Les voyeurs se font sucer par Anne.
Les aventures d’Anne et Patrick racontées par les deux protagonistes.
LE GITE NATURISTE
Chapitre 8
Résumé de la 1ère partie.
Nous avons fait les magasins en terminant par un sex-shop. Après une séance d’essayage torride, Patrick était tellement excité qu’il s’est stationné dans un parking souterrain pour me baiser. Mais des voyeurs se rincent l’il.
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Mon sexe trempé est devenu un véritable puits dans lequel plonge son énorme flotteur.
Je retiens difficilement mes cris de jouissance, oubliant où nous sommes.
Il me laboure Je le chevauche Quand je remarque deux jeunes qui se rincent l’il. Depuis quand ?
Je veux prévenir Patrick mais il est devenu sourd à mes paroles.
Il est trop excité, prêt à jouir, il accompagne mes montées et mes descentes sur son engin de formidables coups de reins, il m’assène le coup de grâce en se plantant au plus profond de mon vagin, expulsant de longues giclées de foutre toujours aussi abondantes dans ma chatte déclenchant en moi un nouvel orgasme. Je ressens comme son sperme est chaud.
Je m’effondre sur lui et lui chuchote en respirant très fort :
-Tu as vu les jeunes ? Ils n’en n’ont pas manqué une miette, mais je crois que l’on devrait trouver un endroit plus approprié.
Il m’approuve et nous ressortons en voiture du parking, le pantacourt et le slip toujours à hauteur de ses genoux et mon string sur le plancher sous le regard des deux jeunes.
Je vois l’un d’entre eux dans le rétroviseur tendre le bras et faire un signe de la main tout en souriant.
Mais je ne veux pas lâcher ma proie et pendant tout le trajet maintiens en forme mon tourmenteur.
Le risque de se faire surprendre, d’être vu par les autres a décuplé mon excitation.
A chaque feu rouge, je plonge sous le volant pour une petite gâterie, Patrick doit se dominer pour ne pas attirer les regards des autres automobilistes mais il en profite pour me doigter d’une main experte.
Maintenant, une demi-douzaine de motos nous suit. Le prochain feu vient de passer au rouge, 4 restent derrière et 2 montent à la hauteur du feu, pendant un moment, rien ne se passe quand soudain le passager, ou plutôt la passagère tourne la tête et a la vue plongeante sur ma main en plein travail entre les cuisses de Patrick, heureusement le feu repasse au vert.
Aux feux suivants, ils se sont donné le mot et nous encadrent suivant leur goût pour avoir la meilleure vue sur ma chatte ou sur le levier supplémentaire à l’avant de cette voiture dont j’essaie de tirer quelque chose.
Je ne suis pas spécialement une exhibitionniste mais je dois dire que je jubile presque d’être observée de la sorte.
Cela dure bien 15 minutes et 6 feux avant que nos routes ne divergent. Les motards s’éloignent en klaxonnant pour nous remercier du spectacle.
Nous sortons de la ville et cherchons un lieu un peu isolé sur la route du retour.
Patrick ralentit vers un petit bois et s’engage sur une aire ombragée, heureusement déserte.
La voiture à peine arrêtée, je replonge ma bouche sur son gourdin dressé et le gobe entre mes lèvres.
J’adore le goût de sa semence et de ma mouille mélangés, sa chaleur de braise.
Comme preuve de soumission, je pose sa main sur ma tête.
Je le pompe comme une assoiffée, enfonçant sa queue dans ma bouche de plus en plus profond, m’étouffant quand elle obstrue ma gorge pendant que ma main droite triture ses bourses.
Il caresse mes cheveux, me laissant uvrer et soudain appuie fortement sur ma tête, ma bouche gourmande avale petit à petit le chibre majestueux sous ses coups de reins.
Il baise littéralement ma bouche déformée par son bélier. J’en bave comme un chien au propre comme au figuré.
On n’entend plus que des bruits de succion quand enfin il donne des signes de faiblesse, sa queue vibre sous ma langue mais il ne veut pas céder déjà et arrache ma bouche de son jonc encore plus dilaté.
— Halte là, ma fille, pas si vite ! Hé, attends un peu, montons derrière, on aura plus de place, décide Patrick!
Je vais m’allonger sur la banquette arrière, il m’y rejoint tout en essayant de masquer son érection en sortant de la voiture car coup sur coup, 3 voitures ont stationné mais nous sommes cachés à leur vue par un bouquet d’arbres.
