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Femme BCBG, escort, non, pute – Chapitre 3




Nous sommes prêtes à partir vers Paris, Virginie me tend les clefs de sa mini pour que je conduise. Je décline loffre avouant que je nai jamais passé mon permis. Habitant la capitale depuis ma naissance, les taxis me permettent de me déplacer sans avoir de soucis de stationnement. De plus, la profession de mon époux me permet de prendre lavion pour les longues distances.

Nous allons remédier à ce problème, si tu le désires, jai un ami qui possède une auto école et qui va te prendre en charge ?

Cette proposition mintéresse, depuis quelques temps javais envisagé de passer mon permis. De Chennevieres sur Marne au Centre de Paris nous prend de longues minutes ce qui nous permet de parler de mes goûts, des siens. Un grand nombre de points nous rapproche. Sauf le sexe ou elle à cent fois mille longueurs davance.

    Elle me raconte comment un ami de son père lui a pris son pucelage chez lui, lorsquelle est venue voir sa fille qui était sa copine. Lorsquelle arriva, en entrant dans le jardin, un bruit de tondeuse à larrière de la maison attira son attention.

Ayant sonné à la grille, comme à chaque fois et nayant pas de réponse, elle entra et se dirigea vers larrière où Olivier, le père de Marie tondait. La voyant arriver, il coupa le moteur et vînt laccueillir.

Tu as rendez-vous avec ma fille ?

Non, je passais devant chez vous et je viens récupérer le CD que je lui ai prêté.

Entre me dit-il, elle est partie pour laprès midi à la piscine. Je lai vu sur la table du salon ce matin lorsque jai fait le ménage, mon épouse étant en stage pendant une semaine. Il entra dans la cuisine par une porte arrière.

    La nuque en sueur de cet homme mattira comme un aimant, josai avancer ma main pour essuyer ces perles, Olivier se retourna, surpris de ce geste. Ce mouvement me projeta contre la poitrine nu de ce bel homme dans la force de lâge.

Un regard et dun coup nos bouches se trouvèrent, se fouillèrent. Il descendit sa main vers mon petit short et à travers le tissu caressa ma fente. Il menleva mon débardeur, fait jaillir mes seins. Prise dans un tourbillon que je ne maîtrisais pas, je sentis mon short senvoler, me sentis saisir et portée sur la table de la cuisine.

Tu veux me demanda-t-il ?

Je murmurai oui.

    Et le sexe entra en moi. Pas de douleur, rapidement les va et vient dans mon vagin m’entraînèrent des larmes de plaisir. Un orgasme me submergea dès cette première pénétration. Mes glandes pour la première fois inondèrent nos jambes et le sol de la cuisine. Olivier se retira de mon sexe pour éjaculer sur mon ventre pour éviter le maximum de risque. Après la séparation, je constatai les dégâts sur mes jambes et sur le sol.

Pendant quelques secondes je pris peur de ce qui les avait inondées.

Voyant mon désarroi, Olivier me rassura et m’expliqua ce quon m’avait dit plutôt sur les femmes fontaines. Il alla chercher une serpillière, puis, à quatre pattes tous les deux, moi les fesses et le vagin à lair, lui le sexe pendant, lenvie nous rattrapa, il mempoigna par les hanches, se frotta contre moi et me prit en levrette.

Ayant déjà éjaculé une fois, il lima ma fente longtemps, ce qui me permit de prendre mon pied plusieurs fois.

    Les jours qui ont suivi chaque fois que sa femme et sa fille sabsentaient, il m’appelait, jaccourais et nous faisions lamour toujours de façon plus ardente.

Un après midi où il m’avait téléphoné, il me laboura couchée sur une vieille couverture dans la remise du jardin. Un bruit, la porte souvrit et sa femme entra.

Elle était partie en course pour laprès midi, avait oublié son porte feuille, ne voyant pas son homme, elle l’avait cherché et nous a trouvés en train de copuler.

Virginie avait détallé sans demander son reste, me confia-telle.

Dans les jours qui suivirent, la maison fut mise en vente et leur divorce prononcé.

Elle ne les a jamais revus.

    Grâce à son histoire, le trajet a été court et nous sommes arrivées au parking privé de linstitut où une place est réservée pour la mini. Pour la première fois je nentrai pas comme cliente. Virginie me présenta à ses deux employées que je connaissais déjà, Antoinette et Odile.

    Toute la matinée je restai à la caisse où jencaissais les sommes dues par les clientes. Je pris ce travail très à cur ayant limpression dêtre très utile a mon amie.

A midi nous sommes allées manger dans un bistrot voisin toutes les quatre.

A la table voisine deux hommes dînaient, ils tentèrent dengager la conversation, mais comme de belles garces que nous sommes, nous nous sommes évertuées à les ignorer. Après le café je les ai embrassées toutes les trois devant rentrer chez moi avant que Pierre narrive et ne me pose des questions embarrassantes.

