous proche, et ils y montèrent. Sylla fit les cent pas dans la chambre.
— Cest là. Je suis sûre quil est là !
Toni la regarda lair un peu coquin
— Et moi je sais ou cest en payant jai demandé au chef de salle de quelle région était prise cette photo ! Le monsieur ma dit : Francfort. Il pensait que cest près de Francfort que cette photo a été prise. Et regarde, il ma vendu une carte postale avec la même photographie.
Sylla le regardait émerveillée puis lui saut au cou !
— Tu es génial ! Bravo ! Je vais prendre une douche, jen ai besoin, et puis on loue une voiture pour aller à Francfort.
Et Sylla alla à la salle de bain. Toni se mit en caleçon, il avait aussi besoin de changer de vêtement, les autres étant froissés par le voyage. En entendant leau couler, il tourna amoureusement son regard vers la salle de bain et vit que Sylla avait laissé la porte entre-ouverte ! « Non, je suis pas un voyeur je vais pas aller admirer admirer son corps de rêve ses jambes de déesse ses seins ses » et il alla doucement se mettre contre la porte et passer doucement la tête par lentre-baillement. Il vit la cabine de douche, Sylla nue, leau qui coulait le long de son corps, ses seins, pointés, ses jambes, toujours aussi superbes Son érection fut immédiate et telle que son sexe sortait à moitié de son caleçon !
— Et si tu me rejoignais au lieu de rester là, à mâter !
La voix de Sylla fit sursauter Toni. Mais il ne se le fit pas dire deux fois ! Il enleva son caleçon, et rejoint Sylla dans la douche. Elle était de dos.
— Masse-moi les épaules, sil te plaît, dit-elle.
Toni massa doucement les épaules de Sylla. Cétait la première fois quil faisait un massage, mais il était naturellement doué. Ses mains savaient comment masser, trouver les « nuds » et les défaire. Son massage finit de détendre Sylla. Tout en massant, il se rapprocha delle. Elle sentit la verge pointée de ladolescent contre ses fesses. Elle mit une main sur chacune de ses fesses, tira un petit peu, et se tortillant, massa la verge de Toni avec la raie de ses fesses. Le massage de Toni devenait moins bon, sa concentration était ailleurs ! Elle se pencha légèrement en avant, dune main attrapa la verge de Toni, puis commença doucement à le masturber. En même temps, le jeune homme caressait le dos, et les fesses de Sylla, offerte à lui. Puis il dégagea son sexe de la main de Sylla pour ne pas jouir trop vite. Il saccroupit et commença à lécher Sylla. Les cuisses dabord, puis il remonta sur les fesses, du bout de la langue titilla lanus, puis redescendit vers son joli vagin il mit sa tête entre ses jambes et lui lécha les petites lèvres, lui suça le clitoris, et puis la pénétra de sa langue. Lintimité de Sylla était chaud et humide. Sa langue fouillait le sexe de Sylla, qui se caressait les seins en même temps. « oh oui cest bon je vais arriver je vais arriver oh ouiiiiii bois-moi Toni, bois-moi ». Puis Toni se releva, se colla à Sylla, et lembrassa sur la nuque, dans le dos. Elle attrapa à nouveau sa verge, toute gonflée dexcitation, et lattira doucement contre elle, mettant son gland contre son sexe. Dun coup de rein il fut en elle. Cest sa verge maintenant qui ressentait cette douce et moite chaleur Il sagrippa fermement à la taille de Sylla, et senfonçait de plus en plus profond en elle, donnant des coups de rein de plus en plus fort. Elle criait son plaisir, de plus en plus fort cest que dans cette position, le sexe de Toni frappait son point sensible. La mouille de Sylla commençait à couler le long de lintérieur de ses cuisses. Lorsquelle sentit le sexe de Toni battre, elle se retira prestement « Non, sil te plait, pas en moi, pas là Viens plutôt sur moi » Elle se retourna et saccroupit face à Toni, et le termina à la main Toni éjacula sur son visage, ses cheveux et ses seins dans un cris rauque. Puis, Toni refit couler leau de la douche, et avec des gestes tendres, il lava, et caressa Sylla, encore de longues minutes
* *
*
Le professeur fut réveillé par des cris atroces. Il sursauta, et se levant dun coups, vit alors Evelyne et Sophie, les ventres ayant quadruplés, occupées à accoucher des ufs, comme Emma lavait fait la veille. Les monstres leurs faisaient boire leurs « fortifiant » tout en comptant les ufs. Evelyne en expulsa quatre, Sophie, cinq. Comme la veille, Odin ramassa les ufs, alla les porter aux sarcophages, et recommença à réciter ses étranges litanies.
