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La main de Velours – Chapitre 3




Jour 3 :

On pourrait croire que retrouver un membre perdu serait un truc plutôt joyeux mais là je flippe plus qu’autre chose. Internet ne m’ayant pas vraiment idée, il va falloir me résoudre à en parler à quelqu’un. La bonne nouvelle est que Christine ne s’en est pas souvenue, par contre il m’aura fallu une bonne heure pour lui prouver que je ne l’avais pas droguée pour coucher avec elle. La dernière chose dont elle se souvient est que je lui ai servi un café, est-ce que ça a un rapport avec ma main et la sensation que j’ai eue quand elle l’a touchée ? Bon, la première question est de savoir comment mon avant-bras a repoussé et pour ça, j’ai besoin de voir un médecin et le seul en qui j’ai confiance se trouve être ma grande sur Lily. Enfin, je n’ai pas vraiment confiance en elle mais elle m’est redevable et je peux m’assurer de son silence en lui demandant gentiment.

J’arrive devant son cabinet et là, j’hésite. C’est peut-être pas une bonne idée en fin de compte, d’ailleurs, le fait que ça soit la seule que j’ai eue depuis hier ne me rassure guère. Je dois vraiment être désespéré pour en arriver là. Bon allez, on respire à fond et on y va. Je frappe. Une voix me dit d’entrer et sa secrétaire m’interpelle :

"Encore vous ? Vous n’avez toujours pas de rendez-vous je présume ?

— Si c’est comme ça que vous traitez les réguliers qui passent ici, je me demande comment Liliane fait tourner la boutique.

— Les autres patients paient leurs consultations, eux – me dit-elle sèchement, le regard mauvais -, et je n’ai pas besoin de me montrer agressive envers des gens qui ont la décence de ne pas venir ici complètement ivres à huit heures du matin pour demander un certificat pour éviter le travail.

— Pauvre de vous. Maintenant vous pourriez dire à ma très chère sur que je l’attends ?

— Et pourquoi cette fois ?

— Je crois que j’ai de l’herpès, vous voulez voir ?"

Légèrement vexée par cette dernière remarque, elle se lève d’un bond en hurlant "Sortez d’ici avant que je n’appelle la police", ce qui n’a pas manqué d’alerter Lily qui sort en trombe de son cabinet pour venir voir ce qu’il se passe.

"Qu’est-ce que c’est que ce raffut ?

— Docteur, votre frère vient encore faire des siennes.

— Entre, dépêche-toi.

— Mais docteur…

— Ne vous en faites pas Madeleine, je m’en occupe.

— Et vos rendez-vous ?

— Dites-leur que je vois un patient en urgence.

— Comme vous voudrez."

Après cette conversation plus qu’amicale, je rentre et m’assied directement devant le grand bureau où ne trône aucune photo sur laquelle je suis présent, sinon toute la famille y est, même les cousins et les oncles que l’on a dû rencontrer trois fois dans nos vies. Que voulez-vous, chez nous la famille c’est important, sauf quand on a pas la présence d’esprit de faire médecine comme tout le monde. Bref, Lily s’assied et me regarde d’un air blasé, ce qui l’enlaidit pas mal. C’est dommage parce qu’en général elle est plutôt jolie avec ses yeux marron, ses cheveux noirs coupés en carré et son visage innocent. Innocent, c’est le mot juste, ça doit être pour ça que la déception lui va si mal… Bref, soyons sérieux.

"C’est pour une ordonnance ou un certificat ?

— Rien de tout ça. Je crois que j’ai un problème Liliane, j’ai besoin que tu m’examine.

— C’est une blague ?

— Non, je ne plaisante pas cette fois. J’ai vraiment besoin de toi et surtout, il faut que tu gardes ça pour toi.

— Je ne pense pas avoir à t’expliquer le principe de confidentialité du corps médical, n’importe quel…

— Ce n’est pas qu’au toubib que je demande ça, c’est aussi à ma sur. Tu dois impérativement garder ce que tu vas voir pour toi, pas un mot à quiconque, c’est un service que je te demande.

— Je te rends déjà beaucoup de services tu sais, rien que la dernière fois…

— Pasteur.

— … (Elle s’arrête net de parler, c’est à peine si elle respire quand je prononce ce mot)

— J’ai toute ton attention ?

— Je te déteste.

— Écoute, je suis prêt à oublier définitivement cette histoire, tout ce que tu as à faire est d’examiner ce que je vais te montrer et de ne rien en dire à personne, pas tant que je ne saurai pas le fin mot de cette histoire.

— Tu veux dire que… tu vas…

— Plus de services gratuits, plus de chantage et j’arrêterai de te harceler avec ça. Marché conclu ?

— D’accord, mais tu me fais peur, qu’est-ce que tu tiens tant à me montrer et qui te met dans un état pareil ?

— Ça."

J’enlève le gant que j’utilise pour cacher ma prothèse et lui montre ma main, puis je remonte la manche de ma chemise, dévoilant le reste de mon nouveau bras. Voyant qu’il s’agit d’un vrai, elle se lève brusquement et plaque sa main sur sa bouche.

