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Vicieux et fier de l'être – Chapitre 2




La semaine suivante.

La semaine a été bonne, rien à dire de ccôté. Jai envoyé des ptits messages à la belette, histoire de la tenir au chaud. A ma demande, par exemple, elle a été faire un ptit tour dans un sex-shop de R. pour achter des boules de geisha et un gros gode. Ca va la détendre ! En plus, a ma donné le nom dun vieux bougre qui lorgne sur elle depuis un bout de temps et qua rencontre, dès fois, en ville, à la mairie où dans des tucs comme ça, un nommé BRAMOUT, un quasi octogénaire, un veuf crapuleux qui vit dans une petite maison isolée à la sortie de V. et quaurait tendance à la serrer de près à la moindre occase. Je connais ce bled et la réputation de lancien. Si le bras est mou le reste, daprès ce quon dit dans le patelin, est encore bien dur ; enfin, y parait, cest ce qui sdit ! On verra si cest vrai ou si cest des conneries, tout ça.

Dans lcourant dla semaine, jy ai dit de passer à lhôtel pour poser les deux rédacs, dans une enveloppe fermée, sur lbureau à Momo. Elle a posé ça dssus et pis elle, a la passé dsous. Lautre vicelard a pas pu résister à lenvie dsfaire tailler une pipe et lécher les couilles, en douce.

Moi, cest la pleine forme. Jai déchiré à lentrainement. Ca a cartonné, a dit lcoach. Y a eu un peu dboulot, juste ce qui faut, et pis un ptit paquet a tombé au PMU au bon moment et, le jour J à lheure h, jétais dans la chambre avec les deux rédacs en main.

Jai lu ça. Cest bien, je vais finir par aimer bouquiner, si ça strouve. A la fait ça sur son ordi. Tant mieux. Y a pas à dire, elle écrit mieux qumoi. On a pas vraiment le même style. Bon, jadmets, cest pas difficile. Moi, je suis plutôt du genre manuel ou « castor », si vous voyez ce que jveux dire.

Jai commencé à lire. Putain ! Cest ouf ! Je résume : Elle a fait le taf avec pépère qua trouvé ça sympa et profité de lappétit de sa meuf pour lui en foutre partout su vous voyez ce que jveux dire.

Il a dabord eu droit à un striptease des familles pis à une séance photos gratinée, bientôt, jvais le avoir en main, puis à une pipe gourmande et la garce a avalé la fumée, à genoux dvant lui, sur le tapis. Mort de rire en imaginant le tableau. Il a rdemandé llendemain et a la rmis lcouvert, sans moufter. Y doit sdire quy a du changment. A mon avis, a va devoir continuer un bon bout dtemps.

Elle précise, en conclusion de sa rédaction, quelle a « un peu apprécié » de faire tout cela avec son bonhomme, puisqu « elle en a été excitée ».

« Mes petits messages, mes exigences lémoustillent » et « elle attend notre prochaine rencontre » ; moi aussi, jattends, tinquiète ma poule !.

Lautre rédaction ne me surprenait pas trop non plus. Je reprends ces mots : «angoisse », « découverte du plaisir charnel ». Là, jvais recopier des mots à elleElle « souligne lintensité de ses jouissances, sa peur lorsquelle avait dû aller sucer le vieux cochon et son humiliation lorsquelle a dû sagenouiller sous le bureau pour pratiquer une fellation à cet inconnu ». En clair, les copains, elle attend de remettre le couvert avec Momo: le « fantasme de prostitution ayant bel et bien pris le dessus ». Et bien, cest bon ! On va faire ce quil faut pour tfaire plaisir, ma jolie. Faut surtout pas tinquiéter pour ça.

Elle est arrivée à lheure, habillée comme jai demandé au téléphone, toute en noir, avec bas résilles, pour bien faire salope. « Le concierge lui a dit « à tout à lheure » en clignant de lil » quand elle a passé devant lui et elle a rougi. Debout, devant moi, elle tremble encore en me racontant ça.