Comme prévu-il arrive vers quinze heures, il membrasse sur le front, me demande de venir masseoir dans le salon.

Deux détails mintriguent, pourquoi ce chaste baiser et pourquoi na-t-il pas ses bagages ?

Sasseyant face à moi, il mannonce quil va me quitter. Nous allons nous séparer.

Il a rencontré une de ses hôtesses de lair, depuis quelques semaines, ils sont tombés amoureux et à chaque escale ils ont une vie de couple. Elle lattend au bas de limmeuble et après avoir récupérer quelques affaires il va la rejoindre. Pierre mexplique que depuis que nous sommes mariés la femme soumise que je suis ne le satisfaisait pas et que sa nouvelle compagne a un tempérament de feu. Jéclate en sanglots, ce qui ne lémeut pas, il me dit quil prend en charge le divorce, quil a déjà contacté un avocat, qui a déjà mis en marche la procédure. Il me donne un papier sur lequel il a marqué ses coordonnés afin que je lappelle rapidement. Comme je ne le saisis pas, il le pose sur la table du salon. Il me dit que ma situation financière, ayant quelques bien personnels à la suite du décès de mes parents emportés par un chauffard sur un passage clouté et lassurance mayant indemnisée, me permettra de vivre puisque je ne travaille pas.

Les affaires de mes parents, dont jai hérité, outre un compte en banque confortable et une maison à Saint-Palais sur mer située directement sur la plage de cette charmante station balnéaire de Charente maritime, me permettront de voir venir avant de toucher la part de la vente de notre appartement commun.

    Je continue à pleurer à chaudes larmes me surprenant même à le supplier de ne pas me quitter. Pourtant dans mon fort intérieur, je vois déjà ce que cette séparation va mapporter. Il se lève savance vers moi pour me redonner un baiser sur le front, je le repousse, il se retourne et part vers la chambre. Je ne bouge pas et quelques minutes plus tard, jentends la porte dentrée claquer. Je reste quelques minutes prostrées, je respire un grand coup et me rend dans la salle de bain me passer de leau sur la figure. Ma tête dans la glace avec mon maquillage dégoulinant à la suite de mes pleurs me fond partir dans un fou rire que rien ne semble vouloir arrêter.

    Je me lave, me remaquille et retourne au salon pour appeler Virginie. Nayant pas de vis à vis, jenlève mes habits et massois nue dans le canapé. Bien installée, jappelle Virginie. Antoinette me répond quelle ne peut venir au téléphone étant en cabine avec une cliente. Je lui demande de lui laisser un message pour qu’elle passe à mon appartement après avoir fermé son salon. Elle naura quà appeler à la porte afin que je lui ouvre, elle montera à lappartement dix, troisième étage.

Toujours nue, trouvant de plus en plus agréable dêtre dans cette tenue, je me rends dans la chambre pour ouvrir mes armoires et commencer à trier les vêtements que je vais garder après avoir définitivement quitter ce lieu où ma vie a été comme mise en parenthèse pendant six ans. Le temps passe rapidement et à dix neuf heures trente la sonnerie de linterphone sonne. Je débloque la porte et me place derrière la mienne. Jentends lascenseur arriver, jouvre me cachant derrière le battant.

Radieuse Virginie entre et me tombe dans les bras.

Oh ! Tu es nue merci, mais tu es seule ? Où est ton mari ?

Je pensais que tu mavais fait venir pour me le présenter. Alors que jétais décidée à ne pas pleurer, jéclate en sanglot, ma biche me prend dans ses bras et me cajole. Elle laisse passer du temps et me demande ce qui marrive. Pierre est venu comme prévu et m’a annoncé quil en aimait une autre et me quittait. Elle me sert plus fort contre elle, prend son mouchoir dans son sac et essuie mes yeux. Jarrive à surmonter mon émotion, éclate de rire un peu nerveusement. Jai du mal à trouver les mots pour lui exprimer ce que je ressens, je veux lui faire comprendre que ce nest pas la trahison que mon éducation stricte fait remonter en moi mais la peur de linconnu de l’avenir.

Sur ton avenir, aucun problème, me dit-elle, si tu apprécies ce que nous avons vécu depuis deux jours, tu vas vivre maintenant des moments inoubliables, bien sûr si tu acceptes de me suivre les yeux fermés. Quand tu sentiras que tu es prête à tassumer, nous ferons le nécessaire pour organiser ton autonomie. Pour linstant, viens, que nous préparions quelques affaires, je temmène pour le week-end à Chennevieres.

Aussitôt dit aussitôt fait, elle me choisit une tenue dans ce que jai sorti. Prends un sac de sport et mets quelques affaires dedans. Toujours aussi virevoltante elle mentraîne dans la salle de bain, me lave la figure, me sèche et me remaquille. Pimpantes, nous quittons le logement et reprenons le chemin de son pavillon.

Avant de partir, je noublie pas de récupérer ladresse de lavocat laisser par Pierre.

