Ceci est une histoire écrite à une main, un fantasme. Il va donc sans dire que le port du préservatif est une réalité, non négociable, sortez couvert ! (couches et préservatifs) bonne lecture.
Étant célibataire, tous les samedis matin, j’allais à la piscine, et après une petite heure de nage, je sortais pour me changer. C’était mon moment préféré, ma récompense, je m’essuyais bien comme il faut et mettais une couche simple avec une petite culotte. Hummm, ma récompense, mon plaisir ultime.
Je sortais de la piscine le cul rembourré. Puis je rentrais direction la maison pour une journée à trainer. Quand un jour après mon petit rituel, un homme m’interpella sur le parking. « Hey ! Dites-moi ? Je crois que vous avez oublié ça ! » Et il me tend une culotte en dentelle, ma culotte que j’avais laissée trainer dans le vestiaire. Il avait cinquante-huit, cinquante-neuf ans, et était tout sourire, la culotte dans les mains. Moi j’étais écarlate, je pris la petite culotte et sautai dans ma voiture, sans dire un mot. La semaine qui suit je changeais mes horaires, mais pas mes habitudes, je me rendais à la piscine. Et je repartis tranquillement sans oublier ma culotte cette fois-ci. Puis les semaines passèrent et cette mésaventure aussi. Quand un jour j’allais fermer la porte du vestiaire quand un bras la bloqua. C’était l’homme qui m’avait remis la culotte, il souriait et sans rien dire il sortit sont sexe devant moi. « Si tu mets des culottes de fille, c’est que tu dois aimer ça ? Aller viens ! » dit-il en ce caressant. Confuse à la vue de ce sexe je m’exécute, pour l’une de mes premières fellations. Il avait l’air d’aimer, car au bout de quelques minutes il se crispa et je sentis un liquide poisseux se rependre dans ma bouche. « C’est bien avale, et nettoie moi maintenant c’est bien, tu es une bonne petite pute. » Ces mots m’électrisaient je suçais un inconnu avalait, il m’insultait de salope et j’étais aux anges… Puis il me dit de me changer il me sécha les fesses m’inspecta le petit trou. Et me dit de m’habiller. Ce que je fis, je voulais lui cacher ma couche quand il l’aperçut. « C’est quoi ça ? Une couche ? Tu es une pute pisseuse mets-la va-y ! » Je la mets et il me demande de me tourner, et de me baisser je sens ses mains dans le bas de mon dos à la lisière de ma couche et je sens son sexe aussi il passe son sexe et se met à uriner. « Voilà, maintenant tu vas nettoyer ton maitre. » Je m’exécute en lui lapant le gland pour la dernière goutte. Puis il ouvre la porte en grand et part me laissant seule en couche pisseuse, à la vue de tout le monde heureusement il n’y avait personne.
La semaine suivante je n’arrêtais pas d’y repenser en me masturbant, ça m’excitait énormément.
Puis vint le samedi matin, et la fameuse question j’y vais, je ny vais pas ? Et puis merde allez j’y vais.
Et l’homme était là. En nage, j’y pensais, toute excitée que j’étais. Et vint le moment de me changer, et là ! Re, il se faufilât de nouveau dans ma cabine. Cette foi-ci il avait ses affaires. Il me mit à genoux sur le banc dans la cabine le cul bien cambré les mains sur le mur, il me doigta longuement. Un, deux, puis il prit du lubrifiant, et commença à forcer l’entrée avec un objet en plastique. Il fit quelques aller et retour puis d’un coup il l’enfonça. Et là une douleur monta en moi les larmes me montèrent aux yeux. Et il dit : « je le savais, je viens de te rentrer une plug de cinq centimètres de diamètre et tu l’as pris, je vais te travailler, tu auras bientôt une chatte à la place du cul ! » La douleur se dissipa et un sentiment de plaisir prit le relai, j’étais prise, presque remplie. « Tu mets des couches la nuit ? » Je lui dis que oui. « Alors la semaine prochaine tu viendras à 10 h avec ta couche de la nuit et plug, si tu veux que je m’occupe de toi ! Allez maintenant mets ta couche et suce-moi ! » Je me mis au travail, la couche au cul, avec ce bout de plastique dans les fesses, et pris beaucoup de plaisir à le faire jouir, je lâchais même un petit pipi dans ma couche, et j’avalais le jus de mon homme. Je me relève et il me dit : « Mais tu as mouillé ta couche, tu as demandé à qui ? Hein ! Viens là » il mit une main sur le plug à travers la couche et exerça une pression pendant qu’il tapait sur le devant, il frappait mon sexe et j’aimais ça…
« Tu bandes petite pute, attends la semaine prochaine, tu vas voir ! » Après ça il s’habilla et partit. « Dix heures samedi ! » Dit-il en partant laissant la porte ouverte comme à son habitude. Je finis de m’habiller et pris la direction de ma voiture plus ou moins gracieusement, avec le plug et la couche mouillée ma démarche n’était pas très discrète. Arrivée chez moi j’ai ouvert ma couche et joué avec la plug, et ne mis pas longtemps à jouir. Toute la semaine j’ai joué avec délice, j’adorais sentir le vide après son passage, je me sentais ouverte.