Les deux gobelins, riant aux éclats, allèrent vers Emma.
— Tout ça, ça mexcite fort, grogna le premier. Jai encore envie !
Et, le sexe tendu, il retourna Emma, qui était encore faible. Odin étant occupé avec les ufs, sa magie était moins tournée vers ses « esclaves ». Le professeur, ayant plus de volonté sur son corps, couru vers le monstre.
— Non ! Vous allez la tuer, arrêtez ! Elle est trop faible, elle risque den mourir !
Le monstre se retourna, lair abruti, vers le professeur.
— De quoi tu te mêles, esclave ? Dégage ! Jai envie !
Et comme le monstre allait se baisser pour relever Emma, le professeur couru et se jeta contre le Gobelin, qui roula à terre.
— Ne la touche pas ! dit le professeur lair menaçant.
Le professeur sentit une présence dans son dos, mais avant quil puisse faire quoi que ce soit, il fut ceinturé par le deuxième monstre. Il voulut se dégager, mais le monstre était plus fort que lui. Lautre se releva, sébroua, puis vint se placer devant le professeur. Il donna un coup de poing violent dans le ventre du professeur, qui sous la douleur, se plia en deux. « Et bien, puisque tu joues les chevaliers-servants, cest avec toi quon va jouer ! » Et le monstre donna un coup de pied dans les chevilles du professeur, qui tomba à genou. Il se retrouva juste en face de la grosse verge ondulée du Gobelin. Le monstre montra Emma.
— Suce ! Suce ou je la tue !
Le professeur eut un haut-le-cur de dégoût ! Mais il ne pouvait aller en arrière, sinon Emma mourrait. Il ferma les yeux, et ouvrit la bouche. Il sentit le gland du gobelin contre ses lèvres, puis il sentit cette verge énorme entrer dans sa bouche, le gland raclant son palais. Puis le monstre commença ses vas-et-viens dans la bouche du professeur. Puis il sortit son sexe de la bouche du professeur.
— Maintenant tu te mets à quatre pattes, et tu vas sucer mon frère.
Le professeur obéit. Il se retourna, se mit à quatre pattes et alla vers le deuxième monstre. Il attrapa sa verge de sa main, et lattira vers sa bouche. Il commença à sucer la queue du Gobelin. Il sentait de nouveau ce gland qui raclait son palais, les ondulations de cette queue énorme dans sa bouche Puis il sentit quon lui écartait les fesses. Le premier monstre était venu derrière lui, sa queue toute mouillée de la salive du professeur, et il lui écartait les fesses. Puis le professeur sentit le gland mouillé contre son anus. Il voulut se dégager, mais les deux monstres le tenaient fermement. Le premier monstre força un peu et il sentit le gland rentrer dans son anus puis une ondulation, puis deux au fur et à mesure que le sexe du monstre senfonçait dans son cul, il sentit toutes les ondulations glisser dans son anus. Le deuxième monstre le tenait par les cheveux, et lui baisait la bouche. Si la sodomisation de la tentacule lui avait apporter beaucoup de plaisirs, celle-ci lui procurait autant de douleur que de plaisirs. Il sentit la queue quil avait dans la bouche battre et exploser. Il faillit étouffer dans le flot de foutre âcre qui coulait dans sa gorge. Il ne sentit presque pas lautre monstre exploser dans son cul. Lorsque le Gobelin retira sa queue, il sentit de nouveau chaque ondulation franchir létroit passage de son anus, et lorsque le gland sortit, il sentit le foutre épais couler sur ses jambes.