Chemin faisant, Virginie me donne des conseils. Surtout ne pas donner des armes à Pierre pour sen servir lors de notre divorce. Pas dhomme dans ma vie lui permettant en passant par un détective privé davoir des photos compromettantes. Souvent dans les procédures on saperçoit que ceux qui, comme mon mari, prennent officiellement tout à leur compte, attend la faute pour ne rien avoir à payer.

Tu vas récupérer le maximum dargent afin de lui faire payer les six années où il na pas su donner un plaisir maximum à ta petite chatte. Ton mec na pas su te baiser comme tu le mérites et comme il aurait dû le faire et maintenant quil en a trouvé une autre qui sait bouger sous lui il séclipse. Tu ne feras rien pour que ton divorce traîne en longueur, mais tu feras tout pour quil soit entièrement à ton avantage.

Un dernier conseil, quand tu rencontreras dans les jours prochains lavocat, méfie-t’en plus que tout, cest son avocat, tu ne le connais pas et tu ne sais pas la connivence quil y a entre eux. Accepte le divorce à lamiable : ce sera plus rapide mais garde tes distances envers lui surtout sil est bel homme. Le temps de discuter de tout ce que je vais avoir à faire pour le divorce, nous sommes arrivées.

La voiture rangée au garage, nous déposons mes affaires dans une chambre contiguë à celle de Virginie. Je constate que la chambre de mon amie est entièrement rangée, le lit tiré à quatre épingles.

Quelquun vient entretenir ton pavillon ?

Oui une jeune voisine de dix huit ans, Anne, seule avec un enfant de six mois. Le mec qui l’a mise enceinte sest éclipsé lorsquil a connu son état. Ne souhaitant pas avorter, elle a gardé le bébé, une petite fille que jadore comme ma fille.

Elle vient tous les jours. Elle gère ma maison plus comme une gouvernante quune employée de maison. Elle soccupe de mes courses et de mes repas, cela me permet de profiter entièrement de mon pied à terre sans aucun souci. Elle habite dans un petit appartement dans limmeuble que nous avons longé à cent mètres dici.

Nous-nous mettons nues, tombons dans les bras, nous goûtons nos bouches goulûment. Virginie marrête, me propose de faire le tour de la maison pour que je me sente à laise et nhésite pas à aller où bon me semble. Quatre chambres, deux au rez-de-chaussée avec salle de bain commune munie d’une baignoire.

Deux à létage, avec salle de bain et douche. La salle à manger et le salon sont spacieux et la cuisine est dun seul tenant. Deux toilettes et une buanderie complète lensemble. Nous franchisons la porte de la cuisine et je découvre un espace magnifique, le jardin. Assez grand, entouré dun mur de deux mètres de haut sans aucune vis à vis possible. Au centre une piscine couverte de bonne taille.

La couverture mobile, est assez grande pour y mettre quatre transats, une table et des chaises. Au fond, sur le côté, un chalet de bois savère être un sauna. Ajouté à lensemble, autour de la margelle, une pelouse parfaitement entretenue. Pour compléter le tableau, le jardin se ferme sur le garage attenant à la maison ou une porte permet datteindre le matériel et le système de filtration de la piscine. Japprends que cette piscine est à température constante grâce à un système solaire intégré dans la couverture.

Nous entrons dans ce petit paradis, leau est à vingt deux degrés, sans hésiter, je plonge dans cette merveille. Rapidement je parcours les vingt mètres de sa longueur dans un crawl parfait, les heures doisiveté permanente de ma vie me permettait daller à la piscine Henri-de-Montherland dans le seizième arrondissement trois fois par semaine. Virginie plonge à son tour et nous entamons des allers-retours intenses.

Elle flanche la première et sarrête sur les marches pour se reposer. Je fais encore deux longueurs pour valider ma victoire. Pour la première fois, je la domine dans une activité. Arrivée à sa hauteur, elle menlace et nos corps sentremêlent. Ces doigts viennent fouiller mon intimité et cette caresse dans leau amplifie les sensations ressenties. Je prends une grande goulée dair, je plonge et je viens souder ma bouche à sa fente. Je relâche lair emmagasiné dans mes poumons petit à petit et je sens que ces petites bulles passant dans son intimité lui procurent énormément de plaisir. Avant de ressortir-je lâche les ultimes parcelles doxygène restant dans mes poumons, malgré leau, je lentends pousser un immense râle de plaisir. Lorsque jémerge, je vois son corps avoir un dernier soubresaut de plaisir.

Cest la première fois que lon ma fait jouir simplement avec des bulles dair, me dit-elle, quand je te dis que tu es très douée, même mieux tu deviens une bonne salopeet jaime beaucoup cela.

Laissons nos deux amies se reposer dans leur bain, ce chapitre trois a épuisé son narrateur, allons nous reposer, nous aussi, nous reviendrons vous voir demain matin. Bonne nuit.

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