PREMIERS PAS

Bon sang qu’il fait chaud, dehors !.. Heureusement, le dernier bain dans la piscine a été rafraîchissant, et je suis retourné travailler dans mon labo, restant en maillot de bain en attendant le prochain plongeon. La maison est silencieuse, seule Marine est là, sans doute encore en train de lire à l’ombre à côté de la piscine.

La porte grince et Marine entre, elle aussi simplement vêtue de son maillot de bain deux-pièces noir aux bretelles défaites. Comment fait-elle pour ne jamais avoir un bonnet qui tombe sous le sein ? Quel dommage… – ’?a va, ici ? Hummm, il fait bon chez toi.’ – ’Ouais, ça va ici à l’ombre. Mais tu peux rester, assieds-toi’, lui dis-je en lui montrant le tabouret haut qui me sert d’habitude à travailler. En s’asseyant, sa poitrine et son bras frôlent délicieusement mon torse nu. Oh, tout à fait involontairement, sans doute, peut-être trop ’tout à fait involontairement’, on peut rêver. Hummm, la belle sent bon, sa peau est toute chaude de soleil, ferme et lisse.

Perchée sur le tabouret, les fesses sous elle et le dos appuyé au mur, les talons remontés sur la barre lui ouvrant les jambes, donnant l’impression d’offrir son bas-ventre à ma concupiscence. Mon imagination s’envole en une seconde, et dans les instants qui suivent, j’ai le plus grand mal à réfréner des pensées lubriques et un début d’érection, que la forme ample de mon maillot de bain parvient peut-être à cacher encore. Fichtre ! Je lâcherais bien les documents que je tiens pour poser mes mains sur elle ! Mais ce genre de geste ne doit pas être compris dans les relations normales oncle-nièce. Il n’empêche, cette fille grande, mince, jeune et pleine de santé est attirante. Dommage qu’elle soit ma nièce et que quinze ans nous séparent. Enfin !…

Je reviens à mon travail histoire de changer d’idées, mais sans grande conviction. Je sens qu’elle continue à me regarder un moment, comme si elle avait pu deviner mes pensées. Un instant, ce paradoxe m’amuse, de pouvoir imaginer les pires cochonneries à propos de quelqu’un qui se trouve juste à côté, tout en ayant un comportement parfaitement innocent qui ne laisse rien deviner. Tu te rends compte, Marine, que je suis en train d’imaginer ta bouche autour de mon sexe ? Que je le sens déjà gonfler sur ta langue ? Aïe, stop, C’est en train de gonfler dans mon maillot de bain, là. Il est temps de penser à autre chose !

— ’Et tu t’ennuyais pas, là-bas, à bouquiner ?’ – ’Bof, non, mais il fait tellement chaud dehors, on colle et c’est désagréable mon sous-tif qui me serre et les bretelles qui pendent, mais j’ose pas vraiment l’enlever, je trouve que mes seins sont trop petits. Qu’est-ce que t’en penses, toi ? Tu les trouves bien, tu les trouves à ton goût ?’ Et joignant le geste à la parole, elle baisse résolument les bonnets de son maillot, se cambrant instinctivement pour m’offrir une poitrine plus volumineuse. Avec tout le reste de son corps magnifiquement bronzé, couleur de pain d?épice, la pâleur de ses seins a quelque chose de merveilleusement indécent, provocateur, qui la rend très désirable. Le souffle me manque soudain devant ce spectacle si souvent souhaité, et des sentiments contradictoires m’envahissent : reculer encore, franchir le pas ? Mais qu’attend-elle, vraiment une simple appréciation ou que je fasse un premier pas ? Merde, est-ce qu’elle est vraiment innocente et je dois rester le bon tonton à cent lieues de penser à mal, ou est-ce qu’elle-même vient de faire le premier pas ?