Le vendredi soir je mettais ma couche de nuit et le plug et mon body. J’ai mis un peu de temps à m’endormir, parce que la plug m’excitait vraiment beaucoup, puis le réveil sonna. Pas de douche, je m’habille, mange, et prends mon sac direction la piscine, j’étais déjà bien chaude. Dix heures sur le parking, le voilà il s’approche et me met la main au cul. « Tu la fais, je m’en doutais tu as aimé mon plug, et tu veux te faire baiser c’est ça, hein ? » Je lâchai un oui mécanique qui me surprit. « Ho, la salope, aller on y va ! » Arrivés aux vestiaires avant de rentrer dans la cabine il me demande de baisser mon jean, honteuse je fais. Et il me félicite : « tu as mis un body c’est bien ça petite pisseuse, ouvre le, et rentre » je m’exécute. « Maintenant en couche tout de suite » je retire tout très vite et me retrouve en couche trempée devant lui. « Tu es bien mouillée sale pisseuse, tu m’excites. » Il m’enlève ma couche méticuleusement et contrôle mon plug, il me met mon maillot, sans me laver et me dit d’aller me baigner. Je lui dis que mon plug était trop voyant. « Tu préfères ta couche ? » me dit-il. Je prends donc mon courage et ma honte à deux mains et file vers le bassin en puant le pipi, je m’arrête aux douches et hop dans l’eau, vite. Il me rejoint quelques minutes après. Puis une heure plus tard direction les vestiaires cachant mon plug comme je peux. Une fois en cabine il me déshabille et me dit de mettre ma couche. Je prends ma couche neuve et commence à la positionner. Quand il me dit : « Attends tu remets ta veille couche pas la neuve, vite ! Et mets une petite culotte par-dessus » je remets donc ma couche froide et lourde et comprends mieux le soin qu’il avait mis à la défaire. « Bien à genoux maintenant ! » Il sort son sexe et je le gobe. Comme d’habitude il jouit dans ma bouche. Ensuite il me demande de lui tourner le dos, et il passe son sexe dans ma couche déjà bien lourde et me la remplit un peu plus. « Voilà, maintenant tu baignes un peu plus dans la pisse, c’est ce que tu aimes ? Et maintenant que veux-tu faire ? Tu viens avec moi et tu décides de m’appartenir cette après-midi, ou tu rentres te changer ? » Je viens, lui dis-je sans hésiter. « Très bien c’est parti alors ! » On finit de s’habiller et on sort des vestiaires, ma couche est gonflée, et n’importe quels yeux exercés saurait que je porte une couche rien qu’à ma démarche. Je laisse ma voiture sur le parking et monte dans la sienne, direction chez lui. Il habite un immeuble sympa dans un quartier tranquille.
