Je m’appelle Eric. Cet été là j’avais 16 ans.

Plutôt maigrichon, préférant de beaucoup la lecture au sport, j’étais en avance de deux classe.

Je n’avais pas de vraiment d’amis. Mes camarades, plus âgés de 2 à 4 ans, suivant les cas, étaient très chaleureux lorsque je leur expliquais un cours, mais me traitaient de "surdoué à sa maman" dès le lendemain matin.

Ça lasse!

Je commençais à être intéressé par le sexe, mais je ne me sentais attiré ni par les uns ni par les autres.

Les vacances étaient dans une semaine.

Une inondation catastrophique dans le magasin de mes parents les obligea à renoncer à leurs vacances.

Ils me confièrent à ma tante Rachel, la sur de ma mère, que je n’avais pas vu depuis 2 ans.

Elle habitait un hameau dans le Var à 2 minutes de la mer, la maison qu’elle avait hérité de ses parents. Ma mère, l’aînée qui était déjà mariée, reçut le magasin avec l’appartement à l’étage.

Rachel avait fait un apprentissage de cuisinière chez un chef à 2 étoiles, obtenant d’exceptionnelles notes, avec mentions, à ses examens finaux. Elle travailla quelques années chez une star de la gastronomie française, puis elle changea complètement d’orientation, supportant mal les horaires et le stress de la profession.

Depuis maintenant dix ans, elle vivait sa seconde passion, écrivant des romans, des livres pour enfants et des articles pour des magasines.

Elle en vivait aisément. A son rythme.

Rachel vint me chercher en voiture, une superbe petite Triumph rouge. Lorsqu’elle en sortit, je fus sidéré, cloué sur place. Je n’avais jamais vu une aussi belle femme!

Elle était très ronde, avec un visage solaire et un sourire à faire fondre la banquise.

Ses yeux bleu vert et sa chevelure carotte en bataille, sa peau cuivrée et sa robe de coton rouge me provoquèrent une érection fulgurante. Je fus content d’avoir encore ma petite valise en main pour la cacher.

Elle avait trente cinq ans, de ma taille, 165 cm, des seins inouïs et de superbes fesses à l’africaine.

On l’aurait dit sortie d’un tableau de Botero. Enfin, j’exagère un petit peu

Le voyage fut comme un rêve. Dans une Triumph décapotée, avec la plus belle femme du monde qui me conduisait, ses cheveux roux dansant dans le vent, faisant plusieurs haltes pour sucer une glace ou boire un verre, je nageais en plein bonheur.

Ça me changeait du départ en vacances habituel: 600 km non stop dans la 4L de mes parents, direction Normandie, sandwiches mous et Orangina tiède, jusqu’à la ferme des parents de mon père Veaux, vaches, cochons, couvées voisine accro à sa Barbie

En arrivant, elle me montra ma chambre et me laissa le temps de m’installer, me disant qu’elle prenait sa douche et qu’elle m’appellerait pour le souper.

Après avoir défait ma valise et rangé mon petit bagage dans les tiroirs, je me dis que je prendrais volontiers une douche à mon tour.

Je me dirigeai vers la salle de bain, le cur battant à l’idée que ma tante y serait encore.

Elle avait fini, mais son odeur délicieuse flottait encore dans la pièce. Je remarquai que j’avais une légère érection, mais lorsque je trouvai deux poils roux et frisés dans la douche, ma queue bondit vers le ciel. Je ne pus me retenir de me branler et je suis venu en dix secondes.

Elle avait dressé la table sur la terrasse, et m’attendait, vêtue d’une petite robe verte, tout aussi excitante que ce matin.

Ma tante m’offrit un verre de rosé, sous prétexte que c’était les vacances et qu’elle recevait rarement des jeunes hommes chez elle.

Avant même de boire, la tête me tournait! Elle me considérait comme un jeune homme et pas un gamin.

Le repas fut délicieux: des fruits de mer en entrée puis un petit gratin sec de légumes avec des tranches d’agneau fondantes, nappées d’une sauce au romarin et à la lavande.

Je n’avais jamais rien mangé d’aussi bon!

Ma mère cuisinait très bien, je me régalais souvent. Je l’aidais fréquemment à préparer le repas du soir, après mon devoir. Je connaissais les bases.

Mais là! Ma tante atteignait des sommets!

Nous sommes restés un long moment à savourer la douceur de la nuit, le bruit de la mer au loin, discutant de ceci et cela.

Puis nous sommes allés nous coucher, fatigués par le voyage.

Je n’arrivais pas à dormir. Moi, comme un prince, chez une splendide femme de 35 ans, dans un coin de paradis, à me faire dorloter.

Je dus me masturber deux fois avant de trouver le sommeil.

Au matin, je descendis dans la cuisine et je trouvai un joli petit déjeuner qui m’attendait.