Jai bien rigolé. « On va le faire mariner dans son jus, y peut attendre un peu, et tiras lui faire un ptit coucou tout à lheure. On est pas aux pièces ! » Elle a rien dit.

« Avec pépère, tas fait ce qui faut. Là-dessus, rien à dire ! Et tas pris ton pied, pas vrai ? Cest bien ! Cest un beau début. Y faut continuer sur cte lancée et ce soir, note bien, au menu, tu mets : striptease crapuleux, sucette baveuse et après, tu tfous à quatre pattes et tu lui dmandes gentiment dte fourrer par le cul. Entendu ? Faut quy soit heureux en ménage, pépère. Et avec guignol, on en est où? »

Elle était écarlate et fixait ma cagoule. « Jai rompu, monsieur ! »

« Bien ! Une bonne chose de faite. Autre question, tu tes branlée? »

« Oui, monsieur ! »

« Tas fait ça souvent ? » Jai rigolé un coup car elle avait honte. Elle est dvenue toute rouge.

« Oui, monsieur, tous les jours ! »

« En pensant à moi, jespère ? »

« Oui monsieur ! »

Jai ricané : « Et pourquoi donc ? A cause des boules et du gode mahousse ? Parce que ça fait du bien ?»

Elle a baissé la tête encore un peu plus et dit tout bas. « Parce que javais envie de vous retrouver. Jai eu tellement de plaisir. Je nai cessé de penser à vous. »

« Ca, cest gentil et pis, ça vient du cur. Alors, finalement, tes contente dêtre là ? »

« Oui, monsieur ! »

A ma pogne, elle est à ma pogne. Super !

Bon, faut juste vérifier. « Bien, tu poses ton sac sur la ptite table et tu descends sucer la bite à Momo quon soit tranquille avant quon soccupe de toi comme tu mérites. »

Elle a rien dit, rien du tout. Elle a posé son sac et est descendue remplir « son office » comme elle dit dans la rédac. Bientôt, cest ses orifices quon va remplir. Jai ricané.

Elle est rvenue une quinzaine de minutes plus tard. Jai juste eu ltemps de bien recopier le répertoire de son téléphone sur lordi, comme le collègue ma montré. Elle a dmandé à pouvoir aller dans la salle de bain pour slaver la bouche. Jai fait un ptit signe de la main. « Permission accordée ! »

Lorsquelle est rvenue devant moi, elle a raconté comment ça sest passé. Une pipe baveuse, bien à fond, banale quoi ! En fait, y lui baise la bouche, ce vicelard. Y sait pas cquest bon et y gâche la marchandise; il est con ou quoi ?

« Tas aimé? »

« Non monsieur, car il nest ni jeune, ni beau, ni propre, et en plus, il fait cela de manière parfaitement brutale. Il est ignoble ! »

Jai rigolé rien quà sa façon de causer: « Tu sais pas, cest ça quest bon. Comme tu le fras à chaque fois, tu vas finir par y prend goût ! En plus, jle sais, pour avoir lu la rédac, ça tbotte. Par contre, jvas lui faire la leçon pour quy tlaisse faire gentiment plutôt que dy aller comme un clébard. Daccord ? Ca tva comme ça ?»

Elle avait lair contente. Elle ma souri. Y faut pas quand même grand-chose pour leur faire plaisir.

Merde, jallais oublier : « Ah oui, cette semaine, tu passes un coup de fil à BRAMOUT pour prendre rendez vous. Faut cqui faut et çui là, jle connais suffisamment dréputation pour savoir quil est plus malin que lconcierge et quavec lui, tu vas pas tennuyer, cest sûr ! !»

Elle a tiqué un peu et a baissé les yeux. Elle était comme tassée, dun seul coup.

« Alors, ça va pas ? Y a queque chose qui coince ? » Elle a baissé la tête.