Son appartement est classique, mais je ne suis pas là pour la déco et très vite il me dit de me mettre en couche, ce que je fais, ensuite il me dit de m’allonger sur la table du salon. Je suis sur la table et il me claque la couche au niveau de l’aine en me disant que je suis vraiment une sale pisseuse et que je vais avoir ce que je mérite. Il me dégrafe la couche gonflée de pisse et me relève les jambes et retire mon plug. « Et bien on est bien ouverte, maintenant, je vais te prendre comme une femelle que tu es ! » Et il me met deux doigts bien lubrifiés, puis trois. Et enfin il présente cette queue, à l’entrée de ma rondelle. Et d’un coup il s’insère bien en moi, et me prend sans ménagement à font, il me défonce le cul, sur ma couche trempée et j’aime ça, j’ai mal, vraiment mal, mais j’aime ça. À chaque coup, il vient buter au plus profond de moi. Il finit par se crisper, et je sens des jets chauds se répandre au fond de moi, à chaque râle de mon maître. Il reprend ses esprits et il m’indique la salle de bain. Il me dit que je trouverais tout ce dont j’ai besoin, dans les placards. Je me nettoie les fesses et le sexe. Je fouille dans les placards, mais je ne trouve pas de couche je remets donc ma petite culotte. Puis je le rejoins, dans le salon. On discute pendant quelques heures, j’apprends qu’il s’appelle Jean, qu’il a 58 ans, qu’il avait travaillé comme infirmier libéral et qu’il a perdu sa femme et sa fille de dix-huit ans dans un accident de la route il y a un an à peu près. Puis je sens une envie de faire pipi arriver alors je lui demande où se trouvent ses toilettes ? Il me dit d’un ton très autoritaire qui tranche avec le ton de la discution : « Ta couche est où ? Tu n’as pas remis de couche ? Viens là ! »
Je me rapproche et il baisse mon jean et constate que je suis en petite culotte. « Baisse-moi ça ! » Je baisse ma culotte, mais surprise elle a collé à mes fesses, avec la quantité de sperme que j’avais reçus. « Tu as vu ça ?! Tu as vu l’état de ta culotte ! Il n’y avait pas de tampons dans les placards de la salle de bain ? Ni de serviettes ? Non ? » Je réponds que si je les avais vues, mais que je ne pensais pas que… « Tu ne pensais pas quoi ? Que tu étais une sale petite pisseuse qui se fait baiser et qui salit ça culotte ? Je ne veux pas voir une trace de semence dans tes couches ou culottes, à chaque fois que je te prends je veux que tu mettes un tampon, je ne te le redirais pas ! » Oui Jean. « Viens avec moi je vais te laver. Mets-toi à quatre pattes dans la baignoire, vite ! » Je me m’installe très vite le cul bien en l’air comme il aime. « Je vais te faire un bon lavement ne salira pas ta culotte deux fois, tu vas voir… » À ces mots je sens un truc rentre dans mes fesses, et de l’eau se met à couler en moi, ce qui est plutôt agréable, enfin jusqu’à un certain point au bout de deux minutes c’est la douleur qui domine je suis pleine mes intestins sont lourds, je commence à transpirer. D’un coup il retire le tuyau de mes fesses et y rentre un truc qui grossit dans mon cul. « Tu vas serrer les fesses et me suivre je veux pas une goutte par terre. Compris ! » Je le suis temps bien que mal les fesses serrées, jusqu’aux toilettes, je m’assois sur ces dernières. Je n’ai qu’une envie c’est de me vider au plus vite. Il se glisse à côté de moi et sort sa queue, je comprends et approche ma tête pour le prendre en bouche. « Cest, bien tu comprends, vite, maintenant suce moi bien en me regardent et quand je te le dirai tu pourras tirer sur le tampon que tu as dans les fesses et te libérer, OK ? » Je fis signe de la tête son sexe déjà dans ma bouche, attendent le signe de ma libération, je suçais de mon mieux puis d’un coup il me donna l’ordre. Je me mis à tirer sur la ficelle du tampon qui était gros, il prit la direction des toilettes et je commençai à me vider bruyamment dans les toilettes, pris de contractions et rouge de honte, je continuais à lécher mon maitre Jean. Au bout d’une demi-heure il se vida dans ma bouche, il m’essuya les fesses et m’emmena dans la salle de bain, où je dus m’asseoir et attendre. Il revint avec du matériel et ma couche propre de mon sac avec des serviettes Tena. « Bon maintenant, que veux tu faire, tu veux rentrer chez toi ou continuer à prendre ton pied petit salope ? Parce que si tu restes on passe un cran au dessus, je te préviens ! » Je lui