Pour me laisser un temps de réflexion, je ne bouge toujours pas. – ’Oh non, ils ne sont pas du tout trop petits, tes seins…’ Mais tout de suite, pour ne pas laisser passer l’occasion, je relance le jeu : ’ils sont ni trop petits pour devoir les cacher, ni trop gros pour être indécents. Au contraire, ils sont superbes, tes seins : bien ronds, fermes, des tétons bien pointus.’ C’est vrai qu’ils sont à croquer, et que Marine a les aréoles gonflées et les bouts de seins qui pointent sans aucune bienséance. Elle ne doit pas être insensible au compliment et à son propre exhibitionnisme, et elle se contorsionne légèrement pour mettre son corps à moitié nu en valeur, déclenchant en moi un flot d’adrénaline et une érection qui devient difficile à cacher. C’est pas possible, elle ne peut pas faire tout ça innocemment, ça ne peut être qu’une invite.

— ’Et puisque tu me poses la question, je peux te dire qu’au contraire ils me plaisent beaucoup, tes adorables seins.’ M’avançant d’un pas, je pose le bout des doigts sur un de ses seins, effleurant à peine sa peau. Elle a comme un sursaut, un imperceptible mouvement de recul, mais fermant légèrement les yeux elle gonfle encore sa poitrine, la tend de quelques millimètres pour la rapprocher de mes doigts. Pas un souffle, pas un mot. Enhardi, je pose doucement ma main sur sa poitrine, et la caresse légèrement, laissant le temps à Marine de s’habituer à ce contact. Elle ne fait pas un geste, pour ne pas rompre ce moment décisif. Ma caresse se précise, mes doigts appuient sur sa peau, emprisonnant un sein dans ma main, frôlant un téton. Plus de doute possible pour elle, ça n’est plus un geste d’appréciation, ni de simple amitié un peu osé, ni même une coquinerie. Tous mes sens sont en alerte, j’ai chaud au bas-ventre, et je prends conscience de l’étroitesse de mon maillot de bain… Mon autre main rejoint la première pour mieux caresser sa poitrine, titillant ses tétons qui se dressent, enroulant mes doigts autour d’un globe chaud, ferme et affolant. Marine se cambre, mes caresses dépassent un peu sa poitrine. Nos corps se frôlent et se sentent sans se toucher. Une touche de plaisir se dessine sur son visage. – ’Humm, c’est doux, c’est agréable. C’est bon…’ D’un geste assuré, je dégrafe le reste de son haut de maillot, qui tombe et la laisse encore un peu plus nue qu’avant.

Ses mains jusque là inactives entourent ma taille, et attirent mon corps vers le sien, doucement mais fermement. Sa position sur le tabouret, le pubis en avant, fait que nos deux bas-ventres se touchent, et après une très brève hésitation, je lui laisse sentir mon érection déjà bien développée : au point où nous en sommes, elle doit bien savoir ce qu’elle fait, et s’attendre à trouver… ce qu’elle découvre. A son âge, elle doit bien avoir une idée de ces choses-là, même si elle n’a pas beaucoup pratiqué. Loin de s’offusquer, de s’étonner ou même de reculer, elle paraît un moment mesurer ’l’ampleur des dégâts’, puis me serre plus fort contre elle. – ’Humm’, c’est tout ce qu’elle parvient à exprimer. Mes caresses se font plus pressantes, une de mes mains descend vers son ventre, caresse ses flancs. Ses muscles sont tendus, elle se contracte un peu plus, son pubis écrase mon sexe gonflé. Fermant les yeux, elle oscille, frottant son sexe contre le mien. Je bande de plus en plus, ma verge répond à ses frottements par des mouvements incontrôlables qui accentuent encore le contact brûlant de nos ventres.

Mon esprit vagabonde fugitivement, une dernière barrière se dresse, faut-il arrêter là ? On peut encore renoncer, se séparer et en rire (un peu jaune), comme une bonne blague que l’on se serait jouée. Rien n’est consommé. Marine a dû sentir mon hésitation, car elle appuie encore un peu plus son sexe contre moi, et ses mains caressent mes reins, m’invitant à continuer. De ses lèvres s’échappe un faible murmure inintelligible que je m’empresse d’interpréter comme un encouragement. C’en est fait des bonnes résolutions que j’ai failli prendre…

Je laisse une de mes mains descendre jusqu’à son bas de maillot, en caresse le tissu et mes doigts rencontrent son mont de Vénus dont ils suivent le bombé. Marine suspend ses mouvements, sa bouche s’entrouvre sans qu’un son en sorte. Un moment d’extase muette pendant lequel elle découvre les sensations nouvelles de mes caresses à travers le tissu. La sensation doit lui plaire, car elle reprend les mouvements de son bassin, en harmonie avec ceux de ma main, pour en augmenter les effets.

