Mon mari et son amant.
Je me suis aperçue bien des années après mon mariage que mon mari Tony était bisexuel. J’étais bien avec lui, il savait bien baiser, je prenais mon plaisir comme jamais avant. C’était même la débauche à deux. Souvent les week-ends nous ne vivions que totalement nus chez nous pour pouvoir être excités et prêts à nous faire plein de petits câlins ou de grosses baises.
J’aimais ces jours là où sous prétexte de l’embrasser sur la bouche, je mordais ses oreilles, où il me mettait la main sur la chatte et le cul à la fois. Il entrait un doigt dans le puits, et un autre dans le cul. J’aime bien ce genre de familiarité. Je rendais la pareille en le suçant et lui mettant moi aussi un doigt dans son anus. Ces jours là, nous passions une bonne partie de la journée au lit. Il commençait toujours par me lécher la chatte. Sa langue trouvait toujours de menus endroits que moi même je ne connaissais pas du tout, même si je me branle souvent.
Tony entrait dans mon puits une langue qui savait où trouver l’endroit pour me faire jouir. Ses doigts étaient soit dans mon cul, soit sur le clitoris.
Cest dailleurs lui qui mavait dépucelée, alors que je ne savais rien du sexe. Je devais avoir les dispositions voulues puisque dès la première fois quil ma caressé la chatte, il ma faite jouir. A partir de ce moment jai voulu sentir lorgasme quand jai essayé pour la première fois de me faire du bien. Jai vite trouvé lendroit et le rythme pour arriver à jouir seule. Depuis je le fais souvent, même sil est là : il aime me voir faire. Ensuite, peut être 15 jours avant le mariage nous avons fait lamour. La première douleur passée jai joui par la chatte encore une fois. Quelques jours plus tard, alors que nous attendions encore le curé, il a voulu me sodomiser. Quelle merveille que de jouir pas le cul. Je ne savais pas ce que cétait, maintenant je le demande régulièrement. Il a une façon à lui bien particulière : Il me met à quatre pattes sur le drap. Avec mes mains jécarte les fesses le plus possible. Il me masturbe la chatte, prends de ma mouille en quantité, me la pose sur lentrée du rectum. Il entre deux doigts, jamais plus, il les fait aller et venir : quand ils coulissent bien, il les remplace par son gland. Cest là que commence réellement mon plaisir anal. Je sens bien lanus souvrir, son gland me pénétrer et le reste de sa queue qui envahit mes boyaux. Ensuite il sarrête au fond, entre un doigt dans le con avant den mettre une autre lentement. Ce nest que quand il commence à menculer réellement quil me doigte. Il me demande toujours de me masturber en même temps. Je ne sais jamais si cest lui ou moi qui me donne lorgasme
Quand nous baisons, nous nous disons les fantasmes : moi cest dêtre avec deux hommes qui honorent à la fois ma fleur et mon petit trou. Lui cest davoir un amant qui le sucerait et quil enculerait. Je lui dis oui, à conditions que je me serve de cet amant pour me faire mettre devant lui. Il refusait même que je sois partagée pendant une double pénétration que jattendais.
Un week-end, quand nous étions en tenue du « dimanche » on sonne à la porte. Tony, malgré sa nudité va ouvrir : il devait connaître le visiteur.
Ils se connaissaient depuis une semaine à peu près :
— Chérie je te présente Raymond, un copain de classe avec qui nous nous sommes souvent branlés. Je ten ai parlé déjà.
Cest vrai il men a parlé avec regret.
— Je lui ai demandé de venir aujourdhui.
Jétais blottie dans un coin, un bras sur les seins et une main sur mon sexe. Après tout je ne connais pas cet homme même si cest un copain de Tony.
— Je lui ai demandé de venir pour me sucer, il aime ça, je pourrais lenculer après. Tu pourrais te branler en nous regardant.
— Je préférerais être sucée.
-Comme tu veux. Nous allons à la chambre ou sur le divan.
— Sur le divan, je préfère.
— Bien ma chérie.
Ce que je remarque surtout cest quil bande déjà, alors que son copain est toujours habillé. Cest Tony qui se charge de mettre nu son amant. Là je vois bien sa bite, longue et grosse. Dommage quelle aille dans un cul dhomme alors que jaimerai, moi, lavoir pour mes fesses. Tony est couché sur le dos, Raymond est assis entre les jambes de mon mari : il ne perd pas de temps en fariboles, il sattaque directement à la bite de Tony. Je vois bien la main qui enserre la bite. Elle descend très lentement vers les couilles. Le prépuce est tiré au maximum, moi qui fait ça je narrive jamais à un tel résultat. Quand la main remonte aussi lentement, je vois que le gland est à nouveau bien à labri. Cest à ce moment que Raymond passe une main entre les jambes de Tony pour chercher lendroit où souvent je mets un doigt : dans le cul de mon mari.
