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Il fait de moi ce qu'i' veut – Chapitre 1




C’est par un mail de mon "maitre" que je suis convoqué.

Mon maître, j’ai du mal avec ce mot, mais c’est ainsi, je suis son soumis, sa chose, sa pute, sa salope, comme il aime à m’appeler lorsqu’il me domine.

Il n’est pas beau, sensiblement plus âgé que moi, mais je suis conscient que je ne cherche pas qu’un homme qui me plaise, les hommes sont de purs objets pour ma sexualité.

Je dois porter un slip blanc.

Je dois l’appeler quand je suis devant chez lui. Il vient me chercher.

Je sais maintenant que je ne dois plus parler, juste obéir.

Il y a une véritable tension dans l’ascenseur, son regard sur moi, sa main qui parfois vient tâter mon sexe à travers mon pantalon.

Dans l’entrée de son appartement, je dois me mettre en slip, les mains sur la tête. Je sens son souffle dans mon cou, ses mains qui parcourent mon corps, mes seins qu’il pince entre ses ongles et qui me font l’effet de lames. Mes fesses qu’il caresse, ses mains qui entrent dans mon slip, mon sexe qui commence à bander et qu’il masturbe, ses doigts qui s’immiscent entre mes fesses et viennent appuyer sur mon anus.

Mon slip est maintenant baissé à mi cuisses, je suis offert nu les mains sur la tête à cet homme qui me palpe et me tripote.

Il me conduit à la salle de bains, je retire mon slip, entre dans la douche.

Il veut à chaque fois que je me fasse un lavement, l’idée de voir son sexe ou ses doigts souillés, le dégoûte.

Cette fois, il ne quitte pas la salle de bains pour me laisser me préparer. Il me demande de m’agenouiller dans la douche, il ouvre son pantalon, sort son sexe. J’imagine ce qu’il va faire, je trouve cela répugnant, je dois savoir si j’arrête ou si j’accepte, l’excitation est plus forte que le dégoût, j’avais bien sûr envisagé cette possibilité, je n’avais rien décidé.

Le premier jet d’urine atteint mon torse, le liquide chaud coule entre mes poils. Puis son jet se dirige vers mon visage, il m’ordonne d’ouvrir la bouche. Je reçois son urine, l’odeur, le goût, l’humiliation d’être réduit à l’état de pissotière comme il dit.

Je n’avale pas son urine elle coule de ma bouche, sur mes lèvres, mon menton, le long de mon torse, vers mon ventre, puis mon pubis et mon sexe.

Je me surprends à passer du dégoût à l’excitation, je bande et me caresse sous cette douche dorée.

Il me donne son sexe à sucer lorsqu’il a terminé. Il a bien compris que cela m’a excité il voit mon sexe, il voit ma masturbation. Il m’abandonne ainsi à genoux, couvert d’urine.

Je sens de la victoire dans son regard, il m’a imposé une étape supplémentaire dans la soumission et l’humiliation.

Je me lave, me nettoie, me rince la bouche pour enlever ce goût, puis je me prépare pour lui, pour être sûr qu’il pourra me posséder.

Je le rejoins dans son salon, il a recouvert le sol de draps. Etalé sur une table, le matériel. Il me bande les yeux, c’est une étape très difficile pour moi, il sait que je n’aime pas, c’est angoissant.

Il me passe un collier puis des poignets en cuir avec un anneau aux mains et aux pieds. Il m’attache dans l’encadrement de la double porte de son salon, il a fixé au plafond des crochets, au sol aussi, me voilà nu, le corps en croix, sur la pointe des pieds.

Je sens son regard sur moi, je suis à sa merci, je n’ai plus comme les premières fois, la crainte qu’il dérape, je ne cherche plus comment je pourrais arracher les crochets du plafond pour me défendre… Il touche au matériel sur la table, le bruit d’une chaine, celui des pinces à seins qu’il vient placer sur le plus petit bout de mes pointes, là où la pression sera maximale, et où le poids de la chaîne accentuera la douleur.