— On fait moins le malin maintenant hein !
Et les deux monstres partirent en riant, tandis que le professeur sévanouissait.
* *
*
Toni avait ouvert la carte routière dAllemagne sur une table, dans le salon-réception de lhôtel. Il avait fait doucement, pour ne pas déranger le vieux monsieur qui lisait en face de lui. Il se servait de la carte postale achetée au restaurant pour suivre les routes et autoroutes jusquà Francfort. Sylla le rejoignit.
— La dame à la réception ma confirmé quon peut louer des voitures à laéroport.
— Perfecto ! Regarde si je vois bien, le plus simple, cest de prendre lautoroute vers Leipzig, puis là, à léchangeur vers Erfurt, et on arrive à Francfort, où on trouvera certainement un hôtel, cest une grande ville. Et là bingo, on fouille ta forêt !
Content de lui, Toni disait cela en faisant de grand geste au point que la carte postale lui échappa des mains, et glissa au pied du vieux monsieur qui lisait son journal. Celui-ci replia le journal et ramassa la carte. Il voulut la redonner à Toni, mais en voyant le paysage qui y était représenté, il regarda la carte postale fixement, puis avec mélancolie, puis tendit enfin la carte à ladolescent, qui était rouge comme une pivoine.
— Scuzi
Le vieil homme leur dit quelque chose en allemand, mais ni Sylla, ni Toni ne le comprirent. Lhomme baragouina alors en un anglais approximatif.
— Bel endroit, attention, grand, pas se perdre !
— Merci monsieur, fit Sylla.
— Moi ancien fonctionnaire pour eaux et forêt dans Est Allemagne connaît bien les forêts allemandes.
— Cest gentil, mais nous avons une boussole, nous ne nous perdrons pas, fit Sylla.
Le vieil homme éclata de rire, en montrant Toni, qui ne parlant et ne comprenant pas si bien langlais, était retourné à sa carte routière et traçait au bic litinéraire sur la carte.
— Ah ah ah pas se perdre ? Vous trompez déjà de route !
— Pardon ? Sylla montra la carte postale au vieil homme. Pourtant on nous a assuré que cette photo a été prise près de Francfort ?
— Ach, Ja mais Francfort-sur-lOder ! Pas Francfort-sur-le-Main
Et lhomme montra une autre ville sur la carte, près de la frontière avec la Pologne.
Toni regarda le nom de la ville.
— Sylla, il a raison ! Il y a deux Francfort ! Un à louest et un à lest !
— Monsieur, vous êtes sûr pour cette image quil sagit bien de Francfort-sur-lOder ?
— Ja ! Je suis catégorique. Est-Ouest ce ne sont pas mêmes arbres ! Ce sont essences de pin différentes. Mais faites attention ! Cette forêt sinistre ! Et on raconte beaucoup de légendes mauvaises sur cet endroit ! Pas endroit touristique.
— Alors cest bien lendroit que nous cherchons ! Fit Sylla en serrant la main du vieux monsieur. Vous nous avez beaucoup aidé merci, merci beaucoup !
* *
*
Le professeur sortit lentement de sa torpeur. Il se releva. Son derrière le faisait souffrir. « Sale monstres, pensa-t-il ». Emma vint lui apporter un peu deau, elle avait lair daller mieux. Et elle soccupait de Sophie et dEvelyne, comme il sétait occupé delle. En entendant du bruit, il se retourna et vit les deux gobelins qui entraînaient quatre petits monstres. Les petits ressemblaient aux grands, mais en moins costaud, et un peu moins poilu. Ils avaient tous les mêmes pagnes, et sentraînaient à utiliser une sorte de grosse massue, incrustée déclats métalliques qui semblaient fort tranchants. Soudain le professeur se raidit. Il sentit une présence derrière lui. Odin.
