Je reprends lentement mes esprits et je finis de me laver. Je sors de la douche, me sèche et enfile un boxer pour aller dans ma chambre. Mon sexe a retrouvé une taille normale. Je sors et passe devant la chambre de ma sur. Sa porte n’est pas fermée car on laisse toujours les portes des chambres ouvertes ; ça permet qu’il ne fasse pas trop chaud dedans. Elle est là, dormant paisiblement sur le dos, la couette la recouvrant à moitié et ton tee-shirt qui a du mal à contenir sa poitrine. Je rentre dans ma chambre et jéteins mon PC puis me mets au lit. Je repense à Élodie. Elle m’obsède. Il va falloir que je fasse quelque chose car mon sexe réagit encore. Ma main se pose dessus et commence ses mouvements. Je ferme les yeux et savoure mon plaisir. Je repense à son corps, à ses yeux, ses cheveux, visage, ses fesses… La pression remonte. Au bout d’un moment je sens que je vais jouir alors je ralentis le rythme. J’en viens à ne caresser plus que le bout de mon gland et m’arrête à chaque fois que je sens que je pourrais jouir. Progressivement, je trouve agréable la sensation dêtre très excité et à la limite de jouir. Le temps passe, la nuit avance et étrangement, je ressens l’envie de garder cette excitation. Je m’arrête alors et tente de m’endormir, mon sexe dur comme de la pierre. Le sommeil est dur à venir mais finit pas m’emporter.

Je suis réveillé le lendemain par ma mère qui va travailler. Elle est dans ma chambre et me rappelle de ne pas faire de bruits pour ma sur. Je me lève quelques minutes après et passe voir comme souvent si ma sur va bien. Elle s’est couverte. Je suppose que la fraîcheur du matin y est pour quelque chose. Puis je me prépare pour les cours.

Les jours s’enchaînent puis que les semaines et un soir alors que maman se lave, je me retrouve sur le canapé avec ma sur et elle me demande :

  – Alors ta Élodie, ça donne quoi?

  – Comment ça, ça donne quoi? Lui dis-je les yeux pleins d’interrogations.

  – Et bien maman m’a dit que ta nouvelle prof d’italien est très à ton goût.

  – C’est vrai, elle est très jolie. Elle a un accent italien qui la rend très sensuelle, divine même.

  – Oh toi, tu es amoureux!!

  – Arrête c’est pas drôle. Je suis trop jeune pour elle…

Ma sur me regarde avec tendresse et me prend dans ses bras. Je sens alors me serrer contre elle. Ses seins sont compressés et je sens que les pointes durcissent. Quelle douce sensation! Je savoure toujours ces moments là avec elle. Elle se recule, puis reprend la conversation :

  – Tu trouveras bien un moyen d’avoir ce que tu veux. Mais au fait, tu as dit a maman que TA Élodie aurait des seins plus gros que les miens…

Je la regarde, gêné.

  – Euh … C’est à dire… Elle n’a pas encore mis de décolleté alors c’est dur de juger.

  – Alors comment sais-tu qu’ils sont plus gros que les miens?

  – C’est vrai que j’en suis plus trop sûr. Les tiens n’auraient pas encore grossi? Pour être honnête, je les ai senti contre moi tout à l’heure et je les trouve plus gros qu’avant…

  – Oh tu as remarqué ! Et oui, regarde, je crois que je vais devoir passer à un bonnet supérieur. Dit elle en se rapprochant de moi.

Julie pose ses mains de chaque coté de ses seins et les serre l’un contre l’autre. Ils se mettent à gonfler un peu plus. Mes yeux caressant alors lentement toute sa poitrine, je lui dis :

  – Et bien, tu vas faire rêver encore plus les hommes!

  – Pourquoi tu dis ça? Demande-t-elle, avec son air mutin.

  – Et bien, avec les seins que tu as maintenant, quand je te vois les resserrer comme ça, je ne peux m’empêcher d’imaginer un sexe entre eux que tu caresserais lentement.

  – Hum! Une branlette espagnole! C’est vrai que j’essayerais bien… J’ai jamais vraiment eu l’occasion d’en faire. Faire glisser lentement la hampe, serrer le gland entre mes deux gros seins et le faire ressortir pour que ma langue le titille. Dit elle en continuant à les serrer.

Au fur et à mesure j’imagine la même chose. Mon sexe durcit dans mon boxer et je me dis que je le glisserai avec plaisir entre ceux d’Élodie. Je verrais ses yeux bleus me transpercer pendant que sa langue sortirait de sa bouche. Julie me tire alors de ma rêverie :

  – On t’a déjà fait ça?

  – Fait quoi ? Demande alors maman.

Elle a fini sa douche et est revenue dans le salon. Je ne l’ai pas entendue arriver, trop absorbé par notre discussion. Je la regarde préparer son thé rituel et ce soir elle a choisi de porter un string ficelle noir qui disparaît magnifiquement entre ses belles fesses.