"J’ai vérifié – dis-je-, pas de cicatrice ni rien qui laisserait penser à un acte de chirurgie, en plus je suis certain que c’est le mien, celui que j’ai perdu dans l’accident.

— Mais… c’est impossible, ça ne peut pas être le tien. Comment tu… Je ne sais même pas si c’est possible de greffer tout un avant bras !

— Et pourtant c’est ce que je ressens Lily, je ne peux pas l’expliquer, c’est comme ça. Tout ce que je sais, c’est que tout est revenu.

— Tu te rends bien compte que tout ça dépasse mes compétences ?

— Bien sûr, mais je sais que tu connais du monde grâce à papa. Tu peux interroger les grands pontes de la médecine, faire des recherches poussées sur le sujet, tu peux même faire toutes les analyses que tu voudras, tant que tu ne dis rien sur moi. C’est tout ce que je te demande.

— De toutes manières, tu ne m’as pas donné le choix. Maintenant laisse-moi te demander quelque chose en contrepartie, ce n’est pas une condition sine qua non, tu peux refuser si tu veux.

— Qu’est-ce que t’as en tête ?

— Si je découvre ce qu’il t’est arrivé et que je comprends comment ton bras est revenu, est-ce que tu m’autorise à publier les résultats ? Je voudrais pas avoir l’air de profiter de toi mais un cas comme celui-là pourrait faire avancer nos connaissances d’au moins dix ans ! Tu imagines si on pouvait reproduire ça sur d’autres personnes ?

— (soupir) Très bien, mais seulement lorsque tout ce mystère sera éclairci.

— Merci. Bon, commençons si tu veux bien.

— C’est pour ça que je suis là doc’.

— Enlève ta chemise, je vais examiner ça de plus près, c’est tout ce que je peux faire pour le moment. Pour le reste, il faudra que tu passes des examens dans un établissement hospitalier.

— Je crois pas que ce soit une bonne idée.

— Ne t’en fais pas, je connais un ami de papa qui tient une clinique à l’autre bout du pays, il lui doit une faveur. Là-bas personne ne te connaît et je serai le seul médecin autorisé à t’examiner.

— Bon, comme tu veux, du moment que tu prends toutes les précautions nécessaires. Dans combien de temps tu penses avoir une place pour moi là-bas ?

— Honnêtement, je ne sais pas. Je vais faire mon possible pour t’y faire rentrer dans le courant du mois. Allez, passons au choses sérieuses."

Toute guillerette voire complètement impatiente de jouer avec moi comme elle le ferait avec une nouvelle poupée, Liliane va chercher une seringue, quelques tubes vides, un petit scalpel, un tensiomètre et d’autres trucs qu’elle étale sur son bureau.

"Pour commencer, je vais palper ton bras et prendre ta tension.

— Euh, j’allais oublier, tu devrais peut-être mettre des gants avant.

— Pourquoi tu veux que j’en mette ? Le but de la manuvre est justement de toucher ton bras. Tu ne vas pas commencer à jouer les douillets quand même ?

— C’n’est pas ça mais la dernière fois que quelqu’un l’a touché, il s’est passé des trucs bizarres…

— Qu’est-ce que tu appelles bizarre au juste ?

— Et bien euh… Chris s’est jetée sur moi.

— Christine ? Ton ex ?

— T’en connais d’autres ?

— Et en quoi c’est étrange ?

— Peut-être parce que c’est mon ex et qu’on est plus censés coucher ensemble, puis aussi parce que c’était très intense, elle était comme une furie, je l’avais jamais vue comme ça.

— Je devrais peut-être pas te le dire mais de ce côté là son mec ne peut plus vraiment l’aider, ça fait des mois qu’il suit un traitement à base d’antidépresseurs. Et tu sais mieux que n’importe qui les effets néfastes que ça peut avoir sur la sexualité.

— Et c’est parce que son mec est impuissant à cause des médocs qu’elle se serait transformée en nymphomane au contact de ma main gauche ?

— Quoi ? Elle l’a vue aussi ? Comment elle a réagi ?

— Comme je viens de te l’expliquer : en me sautant dessus. D’ailleurs, je pense qu’elle ne s’en souvient même pas.

— Se souvenir de quoi ? De ta main ou du reste ?

— Les deux, figure-toi que j’ai passé toute ma soirée d’hier à la convaincre que je ne l’avais pas droguée pour arriver à mes fins.

— Bon écoute Théo, je suis certaine qu’il y a une bonne dizaine d’explications à cette situation. Maintenant laisse-moi faire mon boulot parce que j’ai mieux à faire pour toi aujourd’hui.

— D’accord, d’accord. Mais fais quand même attention, on ne sait jamais…

— Pour l’amour de…"

Tout en parlant elle se saisit de ma main et la sensation que j’avais eue hier revient, mon pouls s’accélère, mon sang bouillonne et j’ai la chair de poule. Oh merde, pas ça.