— Mon armée est en marche professeur. Bientôt nous serons prêts.
— Belle armée en vérité, fit le professeur, ironique.
— Je suis le plus puissant professeur. Jai la magie avec moi. Personne sur cette terre ne peut me résister. Je nai aucun rival. Joignez-vous à moi ! Je suis prêt à faire alliance avec vous.
— P Pardon ??? Et que ferez-vous face aux armées ? Les avions, les chars, les soldats ?
— Si je veux, je peux détruire toute lhumanité. Mais cela ne mintéresse pas. Ce que je veux cest lasservir. Tous les humains seront mes esclaves. Je les asservirai de force, en prenant le contrôle de leurs corps. Avant que les militaires croient en mon existence, jaurais asservis assez de femmes pour que mes gobelins me fassent une grande armée. Et il me suffit de prendre le contrôle de quelques militaires haut-placés pour semer la zizanie dans les armées, donner des ordres contradictoires, et faire que vos militaires se détruisent les uns les autres. Je suis le Maître. Mais si je vais asservir les humains, jai aussi besoin de gens intelligents, avec qui partager mon triomphe, des gens reconnaissant ma puissance. Les gobelins sont trop bêtes, ils ne savent que tuer et se reproduire. Ce sont des animaux. Jai besoin de gens qui librement me servent.
— En fait vous vous sentez seul, et votre ego demande une cours pour vanter vos exploits, et des gens pour pour vous aimer !
— Lorsque lhumanité sera asservie, je vous donnerai ce que vous voulez. Autant de femmes ou dhommes pour combler vos plaisirs. La richesse que vous voulez Tout vous pourrez avoir tout ! Rejoignez-moi !
— Vous vous êtes monstrueux ! Monstrueux et pathétique !
— Comment oses-tu, misérable humain ! Je nai pas besoin de toi alors je trouverai assez dhumain pour me servir et me lécher les bottes librement ! Quant à toi, tu mérite punition pour ton irrespect envers ma personne.
Odin dit une incantation à voix basse. Le professeur nétait de nouveau plus le maître de son corps. Il se vit marcher vers les quatre petits gobelins. Face à eux, il se vit dandiner des fesses, et aguicher les monstres. « Mais quest ce que je fais ! Cest ce monstre qui me contrôle ! Oh non, ça va recommencer ! ». Dun air entendu avec Odin, les petits gobelins enlevèrent leurs pagnes. Ils avaient de grosses testicules et des verges ondulées, comme les deux grands, mais de tailles un peu plus petites. Ils entourèrent le professeur. Comme une vraie putte, celui-ci aguicha les monstres, puis se mit à quatre pattes devant le plus grand des petits monstres. Il caressa doucement ses grosses testicules, tout en lui léchant le membre. Puis il lui lécha le gland, et goba sa queue. Deux autres petits gobelins sapprochèrent du professeur, un à sa gauche, un à sa droite. Il pris la verge de celui de gauche dans sa main gauche, et celui de droite dans sa main droite et commença à les masturber. Le monstre quil suçait se dégagea, et contourna le professeur, il en voulait plus ! Il écarta les fesses du professeur, et voyant son anus (encore ouvert de sa précédente sodomisation) il plaça son gland contre lanus du professeur, et sy enfonça sans aucun problème. Tandis quil lui ramonait lanus, le dernier monstre plaça sa queue dans la bouche du professeur. Ce dernier suçait un gobelin, en masturbait deux autres,, et était sodomisé par un quatrième Les deux monstres quil branlait éjaculèrent sur son visage et son épaule, tandis que celui quil suçait vint dans sa bouche, puis sur son visage. Le dernier déversa son foutre dans lanus tout mouillé et tout ouvert du professeur. Excité par ce spectacle, les deux grands monstres se faisaient sucer par Evelyne et Sophie.
