Et oui, c’est toujours moi, Ystid jeune homme de 20 ans en vacances quelques mois et poursuivant d’habitude tranquillement ces études à la fac de Marseille. Je suis assez grand (1m84), sportif (76 kg), brun aux yeux marron clairs. Voici donc la suite, j’espère attendue.

Chapitre 3 : L’Envie.

L’été s’était terminé. J’étais rentré à la fac, ma Julie attaquait sa première année de médecine qu’elle comptait faire en une seule année, bref même si on était toujours ensemble, on se voyait de moins en moins. Elle venait parfois passer le week-end à mon appart mais en comparaison de l’été qu’elle venait de me faire passer je commençais à m’ennuyer. Boulot, boulot, boulot voilà sa nouvelle doctrine. Je comprend mais bon, je suis humain quand même. Et nous voilà invités à une soirée sympa le samedi. Julie se décommande à la dernière minute… trop de travaille en retard… Tant pis, j’irais tout seul comme un con, de toute façon y aura bien des gens que je connais là-bas ! Petit passage dans la salle de bain, voyons, chemise blanche, dockers, cat, coup de peigne et voilà c’est parti. J’arrive vers 22 h au hangar où doit se dérouler la fête. Y a du monde, de l’ambiance, des copains, bref tout va pour le mieux.

Et puis je la remarque enfin, assise près du bar. De trois quart de profile, mon regard s’arrête tout d’abord sur son sourire éclatant, elle discute avec un mec, sûrement le sien, riant comme une enfant. Elle doit avoir mon âge, ou peut être un peu plus, des yeux noisette, de fins sourcils, un petit nez légèrement rebroussé, un visage assez fin, des cheveux blonds bouclés tombant en cascade sur ces épaules dénudées. Elle porte un petit haut très joli noir avec des fantaisies en dentelle, sa poitrine semble abondante et ferme, sa taille fine et ces jambes… ah ces jambes ! Sa jupe noire fendue me laisse percevoir de magnifiques jambes interminables. Bref une fois mon regard posé sur elle, j’oubli tout, la soirée, Julie, les autres personnes présentes, je veux cette fille un point c’est tout.

Voilà ma belle inconnue qui embrasse langoureusement son mec… comme je l’envie ! Je veux cette fille ! Mais c’est bien connu, le marseillais n’est pas prêteur, et comble de mal chance, il est baraqué. Mais bon, c’est pas ça qui m’arrêtera, j’ai déjà mon plan, machiavélique, ignoble, dégeulasse, bref, un bon plan. Je rejoins ilmir et sa copine qui danse tranquilles sur la piste. Ilmir est un ami d’enfance, pas de problème, il m’aidera à arriver à mes fins. C’est donc à trois que nous rejoignons le couple assis au bar.

Mon inconnue ne l’est plus, elle s’appelle Sabrina est rentre cette année en terminale littéraire, elle a 18 ans, possède une jolie voix et de près se poitrine est encore plus belle, plusieurs fois elle surprend mon regard plonger dans son décolleté mais ne dit rien, de toute façon les décolletés c’est fait pour ça non ? Ah oui, son copain se nomme Jean, mais je crois que ça n’intéresse personne et surtout pas moi ! N’empêche qu’il en a de la chance le bougre, il doit bien s’amuser avec sa copine ! Le contact est établi, ils sont sympa, on rigole bien, on boit beaucoup… en fait c’est surtout Jean qui boit, ilmir lui sert et ressert des bières lui demandant de les vider à coup de cul sec ou autre, Sylvie la copine d’ilmir l’aide à bourrer Jean pendant que je fais les doux yeux à la jolie Sabrina.

Elle a l’air de m’apprécier, enfin j’espère, un rit beaucoup, je la taquine, lui caresse discrètement la jambe une première fois, elle me repousse, retente un peu plus tard, elle fait l’innocente, celle qui n’a pas remarqué mon manège. Houlà, Jean commence à air sérieusement entamé. On décide donc d’aller faire un tour dehors. Il est environs une heure du mat mais étant donné que j’ai la chance de vivre a Marseille, il fait encore doux. Jean titube vers la plage, Sabrina reste a mes cotés. Ah le pauvre Jean, à ce moment-là je ne l’envie plus du tout, il est dans un triste état. Ilmir propose de se rendre dans se citée universitaire située pas trop loin de là, comme ça Jean pourra s’allonger un peu… Bien, sur, comme c’est une bonne idée…

Le trajet fut un peu long quand même vu que Jean était complètement sous. Mais finalement nous sommes arrivés au quatrième étage de la veille citée-U. On est gentil, on s’occupe de Jean, bassine, serviette, c’est degeu mais on rigole bien, c’est toujours sympa de voir un mec délirer. Bon quand il vomi sur sa copine c’est tout de suite moins bien mais je suis content, ça me facilite la tache, ilmir l’a bien comprit : ’Tiens Ystid, pendant qu’on s’occupe de se pauvre Jean, tu voudrais pas montrer les douches à Sabrina, elle ne va pas rester comme ça quand même.’ Je lui rend un sourire entendu et conduit vite la demoiselle aux douches de l’étage.