Lily respire fort, il se passe un truc. Tout ça ne me dit rien qui vaille. Vite, il faut que je fasse quelque chose. Elle me regarde droit dans les yeux et je sens que ça va pas tarder à exploser, je peux pas m’échapper, sa secrétaire est toujours là et si elle voit sa patronne se taper son frère dans un accès de folie ça se terminera mal pour nous deux. Je cours fermer la porte de son bureau, ça évitera les situations gênantes. Si seulement je savais ou elle planque ses sédatifs qu’elle garde pour les cas d’urgences, elle s’avance vers moi en se déshabillant, la blouse et le chemisier sont déjà par terre. Ok, je suis foutu je vais devoir y passer, j’espère que ce bâtiment a une bonne insonorisation.

Histoire d’en finir au plus vite avec ça je me rue pour l’embrasser et la serrer contre moi. Dire que c’était l’un de mes plus grands fantasmes d’adolescent malgré son caractère moralisateur et le fait que je n’ai pas souvent pu compter sur elle quand nous étions jeunes. Finalement ce n’est pas trop mal, ça aurait pu être pire. Je dégrafe son soutien-gorge et je peux sentir ses seins contre mon torse, un 90D tout ce qu’il y a de plus naturel, c’est bon, je suis parti. Elle sent mon érection et attrape la bosse dans mon pantalon à pleine main en me disant :

"Alors comme ça on bande pour sa grande sur ? Tu es irrécupérable, il va falloir que je m’occupe sérieusement de ton cas tu sais ?

— (Nom de dieu, qu’est-ce que je suis en train de faire ? Je vis le fantasme de mes quinze ans et ça me fait rougir comme un gosse) Lily… euh… Je veux bien coucher avec toi mais si tu pouvais éviter de rendre la situation encore plus gênante qu’elle ne l’est déjà…

— Pauvre chou, ne t’en fais pas, tu n’as pas besoin d’être gêné avec moi, allez, montre-moi ce que tu caches dans ton pantalon, le docteur va t’ausculter

— Non, sérieusement, évite ce genre de phrase, c’est perturbant."

Malheureusement elle ne semble pas vouloir m’écouter et c’est rythmé par des répliques du même tonneau qu’elle abaisse mon pantalon (et mes sous-vêtements avec) d’un coup sec et commence à me masturber doucement pendant… disons… trente secondes avant de passer directement à la fellation. Alors là, waouh ! Qui aurait cru que ma sur suçait aussi bien ? A moins que ça ne soit l’un des effets secondaires de mon toucher… Je lui demanderais bien où elle a appris ce genre de chose mais en fin de compte je ne pense pas avoir envie de savoir. Elle joue divinement avec sa langue sur mon gland et, à ma grande surprise gobe mon sexe entièrement, bon, puisque que c’est comme ça, j’attrape sa tête et commence à donner des coups reins pour m’enfoncer au fond de sa gorge, ce que visiblement elle apprécie. Je continue ce traitement un petit moment puis décide de passer directement aux choses sérieuses. Je la déshabille vite, la soulève et la prend sur son bureau en prenant soin de virer tout ce qui l’encombre. Le bruit alerte la secrétaire qui frappe à la porte pour demander si tout se passe bien, ce à quoi Lily répond par un grand "OUI !" qui je pense ne lui était pas adressé. Jusque là j’ai du bol mais pour m’assurer une discrétion relative je plaque ma main sur la bouche de ma partenaire qui ne réagit toujours pas, pensant que cela fait partie du jeu. Je me surprends moi-même à apprécier de plus en plus cette situation dangereuse, à tel point que je redouble d’effort pour faire jouir ma grande sur. Je la prends sans ménagement, lui claque les fesses et lui dévore les seins en modulant mes aller-retour dans sa chatte, elle se laisse plus aisément faire que Christine mais reste néanmoins active car ses jambes serrent ma taille pour pouvoir garder un certain rythme dans mes assauts. Perdus de nouveau dans une transe incroyable, un même orgasme nous parcours simultanément et lui sort un cri étouffé par ma main toujours sur sa bouche, tandis que mon sperme se déverse en elle. Une fois l’excitation retombée, Liliane s’accroche à mon cou et me susurre un "Je t’aime Théo" qui me fait retomber dans un état de gêne pas possible. Vaincu, je lui réponds alors : "Moi aussi grande sur, je t’aime"

Cette fois, je n’aurai pas le temps de laisser ma partenaire se reposer. Je la rhabille du mieux que je peux, range son bureau vite fait et la réveille. Je lui explique ce qu’il vient de se passer et la rassure avant qu’elle ne panique trop, je lui assure également que tout cela ne se reproduira pas et à mon tour je suis soulagé d’apprendre qu’elle prend la pilule.

En rentrant à l’appart’, je me mets à réfléchir. Je viens d’avoir la confirmation qu’avec mon bras était apparu une espèce de pouvoir me permettant d’exciter les personnes que je touche. En attendant mon séjour en clinique, je devrais peut-être essayer de comprendre comment tout ce bordel fonctionne, qui sait, je pourrais avoir l’utilité d’un tel don un de ces jours…

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