— Tu es quoi?!
Quand, trois jours plus tard, Eva est venue à la maison pour annoncer la nouvelle, ma mère était comme folle. Bien entendu, elle ne savait pas que j’étais le père vu qu’aucune ne mes maitresses ne connaissait la vérité sur les autres.
— Mais qui est le père?
— Un ex de passage…éluda ma tante.
— Un ex de passage bien entendu…
— Écoute, je vais avoir un bébé et je naurais pas de mec dans les pattes. Je ne suis pas la première et je ne serais pas la dernière…
Je m’écartais de la discussion qui m’énervait. Je ne m’inquiétais pas outre-mesure de cette paternité vu qu’Eva pouvait assumer l’enfant et ne me demandait rien tant que j’étais aux études. Elle espérait que je vienne vivre avec elle plus tard mais on verra bien…je ne suis pas encore la. Cependant je me réjouissais de cette paternité. Pourquoi? Oh vous le saurez bien assez tôt. En tout cas, avoir mit enceinte une femme…m’avait excité encore un peu plus mais j’aurais le temps d’y revenir…
Pour l’heure, autre chose en tête : Agnès. Elle était la seule sur mon tableau de chasse à ne pas encore avoir succombé à mon envie. Ne pas l’avoir encore sautée faisait que j’étais encore plus excité par elle. J’ai décidé de la mettre devant le fait accomplit, j’attendais le soir pour me mettre en action…
Agnès était sous la douche et j’entrais en étant nu. Le bruit de l’eau couvrait mon entrée et je pouvais deviner les formes de ma sur derrière le rideau. Mon pénis était bien tendu. Je soufflais, j’étais stressé étrangement… Et je tirais le rideau d’Agnès qui se retournait en criant, surprise. Elle cachait sa belle poitrine avant de se calmer.
— Tu es dingue?! me dit-elle. Sors d’ici!
— Je te veux, tu n’as pas idée…
— Mais je m’en fiche !
— Ma belle…
— Je ne suis pas ta belle!
Elle voulait sortir de la salle de bain mais je réussi à la saisir pour lui arracher un bisou, le second seulement. Et j’y ai cru car elle se laissa faire un peu plus longuement, on a eu un véritable échange et elle rougissait mais elle se retira avant de quitter la salle de bain sans même prendre le temps de se sécher.
Visiblement, elle avait plus de moralité que moi…
Le seul intérêt qu’il y avait dans le mariage de mon père était le fait de retrouver un peu la famille que je connais moins. Quelques cousines surtout puis il y avait d’autres filles et ma belle-mère, une femme qui avait quinze ans de moins que mon père. Bref, elle aurait pu être ma sur…
Je regardais ma tante Eva qui avait ses mains sur son ventre. J’étais serré dans mon pantalon, fantasme ultime que de mettre quelqu’un enceinte… J’avais repéré mes cousines, j’en comptais sept mais bon aucune n’était vraiment jolie…sauf une mais j’aurais le temps d’y revenir…
Après la cérémonie, il y avait le bal et ma mère m’avait demandé, dans le lit, d’être gentil avec ma nouvelle belle-mère pour faire plaisir à mon père (enfin, elle était jalouse ça se voyait).
Alors je m’approchais de ma belle-mère. Elle n’avait aucun cavalier. Mon père étant en train de danser avec un de mes surs.
— Bonsoir madame, dis-je.
— Oh David.
— Tu danses?
— Pourquoi pas.
Elle était contente de ce rapprochement mais, aussi proche, j’avais des idées malsaines mais je ne ferais pas cela à mon père. Pourtant, belle-maman était bien foutue : auburn pour les cheveux, yeux verts, poitrine en bonnet C, enfin vous voyez le genre. Elle me suit sur la piste mais on discute plus qu’on de danse.
— Je suis contente que tu viennes me voir. Je ne veux pas qu’on soit en conflit, que tu crois que je veux prendre la place de ta mère.
— Vu ton physique, c’est une place dans mon lit que tu peux revendiquer.
Elle piquait un phare en me regardant étrangement.
— Tu te rends compte de ce que tu me dis?
— Oh ça va, ne fais pas ta choquée, maman. Des que tu es arrivée, j’ai compris que tu voulais une situation plutôt qu’un mari.
— Tu vas le dire à ton père? Ce sera ta parole contre la mienne.
— Je sais. Mais j’espère que tu es bonne au lit pour le tenir. Tu l’étais déjà assez pour te faire épouser.
— Tu es un salop.
— Un homme déterminé. Personnellement, mon père épouse qui il veut je m’en fiche mais je ne veux pas qu’il souffre. Donc, je te surveillerais de près.
— Tu veux dire quoi?
— Aucun écart de conduite. J’aurais le temps d’y veiller.
— On peut s’arranger si tu veux…
— S’arranger?
— Tu m’as percée à jour, ton père c’est le fric. J’ai mon vrai mec et quelques…amants. Je peux t’y compter parmi eux et on s’arrangerait comme cela.
— L’idée m’intéresse, avouais-je.
Mon père était content de voir que je voulais connaitre ma belle-mère et vit d’un bon il notre balade dans le parc mais le dessein était tout autre. On était rapidement allé à l’arrière de leur voiture de jeunes mariés. Elle était dans sa robe de mariée, toute offerte à mes soins. C’était un peu moins excitant que sauter une sur mais je ne suis pas fou au point de refuser quelqu’un qui s’offre à moi. Je mettais ma main sous sa robe pour la poser sur son vagin humain. Je faisais une caresse extérieure avant dy mettre un doigt puis deux jusquà trois doigts avant de faire une série de vas-et-viens rapides.
— Bon dieu, tu es plus doué avec tes doigts que ton père avec sa bite !
— Oui, cest ce que ma mère ma dit !
— Comment ?
Je retourne cette femme pour défaire le corsage de la robe, ce qui me prit un long moment dailleurs mais je fini par le retirer sa robe et la mettre sur le siège avant. Je retirais aussi le soutien-gorge pour voir sa poitrine. Elle avait les seins bien fermes, papa avait fait un bon choix de petite pute. Javais retiré mon pantalon et je plaçais mon sexe entre les deux seins de ma belle-mère qui comprit maintenant ce quelle devait faire. Elle me branlait avec ses deux nichons et je dois bien avouer quelle sen sortait relativement bien dans cette tâche. Ma mère me lavait fait justement la nuit passée mais ce nétait pas le même niveau. Le sperme me montait au gland jusquà évacuation du liquide. Elle se le frottait sur le torse avant de lécher le surplus.
— Vas-y maintenant, montre-moi ce que tu es capable de faire avec ton beau membre.
Jétais en elle et je faisais de mon mieux pour prendre mon plaisir. Pour une fois, je me fichais de celui de ma partenaire car elle trompait mon père de plusieurs manières. (en un sens, moi aussi mais moi je men fiche).
— Que cest bonoui !!!
En cet instant, je me rappelais dEva…Je regardais ma belle-mère qui était à ma merci et je la sautais, je pourrais maisnon, cest moins intéressant que le faire avec quelquun de ma famille. Lola ? Ma mère ? Agnès si elle craque ? Toutes ? Non, pourquoi ne pas commencer par ma cousine que je venais de rencontrerune inconnue de ma famille