Mamie Geneviève 18

Durant le dîner, ma fille Agnès et moi discutons joyeusement alors que Gilles, son mari, louche toujours sur ma poitrine. Négligemment, je lisse mon chemisier pour qu’il épouse mieux le galbe de mes seins. Comme je n’ai plus de soutien-gorge, le petit coquin peut mieux apprécier la forme de mes tétons surtout qu’ils sont bien durs actuellement.

Lors de la conversation, Agnès nous signale que demain, après le travail, elle doit absolument aller à son cours de « zumba », une sorte de danse hyperactive qui fait bien transpirer, m’explique-t-elle. Il est inutile qu’elle me fasse un dessin, tout d’abord je sais qu’elle ne va pas travailler demain, puisqu’elle a fixé un rendez-vous avec Mélanie, son amante. D’autre part sa gymnastique, c’est avec sa jolie petite rouquine qu’elle va la faire !

Elle ajoute à l’adresse de son époux :

— Dis-moi Gilles, ça ne t’ennuie pas de rester avec ma mère demain, fais-lui visiter la ville si elle veut. Fais avec elle tout ce qu’elle souhaitera

— Euh. Pas de problème Agnès.

— Merci, tu es gentil

Je vois briller dans l’il de Gilles l’intérêt soudain qu’il éprouve dans la perspective d’être seul avec sa belle-mère. Il en pince pour moi le gendre ! D’ailleurs, je sens son pied toucher le mien. J’attends quelques minutes avant de rompre ce contact coquin en réajustant ma position sur la chaise.

Plus tard dans la soirée, je confie discrètement à Agnès que son mari est bien chaud et qu’elle devrait en profiter une fois qu’ils seront au lit. Elle me lance alors un regard glacé, puis se met à sourire comprenant que je la taquine. Son cur et son corps sont pour une femme désormais et plus pour son mari.

Elle me donne un blanc seing pour m’occuper de Gilles. Si c’est la bonne façon de lui faire reprendre confiance en lui et qu’il puisse enfin aller mieux pour reprendre une vie normale.

De plus, si elle veut le quitter, il faudra qu’il soit en bonnes dispositions morales pour accepter la séparation.

En m’endormant, je repense aux évènements de la journée, à cette femme qui m’a pelotée dans l’avion, à la belle Mélanie rencontrée par hasard et qui se trouve être l’amante de ma fille, à Gilles mon gendre préféré qui a le moral dans les chaussettes et que j’ai bien envie de secouer (au moins sa bite !) 

.

Au petit matin, je me lève pour rejoindre Agnès qui est déjà prête pour aller « travailler » ou plutôt pour aller passer une longue journée avec sa chérie en me laissant son mari en gage.

Agnès me remercie pour ma complicité et me promet de se rendre plus disponible dès demain après-midi. Elle se dit désolée de m’abandonner pour aujourd’hui, mais elle est trop impatiente de retrouver sa chérie qu’elle n’avait pas vue depuis près de deux semaines.

Je la rassure et lui souhaite une bonne journée d’extase !

Ma fille et moi nous câlinons de longues minutes avant qu’elle ne quitte la maison.

Comme Gilles dort encore, j’ai tout le temps pour faire ma toilette et m’habiller. Je choisis:

Un chemisier rose très fin, une jupe noire serrée qui m’arrive à mi-cuisse. Coté dessous, c’est plutôt sexy. Soutien gorge pigeonnant rouge joliment brodé de noir, avec la culotte échancrée et le porte-jarretelles assortis. J’ai hésité pour choisir les bas et me suis dit que ceux à résille feraient un peu trop « pute », j’ai préféré ceux à couture, très rétro’ que j’ai achetés récemment.

Je reste en mules pour l’instant afin d’éviter de faire du bruit avec mes talons sur le carrelage.

Plus d’une heure après, j’entends la chasse d’eau, puis le bruit de la douche, Gilles est levé. Comme j’ai eu le temps de repérer la façon qu’ils ont de ranger les choses dans la cuisine, j’en profite pour préparer un petit déjeuner à mon gendre.

Quand il apparaît, je me rends compte qu’il a fait un effort sur sa tenue. Bien rasé, bien propre sur lui et sentant bon. Son visage s’éclaire et son regard me balaie furtivement des pieds à la tête. Nous nous faisons la bise et il est ravi que je lui aie préparé son café.

Je m’affaire en lui tournant le dos et sens encore une fois son regard sur mes fesses ou mes mollets. Je crois qu’il est ferré mon petit poisson!

En me penchant lentement pour ramasser une serviette que j’ai fait tomber subrepticement, je le provoque un peu plus en lui offrant tout le panorama de mon arrière train.

J’entends déjà son souffle s’accélérer !

Pour faire diversion, je me tourne vers lui et lui demande ce qu’il compte me proposer pour la journée ; en lui précisant quelques une de mes préférences. Il bredouille pour me répondre une esquisse de programme auquel j’adhère rapidement.