  – Je lui demandais si quelqu’un lui avait déjà fait une branlette espagnole.

  – Et alors? Une demoiselle a déjà eu le privilège de glisser ton sexe entre ses seins? Peut être avec assez de savoir-faire pour que tu jouisse…

Maman dit ça tout en finissant de préparer son thé, ses énormes seins de trois-quarts.

  – Et bien non. Mais avec vos histoires, c’est malin, je vais pas arrêter d’y penser quand je vais voir Élodie.

  – Et apparemment tu y penses déjà. Dit ma sur en pointant du doigt la bosse de mon pantalon et en me faisant un clin dil.

  – C’est assez rare de te voir bander comme ça chéri. Dit maman. Que se passe t il?

Je la regarde, puis je baisse la tête et commence à avoir le feu aux joues.

  – C’est à dire… depuis notre conversation l’autre soir, j’ai décidé…

  – Oui? Tu peux nous dire, chéri, ne t’inquiète pas.

  – Et bien … de ne plus jouir.

Elles me regardent alors toutes les deux, dubitatives et interloquées.

  – Du coup, je suis dans un état d’excitation qui me provoque des érections bien plus fortes mais aussi très incontrôlables!

  – Quelle conversation ? Enchaîne alors ma sur.

  – C’est vrai que tu étais partie dormir. Il y a quelques temps, quand ton frère a fait la connaissance d’Élodie, il était sous la douche à me parler d’elle. Il était dans un état ; tu aurais du voir ça ma puce. Il en est venu à se caresser devant moi tellement elle… l’inspire. Tiens d’ailleurs tu m’avais dit que tu comptais te faire jouir ce soir là… Je comprends mieux alors pourquoi je n’ai rien entendu finalement…

Ma sur fait alors de gros yeux, un sourire de petite coquine et dit :

  – Mince j’ai loupé ça! Mais maman tu l’entends souvent se donner du plaisir?

  – Non. Mais je te dis, il était dans un tel état. Son gland palpitait lorsqu’il parlait d’elle. Il est sorti tout seul de son étui.

Elle marque un temps darrêt.

  – Mais donc mon pauvre chéri, tu dois être dans le même état en ce moment! Arrêtons de parler de ça et finissons le film.

Je reste sur le canapé avec mes deux terribles et la tête pleine d’images d’Élodie me proposant ses seins pour me faire découvrir ce plaisir.

Je monte ensuite tranquillement prendre ma douche. En me déshabillant, je constate que je suis toujours aussi dur. Je plie mes affaires et m’aperçois que j’ai oublié de prendre un boxer propre. Je sors et vais dans ma chambre en chercher un. Lorsque je reviens, elles sont toutes les deux dans la salle de bain. Je rentre, pose mon boxer propre et je vais être bien obligé d’enlever celui que je porte pour me laver. Ma sur me regarde tout en se brossant les dents ; ses seins se balançant au rythme de ses mouvements. Ça me fait immédiatement penser à ceux d’Élodie. Mais ça n’aide pas mon sexe qui est tendu depuis la conversation sur le canapé. Julie bientôt rejointe par maman, regarde mon boxer déformé, qui épouse parfaitement mon sexe et fait même apparaître la forme de mon gland. Je baisse alors lentement mon sous-vêtements et mon sexe jaillit sous les yeux des deux femmes de la maison.

  – Tu as raison maman, dit Julie, le pauvre. Il faut qu’on l’aide. Regarde, son gland est dehors. Il est tellement mouillé qu’il pourrait rentrer facilement n’importe où!

  – C’est vrai chérie. En plus tu ne trouves pas que ses testicules sont grosses? Ça va être l’explosion quand tu vas jouir mon fils. Tout ce sperme qui va jaillir de ton gland. Tu y as déjà pensé ? Ça t’est déjà arrivé de te retenir autant?

  – Non maman… Ça peut être un problème ?

  – Et bien ça dépend. Dit elle en réfléchissant.

  – S’il te plaît maman, laisse moi lui expliquer.

Julie intervient alors en prenant maman comme exemple. Elle attrape quelque chose sur le lavabo qu’elle lui donne. Ensuite elle pose ses mains sur les seins de maman et dit :

  – Tiens ce déo entre tes seins. Merci. Imagine que ton sexe est entre les seins d’Élodie, coulissant lentement comme fait maman. Avec tout le liquide que tu as déjà dessus, il est clair que ça n’en serait que plus agréable pour elle et toi.

Elle comprime de ses mains les seins de maman. Ils réagissent alors en pointant.

  – Et maintenant, imagine en plus qu’elle se mette à lécher le bout de ton gland lorsqu’il arrive au niveau de sa langue.

Ma sur se tourne alors, me présentant son postérieur moulé par son petit short blanc. Je vois les seins de maman comprimés par ma sur et le déo qui monte et descend. Lorsqu’il arrive au niveau de sa bouche, elle sort la pointe de sa langue et touche le déo.