— Bien, fit Odin en parlant à Emma. Laissons-les à leurs jeux, nous avons du travail ! Suis-moi, nous avons un château à prendre !
* *
*
Bert sennuyait. Il joua un peu avec le faisceau de sa lampe torche sur le mur de la guérite du château. Ancien militaire, il ne savait pas, en signant pour cette société de gardiennage, quil se retrouverait vigile dans ce château perdu au milieu de cette forêt ! Enfin, contrairement à certain de ses anciens camarades, au moins il avait de la chance davoir trouvé du travail. Et un travail bien payé. Mais la solitude lui pesait énormément. Seul deux autres personnes occupaient le château. Le vieux comte, à moitié débile (dailleurs il se faisait appeler Comte, mais Bert nétait même pas sûr quil létait vraiment) et son assistante, une vieille fille revêche et laide. Bref, il naimait pas trop les fréquenter. Il voyait juste lassistante lors des repas, quils prenaient en tête-à-tête dans une ambiance aussi froide que la banquise. Le vieux comte vivait, mangeait, dormait dans son bureau. Bert ne lavait vu quune seule fois, lors de son arrivée au château. Cétait un homme petit, sec, et absolument antipathique. Le comte avait voulu un gardien professionnel pour veiller sur ses trésors pffff « trésor » ! Il ny avait jamais eu ici de trésor que dans limagination du vieillard sénile. Ils étaient deux gardiens à se relayer, chacun vivant un mois entier au château, 24 heures sur 24. Un mois. Cétait long un mois, quand on a rien à faire. Personne ne passait par ici, et le comte ne voulait surtout pas ouvrir son château aux touristes. Et bien sûr, pas de TV ! Pas de câble ! Juste une vieille radio, et son gsm. Mais là, il avait déjà fait trois fois le tour des jeux à télécharger !
Boum Boum Boum
Bert faillit tomber de sa chaise. Le bruit du gros anneau sur la porte, il ne lentendait que lorsque son collègue venait prendre la relève. Quelquun était à la porte ! A cette heure ?
Bert sortit précipitamment de sa guérite, et alla ouvrir la porte. Elle était grande et lourde. Il y mit ses deux mains et toute sa force. Une fois la porte ouverte, Bert ne vit dabord personne. Il sortit sur la route, devant le château, et là, il faillit en perdre sa casquette. Il y avait une femme, nue, couchée sur le sol. Dune main elle titillait et pinçait un de ses tétons, et de lautre elle se masturbait Elle ouvrit les yeux, vit le garde, et lui envoya une illade coquine « Et si tu venais me satisfaire, beau blond ? Tu vois pas que jai le feu ? »
« Finit lennui ! » se dit Bert Il balança sa casquette, défit sa ceinture et descendit son pantalon et son caleçon sur ses chevilles. Son membre dressé avait des proportions normales. Il se coucha sur la fille, qui écarta ses petites lèvres, dévoilant au garde son sexe ouvert et luisant de mouille
— Je me suis déjà fait venir une fois ? Sauras-tu faire de même ? Dit-elle lair coquin.
— Oh putain, quelle chaudasse !
Et il enfonça sa verge en un coup dans le trou béant de la femme. Il la baisait en ahanant comme un âne. La femme lui mouilla loreille avec sa langue, puis lui murmura
— Il ny a personne dautre au château, pour se joindre à nous ? Jai vraiment le feu partout, je voudrais que tous mes orifices soient comblés !
— Han non, ya que moi ma jolie ! Han Le vieux compte ne peut à mon avis plus se servir de son engin Han Et la vielle elle en a pas ! Han
— Ah bel étalon, avant de marroser de ta sève, je voudrais sentir ta langue en moi, viens me lécher, oh oui, jen ai terriblement envie Et tu pourras me faire subir tout ce que tu veux après
— Suffit de demander ma jolie !