répondis, encore un peu sonnée par le lavement : « je veux être ta petite pute pisseuse. » « Cest bien alors on continue, tu veux être une pisseuse, je vais te faire devenir une vraie pisseuse » il sortit un sachet long, et me dit : « tu vois ça c’est une sonde à demeure follet, une fois en place tu pisseras tout le temps comme une petite pisseuse comme tu voulais ! » justement je n’étais plus très sûre de vouloir, mais il ne me laissa pas le temps de réfléchir il prit mon clito, et le désinfecta, il mit du gel dans mon trou à pisser, et présenta le tuyau, et il rentra doucement, ça me faisait mal, de plus en plus mal, jusqu’à atteindre ma vessie. « Ha ça y es on y est ! Dit jean en voyant couler de l’urine par le tuyau, il prit une seringue et mit un liquide dans la sonde. Voilà maintenant elle ne bougera plus. » Et puis il prit un truc en plastic transparent, je compris qu’il s’agissait d’une cage de chasteté. « Ne bouge pas ça c’est pour ton clito qui est trop gros à mon goût, ça va te passer l’envie de le faire grossir et surtout d’y toucher, aller on va te mettre une couche vite » il prit ma couche et mit deux serviettes Tena dedans et me la mit. Je ne me sentais plus faire pipi et ma couche était devenue lourde en quelques minutes. Jean me dit : « dis moi tu n’as plus d’autres couches, après celle-ci ? Il va falloir aller en acheter, tiens mets cette petite culotte, et viens avec moi je t’emmène faire les courses. »
Une fois arrivés sur le parking du centre commercial, je me mis à pleurer, « qu’est ce qu’il y a ? » Je lui dis que je ne suis pas prête à aller comme ça faire des couses et que je ferais ce qu’il veut pour ne pas y aller, je commence à dégrafer son pantalon, mais il me retient je lui dis que je ne voulais pas y aller. « Tu perds du temps ta couche ne va pas tenir trois heures, alors tu prends cet argent et tu vas acheter les couches et tout ce qu’il faut à une salope comme toi. » Je sors donc de la voiture, ma couche est très lourde, je prends un chariot et file faire mes achats. Direct rayon couches adulte. Je prends des molicaires super plus deux paquets des couches droites et trois paquets de Tena super, plus des serviettes Tena les plus épaisses et des tampons mini et des maxis. Je me dépêche, je prends des lingettes, tout le monde me regarde, ma couche ne tiendra plus très longtemps c’est une question de minutes, passe en caisse tout le monde me regarde, je passe mes articles et je sens des gouttes ruisseler le long de ma jambe droite, je suis limite prise de vertiges, la caissière me regarde avec un air compatissant, je paye et file, la jambe gauche fuit aussi tandis que ma chaussette droite est trempée. De retour à la voiture, Jean est là, il passe sa main dans ma culotte pendant que je charge mes couches. « T’es trempée, tu as des fuites, enlève ton pull et mets le sur le siège, et monte ! » Quand je m’assois je sens tout le liquide qui cherche à quitter ma couche et mon jean est trempé en quelques secondes, sur la route Jean s’arrête à la première aire de repos pour me changer et me traine entre les camions pour rejoindre les toilettes, quelques personnes sont là et ne font pas attention à mon jean pissou, mais dans les toilettes pour hommes, il y a deux hommes, mais ça n’arrête pas Jean, il baisse mon jean et laisse apparaître ma petite culotte je ne rougis même plus, je suis résignée à avoir la honte jusqu’au bout, je prends presque plaisir à m’exhiber comme ça devant des inconnus, Jean poursuit et baisse ma culotte et dégrafe ma couche qui tombe par terre lourdement, montre mes parties aux inconnus qui sont de plus en plus intéressés visiblement.
Jean : « Tu aimes ça te retrouver a poil, devant ces messieurs ça t’excite hein tu te pisses dessus, mais tu fais ta pute dès que tu vois des mâles hein ? Tu crois que tu les excites ? Montre leur ta chatte va-y tu en meurs d’envie ! » Je me retourne et montre mon cul, « Écarte bien montre leurs ! » dit Jean.
Je cambre et écarte bien mes fesses ; « Messieurs je crois qu’elle est prête, défoncez la bien, elle le mérite, ça lui apprendra à se pisser dessus ! » À ces mots les deux hommes s’approchent en sortent leurs sexes, Jean leurs tend des préservatifs, l’un approche son gland odorant de mon visage, et me le pose sur mes lèvres, je le gobe et commence la succion, il lâche un « ho la salope ! » de satisfaction.