-Déshabille-toi !
Il ne me faut que quelques secondes pour que je me retrouve nue sur la banquette arrière malgré le peu de place.
Pour faire descendre la pression de sa verge, Il glisse sa main sur mes cuisses puis sa bouche, par petits baisers, remonte sur ma petite chatte pour introduire sa langue dans ma fente trempée.
Un frisson me traverse quand elle s’insinue entre mes lèvres pour chercher mon bourgeon de plaisir.
Sa langue virevolte, plongeant le plus profondément possible en moi avant de revenir inexorablement sur mon clito dardé, je redémarre au quart de tour.
Un long spasme me saisit aux tripes sous cette nouvelle jouissance, ma liqueur s’écoule dans sa bouche, je suis sur un petit nuage !
Mais sa langue continue son chemin, découvre le creux de mon nombril puis remonte jusqu’à ma poitrine pour sucer l’un de mes seins pendant que sa main droite explore son frère orphelin.
Il aspire mon téton et pour ne pas faire de jaloux va visiter l’autre.
Sa langue reprend son ascension, mon cou y passe avant que ses lèvres ne finissent sur ma bouche. Elles ont le goût de mon jus d’amour.
Mais il ne compte pas en rester là, il se couche sur moi, me prenant les hanches à pleines mains et m’embroche d’une traite de son engin toujours aussi fièrement dressé.
Il fouille ma chatte brûlante, ressortant pour me reprendre immédiatement.
Il me retourne brusquement et me laisse maintenant mener la danse.
Les passagers des véhicules sont descendus pour se détendre. Je les vois à travers le feuillage du bouquet d’arbustes.
Un couple de personnes âgées fait quelques pas, s’éloignant encore plus de nous.
Un jeune couple avec un bébé vient de sortir de la 2ème voiture, elle s’assoie sur un siège que son mari a sorti du coffre pour donner le sein à son enfant.
Rien à craindre de ce côté-là non plus.
Je ne vois pas les personnes qui occupaient la 3ème voiture, elles ont du s’écarter pour un besoin pressant.
Mais la position est inconfortable alors je sors de la voiture aussi discrètement que possible et demande à Patrick de s’asseoir sur le bord du siège, les pieds au sol.
Je me positionne aussi bien que possible, un pied dans l’habitacle et l’autre au sol pour m’empaler à nouveau sur son glaive, le guidant d’une main.
Je râle de plaisir quand soudain surgissent du petit bois les passagers de la 3ème voiture : 2 jeunes hommes d’une vingtaine d’années. Ils ne se sont pas encore rendu compte de notre manège.
Sentant mon trouble, Patrick suit mon regard, lui aussi vient de les découvrir.
— Continue, après tout ce que tu m’a fais connaître ces derniers temps, le naturisme, s’exhiber dans les magasins, les parkings et j’en passe, je commence à aimer être mâté.
Ad fatalitas ! Nous sommes pris la main dans le sac, (ou plutôt la pine dans la chatte).
En revenant vers leur voiture, les jeunes comprennent sans équivoque ce qui se passe.
Ils ne sont pas du bon côté de la voiture mais les mouvements de mon corps ne leur laissent aucun doute sur ce que je fais.
Ca excite encore plus Patrick qui redouble d’ardeur dans ses coups de reins.
Les deux voyeurs contournent la voiture pour ne plus rien rater du spectacle.
Patrick alterne les allures, doucement, puis de plus en plus vite.
Sous ses coups de bite sauvage, mes seins ballottent violemment au gré de mes mouvements, je suis obligée de me mettre sur la pointe des pieds pour amortir comme je peux ses assauts, atteignant de nouveau en quelques minutes de baise terrible l’orgasme libérateur.
Enfin, comme par défi, il prononce quelques mots suffisamment forts pour être entendu par les voyeurs :
— Attention je vais bientôt jouir !
Je le supplie :
-Crache dans ma bouche !
Le spectacle que nous offrons est sublime, je suis agenouillée, mes mains posées sur ses cuisses, mon petit cul pointé vers eux, un spectacle d’un rare érotisme sous leurs yeux exorbités.
Les mains de mon amant courent partout sur mon corps, caressant un sein, s’aventurant dans le profond sillon de mes fesses.
