Notre histoire se situe dans la ville de Kobe au Japon où la famille Suzuki habite un joli appartement, typiquement japonais, tout en bois.

Le père Ashjka est un cadre dans une entreprise japonaise d’exportation de jouets, il a des sérieux problèmes dans l’entreprise, la conjoncture est mauvaise, la Chine qui n’a évidement pas les mêmes salaires pose de sérieuses difficultés de vente.

La mère Yoni, très jolie, pas encore 40 ans, est une parfaite mère au foyer qui passe son temps à nettoyer.

Le fils ainé, Kasaki est dans une école professionnelle, il vient d’avoir 19 ans, comme beaucoup de jeunes, assez travaillé par les hormones.

La fille cadette, Yaksa, fait des études d’infirmière elle a un peu moins d’une année que son frère.

Au cours d’une soirée, alors que tout le monde est déjà couché, Yoni qui avait oublié d’aller pisser va faire le nécessaire et en rentrant, il entend une dispute qui a éclaté dans la chambre de ses parents. Sa mère est assez en colère.

— Ashjka, depuis combien de temps tu ne t’es plus intéressé à moi, je suis encore jeune et j’ai l’impression que je ne suis qu’une servante bonne à te repasser tes chemises et à faire les repas.

— Fiche-moi la paix, je suis fatigué et demain nous avons une réunion très importante pour l’avenir de l’entreprise, je dois absolument être au top, il en va de mon avenir professionnel et du futur de l’entreprise.

— Avec qui tu t’es marié, avec l’entreprise ou avec moi?

— C’est toujours pas toi qui fournis l’argent de la famille.

— Parlant d’argent, tu ne m’as presque rien donné pour faire les achats.

— Je te redonnerai demain, mais laisse-moi dormir, je suis crevé.

— Cela va durer jusqu’à quand?

— Je ne sais pas, mais fous-moi la paix.

La-dessus, il se fait un relatif silence, entrecoupé de reniflements de sa mère qui n’a pas eu ce qu’elle voulait. Kasaki retourne dans son lit songeur.

" Maman a l’air d’être négligée et a besoin d’un bon coup de queue pour lui rendre le sourire, oui, mais comment faire, je vois qu’elle a aussi des problèmes d’argent, il faudra que je joue serré, mais ce serait super d’avoir mon vide couille à la maison. Surtout que cela doit être une affaire si elle est affamée de bites, le père est con ou il en a une autre à se mettre sous la main? Demain, il faudra que je me la joue. "

Le lendemain, le père après avoir pris ses pilules pour sa prostate qui le chicane, car pas assez souvent purgée, par l’air soucieux à son travail, suivit de la fille.

" Qu’est-ce que fait mon fainéant de fils, il n’est pas encore levé, je vais aller lui secouer les puces. "

Sans plus attendre, Yoni va dans la chambre de son fil, ouvre grand les rideaux.

— C’est le moment de te lever mon fils, tu dois aller à l’école!

— Laisse-moi tranquille, répond-il de mauvaise humeur de copie parfaite du paternel.

La mère, sans commentaire s’en retourne à sa cuisine pour préparer le petit déjeuner et finalement son fils descend en pyjama pour manger. Il voit sa mère en train de préparer la lessive et subtilement va lui vider son porte-monnaie.

Yoni se doute de quelque chose.

— Qu’est-ce que tu fais là? Tu n’es pas encore habillé?

— Rien, je monte me recoucher. Je ne suis pas bien.

Là-dessus, Yoni contrôle que son porte-monnaie a bien ce qu’il contenait. "Zut le salaud, il m’a pris ce que mon mari m’a laissé pour le ménage, c’est vraiment l’horreur, je n’ai plus rien pour aller faire les achats de la journée, je ne vais pas laisser passer ça comme ça non!

Pendant ce temps, le fils s’est recouché en se branlant un peu pour avoir un bel objet à présenter et il baisse son slip pour bien montrer son équipement.

Yoni monte les escaliers et vient dans la chambre de son fils.

— Tu vas me rendre ce que tu m’as pris!

— Dis maman, ça va bien avec papa?

— Là n’est pas la question, rends-moi l’argent, j’en ai vraiment besoin.

— Oui, mais regarde ce que j’ai pour toi!

Brusquement il retire son drap et présente son sexe dressé et turgescent. Yoni surprise se retourne et troublée repart dans sa cuisine. Kasaki la suit à distance et négligemment remet ce qu’il a pris dans le porte-monnaie.

Discrètement Yoni va contrôler qu’il a bien remis l’argent du ménage, mais à ce moment Kasaki lui dit:

— Je vous ai écouté hier avec papa, il semble que tu es drôlement négligée depuis un bon moment! Tu as vu ce que j’ai pour toi! Lui dit-il en baissant à nouveau son froc.

Là-dessus, sa mère lui balance une baffe monstrueuse et veut s’en aller dans sa chambre, mais Yoni ne l’entend pas de cette oreille, il sait que sa mère est une femelle en manque grave. Il lui prend le bras et la plaque contre la table de la cuisine, relève sa robe, baisse sa culotte et la descend jusque parterre pour l’enlever, là-dessus, il se crache un peu sur les doigts pour mouiller un peu la chatte de sa mère.