Tony ferme les yeux pour bien profiter de la masturbation. Moi je mouille : cest excitant de voir un homme en branler un autre, surtout quand cest le sien. Je massieds sur le fauteuil très près de Tony, jécarte les jambes pour me branler. Je regarde la pine de Tony caressée par un autre que moi quand la donne change, Raymond abandonne la bite de Tony pour la prendre dans la bouche : si jai vu comment faisait la bite quand je le branlais, maintenant je peux voir leffet dune bouche sur la queue. Je vois une langue entourer le gland, le lécher un bon moment, la bite est tenue avec une main à la base, comme je fais, le reste est prisonnier de la bouche un bon moment. Raymond a commencé les va et vient lentement : il accélère maintenant. Il sait fort bien faire une fellation, aussi bien, sinon mieux que moi.
Je me doigte maintenant, après avoir jouis une première fois en mettant mes mains contre ma chatte, comme pour retenir mon plaisir. Mes premières caresses ne me suffisent pas, cest pour ça que je me trouve avec deux doigts dans le con. Sans le faire exprès, mes doigts prennent la même vitesse que la bouche de Raymond. Sans doute satisfait de la fellation Tony, enfin prend un de mes seins sans sa main : là il sait bien me faire du bien. Il caresse dabord le dessous de ma gorge pour ensuite me pincer légèrement le téton. Sans trop me faire mal, ensuite il caresse le tour, toute mon aréole est flattée lentement. Jadore. Je jouis plus vite que Tony, pourtant jen ai encore envie.
Tony minvite à poser ma chatte sur sa bouche. Jadore quand il me propose un cunnilingus, mais dans ces conditions exceptionnelles, cest encore plus tentant. Je suis face à Raymond qui a une vue directe sur mes seins, ma chatte. Je profite des mains qui branlent mon mari. Je sens enfin la langue de Tony sur mon sexe. Cest moi seule qui décide de lendroit où je désire sa langue ; Je la fait mettre dabord sur le clitoris puis je saute mon puits pour quelle aille sur le rectum pour ensuite sentir la langue dans mon cul. Pour la fin je réserve le meilleur : Tony remue sa langue dans mon con pour trouver, comme souvent mes endroits sensibles. La vache, quil sait sy prendre bien.
Je regarde bien sur la bouche de Raymond qui continu à sucer la bite de Tony. Je suis bien placée pour voir quand il jouit dans cette bouche ; Il faut croire quil en avait réellement besoin : son jet de sperme est puissant puisque Raymond narrive pas à tout garder en bouche. Une coulée de sperme coule le long des commissures. Je jouis juste après Tony : je me relève pour les regarder.
Raymond se couche sur le ventre : jai juste aperçu sa queue un instant. Il est pas mal monté : jaurais bien aimé quelle soit dans mon cul en double pénétration. Tony est vite à ses cotés, il caresse les fesses lentement comme pour moi. Il passe un doigt entre les fesses, il le descend lentement vers lanus de Raymond qui réagit en relevant on arrière train : il est prêt pour la sodomie.
Tony ouvre bien les fesses de Raymond, crache largement sur lanus ouvert. Je suis obligée de ma masturber encore en le voyant faire. Je regarde attentivement la queue entrer dans le cul de son amant qui force pour ce mettre en levrette. Je peux voir enfin comme il faut la bite de Raymond, joli morceaux que je veux. Les allers et venues de Tony font relever la tête à la bite de Raymond. Jaimerai quil me la mette en se faisant enculer. Tony ma interdit de jouir de cet homme, alors jen prends mon parti, je me couche à coté des deux hommes, je me montre bien pour être vue, et je me doigte tout le temps que dure cette vrai sodomie. Je ne sais pas combien de fois jai joui.
Jarrête un instant, nen pouvant plus. Je passe derrière Tony, je caresse ses fesses un instant, je les écarte puis passe ma langue à la recherche du cul de mon mari qui accepte pour la première fois que je lui lèche le cul.
Je sens et, il me semble, jentends le jet de sperme de Raymond qui jouit. Tony ne tarde pas : son jet est puissant puisque le sperme sort du cul de Raymond.
Nous restons assis, pour une fois entre des deux hommes, complètement fatigués. Je mamuse à les faire bander : le plus vaillant est Raymond. Tant pis pour les consignes de Tony, je me baisse pour sucer la bite qui me tente. Tony ne dis rien, il me caresse le dos pendant que je suce un bon moment avant davoir la récompense ; une bonne rasade de sperme dans la bouche. Il est différent de celui de mon mari. A choisir entre les deux, je préfère celui de Tony.
Il semblerait que la semaine prochaine Raymond revient. Jespère toujours me faire baiser par les deux à la fois.
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