Et Bert arrêta ses coups de boutoir, sorti son engin du sexe de la femme, et glissa pour pouvoir lui lécher le sexe. Il était tout ouvert et trempé. Il avança sa bouche, langue sortie, lorsquil vit que la femme était couchée sur quelque chose qui bougeait. Quelque chose qui bougeait entre les cuisses de la femme, que Bert navait pas remarqué à cause de son excitation. Et avant quil ait eu le temps de fermer la bouche, cette chose lui sauta au visage, et senfonça dans sa bouche. Cétait une tentacule dOdin. Une autre arriva, lui entoura le cou, puis descendit vers ses fesses. Avant que le garde nai compris ce quil se passait, la première tentacule explosa dans sa bouche, et il fut sous le contrôle dOdin. Son anus souvrit pour recevoir la deuxième tentacule, qui commença à le ramoner, tandis quune troisième arriva, souvrit et commença à lui sucer la verge.
— Mais que se passe-t-il ici ? fit une voix nasillarde.
Lassistante du comte, passant par la cours du château, fut attirée par le bruit. Au début furieuse de voire la porte ouverte et le garde pas à son poste, elle fut prise dhorreur en voyant Bert, à quatre pattes, enculé par une tentacule gris-vert, tandis quune autre lui suçait le sexe et quil suçait une troisième, un filet de bave et de foutre vert coulant sur son menton. Une femme nue était au sol, riant et se masturbant en même temps. La vieille cria, porta sa main à la poitrine, et tomba, raide-morte ! Personne naurait imaginé quelle avait le cur fragile.
* *
*
Le vieux comte relisait pour la millième fois le vieux manuscrit. Cétait son trésor, sa vie. Oh, il savait bien quil navait plus le titre de comte, mais il était le dernier descendant de la lignée qui régnait au Moyen-Âge sur ces terres. Sa famille nétait connue que pour ses massacres, tortures, guerres sanglantes, mais quimporte ? Nétait-il pas normal quils abreuvent de sang la terre qui a vu naître, vivre et mourir le Shaman Odin ! En effet, il connaissait cette légende par cur. Un de ses ancêtres, adeptes de chamanisme et de druidisme, avait prédit quun des descendants de sa lignée verrait de ses yeux Odin. Or il était le dernier. Il caressa lenluminure de la page, lorsque la porte de son bureau souvrit violemment.
— Comment ? Mais qui ose ?
Il vit le garde de sécurité marcher vers lui comme un somnambule
— Vous connaissez les consignes, non ? Cette pièce vous est interdite. Vous mentendez ?
En guise de réponse, le garde sorti son pistolet de son étui et mit le vieux comte en joue.
— Mais enfin que se passe-t-il ? Que vous arrive-t-il ?
— Ne bougez pas. Le maître arrive. Il va tous vous expliquer. Recevez sa semence, et vous comprendrez.
— Comment ?
Il nalla pas plus loin. Odin, entra dans la pièce, suivi dune femme nue, Emma. Odin avança vers lui, ses doigts devinrent des tentacules « Un esclave de plus mais il est si vieux, je pourrais tout simplement le tuer » pensa Odin. Mais quelque chose arrêta le geste dOdin. Un détail qui ne lui allait pas et éveillait sa curiosité : Au lieu de lire la frayeur sur le visage du vieux, comme dhabitude, il le vit silluminer de joie.
— Vous, enfin ! Je vous attendais ! Oh oui, je vous ai attendu toute ma vie !
Les tentacules redevinrent des doigts. Odin ne comprenait pas, lorsque son regard se posa sur la table et sur le vieux manuscrit. Il sen approcha, le parcouru, y lut la légende de sa vie, pas vraiment véridique, mais cela le mettait en valeur, il aimait bien puis lhistoire de la famille du vieux comte. Puis Odin ferma le livre, réfléchit un instant, et se tourna vers Emma et le garde.
— Esclaves, allez me chercher tous les autres, dans la caverne. Nous établirons notre base dopération ici.
Puis il se tourna vers le vieux comte.