« Non, monsieur ! »

Jai ajouté en ricanant un bon coup : « Jadmet, ça va ptet être un peu dur, au début, mais après, tu vas ty faire et y rvenir! Alors ? »

Elle avait toujours la tête baissée : « Oui, monsieur ! »

« Y faudra bien mraconter tout ça dans une rédac, ok ?» Elle a hoché la tête. Quest ce quon ferait pas pour avoir ldroit de prendre son pied, tout de même !

« Maintenant, montre comment qutu tes sapée.»

Dentrée de jeu, javais décidé de la tutoyer pour la tenir en main. Faut jamais laisser filer la bête, les gars.

Elle est vnue dvant moi, à 1m. A sentait bon. « Allez ! On y va, maintenant ?»

Elle sest reprise rapidement et sest redressée: «J’ai choisi de porter un tailleur noir avec une jupe cintrée de chez « LAVANTI », un chemisier de soie noire du même tailleur milanais, un soutien-gorge, un slip et un porte-jarretelle noirs en dentelle fine. Jai mis des bas noirs à résille, comme vous lavez demandé, et des escarpins noirs à très hauts talons. »

Jai pas tout pigé mais elle est top sexy, hyper bandante. Pas le genre à aller faire lherbe aux lapins, celle-là. Le reste, on sen fout. Même en repassant le film, jai pas tout compris à ce quelle a dit! Elle avait choisi sa tnue pour mfaire plaisir, ça javais noté. A voulait faire plaisir à Gégé, en somme !

« Parfait ! Tourne-toi, quon puisse voir tout ça ! Oui ! Voilà, comme ça ! Allez, viens sur mes genoux et montre tes ptites photos de famille. On va rgarder ça ensemble.»

Elle a sorti une enveloppe de son sac à main et a lest vnue poser son cul sur mes genoux. Jai ouvert sa veste et lui ai demandé de lenlever. Ca servait plus à rien et pis autant jouer un peu avec ses nichons en rgardant ses photos cochonnes.

« Cest quoi lparfum? »

« Loulou ! Monsieur. »

« Hum, connaît pas ! Y sent bon ; Pépère et BRAMOUT vont tbaver dssus! Allez, montre tes photos quon sexcite un peu ! »

Elle a sorti les photos. Des photos delle, habillée, puis à poil, debout, de face de dos, à genoux, sur lventre, sur ldos, la bite de pépère en bouche ou en main, sur le tapis, jambes écartées et relevées. Une autre série, à quatre pattes, à moitié à poil puis avec le cul et la rondelle, en gros plan. Une dernière série, la bouche pleine, la langue tirée, où elle fixe lobjectif. Là, jlrconnais, cest pas mal pour un début ! Cest ce que jlui ai dit en lui pelotant les nibards.

« Jvais les garder pour moi. Ce soir, faut faire une série plus porno. Là a sont bien, mais ça reste léger. Tas vu, cest facile ! Il a aimé, non ? » Elle était au bord des larmes. « Oui, monsieur, je ne lavais jamais vu aussi excité. »

Je lui ai tapoté ldos, doucement. « Allons, allons, on se calme. A va pas nous faire une crise pour quelques photos, tout dmême ? »

Elle a hoché la tête.

« Allez, rtire le chmisier ! »

Elle a fait comme jai demandé. Jai peloté ses nichons par dessus le soutif pour la chauffer un peu.

« Tas vu, y faut pas grand-chose pour faire plaisir à un bonhomme! Cest pas compliqué! Alors ce soir, au programme, comme jtai dit, photos pornos. Après, à Pépère, tu lui dmandes de tfilmer en action pendant qu tu fais ta séance dexhib, la pipe avec léchage des couilles, et pis après, comme jai dit, tu tfous à quatre pattes pour te faire enculer, et ce sra fini! Suffit dlui demander gentiment ! Tu vois, rien de bien méchant ! Ya pas de quoi faire la nerveuse ! Compris ? »

Je voyais des larmes couler sur ses joues. Je sais, sur ccoup là, jai été un ptit peu dur mais faut ce qui faut. Si tu laisse mollir, la mayonnaise tourne, cest comme ça.

