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Aventures coquines et sexuelles d'un trentenaire – Chapitre 3




Troisième chapitre des pérégrinations et aventures coquines et sexuelles d’un trentenaire à la vie simple et assez classique.

Certaines, de ces histoires seront réelles, d’autres un peu romancées, certaines encore complètement sortie de mon imagination et le reflet de mes fantasmes ou encore un peu des trois. A vous de deviner et de démêler, le vrai du faux !!

Bonne lecture !!

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Collègue estival un peu coquine ! Partie 1

Cet été-là, je venais d’avoir 18 ans et j’avais réussi à obtenir grâce à un ami de mes parents au boulot dans un des hôpitaux de Paris dans un service administratif. J’allais donc peu travailler et me faire pas mal d’argent pour partir ensuite en vacances. Cela me convenait très bien car mon année scolaire avait été difficile.

Les premiers jours passaient tranquillement et alors que j’étais à la table qui me servait de bureau occupé à classer des dossiers pour les archiver, je vis arriver une jolie blonde qui devait avoir mon âge accompagnée d’une des personnes de la RH que j’avais croisée le jour de mon arrivé.

Elles allèrent directement dans le bureau de la chef du service et fermèrent la porte derrière elle. Je me remis alors sur mon « passionnant ouvrage » de classement ne tenant plus compte de ce microévènement.

Au bout de quelques minutes, la porte s’ouvris de nouveau et levant juste les yeux, je vis ma chef sortir de son bureau et ayant vu que j’avais levé les yeux en sa direction me fit signe de venir. Je marquais le dossier sur lequel je travaillais pour ne pas perdre le fil, me levais et me dirigeais vers celle-ci qui me dit alors :

— Viens dans mon bureau, j’ai à te parler.

« Bien ! » répondis-je simplement en la suivant vers son bureau.

En entrant dans celui-ci, je vis la jeune fille et la personne de la personne de la RH assise qui nous attendaient.

La RH se leva alors et me salua en me serrant la main et la blonde, timidement se contenta d’un léger sourire et d’un vague bonjour.

Ma chef referma la porte du bureau derrière moi, m’invita à m’assoir sur le dernier siège libre et s’installa à son bureau.

« Bon, Gilles, tu connais déjà Mme Miro de la RH et je te présente Aurélie Josse » commença-t-elle

« Bonjour ! » lançais je sans réfléchir plus concentrer sur ce qu’allais m’annoncer ma chef que sur ce que je venais de dire

— Aurélie arrive aujourd’hui pour travailler avec nous et je me disais que comme tu étais là déjà depuis quelques jours et que tu avais déjà bien pris tes marques, tu pouvais, au moins pour aujourd’hui t’occuper d’elle pour lui présenter un peu le service, ce qu’il y à a faire et tout le reste.

« Comme vous voulez » répondis-je alors

— Après, pour ce qui est du travail comme vous avez le même profil, vous n’aurez qu’à vous arranger entre vous pour vous répartir le boulot et on fera un point ensemble d’ici la fin de la semaine, ça vous va à tous les deux ?

« Oui bien sûr » dis-je de mon côté

Aurélie fit de même.

— Bon et bien je crois que c’est réglé dans ce cas ; lança Mme Miro en se levant ; je te la confie Corinne et moi j’y vais, bonne journée

Puis elle sortit bureau.

« De mon côté, je ne vous retiens pas » dit ma chef en souriant et nous sortîmes alors du bureau.

Nous nous dirigeâmes alors vers mon bureau en silence.

— Je pense que tu peux t’installer sur celui-là, il est vide ; dis-je montrant le bureau en face du mien ; je te laisse t’installer et après je te ferais visiter l’étage.

« Merci ! » me répondit-elle avec le sourire.

…..

Les jours passèrent et Aurélie sétait détendue, nous nous entendions très bien et nos journées de classement et autres diverses tâches administratives « passionnantes » passaient assez vite.

Travaillant dans Paris, nous en profitions pour sortir pendant les pauses déjeuner pour aller manger dans le parc juste à côté ou pour de simples promenades digestives.

Nous discutions beaucoup et surtout rigolions beaucoup et elle était finalement nettement moins timide que j’ai pu le croire en la voyant la première fois dans le bureau de notre chef.

Elle était drôle, moqueuse, ne ratait jamais une bonne vanne. Elle avait un sourire magnifique et des yeux pleins de malice. Pour ne rien gâcher, elle était vraiment jolie et semblait avoir un corps magnifique malgré quelques rondeurs qui, bien au contraire, ne gâchaient rien et la rendaient selon moi encore plus belle.

Le temps passant nous devenions de plus en plus complice et je sentais bien que mon attirance envers elle était réciproque et un petit jeu de séduction commença entre nous. Les bises du matin devenaient de plus en plus appuyées et les petites réflexions de moins en moins sous-entendues étaient fréquentes.

Un jour alors que l’on nous avait demandé de ranger les archives, nous étions seuls dans la cave à trier et ranger des documents. Comme il faisait très chaud et nous devions bouger pas mal de cartons, je bus beaucoup d’eau et bien sûr à un moment, je dus me rendre aux toilettes.