Le second lui est déjà en train de rentrer son troisième doigt sans aucun ménagement, puis un quatrième. J’ai le clito complètement comprimé, et c’est très douloureux. Je sens une queue rentrer dans mon intimité, franchement, et se mettre à me limer, je l’entends gémir, tout comme le propriétaire du membre que j’ai en bouche, je sens une accélération dans mon cul et je prends un coup de reins au plus profond de moi bien encadrée par deux grosses mains qui me bloquent les hanches. J’encaisse comme je peux, il se retire, et le second prend la place, quitte ma bouche et rentre dans mon cul-chatte, sans problème, je regarde mon sexe coincé dans sa cage qui de temps à autres laisse couler de l’urine en bout de la sonde, je suis en train de me faire baiser comme une pute, par deux inconnus, la couche aux pieds et trempée de pisse, devant un homme que je connais à peine, je sens plus mon petit trou, le clito compressé, mais je sens un plaisir malgré tout un plaisir intense et différent.
Le dernier homme se retire, je sens l’air rentrer dans mon cul, suis très ouverte, mon maitre me félicite en me mettant une couche. « C’est bien tu as été sage, c’est assez pour aujourd’hui, c’est déjà plus que je l’espérais tu es bien obéissante, tu es mon excitée, allez remets ton pantalon trempé on rentre ! » Je puais la pisse dans la voiture je sentais ma chatte me piquer, au fur et mesure que mon pipi remplissait ma couche et rentrais et contact avec mes chairs déjà bien irritées. Arrivé à son appartement il me lava, me mit aux toilettes pour faire la grosse commission avant la couche pour la nuit. Il m’allonge sur le lit me met une couche de nuit et trois inserts. « Je vais te mettre de la pommade, ton petit trou est tout rouge. » À ces mots il m’enduit les fesses en insistant bien sur la partie concernée, puis referme le tout, la cage gêne un peut pour fermer avec l’épaisseur, et me voilà avec une grosse couche au cul. « Alors tu aimes avoir un gros cul comme ça hein ? Tu as de quoi passer la nuit, allez file devant tes dessins animés de pisseuse » je rentre dans le salon et me mets devant la télé il me met un DVD je comprends tout de suite que mes dessins animés seront plus hard, il me passe un film X. Ca me met dans un état d’excitation, comme je ne peux pas jouir avec cette cage je suis très sensible a toutes sources d’excitation. J’ondule du bassin sur ma couche, humide. « Dis donc ? Que fais-tu là ? Tu aimes voir des filles se faire prendre comme toi ? Regarde bien comment elles font, comment elles jouent avec leurs langues comment elles s’assoient sur les grosses queues, elles font comme tu fais là, aller au lit ! Viens je vais te montrer ta chambre tu ne dormiras pas avec moi sauf quand je le déciderais, voilà… » Je rentre dans une chambre de fille ado, tu as des affaires dans les armoires c’était à ma fille. « Repose toi bien bonne nuit ». J’ai eu un peut de mal à m’endormir avec cette grosse épaisseur aux fesses, mais la journée à été très fatigante, et je m’endors enfin.