Sa mère est prise entre deux sentiments, la bite dressée de son fils ne l’a pas laissée indifférente, cela la change de celle de son mari qui pend maintenant lamentablement entre ses jambes, avec son fils, elle voit qu’elle inspire au moins l’envie, elle apprécie qu’il risque tout pour la combler, mais d’un autre côté, c’est son fils et cela ne se fait pas.

Elle ne résiste pas à l’action de son fils qui d’un coup de queue la pénètre violemment, heureusement que la vue de ce pénis en érection lui a chauffé les sangs et mouillé sa pastille. La pénétration se fait sans heurt ni souffrance. Enfin quelque chose qui me remplit.

" Mon fils me bourre bien, c’est fou, j’ai bien fait de ne pas résister, je sens le plaisir m’envahir, le bonheur de sentir une bonne queue bien érigée qui me laboure la tirelire (NDR je ne suis pas sûr qu’au Japon on désigne le sexe d’une femme par tirelire, mais ce ne serait pas surprenant au pays des geishas), il est endurant mon fils, que c’est bon, je sens monter en moi l’état de grâce qui précède l’orgasme, le polisson, voila qu’il me déshabille le haut et il me triture les nichons. C’est la totale, je ne peux me retenir, je me cramponne à la table tellement que ce qu’il me fait est bon, je m’éclate dans un orgasme violent. C’est qu’il n’a pas encore lâché l’obole de ses couilles, il dure et il continue comme un fou à me limer. Je remonte le long des rideaux. C’est fou ce qu’il est bon mon fils. ça y est, il m’arrose divinement bien mes ovaires, j’en suis toute étourdie. Voilà, sa petite affaire conclue, il remonte son pyjama et part à l’école, rien de doux, j’ai les jambes un peu fauchées, enfin je me rajuste et je vois parterre, les restes de son délicieux forfait. "

En même temps, son fils une fois que sa mère est redescendue à la présentation de son sexe en érection a également sujet de réflexion:

" Première étape franchie, la mettre en appétit. Pour continuer de l’amadouer, je vais remettre l’argent dans son porte-monnaie et après, je vais lui avouer mon envie de la baiser, lui expliquer que ce serait bien pour les deux et tant pis pour mon con de père qui ne pense qu’au boulot. Cet idiot, il vit pour travailler et non pas il travaille pour vivre.

Bon je descends et remets l’argent à sa place et annonce à maman tout ce que je pense et je baisse mon froc pour lui attiser l’envie de ma queue. Aïe, je me prends la baffe du dimanche, elle n’y est pas allée de main morte, mais si elle veut la bagarre, je suis prêt. Je la saisis et la mets tournée sur la table avec son cul en offrande. Elle ne réagit pas trop, il faut dire que je la tiens fermement, je lui relève sa robe pour apprécier son cul qui représente bien l’empire du soleil levant le soir au clair de lune. Magnifique. Il faut maintenant que je baisse la culotte, d’une main, cela va jusqu’à un certain point, mais si je veux la maintenir, il faut que je finisse avec mon pied pour la faire descendre jusqu’en bas. Elle ne réagit pas négativement, elle a abandonné toute idée de résistance, probablement que l’offre dépasse ce qu’elle attendait depuis longtemps. Je mouille un peu son entrée du paradis et ça y est, je me plante, Oh c’est bon, et encore bon et toujours bon, je me plante et replante, nique et repique. J’ai envie de lui tâter les boilles à lait, c’est doux et agréable, j’aime quand je sens le téton se dresser sous mon attouchement. Ça y est, l’ennemi s’est rendu, il participe corps et âmes à l’action, elle en veut maintenant, je sens que son conin répond bien à mes sollicitations, elle se crispe et couine de plaisir, je crois qu’elle a enfin un orgasme mérité, c’est ultra chaud là-dedans, je sens aussi la crème me monter pas au nez, mais au bout de la queue, maintenant qu’elle a eu ce que je voulais, je vais aussi avoir mon plaisir, j’accélère ma cadence, augmente l’ampleur de mes mouvements, pas vrai, elle repart pour un deuxième tour, je ne tiens plus, il faut que je décharge, sinon la pression va me faire exploser les couilles, ça y est, je décharge de tout mon saoul ce que j’accumule dans ma prostate depuis des temps immémoriaux, merci Maman! Bon c’est pas tout, mais avec cela, il faut que je me grouille, je risque d’être en retard au boulot et ce con de Suzuki ne tolère rien!"

Le soir la famille se retrouve à table et après le souper, chacun vaque à ses occupations et Kasaki après une douche bien méritée, ne trouve rien de mieux que de se remémorer le plaisir qu’ils ont partagé avec sa mère et du coup, il recommence à bander quand tout à coup son portable commence à sonner dans sa chambre.

" Zut quel est le con qui s’amuse à me téléphoner pendant que je paluche? Il attendra que je le rappelle"

Mais sa sur chérie, toute dévouée prend le téléphone et rentre dans la chambre de bain pour le lui donner et voit son frère à poil, la bite conquérante à deux doigts d’envoyer la sauce béarnaise.