— Quant à nous, il faut que nous parlions. Jai une alliance à vous proposer
— Oui Seigneur Odin, je suis prêt à tout accepter en échange de limmortalité !
— Bien Même si je suis très puissant, je ne puis attaquer seul tous les humains. Ma puissance sétiolerait, et je croulerais face au nombre. Jai besoin dune armée. Mais les gobelins ne seront pas suffisants. Ils sont bêtes, indisciplinés, et finalement se feront tuer trop facilement. Jai besoin de plus dhumain à mon service, avec des armes de notre temps.
— Je comprends, et je peux vous aider. Si vous allez avec vos monstres en ville, cela va attirer lattention. Vous aurez bien vite larmée à dos. Et malgré votre puissance, je pense que vous ne pourrez pas grand chose contre des avions et des tanks Nous devons agir autrement
— Avez-vous une idée ?
— Oui, le château ! Jai déjà reçu de nombreux courriers du ministère des monuments et sites : si jouvre le château au public, les gens viendront pour le visiter. Les gens viendront ici, vous pourrez en faire des esclaves par petits groupes. Nous logerons ces esclaves dans une petite ferme que je possède et qui jouxte le château, en la transformant en « retraite spirituelle ». Avec cela, des officiels et des enquêteurs viendront voir ce quil se passe ici, vous en ferez aussi des esclaves. Jessayerai dinviter des personnalités importantes, ou dorganiser des réceptions, des expositions, etc. pour recevoir des maires, des gradés de larmée, et pourquoi pas des ministres ? Lorsque vous contrôlerez tous ces gens, vous contrôlerez bien vite le pays et après le pays, petit à petit nous trouverons des idées pour contrôler le monde !!!
— Mmmm oui ! Excellent !
— En échange de mon aide, et de mon château, je ne veux quune chose : limmortalité !
— Si tu deviens une créature de lombre, comme moi, tu seras immortel. Je ne peux te donner la même puissance que moi, mais je peux te donner une certaine force et limmortalité.
Les yeux du vieillard silluminèrent
— Oh oui, je le veux, je le veux
— Bien, je vais alors préparer lincantation et le breuvage
* *
*
Lorsque le professeur, le garde, Emma, Evelyne et Sophie, encadrés par les six gobelins, arrivèrent au château, ils trouvèrent Odin et le vieux comte dans la grande salle dapparat du château. Odin tenait entre ces mains une coupe contenant un breuvage, et il tournait dans ce breuvage avec une de ses tentacules, tout en psalmodiant des incantations. Le vieil homme était debout derrière lui, nu, et répétait les indications dOdin. Puis Odin tendit la coupe au vieil homme, et dit « Bois ! Et scelle ainsi le pacte qui nous unira à jamais ! ».
Le vieil homme prit la coupe et bu avidement le breuvage dune traite. Il reposa la coupe, voulut dire quelque chose, mais à ce moment, il cria, portant sa main à son ventre. Il tomba à terre, fut pris de convulsion, et hurla de douleur. Odin se recula. « La transformation commence. Je me demande en quoi il va se changer. Heureusement, jai pris mes précautions je lui ai fait réciter les incantations faibles il sera donc moins puissant que moi et jai utilisé ma tentacule pour mélanger le breuvage, y ajoutant à son insu de ma semence, ainsi il mobéira ah ah ah pauvre fou on est toujours perdant quand on fait alliance avec plus fort que soi ! » Odin fut arraché à ses pensées par une lumière qui irradia du vieil homme. Tous les assistants durent détourner le regard, tellement la lueur était aveuglante. Puis, la lueur disparut peu à peu, en même temps que sarrêtèrent les cris du vieil homme. Ils regardèrent dans sa direction et le vieil homme sétait transformé en centaure ! Il avait quatre pattes et un corps comme un cheval, avec un tronc, deux bras dhumain, et son visage navait pas changé, sauf ses yeux, qui avaient la même couleur que ceux dOdin.