Je me réveille trempée, la sonde fait bien son travail, je me vide sans aucun contrôle. Ma couche est lourde, très lourde. Je file dans la cuisine où mon maitre prend son café. Je me joins à lui. Une fois le petit déjeuner passé à échanger sur mes impressions après la journée d’hier, il me demande de le suivre dans le salon. Et là il me contrôle la couche me malaxe bien et me disant que j’étais une bonne pisseuse une vrai pisseuse maintenant, ce qui m’excitait énormément ce qui me rappelait que je portais une cage, il me demanda de me mettre toute nue et il monta. Il redescendit avec un petit pot un peu spécial. Et me dit : « voilà un petit pot pour les pisseuses comme toi il est fait pour que tu prennes bien conscience que tu as une chatte qu’il faut ouvrir, tous les matins tu feras ton pipi dans ce pot, aller en place. » Le petit pot a un gros gode collé dans le fond, il sortait de quinze, vingt centimètres. Une fois la couche enlevée je me mis au-dessus du petit pot et me mis une bonne dose de lubrifiant et commençai à m’asseoir, et cet énorme gode commença à m’ouvrir, je recommençais plusieurs fois l’opération avant de le sentir renter complètement en moi. Voilà j’étais assise sur ce gode de cinq centimètres, à peu près. Puis Jean sortit sa queue et me la mit sous le nez, le signal pour moi. Je la prends en bouche sur-le-champ et commence mon travail avec ma langue jusqu’à recevoir ma récompense, la semence de mon maître. Puis deux semaines passèrent, mes couches se remplissaient toutes seules mon petit trou était devenu une bonne chatte bien détendue, et moi une bonne pisseuse soumise. Jean me sortait régulièrement faire des rencontres, dans des endroits qu’il connaissait, il me prenait en photos et me mettait sur le net. J’aimais ça m’exhiber en couche ou toute nue, me faire tripoter et prendre par des inconnus. Puis un matin je descendais comme d’habitude la couche trempée aux fesses, et surprise dans la cuisine en compagnie de Jean se tenait une dame la cinquantaine, et Jean dit : « tiens la voilà ! Dis bonjour à Brigitte. » Je dis bonjour et elle me dit : « C’est bien tu as l’air bien éduquée, viens voir là. » Je consule mon maître du regard et m’approche, elle me met la main aux couches « tu es bien mouillée petite pisseuse, moi aussi je suis comme toi je ne maîtrise pas bien ma vessie regarde. » Elle me prend la main et me guide jusqu’à son aine, chaude et épaisse je la regarde surprise. « Tu veux en voir plus hein ? Mais d’abord je vais t’examiner, d’accord ? » Je regarde Jean qui me fait signe de la tête en me disant : « Oui Brigitte est un médecin elle va tocculter pour voir si tout est OK, sois sage, avec elle ! » À ces mots je me retourne vers Brigitte qui me demande de retirer mon pyjama et de m’allonger sur la table. Ce que je fais volontiers. Elle commence par défaire ma couche pleine et me dit : » Humm, tu as un gros clito ma petite, et il est en cage en plus. Ho et tu as un gros tuyau qui ressort on va enlever tout ça, hein ? » Je fais oui de la tête. Elle me retire la cage et dégonfle le ballonnet de la sonde et commence à tirer, je la sens glisser dans mon uretère, jai mal et elle le sait : « Ca fait mal, hein c’est normal Jean m’a dit que ça faisait deux semaines que tu l’avais, du coup tes sphincters vont se remettre à fonctionner doucement, bon maintenant ta petite chatte dont Jean est très fier, on va regarder ça. » Je me retourne pendant qu’elle saisit quelques objets dans sont sac : « Aller à quatre pattes petite pisseuse, bon tu vas sentir un truc froid rentrer en toi ne t’inquiète pas ça fait pas mal toutes les filles le font, voila c’est en place, et maintenant on ouvre. »
Et me voilà écartelée par un speculum, elle force et m’ouvre au maximum la douleur commence à arriver, mais mon clito lui savoure cette liberté retrouvée. « Ho, la vache la chatte que tu as ! Elle est vraiment bien ouverte, tu as trouvé le bon numéro là, et regarde ce clito, qu’elle a ! » « Bon allez je te t’enlève tout ça et tu vas au pot, regarde tu commences à en mettre partout sale pisseuse ! » C’est vrai que mon clito laissait échapper des petits jets. Elle retire ses instruments et je file m’asseoir sur mon pot, et m’engouffre sans problème. « Tu as été sage comme je te l’avais promis tu vas avoir ta surprise. » À ça Brigitte retire ses vêtements et je la découvre en petite tenue et me dit : » tu vois ce que je porte comme changes ce sont des protections anatomiques, c’est discret, mais c’est réservé aux dames, pas aux vilaines petites pisseuses comme toi, pour toi il faut que ça se voit et c’est normal il le faut pour ton éducation. Tu vas me lécher du mieux que tu peux pour me nettoyer avec ta langue pour que ton maître puisse me prendre. » Elle baisse son change complètement trempé et colle son sexe contre moi, je commence à la lécher comme je peux, vraiment la veille l’urine, je sens des petites gouttes qui s’échappent de son urètre, elle ondule du bassin sur ma langue pendant quelques temps puis ce fut le tour de Jean, qui lui dit de me prendre.
La suite à venir…