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Mes vacances de jeune homme à la campagne. – Chapitre 1




Je m’appelle Thomas, je vais rentrer en 1ère en région parisienne. J’ai 17 ans dans deux mois, je suis un garçon d’environ 1m65, sec, pratiquement imberbe, pas très viril en fait… Je suis plutôt beau garçon avec des cheveux bruns, des yeux très verts et une bouche un peu pulpeuse. Mon seul atout physique à mon gout, c’est mes fesses… Oui, c’est bizarre mais sans me vanter, j’ai un bon cul, blanc rond et ferme. J’aime bien le mettre en avant dans des jeans super serrés ou même dans des legging (jogging super moulant). Vous comprendrez donc que je suis un garçon bisexuel et plutôt efféminé. Mais je ne suis pas mal dans ma peau, même si bien sur je n’assume pas de sucer des mecs de mon bahut dans les chiottes ou dêtre pris par derrière par des mecs de l’age de mon père… Je sais c’est trash, mais ça fait parti de ma sexualité et j’aime cela.

Enfin bon ce que je raconte ici, n’a pas de rapports avec ça. Cela c’est passé pendant les dernières vacances d’été, je suis parti pendant les deux mois avec uniquement ma grand-mère dans ma maison de vacances dans l’ouest de la France. Elle a une très grande maison sur trois étages avec un jardin immense ou travaille deux jardiniers, Raimon et Gaspard, deux frères et cousin éloignés de ma grand-mère. Mon grand-père est un grand entrepreneur parisien et ne prend jamais de vacances, mes parents sont également très pris par leur travail et mes frères sont plus vieux et déjà dans les études supérieures et les petits boulots d’été.

Voila pourquoi, je me retrouvais seul avec les jardiniers, ma grand-mère et notre immense maison dans une petite bourgade de campagne. N’étant pas trop intéressé par les activités campagnardes, je préférais prendre mon vélo et partir explorer les alentours.

Le premier jour de mes vacances, j’allai chercher mon vélo, je pris mon sac avec un pique-nique, un gode, du lubrifiant, et une revue homosexuelle. Bien équipé, j’embrassai ma grand-mère et passait devant Raimon, qui me regarda avec un air malsain et absolument dégouté. En même temps, j’avais un legging rouge avec un string qui dépassait, et un chemisier blanc transparent. Content et motivé, je gonflais les pneus de mon vélo, vérifiais mon eau et pris mes "précautions", a savoir minsérer un gode en verre d’un dizaine de cm de long et d’environ 4-5 cm de diamètre au maximum, histoire de prendre un peu de plaisir sur ma selle de vélo.

Je partis donc tôt le matin, frais et déterminé, roulant au milieu de champs de couleurs somptueuses, je me laissais dériver dans mes rêveries avec une érection constante du fait de mon gode dans le cul, qui allait plus profondément à chaque coup de pédale, pendant les montées où je devais pédaler plus forts, je sentais la jouissance monter mais je me retenais pour plus de plaisir.

Approchant de midi, je sentais la faim montée en moi et également l’envie de prendre cet orgasme que je cherchais depuis le matin.

Je vis alors une petite descente à travers les champs qui quittait la route bétonnée et qui senfonçait dans la nature. A son terme, japerçus un ruisseau qui coulait doucement vers la fontaine, je décidais alors de laisser mon vélo dans un buisson, de prendre mon sac et de remonter ce ruisseau. J’arrivais alors sur un petit champ au soleil, abrité de tous regards par de grands arbres touffus et bien verdoyant. Tout content de ma trouvaille, j’étendis ma serviette, me déshabillait et mangeais la peau dorée par les rayons chaud du soleil.