Un doigt glisse de mon petit illet, le massant, avant de glisser sur les grandes lèvres luisantes de cyprine.
Ma bouche vorace avale tout ce qu’elle peut de la colonne de chair sur le point d’éclater.
Aaaaahhhh oui je viens Je juuuute!
Un flot de sperme sous pression envahit ma bouche. Comme j’étouffe je suis obligée de retirer sa lance pour pouvoir avaler sa semence mais il continue de jouir couvrant mon visage et mes cheveux de longues traînées blanchâtres sous le regard médusé de notre modeste public.
L’un des jeunes a glissé la main dans son pantalon pour en extraire un sexe de bonne taille au gland déjà décalotté.
Patrick me demande de m’asseoir sur ses cuisses face à eux pour qu’ils puissent me mâter tout leur saoul.
L’un d’eux le regarde d’un air interrogatif, lui demandant muettement s’il peut approcher davantage. D’un signe de tête, il donne son approbation. Le plus courageux est maintenant juste à côté de moi, sa queue en main en train de s’astiquer, hypnotisé par la vue que je lui offre.
Je l’interpelle :
— Attends ! Rapproche-toi encore! Ma bouche est meilleure que ta main, je vais te sucer !
Le jeune homme hésite, regarde Patrick qui lui sourit. Comme il est assez prêt, je l’attrape par le poignet et dès qu’il est suffisamment proche, je retire sa main pour engouffrer son sexe très fin et l’astique de la main en même temps.
Il ne me faut malheureusement que quelques minutes pour qu’il ne lâche sa semence.
Il se vide en silence sous les yeux de son copain et de Patrick, le spectacle lui a rendu toute sa superbe et il me force à me redresser pour que je m’empale à nouveau sur son rostre toujours aussi dur.
Mais j’en veux plus, le copain s’est tellement rapproché que je peux tendre la main et saisir son pantalon pour le tirer vers moi. Je défais la ceinture de son pantalon, il saisit où je veux en venir et le déboutonne à toute vitesse, baisse son slip pour approcher sa verge tendue de mes lèvres.
A l’inverse de son copain, son sexe n’est pas très long mais assez épais, court et gros !
Je le happe en entier. Vu sa réaction, ça doit sûrement être sa première fellation.
Je m’applique alors à la faire durer, ne voulant pas qu’il parte trop vite.
J’ai de la difficulté à garder son sexe assez petit en bouche compte-tenu du fait que Patrick me pilonne de plus en plus fort.
— T’aime ça hein ?! T’aime sucer des bites et avaler leurs jus! Continue et surtout n’en perd pas une goutte, ma chérie !
Je m’applique à bien sucer le jeunot, lèche la hampe sur toute sa longueur, descend vers les couilles que je prends tour à tour dans ma bouche avant de m’attaquer au gland que j’excite de subtils coups de langue avant de tout reprendre en bouche.
D’un seul coup, sans me prévenir, il se vide en moi. Un liquide chaud est sirupeux remplit ma bouche. Je continue ma fellation sans sourciller sentant irrémédiablement dégonfler son pénis entre mes lèvres.
Il a poussé un râle si fort au moment crucial que les personnes des autres voitures ont toutes tourné la tête dans notre direction, interloquées. Les 2 jeunes prennent peur, se rhabillent rapidement et s’éloignent.
Patrick me ramone encore quelques minutes avant de me dire :
-Je crois que c’est à mon tour d’ouvrir les vannes, que préfères-tu, la chatte ou la bouche ?
Je suis trop gourmande, je m’éjecte de son pal et glisse la tête entre ses cuisses.
Je gobe son engin au moment crucial où son sperme s’en échappe, se répand dans ma bouche et glisse vers le fond de ma gorge.
Je m’accroche à l’énorme bâton crémeux, ne voulant pas le libérer avant d’en avoir extrait la dernière goutte de sa crème d’amour, en appréciant le goût si spécial.
Je me relève enfin, léchant mes lèvres encore pleines de son sperme pour attirer son attention :
-Il serait quand-même temps de rentrer. Pierre doit commencer à se poser des questions !
— Tu as fait de moi une exhibitionniste, lui dis-je et j’avoue que cela augmente ma jouissance.
Nous nous refaisons une beauté et nous partons. Dans une petite heure je retrouverai mon homme, Pierre, après que mon amant Patrick ait fait de moi une jouisseuse exhibitionniste qui en redemande.