J’ai mes couilles dans sa main qu’il serre, il est à l’écoute de mon corps, et ne pousse pas la douleur trop loin, il sait que je ne suis pas là pour ça, ça fait partie du deal.

Des douleurs maîtrisées, mais avant tout je veux être sa chose, être utilisé, humilié.

Il me passe une cordelette autour du scrotum, pour bien tendre ma peau autour de mes couilles, il tend la corde vers le haut en me demande de la coincer entre mes dents, mes couilles sont tirées, je ne dois pas desserrer les dents pour réduire cette tension. Je dois avoir l’air ridicule ainsi, mais cela m’est complètement égal.

Il passe derrière moi et commence faire claquer sa main sur mes fesses, 10 fois, 20 fois, presque toujours au même endroit. La douleur est là, chaque fois que je bouge pour esquiver un peu de la force des fessées, je me retrouve à tirer plus fort sur la corde que je ne dois pas lâcher.

Il me caresse un peu, me masturbe, la sensation est alors très forte, plus forte que lors d’une masturbation amoureuse…

Il me détache du plafond pour m’attacher les bras croisés dans le dos et me conduit sur un fauteuil sur lequel je dois être à genoux, le cul offert afin qu’il y positionne un plug Lorsqu’il contourne le fauteuil, c’est alors ma bouche qui lui est offerte. Il pousse son sexe dans ma bouche et s’enfonce autant qu’il peut, provoquant chez moi des hauts le cur, il s’en fiche et se sert de ma bouche comme d’un sexe. La sensation est alors celle d’un véritable abandon de soi. Il se retire de ma bouche, je l’entends enfiler un préservatif, il m’offre du poppers à sniffer, il sait que j’aime ça lorsqu’il me sodomise, et je sais qu’il sera brutal lorsqu’il sera en moi, s’enfonçant au plus loin le plus fort, que pendant cinq minutes, cadencées par des claques sur mes fesses, je serai bousculé au rythme de ses va-et-vient.

Il s’arrête, je sens son regard sur mon anus, j’aime ça, comme j’aime ses doigts qui me fouillent. Il libère mes couilles de la cordelette, les tire bien en arrière, et les pousse en moi, je suis à genoux, offert, avec mes propres couilles enfoncées dans mon cul. Mon sexe a débandé, la sodomie a cet effet sur moi.

Il me détache les mains et m’allonge sur le dos et vient positionner son sexe et ses couilles qu’il me demande de lécher, je sens son corps qui bascule peu à peu, et ma langue qui est maintenant proche de son anus, il le pose littéralement sur ma bouche, ne me laissant d’autre choix que le lécher et d’y enfoncer ma langue comme il le demande, une caresse que je me croyais incapable de faire à un homme. Pendant ce temps, je sens qu’il se masturbe, il me demande d’en faire autant, c’est sur mon visage qu’il a décidé de se lâcher, et je sens son sperme, l’odeur de son sperme sur mon visage, sur mon nez, mes lèvres, en pleine masturbation cela est excitant, je vais éjaculer aussi, il veut me voir jouir, je retarde au maximum le moment, mon éjaculation est abondante, je le sens dans mon sexe, l’excitation a été forte, la séance a pris du temps, il m’a plusieurs fois amené proche du plaisir, alors la quantité est là…

Avec ses doigts, il prélève le sperme sur mon sexe, sur mon ventre et m’enfonce ses doigts dans la bouche, il sait qu’après avoir joui, cela est très compliqué pour moi. Parfois il me fait jouir sur la table et m’oblige à lécher la table. L’excitation est retombée, j’ai un sentiment de honte, mais je le fais, sinon je sais que je ne le reverrai plus, ce que je n’arrive pas à me résoudre à faire, même si je me dis que ma sexualité est extrême et que plus le temps passe, plus j’ai besoin d’aller loin…

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