Je ne vis pas ma tante et je pensais qu’elle était sortie. Après avoir mangé, je sortis sur la terrasse et je vis Rachel sur un lit de camp, sous le grand pin au bout du jardin.

Je me dirigeai vers elle. Elle m’entendit arriver et me dit avec son immense sourire

— "Bonjour, tu as bien dormi? Oh! Je peux te demander un service?"

— "Oui, volontiers"

— "Aide moi à mettre de la crème sur le dos, s’il te plait, je n’y arrive pas bien"

Je me sentis chavirer, j’avais rêvé de cette scène il n’y a pas une heure, ce qui m’avait réveillé avec une érection en bois.

Je m’exécutais aussitôt, me délectant à masser cette peau si douce, cette chair tendre et ferme à la fois C’est la première fois que je touche une femme. Et quelle femme!

J’avais, par ignorance et conformisme, le goût des grandes blondes presque maigres, avec de gros seins.

Celles qu’on voit partout et qui donnent des complexes aux femmes "normales".

LE modèle occidental.

Je savais maintenant quel était MON bonheur.

Elle me ramena sur terre en me demandant:

— "C’est moi qui te met dans ce état?"

Je fus horriblement gêné et me pliai en deux pour tenter de cacher ma gaule.

Elle rit de bon cur et me dit:

-"Ça fait longtemps qu’on ne m’a pas fait un si joli compliment! Ne sois pas timide, redresse toi et fais moi voir tes muscle, jeune homme."

Je lui obéis, tentant de gonfler mes misérables biceps.

Elle sourit et me dit qu’on ne voit rien avec tous ces vêtements.

J’enlevais mon t-shirt et elle me regarda avec insistance jusqu’à ce que je me débarrasse de mon short.

Elle me fit signe d’approcher, s’assit au bord de son transat puis caressa tout mon corps, très doucement, posant son front contre ma poitrine, me provoquant des sursauts ou des frissons, suivant où passaient ses mains.

J’étais en extase, les yeux fermés.

Je ne remarquai pas tout de suite qu’elle ne me touchait plus. Je rouvris les yeux pour m’apercevoir qu’elle était debout devant moi, complètement nue, si belle.

Elle me serra dans ses bras, frottant lentement son corps dodu et ferme contre le mien. Ses seins durs, comme des melons jaunes, brûlaient ma poitrine. Ce contact fut si chaud et vibrant que j’éjaculai sur ses cuisses.

Mort de honte, je me risquai quand même à la regarder du coin de l’il. Une larme roulait sur sa joue et elle me souriait tendrement. Elle me serra fort dans ses bras, puis elle me relâcha un peu pour m’embrasser à pleine bouche.

Mes genoux ne me portaient plus, la tête me tournait, on se laissa couler sur le gazon. Elle se mit au dessus de moi, m’embrassant et se frottant contre moi.

Ma bite me gênait, elle était à nouveau toute dure et se trouvait coincée entre nos ventres. Rachel se redressa un peu, bougea son bassin et je sentis que ma queue touchait quelque chose de très chaud et gluant. Une seconde plus tard, je me sentis aspiré dans sa chatte brûlante.

Elle descendit, tout lentement jusqu’à ce que nos pubis se rencontrent.

Rachel fit onduler son bassin, la sensation autour de ma queue était extraordinaire, mille fois meilleur que ce que je pouvais faire tout seul.

Il faisait si chaud dans son ventre! C’était si mouillé et palpitant

Son beau visage au dessus de moi, entouré de l’incendie de ses cheveux, les yeux mi-clos, un sourire flottant sur ses lèvres charnues, son haleine enivrante, la caresse de ses cheveux sur mes épaules, ses baisers, ses soupirs…

Je jouis encore une fois.

Rachel ne s’arrêta pas pour autant. Elle ralentit un peu ses mouvements, me mordilla l’oreille, me murmura – "Encore. Je malaxais ses seins avec passion. J’ouvris les yeux. Je ne reconnus pas son visage, ses traits exprimaient presque de la souffrance, de la supplication, elle était affamée!

Cette vision fit bondir mon sexe dans son ventre dégoulinant, je bandais à nouveau comme un cerf et son mouvement de bassin m’électrisait au point de me conduire vers une nouvelle jouissance, mais cette fois elle prit les devants. Elle se cambra soudain. Je la sentis trembler comme une feuille, serrant ma bite dans son sexe brûlant. Puis elle explosa avec un grand cri. Ma verge malaxée dans son ventre en furie, je ne pus me retenir et j’ai à nouveau joui.

Elle se laissa tomber sur le dos à coté de moi en riant. Elle prit ma main et la posa sur sa chatte trempée puis elle saisit ma bite qui se dégonflait doucement.

Nous sommes restés longtemps sans bouger, un petit vent doux entretenant nos frissons.

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