La preuve, elle a répondu : «Oui, monsieur ! », après que jlui ai roulé une pelle. Pas facile avec la cagoule mais là, cétait le moment ou jamais! Il faut que je ladapte celle-là, je vais demander à ma logeuse !

« On sest calmée ? On va pouvoir continuer ? »

Elle a hoché la tête.

« Allez, vire le soutif ! En récompense, Gégé va soccuper tes ptits nichons ! Ca te va ?»

Elle a dégrafé son soutien gorge et jai pu tripoter ses tétons. « Taimes bien quant on tfait ça ? » Elle se mordait la lèvre inférieure ; « Oui, monsieur, cest très bon! »

Jai ricané. Elle a rougi. Jai appuyé sa tête vers moi pour quelle me roule encore une pelle et ma main est venue se fourrer sous sa jupe. Elle a frémi. Jai senti un gros frisson envahir son dos. « Tu aimes? »

Elle a hoché la tête. « Oui monsieur ! »

« Alors écarte un peu, faut quça passe mieux ! Jai de grosses mains ! »

Ma main est allée plus haut. Elle retenait sa respiration. Jai touché sa fente. Jai fait ce qui faut pour la chauffer. Elle a commencé à bien mouiller. A lavait pas mis dculotte. Jlui avais dit que cétait pas la peine.

« Bon, allez, a va smettre debout et faire tomber sa robe pour montrer à Gégé cqua va faire comme cochonnerie pour pépère, ce soir ! Allez, on y va! »

« Oui, monsieur ! »

Elle a retiré sa jupe et a commencé à bouger comme sur une piste de danse, les deux mains sur les nibards, les hanches ou le ventre et son regard se troublait, peu à peu. Moi, je matais le tableau, ses jambes, ses cuisses sous la fine résille de ses bas de pouffiasse.

Elle aime ça, danser et jouer la pouffiasse, je le vois bien. « Elle s’en étonne elle-même, » quelle a écrit. « Prout prout ma chère ! »

« Bon…Y a dlidée ! Tu fais la même chose à pépère, mais en plus cochon parce que là tu nous joue ta timide! Allez, à gnoux et viens toccuper dma bite !» Elle sest mise à gnoux dvant moi. « Rgarde-moi dans les yeux ! Ca te plaît tout ça, pas vrai? »

Elle ma regardée dans les yeux. « Oui, monsieur, ça me rend folle. »

« Bien, et avec BRAMOUT, a fra quoi? »

Elle a baissé les yeux pour fixer la bosse qui déformait mon jean puis a répondu : « Je ne sais pas monsieur, ce quil va demander, je crois ! »

Ca, ça veut dire quelle est ok pour aller faire un tour chez lancien. Gagné ! Cest tout bon, ça !

Elle a défait mon ceinturon, baissé mon froc, mon caleçon (ça y est, elle a pris le pli) et rgardé ma queue avant de la porter à ses lèvres. Je lai laissée faire cqua veut. « A te plait, ma queue? »

« Oui, monsieur ! Elle est douce et dure ! »

« Fait une pttite léchouille sur lcasque ! »

Cest mignon comme tout un bout de langue qui spromène là dssus.

« A sent bon ? Tu la veux ? »

« Oui monsieur ! »

« Vas-y suce! Montre à Gégé si tas fait des progrès! Profite, cest gratuit! »

Elle a hoché la tête, la gourmande et a pris ma bite en bouche. Dune main posée sur sa tête, j lui ai donné le rythme. Après, faut les laisser faire un peu, qua samusent.

« Dis donc toi, taurais pas rgardé des films de cul cette semaine ? » Elle a levé la tête pour répondre.

« Oui, monsieur, sur internet ! »

« Jmen doutais, vu la manière dont tu ty prends ! Cest une bonne idée, faut continuer, ça instruit ! Montre cque tas appris en rgardant ces cochonneries ! »

Elle sest rmis sur la pièce et a fait tourner la langue sur le casque à popaul pour bien me faire voir.