  – Et imagine que tu prenne tellement de plaisir et que d’un coup, tes couilles se contractent et que tu te mette à jouir. Me dit elle en tournant la tête vers moi pour me regarder dans les yeux.

Je laisse échapper un gémissement de désir et plaisir.

  – ton liquide sort et elle se retrouve avec les seins pleins de sperme chaud. Mais en ce moment, tu en as tellement. Du coup, ça va être si puissant que tu éjaculeras aussi sur son visage, autour de sa bouche et même peut-être dans sa bouche, sur sa langue! Et puis tout ça se mettra à couler le long de son corps : son menton, ses seins pour atteindre son ventre.

  – Oh non, tu as raison Julie. J’avais pas pensé à ça! Dis-je tout paniqué à l’idée de déplaire à Élodie.

Ma mère intervient alors :

  – D’un autre côté, il y en a qui aiment … Qui trouvent ça excitant de voir tout ce sperme sortir et venir se répandre sur la peau. De sentir ce liquide les toucher puis couler doucement… Hum!

Je bois les paroles de maman. Je souhaite qu’Élodie soit de ces femmes qui aiment faire jouir leur partenaire comme ça. Elle continue alors :

  – Et puis, en plus, il y en a qui sont encore plus excitées d’avoir du sperme dans la bouche, sur la langue, pouvoir jouer avec.

Plus elle dit cela plus sa voix vibre. Je remarque que ma sur, en plus de comprimer les seins de maman, fait rouler les tétons entre ses doigts de temps en temps. Instinctivement, fixant maman dans les yeux, comme ma sur, ma main descend toucher mon gland qui maintenant suinte! Il coule à tel point qu’une fraction de seconde je me dis que ça doit tomber par terre, mais cette pensée s’évanouit vite. Mon doigt caresse le bout de mon gland puis passe dessous pour caresser mon frein pendant qu’elle continue :

  – Ces femmes aiment glisser leur doigt sur leur seins pour récupérer ce sperme qui coule et serait gâché, puis le mettre dans leur bouche et le garder encore un peu ; seul signe restant qu’elles ont fait jouir leur partenaire.

Maman, tout en disant ça, mime la scène en faisant courir de sa main libre un doigt sur le haut du sein. Je me suis rapproché d’elles, je suis juste derrière ma sur et son mini-short qui est légèrement glissé entre ses fesses. Maman remonte lentement son doigt en me regardant dans les yeux puis en regardant Julie pour ensuite ouvrir lentement la bouche et le glisser dedans. Ma sur ouvre aussi la bouche comme si elle voulait goûter. Je sens mon cur qui palpite à travers mon gland que je caresse le plus lentement possible. Je sens monter en moi un orgasme et lorsqu’elle se met à le sucer langoureusement, sensuellement, je crois défaillir. Je sens mes testicules se contracter et l’espace d’un instant je crois éjaculer partout devant moi tel un geyser et maculé de sperme chaud le short de ma sur, qui tient toujours les seins de notre mère! Mais c’est Julie qui me ramène à la réalité et me fait comprendre que je n’ai pas joui en interpellant maman :

  – Vu comment tu rougis, j’en déduis que tu en fais partie…

  – Et bien mes chéris, oui. Et pour être tout à fait honnête avec vous, en plus je le savoure en l’avalant lentement pour en profiter un maximum. Ça me met dans des états…

Maman nous avoue cela en me regardant droit dans les yeux puis son regard passe sur Julie. Une question me traverse soudain l’esprit : Et si Élodie était comme maman? Il ne faut pas que je jouisse. Je dois me retenir pour elle, pour son plaisir. Au même moment, maman baisse les yeux. Julie suit le regard de maman et découvre ma main autour de mon sexe qui caresse sous mon gland.

  – Et bien je crois qu’il y en a un qui aimerait qu’Élodie soit pareil que toi maman! Regarde comme son gland est gros et trempé de son liquide. Ça roule par terre…

Puis elle enchaîne :

  – Bon je vais vous laisser, je suis fatiguée et je vais aller dormir. On verra comment t’aider demain.

Elle nous embrasse et au passage je la sens frotter, à travers son tee-shirt, sa poitrine dont les tétons sont durs, contre mon bras puis se sauve après avoir regardé encore une fois mon état.

  – Mon chéri, et si nous demandions à Élodie de venir te donner des cours ici. On ne sait jamais ce qu’il peut se passer…

Je la regarde rêveur et lui dis que je vais y réfléchir. Elle m’embrasse à son tour en frottant aussi ses tétons qui sont tout aussi excités que moi et sort.

Je rentre dans la douche et décide de me laver à l’eau froide. Après ma douche et m’être calmé un peu, j’ouvre la porte de la salle de bain. Je sors dans le couloir et j’entends une respiration inhabituelle, provenant de la chambre Julie. Je m’approche et tends l’oreille mais plus rien. Je décide finalement d’aller me coucher, fatigué de ma semaine.

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