Ma main remonte légèrement, pour redescendre aussitôt, mais mes doigts sont passés à l’intérieur de son slip. Ils continuent à descendre contre sa peau nue. Le visage de Marine, illuminé, reflète ce plaisir nouveau. Mes doigts rencontre sa toison légère, douce et aussi peu abondante que celle d’une adolescente. J’explore cette petite fourrure qui m’électrise, et ma main enferme son pubis comme si elle en prenait possession. Marine hoquette, se cambre, ouvre démesurément la bouche à la recherche du souffle qui lui manque. Son ventre a le même mouvement de contraction que je ressens sous mes doigts. Elle commence à haleter doucement, laissant le plaisir l’envahir. Mes doigts atteignent enfin son sexe et touchent ses grandes lèvres, brûlantes et gonflées par l’attente de caresses plus précises. Mes doigts vont et viennent sur elles, puis le long de la fente qui les sépare et que je sens s’épanouir. A nouveau, Marine a cessé de bouger, toute à l’attente et la découverte de ces sensations. Elle continue à haleter, sa poitrine se soulevant à un rythme de plus en plus rapide. Elle sent son plaisir, le découvre avec une joie qui se lit sur ses lèvres que j’ai furieusement envie de mordiller, mais comme Marine je n’ose pas bouger de peur de rompre le charme.

Ma main est gênée par l’étroitesse de son maillot, mais il est trop tôt pour le lui ôter. Pour chercher un accès plus facile, je commence par enlever ma main : Marine me lance soudainement un regard affolé, mélange de panique et de déception, craignant que le jeu soit terminé… Adorable Marine ! Mais non, je ne vais pas te laisser là, et moi non plus, d’ailleurs, je ne veux pas en rester là, tu sens bien l’état de mon sexe ! Je glisse aussitôt mes doigts par le côté de son maillot, et je retrouve vite son ventre, sa toison et ses lèvres gonflées. Les halètements de Marine reprennent, la découverte continue. Plus libres, mes doigts caressent sa chatte, glissent avec facilité le long de sa fente entrouverte. Marine mouille. Mes doigts effleurent un bourgeon naissant, arrachant un nouveau hoquet à Marine dont la plaisir augmente encore.

Elle avance sa main jusqu’à mon ventre, avec des mouvements un peu désordonnés par les ondes de plaisir qui la rattrapent. Ses doigts caressent légèrement mon sexe à travers mon maillot, en évaluent le volume, mais elle n’ose pas franchir le barrage du tissu. Sous sa caresse, une décharge électrique me secoue, un moment je me demande si je ne vais pas jouir immédiatement. Ma main se crispe sur son sexe, pousse son exploration, un de mes doigts glisse entre les lèvres de son sexe parfaitement lubrifié, et frotte l’intérieur de sa fente. Son clitoris pointe légèrement, je le sens tout vibrant sous mon majeur. Marine geint tout doucement quand mon doigt effleure son clitoris, le plaisir se lit distinctement sur son visage. Sa main se referme sur mon membre durci, puis tirant vers le bas la ceinture de mon maillot, elle libère ma bite de son carcan de tissu. Lorsque ses doigts l’effleurent, une véritable décharge électrique me parcourt, et pour la deuxième fois, j’ai du mal à me retenir de ne pas jouir prématurément. Délicatement, elle en explore les contours, et je la laisse faire, arrêtant mes propres caresses. Elle part à la découverte de mon sexe, à sa base, à sa pointe, en suit de deux doigts la tige qu’elle presse doucement pour en éprouver la fermeté.