— Tiens prends ton téléphone.

— Merci, tu peux t’en aller, lui répond-il en prenant le téléphone

Sa sur ressort avec un sourire complice en regardant ce bel instrument qui se trouve auto manipuler en se disant, ce serait aussi bien si c’était moi qui le trafiquerais. Cela m’a tout trempé mon minou.

Finalement la nuit arrive et tout le monde se retrouve au lit, évidemment Yoni ayant eu plus que sa ration de bonheur, ne va pas chercher vers son mari à la nouille molle le plaisir, mais néanmoins, elle rêvasse sur la baise qu’elle a eu avec son fils, c’était super bon, mais quand même. C’est vrai qu’il a du désir pour moi et que quand il me baise, je sens que je suis quelque chose pour lui. J’en reviens à mouiller, mais avec le con qui est à côté de moi, je ne peux rien faire. Bon je vais m’endormir, demain est un autre jour.

Le lendemain, le scénario habituel se répète, le père et la fille quitte la maison quand le fils émerge enfin de sa chambre, à nouveau la bite au garde à vous. Il s’approche de sa mère et lui prend la main.

— Sens maman comme je te désire, caresse-moi un peu.

Mais si tôt le matin, même si le désir est encore là à la vue de ce bâton d’amour dressé pour la servir, elle reste relativement passive. Elle lâche finalement cette pine bien dure et s’enfuit dans sa chambre en se posant des questions.

" C’est sûr qu’il a envie de remettre ça, comment je vais faire, je ne peux quand même pas me soumettre à sa volonté et forniquer tous les jours en trompant mon mari, mais rien qu’à y penser, je sais que je ne vais pas résister à son désir qui est aussi le mien par-dessus tout. C’est pas vrai, je sens mon sexe qui est en train de se mouiller rien que d’imaginer ce qu’il va me faire. Tiens-le voilà, mais qu’est-ce qu’il veut? Que je le masturbe, cela ne m’intéresse pas trop, c’est en moi que je veux sa tige et encore sans trop le faire remarquer. Mais c’est qu’il se déshabille, il ne doute pas le salaud qu’il m’a à sa disposition"

— Tiens maman, ça, c’est pour toi, hier, tu as bien apprécié, on va recommencer, mais comme ici il y a un lit, on va le faire plus agréablement, tu te sens prête?

— Mais mon fils on ne peut le faire, hier ce fut une erreur que j’ai bien appréciée, mais quand même.

— Ne sois pas hypocrite maman, tu en crèves d’envie, viens couche-toi sur le lit que je t’enlève ta culotte qui m’a l’air d’être un torchon tout mouillé. J’ai envie de te prendre, non pas comme hier qui était un peu à la façon Samouraï, mais le faire comme un amoureux à sa promise. Maintenant que j’ai enlevé tous tes dessous, je sens que ton puits d’amour est bien prêt de m’accueillir.

— Viens mon chéri, puisqu’il faut y passer autant que ce soit bon. Je vais aussi un peu plus me déshabiller, enlever mon boléro et soutien gorge que tu puisses aussi jouer avec ma poitrine.

Sur ce, Kavaki, s’enfonce dans le sexe de sa mère avec bonheur, c’est toujours très accueillant et doux, il commence la course de fonds pour lui procurer le maximum de plaisir, elle se cramponne à lui et répond à toutes ses sollicitations, son plaisir s’amplifie, ses ovaires crient famines pour recevoir leur dû de crème de pruneau, sa poitrine se durcit et ses tétons pointent comme jamais, il ne peut résister de les triturer, augmentant encore la chaleur du four maternel où sa queue est en train de rôtir de plaisir. Régulièrement, il lui remet une pelletée dans l’antre qui chauffe de plus en plus, il sent qu’elle a commencé à gravir les cimes de l’orgasme génital. Elle se crispe de plus en plus, son corps fait pratiquement un arc pour qu’il puisse se mettre encore plus profond dans son vagin. La tension est à son paroxysme quand tout d’un coup c’est l’explosion galactique le ciel se remplit d’étoiles de toutes les couleurs, elle orgasmise.

— Mon fils tu m’as bien baisée, c’était très bon, j’ai vu l’entier de la voute céleste. Il faudra qu’on le répète souvent, ton père ne t’arrive pas à la cheville, même quand on était jeune marié, il pensait déjà à sa promotion professionnelle plutôt qu’à mes charmes. C’était toujours fait trop vite pour que j’aie mon plaisir complet alors qu’avec toi, j’ai un orgasme dans la durée. Merci mon fils.

— Maman, je ne suis pas venu, je vais encore te piocher un moment pour édifier une jouissance complète

— Fais, même si j’ai déjà eu mon plaisir, je ne suis pas contre d’en avoir un deuxième.

C’est ainsi que Kavaki continue à fourrer sa mère qui part à nouveau dans le plaisir et recommence à grimper aux rideaux qui vont finir usés avant l’heure, mais cette fois, Kavaki ne se retient pas et part dans une sarabande juteuse qui libère une armée de spermatozoïdes qui viennent envahir les trompes de salope de sa mère.

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