« Tu vas où ? » me dit-elle sans lever le nez du dossier qu’elle était en train de lire

— Je dois passer aux toilettes !

— Ah bon ? Et pour faire quoi ?

— Tu veux vraiment des détails ?

« Bah vu la bosse de ton pantalon on peut effectivement se poser des questions » lança-t-elle en levant la tête et en fixant mon entrejambe

Je baissais alors les yeux et je vis qu’effectivement une érection déformait mon pantalon dont je ne m’étais même pas rendu compte. Un peu gêné, je ne sus pas quoi répondre mais repris vite mes esprits et répondit :

— Puisque ça semble t’intéresser tu n’as qu’à venir me donner un coup de main

— Mmmmmhhh…… ok ; dit-elle ne plantant son regard dans le mien ; une petite pause me fera du bien

« Ok, on y va alors » dis-je sceptique mais voulant entrer dans son jeu.

Aurélie déposa alors le dossier qu’elle tenait sur l’étagère devant elle et se leva pleine de grâce, elle se dirigea vers moi l’air de rien. Arrivé à mon niveau elle dit :

— Bon ! Tu avances ! Allez on y va !

« Oui, oui, ça va, il y a pas le feu » dis-je à mon tour en me retournant

Nous remontâmes alors les escaliers l’un derrière l’autre, lorsque nous arrivâmes au rez-de-chaussée nous n’avions toujours pas échangé le moindre le mot et la tension montait de plus en plus.

Arrivés devant la porte des toilettes, je posais la main sur la poigné et là regarda. Elle me sourit l’air de rien et j’ouvris alors la porte. J’entrais et tenais la porte.

Je me retournais de nouveau pour lui faire face, elle n’avait pas bougé, la tension était à son maximum. Nos regards se sont croisés et nous nous sommes fixés pendant de longues secondes.

Qui allait craquer le premier ?

« Bon allez, arrête tes conneries, va nous chercher des cafés, j’arrive dans cinq minutes » dis-je pour couper court à cette mascarade

« Aaah mais non … Tu m’as lancé un défi et je ne suis pas du genre à me défiler » répondit-elle en entrant en me tirant par la main.

Elle referma alors derrière elle, mit le verrou et fit un pas vers moi. Elle planta de nouveau son regard dans le mien et posa délicatement sa main sur mon torse. J’eus l’impression que la température avait monté de 20 degrés.

Elle s’approcha et se colla contre moi, nous nous sommes souri mutuellement et nous nous sommes embrassés, un baiser passionné et tendre à la fois. Elle se recula toujours en me regardant et en soupirant :

— Enfin ! Tu en as mis du temps !

« Toi aussi ! » répondis-je du tac au tac

« Passons aux choses sérieuses maintenant ! » dit-elle ne poussant contre le mur près du lavabo.

Le regard toujours planté dans le mien, elle glissa ses mains le long de mon torse pour arriver à ma ceinture quelle desserra d’un tour de main. Elle fit descendre mon pantalon et commença à glisser ses mains dans mon caleçon.

Pris de panique, je saisis alors ses mains et lui dit !

— Non ! Arrête ! Pas comme ça ! Pas ici !

Elle me lança alors un regard faussement en colère et dit :

— Maintenant tu te tais et tu te laisses faire ! Compris ? Sinon…

« Ok ! » répondis-je

Elle glissa entièrement ses mains dans mon caleçon et entreprit de me caresser les fesses tout en approchant son visage du mien. Elle déposa un petit baiser sur les lèvres, puis sur la joue puis finalement dans le cou où elle déposait plein de petits baisers.

Ses mains ne restaient pas inactives et étaient passées de mes fesses à mon sexe. Elle tenait mes testicules dans la main droite quelles caressaient avec délicatesse et de sa main gauche elle commença à me masturber la tête toujours plongée dans mon cou.

Elle avait une technique parfaite, elle accompagnait le mouvement de haut en bas d’un mouvement de poignet circulaire sur le gland le tout avec une grande délicatesse. Je n’allais pas tenir longtemps à ce rythme-là, d’ailleurs je lui dis :

— Arrête ! Je vais venir sinon !

« Chut ! » répondit-elle et sentant que j’étais sur le point d’exploser elle accentua la pression et mis la main droite au-dessus de mon gland.

D’un dernier mouvement circulaire sur mon gland, elle finit par me faire éjaculer dans sa main droite. Je fus pris de tremblement et je crus alors que mes jambes allaient céder sous mon poids mais je me retins en m’appuyant sur le lavabo.

Aurélie, me laissa quelques secondes pour retrouver mes esprits et je fus tiré de ma torpeur par le bruit de l’eau qui coulait. J’ouvris les yeux et je vis Aurélie mais en tenant toujours mon sexe quelle caressait doucement se laver l’autre main. Elle me sourit alors et me dis :

« Alors ? C’était bien ? » avec un petit sourire coquin

— Super ! Mais toi ? Tu n’as rien eu ?

— T’inquiète ! On a encore du temps pour que tu te rattrapes. Mais maintenant faut retourner bosser. Rhabille-toi vite et rejoins-moi en bas que l’on termine ça.

Elle déposa alors un petit baiser sur mes lèvres et sorties des toilettes.

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