J’ai appris qu’à la suite d’une chute, Marine avait perdu son pucelage, déchiré par un grand écart accidentel : elle n’est donc plus à proprement parler vierge, mais je soupçonne que ses expériences sexuelles sont très succinctes. Vierge, non, mais pas très expérimentée, peut-être même pucelle ! C’est bien la impression que me transmettent ses caresses, celle d’une fille découvrant ’en vrai’ le sexe d’un homme. Ses doigts s’enroulent autour de ma bite et soudain la serrent avec fermeté : je me cambre violemment et laisse à mon tour échapper un grognement de plaisir. Marine éprouve elle-même du plaisir à mon plaisir, son clitoris se dresse sous mes doigts qui ont repris leur caresse sur son sexe brûlant. Enchantée de sa découverte, elle monte et descend sa main fermée autour de ma bite, en une masturbation douce et caressante.

Gênée par la ceinture de mon maillot, elle lâche un instant mon sexe agité de palpitations, pour défaire le cordon et le tirer vers le bas et le laisse tomber à mes pieds. Je suis nu entre ses jambes ouvertes. Elle reprend mon sexe dans sa main, pendant que son autre main part à la découverte de mes testicules. Ma bite palpitant dans sa main lui indique au fur et à mesure le plaisir qu’elle me fait ressentir, et elle module ses caresses pour me faire vibrer et soupirer le plus possible. Je ne lui cache pas mon plaisir et ne réfrène pas les mouvements de mon sexe et de mon bas-ventre. – ’Tu sais’, souffle-t-elle soudain, ’c’est la première fois que je fais ça, hein.’ Alors ainsi c’est sa première expérience ? Elle n’a donc jamais fait l’amour, n’a jamais caressé un sexe masculin ? – ’Mais tu fais ça très bien, tu trouves tout ce qui fait plaisir à un garçon, tu peux pas savoir comme c’est bon, c’est abominablement bon, je sais pas comment tu fais !’ – ’Oh, j’ai juste bien regardé une cassette ’X’ de mon frère, et puis ça me vient comme ça…’ Ah, le délicieux aveu ! Pucelle et cochonne, sans expérience mais douée. Impatient, un de mes doigts se glisse un peu plus encore dans sa fente et commence à pénétrer doucement son sexe. Ses mains quittent mon ventre et se posent sur mon bras, arrêtant une seconde mon geste, puis aussitôt l’encouragent. J’en limite volontairement la pénétration, préférant quelques légères introductions à une pénétration profonde que je réserve pour ma verge. Ses mains accompagnent mon geste, elle halète en rythme, ses jambes sont largement écartées pour mieux s’offrir. Profitant de ses yeux fermés, mon regard se pose sur son sexe que mon doigt ouvre et ferme, au-dessous d’une courte toison blonde. Son clitoris est maintenant sorti de sa corolle et se dresse comme une petite bite. Ce n’est pas fréquent une fille avec un clitoris aussi érectile, et pendant que mon index va et vient en elle, mon pouce le lui caresse en même temps.

D’un geste rapide qu’elle accompagne de son bassin, je lui ôte son slip, la découvrant totalement nue, le blanc de son ventre et de ses seins la rendant à hurler de désir. Je reprends aussitôt ma caresse envahissante à l’entrée de son vagin. Elle se laisse complètement guider par le plaisir qu’elle ressent, libérée de toute inhibition, accompagne mes doigts de mouvements du bassin sans plus aucune retenue. C’est merveilleux, une pucelle comme ça, qui se libère totalement, qui s’ouvre au plaisir, qui le vit comme tout à l’heure elle vivait le mien, qui sent qu’elle a envie de faire l’amour, qui sent que ça va être bon, et qui ne demande qu’à jouir.

Son plaisir coule sur mes doigts. Sans cesser ma caresse, mon autre main guide mon gland jusqu’à ce qu’il touche l’entrée qu’explore mon index. Imperceptiblement, mon doigt cède la place au bout de mon sexe gonflé à éclater, jusqu’à ce qu’il commence à s’engager dans le ventre de Marine. Elle comprend soudain la cause de cette pénétration nettement plus large, elle comprend je suis en train d’introduire mon sexe dans son ventre vierge. Interprétant par erreur la lenteur de mon mouvement pour une hésitation à lui faire l’amour (alors que ce n’est que distiller mon plaisir extrême de la prendre pour la première fois), elle m’encourage dans un murmure : – ’oh si, viens dans mon ventre…’ Je la pénètre lentement, doucement, profitant totalement de mon plaisir, de la sensation de ma bite qui écarte les parois de son vagin, lisant en même temps la progression de ses sensations sur son visage. Elle est comme extasiée, les jambes écartelées, le ventre offert s’ouvrant et appelant ma pénétration. Je n’ai jamais vu une pucelle autant ouverte à son plaisir !