Je le rejoins à table et déguste un café en sa compagnie alors qu’il est à nouveau fasciné par ma poitrine. Mon soutien-gorge fait des merveilles pour magnifier mes seins à travers mon chemisier.

Quand nous prenons la route, je remarque les regards furtifs qu’il lance sur mes jambes. Il faut dire que ma jupe s’est un peu retroussée en m’asseyant et qu’elle arrive à la lisière de mes bas. Je meurs d’envie de palper sa braguette pour vérifier si il bande du fait de me mater les cuisses !

Nous nous baladons un peu en ville, découvrons ensemble des magasins sympathiques, puis passons ensemble un déjeuner charmant avant d’aller au musée. Après quoi, nous retournons à la voiture en traversant un parc très romantique. Je le remercie chaleureusement du temps qu’il me consacre et de toute sa gentillesse à mon égard.

Je suis sincère, car Gilles s’est révélé très agréable avec moi toute la journée, même quand nous faisions les boutiques, ce qui a tendance à ennuyer les hommes d’ordinaire.

Je lui dis combien il est charmant et que je l’ai toujours apprécié, ce qui est totalement vrai. Le bougre rosit à mes paroles et me confie à son tour qu’il m’a toujours adorée, laissant planer le doute sur l’ambiguïté du mot « adorée ».

Je lui demande de préciser si il veut dire apprécié en tant que belle-mère’ ou bien femme portée aux nues’ ?

« Les deux ! » me répond-il.

Son regard d’abord un peu timide se teinte d’une sorte de fascination, alors qu’il me fixe intensément durant quelques secondes.

C’est à mon tour de rougir !

Au retour, ses coups d’il sur mes jambes sont plus prononcés. Je lui lance des sourires entendus et sa gêne disparaît peu à peu. Je lève un genou, ce qui découvre un peu plus ma cuisse, pour constater que mes souliers sont salis, certainement quand j’ai marché avec mes talons dans la terre meuble, lors de la promenade dans le parc.

Il m’assure que ce n’est pas grave et qu’il va s’occuper de les nettoyer, une fois que nous serons rentrés à la maison.

Une fois arrivés, il me laisse franchir le seuil très galamment et me dit :

— Allez vous asseoir dans le canapé, je vous ramène vos mules.

— Mais Je risque de tout salir, mes souliers sont tellement crottés

— Ce n’est pas grave, je nettoierai plus tard

Il m’apporte les mules alors que je lui tends mes escarpins souillés. Il s’en saisit avec une délicatesse incroyable. Il les observe, fasciné, comme si c’était un trophée d’une grande valeur. Il les approche de sa poitrine, non sans au passage, se remplir les narines de l’odeur qui s’en échappe. Il faut préciser que nous avons beaucoup marché aujourd’hui et que mes pieds doivent cocoter !

Je m’assieds dans le canapé et l’observe prendre un soin particulier pour nettoyer mes chaussures. Il termine même par les lustrer à la peau de chamois. J’en déduis qu’il doit être extrêmement méticuleux ou fétichiste des chaussures de femmes, car un tel perfectionnisme est rare chez les hommes.

Il revient en portant mes hauts talons dans ses mains accolées, comme sur un plateau, et me les tend religieusement.

Il me vient une idée soudaine et lui propose en tendant mon pied :

— Gilles, vous ne voudriez pas me les chausser ?

— Si Si vous voulez  Me répond-il un peu ému.

Il s’agenouille face à moi et prend mon talon dans sa paume avec une délicatesse infinie. De son autre main, il effleure précieusement mon coup de pied, c’est plus doux qu’une caresse ce qu’il me fait, ses doigts sont plus légers qu’une plume.

Cette douceur extrême me va droit à la culotte.

Il pose avec tendresse sa joue sur mes orteils et je le laisse faire sans protester. Loin de moi cette idée de toute façon, car il me trouble énormément. Il dépose de petites bises sur mes ongles de pied. Je me sens un peu gênée de l’odeur qui peut s’en échapper, mais lui ne semble pas être dérangé, au contraire ! Il me donne, à travers le bas, de petits coups de langue entre les orteils, qui m’excitent énormément.

Je sens venir les prémisses d’une vulve trempée sous peu !

Il reste bouche bée, comme fasciné à observer mon peton, d’un petit mouvement provocateur, j’approche mon gros orteil de ses lèvres. Encouragé par mon offre, il ouvre la bouche et le gobe.

Il se met à le sucer comme si c’était une bite, en faisant tourner sa langue, en pompant, en mordillant. Le tout avec une frénésie incroyable !

La pointe de mon pied est maintenant toute mouillée par sa salive, il s’en rend compte et je l’invite à s’interrompre et à me glisser le soulier que je lui tend. Il le fait en tremblant d’excitation tout en prenant soin de soutenir délicatement ma cheville.

Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir que mon autre pied est déjà à deux centimètres de son visage. Il me lance un regard reconnaissant et ouvre la bouche pour me sucer à nouveau.

C’est la première fois que l’on me fait ça et je trouve que c’est hautement érotique.

A retenir !

Il ne s’éternise pas sur mes orteils et ses lèvres courent maintenant sur mon mollet tandis qu’il m’enfile le deuxième escarpin.

Je le laisse me biser jusqu’au genou avant de déclarer :

«  Tu me troubles, c’est trop bon ce que tu me fais! »

Ce moment d’intimité érotique m’a fait basculer dans le tutoiement, spontanément, comme si il était déjà mon amant. Il ne s’en offusque pas et répond:

– Je n’avais jamais fait ça avant ! Mais merci Geneviève !

— C’est très agréable en tout cas ! Comment t’es venue l’idée de me faire ça ?

— Il y a fort longtemps, j’étais encore jeune, maman m’avait demandé de lui masser les pieds et ça m’avait beaucoup troublé. Je ne sais pas pourquoi l’idée m’est venue maintenant.

— Tu es l’homme idéal, tu es si délicat avec moi. Veux-tu m’aider à me relever s’il te plaît.

— Oui, bien sûr

Il prend mes mains dans les siennes et m’aide avec douceur à me remettre debout. Il tente de se reculer pour me laisser passer, mais je l’attire à moi, jusqu’au contact de nos corps.

Je repense au jeune Bastien amoureux de sa mère et que j’ai dévergondé. Il me faut faire la même chose avec Gilles qui me voit un peu comme sa mère, même si je ne lui ressemble pas du tout. En effet, la maman de Gilles a mal supporté une ménopause qui lui a fait prendre beaucoup de poids.

Je souffle : « Embrasse ta maman, maintenant ! »

L’effet est instantané. Il me serre fort dans ses bras et quand je lui tends mes lèvres, il me donne un baiser passionné. Ses mains courent partout sur mon corps et finissent par s’immobiliser sur mon fessier. A mon tour, je glisse mes mains sur ses fesses que j’écrase pour qu’il plaque son pubis contre le mien.

Nos langues se mêlent, se cherchent, se taquinent. Cette fois je le sens durcir contre mon ventre. Je glisse une main, ouvre sa braguette et libère son membre pour mieux le pétrir.

Je lui souffle : 

–  J’ai envie de toi mon fils chéri, prends-moi s’il te plaît !

— Oh oui maman !

Décidément ! Tout comme Bastien, mon gendre est secrètement amoureux de sa mère. Ou plutôt de sa belle-mère en ce moment !

Avec promptitude, je quitte ma jupe et ma culotte. Gilles est totalement fasciné par ma toison et sa queue se dresse un peu plus quand je m’allonge sur le tapis, jambes ouvertes.

Il me saute carrément dessus et je me sens pénétrée en moins de deux secondes. Il s’active maladroitement un peu comme un lapin.

Je lui susurre : « Du calme mon petit, sois doux avec ta maman ! »

Il réalise sa brusquerie et devient beaucoup plus tendre pour m’aimer. Je l’aide à ouvrir mon chemisier et à dégager mes seins de mon soutien gorge. Sans cesser de me pénétrer avec douceur, il tète chaque téton avec délicatesse. Je me sens si bien à cet instant que je me laisse glisser sur la pente du plaisir.

Il m’embrasse les lèvre, me lèche l’oreille, me mordille le cou, revient suçoter ma poitrine et tout ce qu’il fait est agréable.

Je murmure :

– Libère-toi mon chéri ! Maintenant, tu peux m’aimer fort si tu veux. !

— Oui maman.

Tous ses muscles se mettent en action quand il se déchaîne pour me faire danser dans tous les sens. Une vigueur nouvelle déferle en moi. Même si Gilles n’a pas les dimensions de David, j’avoue que sa bite est très agréable à recevoir.

Mon corps tressaute sous ses coups de butoir et je n’envisage même pas de résister au plaisir qui monte jusqu’à atteindre un orgasme puissant qui me fait hurler d’extase !

Gilles s’écrase sur moi de tout son poids quand il me féconde le ventre. Heureusement que je ne sois plus fertile, car avec la dose qu’il m’envoie, je me sens totalement emplie de sa semence.

Toujours couchée sur le tapis du salon avec sa bite en moi, je serre fort mon gendre alors qu’il me fait des papouilles dans le cou. Je lui susurre :

— Merci mon chéri !

— Merci à toi maman

— Embrasse-moi

— Tout de suite maman

Notre baiser est tellement fougueux que nous n’avons pas remarqué l’arrivée d’Agnès. Hormis quand elle a caressé les fesses de son mari qui s’est brusquement redressé, saisit en flagrant délit.

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