Repu, je sentis alors le gode de verre très profondément en moi, je le retirai doucement, mon érection reprit malgré la petit douleur de cette action. Jétais sur les genoux, en train de sucer ce gode, l’odeur en était incommodante, mais j’aimais cela, suçant ce gode à l’odeur de merde et ruisselant de bave, de lubrifiant et du liquide de mon anus, je sortis alors l’autre gode beaucoup plus gros, plus imposant, veineux, etc…

Le recouvrant de lubrifiant, je l’appuyais sur le bord de mon anus avec une main, l’autre tenais fermement ma bite. Je poussais alors contre le dernier rempart de ma virilité, qui céda sous les coups répétés de cet énorme sextoy, il entra en moi comme mon père dans la chatte de ses prostituées. Mon sexe se dressa, et jentamai alors l’assaut de mes fesses en m’écartelant l’anus avec ce gode digne d’un cheval. Je gémissais sous l’effet des pénétrations, lorsque j’entendis un bruissement dans les herbes devant moi, écarquillant les yeux, je vis quatre pattes se dressés devant moi. je compris alors que ce cheval blanc comme neige vivait dans ce champ et observait les obscénités du pervers intrus dans sa demeure.

Soulagé, je me redressais alors pour caresser sa blanche fourrure, soudain le sextoy encore présent dans mon anus tomba a terre car mon anus c’était dilaté d’un coup sous l’effet de la stupeur. Cette stupeur était due à ce que je venais de voir, le cheval (qui était un poney en fait), avait une érection monstrueuse.

Impressionné, je me baissais et observait ce membre qui devait taper dans les 40 cm. Il était presque en entièrement noir, sauf des taches roses dont une qui surplombait son énorme gland.

Soudain, je réalisais une chose, il y avait sûrement une cause à son érection, et cette cause c’était moi… Une goutte de sueur coula de mon front jusquà mon menton, ma respiration saccéléra, je savais faire quelque chose de mal mais je ne pouvais pas ne pas le faire…

Mon bras se dressa, se détendit, mes doigts se délièrent, et ma main agrippa cet énorme sexe au niveau du gland, je sentis alors le sang passer dans ce membre dressé, je commençais alors les allers retours le long de son pénis en entendant les gémissements du poney. Je le branlais, et sa queue continuais de croître, je me plaçais alors sous lui devant son pénis, j’ouvris la bouche lentement et le plus grand que je pus, javançais alors et englobais son énorme gland, je le branlais, le suçais en même temps et je me touchais la queue également. Je sentais que j’allais jouir pour renforcer mon plaisir, je stoppais, pris le pot de lubrifiant et le vida sur le sexe du poney. Je me mis à genou et écartais mes fesses pour me faire pénétrer.

Je neus pas besoin d’attendre puisque le poney enfonça de lui-même son énorme sexe, sous l’effet de surprise et de douleur, je hurlais. Mais c’était trop tard, le poney me culbutait avec force et ses coups de butoirs m’arrachaient des hurlements de plaisir. La moitié des 40 cm était en moi, la punition de mon impertinence était vigoureuse, il me défonçait le cul littéralement.

Soudain, sans que je neus rien a faire, je jouis, jouis et réjoui de plaisir. Mon sperme s’écoula hors de mon sexe et s’étale sur mon visage tant ma queue était dressée. Je m’écroulais alors de jouissance, la queue du poney sortis donc d’un coup ce qui me fis hurler.

Cependant, mon nouvel ami m’ayant donné joie, je voulais en faire de même, j’englobais à nouveau son sexe en bouche et recommençais à le sucer.

Enfin, une source, une véritable cascade de sperme me remplit la bouche, et j’en avalais une bonne partie avant de de vomir le reste, cependant le flot continua et des jets de foutre chaud recouvrirent mon visage.

Le poney reput, s’ébroua, et s’en alla paisiblement.

J’étais aux anges, je me rhabillais, me nettoyais rapidement dans le ruisseau, pris mon vélo et partis tranquillement sur la route du retour, le soleil commençant à tomber.

Je ne remarquais cependant pas un visage qui m’observait dans l’ombre d’un des arbres de l’allée.

A suivre….

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