?videment vers deux heures du mat y a degun dans les couloirs, juste nous deux. Sabrina entre dans la cabine de douche mais alors qu’elle allait fermer la porte, je la bloque avec le pied. Tu n’as pas besoin d’aide par hasard ? Elle fait se timide, elle hésite, j’allume alors la douche est l’eau lui tombe dessus, la moulant entièrement, cheveux, habits, jambes et chaussures, elle est tout d’abord surprise puis rit aux éclats, m’attirant à mon tour sous le jet d’eau fraîche. Trempé à mon tour, je l’éclabousse, je joue, je me rapproche. Son haut mouillé colle son corps, se poitrine, elle ne porte pas de soutif et on devine très nettement ces tétons durs sous ces vêtements. Il en est de même pour moi, le dockers humide de cache plus rien de mon érection. Les rires se font de moins en moins forts, de plus en plus espacés, on s’observe, on s’admire, nos regards se croisent, le sien fuit, puis revient. Finalement je me colle à elle pour l’embrasser fougueusement. Enfin décidée, Sabrina m’enlace, passant ces mains dans mon dos, plus sur mon torse, Lentement elle défait les boutons de ma chemise tout en continuant de caresser ma langue avec la sienne. Sans la gêner, je tend mon bras vers la porte et après quelques contorsions pour l’atteindre, je tourne le verrou pour être sur de ne pas être dérangé.

Je revient à cette jolie blonde collée contre moi, je fini de retirer ma chemise puis me détache d’elle un instant pour lui ôter son petit haut noir, libérant ses seins tant convoités. Humm, c’est une poitrine comme je les aime. Ferme, relevé, abondante, douce. L’eau ruisselle sur ces mamelons que je commence à sucer avec délectation. Comme c’est bon. Je les lèches, les suces, les masses, les mordilles, Sabrina me laisse faire en riant… Mais déjà mes mains ont abandonné ce délicieux endroit pour défaire sa jupe qui glisse rapidement le long de ces fines jambes. A travers la dentelle sombre, je contemple enfin son fin duvet blond. A genoux, je fais retire sa culotte. Sabrina , debout, s’appuis contre le carrelage froid de la bouche pour garder l’équilibre lorsque sa langue caresse enfin son sexe mouillé de plaisir. L’eau fraîche, le jus de Sabrina, la chaleur de sa chatte… quel bonheur ! Ma langue, joue avec son clito, s’enfonce entre ces lèvres gonflées… la demoiselle se trémousse de plaisir, gémis, pose ces mains sur mes épaules pour ne pas tomber sous l’intensité de son plaisir. Je m’arrête un instant, lève la tête un instant pour la regarder, contempler d’en bas sa merveilleuse poitrine, Sabrina est en sueur, elle me souri, les larmes aux yeux elle me demande de continuer, j’attend encore, elle se fait plus pressente, je ne bouge pas, elle n’en peut plus, elle approche son sexe près de mon visage écartant son orifice de la main. Je continu à la fixer dans les yeux, elle me supplie et finalement, pour son plus grand plaisir et également le miens je replonge mon visage dans sa chatte offerte. Ma langue se ballade, mes mains pétrissent ces fesses fermes légèrement bombée. Sabrina pousse des râles de plaisir. J’aspire son jus, son clito aussi, puis je relance ma langue dans l’exploration de son jardin secret. Sabrina se tend, sa respiration se fait haletante et finalement elle joui dans un soupir comblé.

Je la laisse reprendre ces esprits, en attendant je fini enfin de ma dévêtir, libérant mon sexe raide comme un piquet. Sabrina se redresse, se cale dans le coin de la douche, elle caresse un instant ma bite, la regardant, me regardant aussi, elle souri. Elle écarte ces belles jambes pour me laisser approcher de sa chatte ouverte. De sa main, elle guide mon soldat vers l’entrée du paradis puis une fois mon gland gonflé posé sur ces lèvres, je glisse doucement en elle. Ah, Sabrina et moi poussons un soupir satisfait. Je glisse doucement de plus en plus profondément en elle jusqu’à cogner le fond de son vagin. La demoiselle m’enlace alors de ces douces jambes et s’accroche au tuyau de la douche. Je commence des vas et viens, doux, lent mais profond. Sabrina est aux anges, fermant les yeux, toute entière à son plaisir. Ses seins ruisselant accompagnent le rythme de mes pulsions, j’accélère. Sabrina pousse des cris de plus en plus fort, de plus en plus enflammé, elle se décolle du mur pour se serrer contre moi, sa tête nichée contre mon cou, ces seins contre mon torse, ces jambes enlaçant ma taille, ces fesses reposant sur mes mains, sa chatte enveloppant mon sexe, elle est tout contre moi, elle est à moi, elle m’appartient enfin. Je sens son souffle dans mon cou, je sens son pou s’emballer, J’accélère, de plus en, plus vite, de plus en plus fort, les coups de son sexe cognant la paroi de son vagin se font intolérables, cette fille collée à moi, offerte, ivre de plaisir, je n’en peux plus et lâche de puissant jets de sperme dans tout son corps. Sabrina joui alors instantanément, hurlant son plaisir. Toujours en elle, je l’embrasse affectueusement, quelle merveilleuse soirée, tout compte fait tant pis si Julie est prise par ces études, il y a tant de filles en ville que je pense pouvoir calmer toutes mes envies !

A la prochaine fois, Ystid

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