Lui enfiler la longueur de mon sexe me semble durer des heures comme s’il était immense et son ventre insondable. Ma verge palpite en la pénétrant, son vagin répond à chacune de mes palpitations. L’un comme l’autre nous retenons notre respiration jusqu’au moment où toute la longueur de mon sexe l’a pénétrée, et nous expirons chacun avec un gémissement de plaisir et de contentement. Je reste enfoncé en elle et elle reste arc-boutée vers moi. Ivres de plaisir nous sommes immobiles, respirant doucement notre plaisir et celui de l’autre. Marine frissonne doucement, se préparant à un nouveau torrent de plaisir. Que c’est bon !… Cet extraordinaire sommet de bonheur se prolonge, Marine devinant que d’autres ondes de plaisir vont encore venir. Je la regarde, elle est à la fois tendue et épanouie, ses yeux sont à peine entrouverts mais son regard est perdu on ne sait où, ses lèvres laissent échapper une respiration rapide et profonde. Ses seins sont tendus vers moi, les tétons dressés, j’ai envie de les mordiller mais je ne veux pas rompre le charme de ces instants trop fragiles. Son ventre se soulève régulièrement au rythme de sa respiration, mais sans toutefois laisser son pubis s’écarter du mien. Ma bite est profondément ancrée au fond de son ventre brûlant et humide qui m’enserre délicatement. Nos deux corps nus sont tendus l’un vers l’autre, chacun à l’affût de son propre plaisir et de celui de l’autre. Je bande terriblement fort, envahissant totalement le sexe de Marine. Il faudra que je me réfrène si je ne veux pas lui faire plus de mal que de bien.

Tout doucement, je commence à me retirer d’elle, Marine ne craint plus maintenant que je mette fin à notre partie. Elle sait que je vais lui faire l’amour, la baiser profondément pour son propre plaisir et le mien, qu’elle ignore l’un comme l’autre. Elle reste tendue vers moi, attendant de ressentir la suite de son plaisir. Je m’enfonce à nouveau en elle, un peu plus profond encore, elle se cambre et ne retient pas un mouvement en avant de son bas-ventre. Une ou deux fois encore, je sors très peu d’elle et je rentre, la jouissance s’épanouit sur sa figure. Je commence des mouvements plus amples et d’instinct Marine devine ses propres mouvements pour m’accompagner. Elle respire de plus en plus fort et va maintenant au devant de mon sexe, elle s’empale dessus lorsque je tarde à la pénétrer. Elle gémit maintenant sans se retenir. Ses mains se posent sur mes reins, guidant mon mouvement en elle à son rythme qu’elle découvre en même temps. Je la laisse monter vers un orgasme qui se devine à travers le son plus rauque de son souffle, à la crispation de ses mains, au va et vient de son ventre, aux palpitations de son vagin. Soudain tétanisée, elle ne parvient même plus à me guider, et je continue à la baiser sur le même rythme, la regardant prendre son pied comme une grande. Les yeux écarquillés, elle crie son plaisir alors que l’orgasme la submerge. Sa jouissance déclenche la mienne, je plante ma bite au plus profond de son ventre et de puissants jets de sperme inondent son ventre, brûlants et interminables. Elle ressent chaque jet, me répond chaque fois par une palpitation incontrôlée de son vagin. Un feu d’artifice m’aveugle et doucement j’arrête de la pilonner, vidé.

Quelques instants, nous restons immobiles, moi profitant de mon plaisir immense, de ses yeux pleins de bonheur, de son visage épanoui par l’orgasme, elle assimilant peu à peu toute le plaisir qu’elle vient d’éprouver.