Le vieil homme se regarda, galopa jusquà un vieux grand miroir, et se vit en entier
— Mais mais Odin, que mas-tu fait ? Je ne suis pas comme toi ?
— Erreur, tu es une créature de lombre, comme moi ! Un peu moins puissante, mais plus fort quun humain, et immortel, comme moi !
— Non, tu mas trompé, tu
En colère, le centaure sapprocha menaçant dOdin, mais celui-ci le regarde fixement, et le corps du centaure sarrêta net. Il voulait avancer, mais son corps ne lui obéissait plus, il navait plus aucune prise sur sa volonté. Ses pattes étaient comme figée dans du béton.
— Tant que tu mobéiras, tu seras le plus puissant, après moi ! Contente-toi de cette place, et profite de ta puissance nouvelle.
— Mais tu nas pas respecté notre pacte
— Si je lai respecté : tu voulais limmortalité ? Tu las !
— Et la force ?
Odin lui montra une colonne décorative, en marbre plein. Elle était là depuis des générations, et navait pas sa place dans le décor du château, mais était si lourde que personne ne lavait jamais fait enlever.
— Brise-la
Le centaure obéit à Odin. Il trottina jusquà la colonne, et frappa de son poing avec toute sa rage sur le marbre. Il sattendait à avoir le poignet cassé mais au lieu de cela, le marbre explosa, comme du plâtre !
— Tu voulais la force ? Tu las et pour la puissance Emma !
Emma aurait préféré senfuir, mais Odin contrôlait sa volonté. Elle sapprocha du centaure, lui caressa les flancs, lui murmura des paroles rassurantes à loreille, comme on fait avec un cheval puis elle sagenouilla, caressant toujours les flancs de « lanimal » Elle passa en dessous du corps du centaure, lui caressa la croupe, puis alla chercher son membre qui sortit bien vite sous les caresses dEmma : Cétait un sexe détalon ! Emma nen avait jamais vu en vrai Elle navait jamais vu un sexe si long de sa vie ! Au moins quatre fois plus long quun sexe dhomme ! Elle lécha le bout de ce sexe, et sentant que le centaure se cabra, flatta sa croupe pour le calmer. Elle narrivait pas à le mettre en bouche, et avait besoin de ses deux mains pour le branler tout en léchant le pourtour. Le centaure se cabrant de plus en plus, elle se mit à quatre patte, et avec sa main guida lénorme sexe vers son intimité. Elle écarta ses jambes un maximum, et pressa le sexe de cheval contre son vagin, puis, doucement, le poussa à lintérieur. Elle ne put le faire rentrer quau tiers dans son vagin, puis fit de lent mouvement de va et viens, glissant sur cette énorme queue et criant son plaisir, mouillant beaucoup, et le cheval aussi, faisant une petite flaque au sol le centaure sa cabrant, Evelyne et Sophie vinrent lui caresser la croupe et les flancs, pour lempêcher de prendre la direction des opérations et culbuter Emma, se qui savérerait dangereux pour elle, vu la longueur de son membre. Les mouvements de bassin dEmma saccélérèrent, le centaure hennit comme un cheval, son énorme queue battit et il déversa un flot de sperme impressionnant et très liquide dans le vagin dEmma, qui déborda de ce sperme chevalin. Evelyne et Sophie saccroupirent à leur tour, une à gauche et lautre à droite dEmma (toujours accroupie) et lui léchèrent les jambes, ramassant avec leurs langues le sperme de cheval et sa mouille. Evelyne lécha la jambe gauche, remonta sur les fesses, léchant les fesses dEmma, sa fente, son anus, et introduisant avec gourmandise sa langue dans son anus, tandis que Sophie lui léchait goulûment la chatte, avalant le plus de sperme et de mouille quelle pouvait.
— Il suffit ! fit Odin. Nous avons dautres choses à faire ! Alors centaure, que penses-tu de ta nouvelle « puissance » ? Ah ah ah ah !