Semblant revenir à elle, elle me sourit de toutes ses dents, de tous ses yeux, de tout son corps. – ’Alors c’était tout ça ? C’est extraordinaire, c’est fantastique… Hummmm ce que c’est bon !’ Ses bras m’enlacent et elle me serre contre elle tout son corps rivé au mien, même son sexe paraît serrer le mien encore raide dans son ventre. ?cartant légèrement son visage, elle colle ses lèvres aux miennes et me roule le patin le plus tendre et le plus passionné, si doux et si bon que je sens mon sexe se raidir à nouveau, alors que je ne l’ai pas encore retiré de son ventre. Elle pose sa tête dans le creux de mon cou, un câlin attendrissant qui me fait fondre mais certainement pas débander…

— ’C’est merveilleux de faire l’amour,’ me chuchote-t-elle dans l’oreille, ’il faudra qu’on refasse l’amour ensemble encore, c’est bon, j’aime ça très fort. Tu me referas l’amour, dis ? – ’Bien sûr que moi j’ai envie de faire encore l’amour avec toi ! Et si tu veux encore, quand tu voudras ! Tu es adorablement excitante quand tu fais l’amour, c’est très très bon et doux, et j’ai joui très très fort dans ton ventre…’ – ’Tu sais, j’avais jamais fait l’amour, avant, et quand tu es… quand tu as… quand je t’ai senti rentrer dans mon ventre, j’ai failli tourner de l’oeil tellement c’était bon. D’ailleurs, quand j’ai… quand j’ai joui, je crois que j’ai perdu conscience un instant.’ Sa timidité à trouver les mots qui conviennent me font sourire, elle le comprend bien et en sourit elle-même. – ’Tu sais , je sais pas tout dire encore ! Mais j’ai repris mes esprits quand j’ai senti que tu giclais en moi. Et puis j’ai senti comme ton… comme tu gonflais encore dans mon ventre et les contractions de ton sexe. Oh, je savais pas que c’était aussi bon ! Alors tu m’as mis plein de… plein de sperme dans mon ventre ? Hummm… Je suis pleine de toi ! Tu sais que je te sens encore dans mon ventre ? Ce que tu es raide ! Quand je t’ai caressé, je pensais que ça allait jamais rentrer, que ça ne pouvait pas me… Mais c’est fou, ça m’a envahie !’

Je sens à nouveau ma bite palpiter dans son sexe, mais elle ne sait pas je bande à nouveau, prêt à la baiser. C’est un peu trop pour une première expérience, et délicatement je sors ma bite de son délicat fourreau. Marine a un mouvement pour suivre le mien et me conserver en elle, mais je m’en extrais pourtant complètement. Saisissant mon membre raide, elle le caresse doucement, amoureusement, sans aucune timidité ni pudeur, juste avec un petit grognement de satisfaction et de reconnaissance mélangées.

Je regarde sa main qui caresse ma bite toute humide de ses propres sécrétions et de mon sperme, et son ventre aux lèvres ouvertes, toutes mouillées et repues de plaisir. Ma bite se tend et j’ai vraiment envie de violer Marine là sur le champ, même si ça ne serait pas vraiment un viol, mais je me retiens, cette première fois doit rester tel quel.

En me baissant pour ramasser son slip, ma bite lui échappe des mains, et j’embrasse les lèvres de son sexe qui pour la première fois ont un léger goût de sperme. Oh, que je me retiens pour ne pas la lécher jusqu’à la jouissance ! Voilà une chose que je me promets bien de faire.

Je lui remets péniblement son slip, pendant qu’elle en profite pour jouer avec mon sexe, agaçant le bout de mon gland. Pas à dire, la belle y prend goût et se délure rapidement !

Je parviens enfin à remettre mon propre maillot pendant qu’elle rattache son soutien-gorge. – ’Oh, ça coule le long de mes cuisses !’ Sur cette nouvelle découverte de Marine, très vite, je sors, je cours vers la piscine et m’y plonge au plus vite, alors que Marine se dirige vers la salle de bain pour une sorte de nettoyage qu’elle ne connaissait pas.

ULYSSE

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