« Continue, ça fait du bien, et après on va aller sur le lit pour que Gégé y soccupe de toi! »

Javais bien lintention den profiter. La pleine forme, jvous dit ! … Dix minutes après jai tapé dans les mains

« Allez ! Sur llit ; montre comment qutexcites un mec! »

Elle est allée sur le lit pendant que jme suis dessapé. Jlai pas quitté des yeux. Elle a bougé comme y faut pour donner son cul, ses seins à voir, et je ne voyais plus qu’ça ….Jen prenais pour la journée.

Elle était en porte-jarretelles et bas résille, à quat pattes, un peu comme lautre jour. Je lui ai claqué le cul. Une bonne claque qui la fait couiner et sursauter. Jai rigolé un bon coup : « Viens là, salope ! va falloir toccuper dGégé! Taimes quand on ttraite de salope ? »

« Oui, monsieur ! Jaime bien !»

Une autre claque sur lcul ! « Elle est à qui la salope? »

Ma main est passée entre ses jambes. Elle mouillait. Alors, les gars, cest qui qui a raison ?

« A vous, monsieur !»

Jme suis allongé à côté delle. A genoux sur le lit, elle est venue sucer mon zob. Jen ai profité pour lui apprendre à lécher une paire de couilles, comme y faut, et pas comme certaines que je nommerais pas, et pis, en douce, jai relevé mes jambes le plus possible pour quelle me fourre sa ptite langue, mouillée et bien chaude dans le cul. Elle y est venue doucement, sans problème. Elle en gémissait de plaisir.

« Cest la première fois qutu fais ça? »

« Oui, monsieur ! »

« Et taimes ça dis donc? »

« Avec vous, oui monsieur ! »

« Tu vas lfaire à pépère? »

« Non, monsieur, sil vous plaît !» Elle tremblait de peur. Ca ma bien fait rigoler.« Avec Momo alors, à moins qutu préfères faire ça à Bramout ?»

Elle a tremblé encore plus. « Non, monsieur, sil vous plaît ! Pas eux ! » Je me suis bien marré. « Pas eux ! Pas eux ! Cest bien joli tout ça, mais quest ce que tu vas leur faire à eux, alors ? »

Elle tremblait un peu, comme si elle avait les chocottes. « Tout ce quils voudront, je le promets. »

Je lai regardée. «Tu vas les sucer, cest ça ? »

« Oui, monsieur, oui ! »

« Et sy veulent tenculer, tu fais quoi ? »

« Ils pourront le faire, monsieur, cest promis ! »

« Bon ! Met ta langue à fond, ça va toccuper! »

Elle a plongé la tête et a fouillé mon cul de sa petite langue. Cest bon ça ! Je recommande ! Ca délasse, on sen lasse pas.

« Dit, pendant quon y est, taurais pas parlé de notre après-midi de lautjour à quelquun, toi ? »

Elle a relevé la tête et ma regardée dun air apeuré. La panique dans les yeux ! Elle dvait se dmander comment je lsavais et savait pas trop comment jallais réagir. Elle a baissé les yeux.

« Oui, monsieur, à ma meilleure amie, Lucie S. Elle est clerc de notaire chez Me M. »

Jai ricané. Je lconnais de vue, celle-là, une jolie gonzesse, une blonde, les cheveux frisés, du genre timide!

« Et alors ? A dit quoi, la copine ? »

« Elle meurt envie de vous rencontrer, monsieur ! «

« Et pourquoi, au juste ? Tu y as raconté quoi ? »

Elle a relevé la tête, un peu rassurée, même si jy faisais les gros yeux.

« Que vous êtes un amant endurant, habile, très sévère mais que jai joui avec vous comme jamais. Je ne lui ai pas du tout parlé de notre, euh, petit marché. Je lui ai parlé des photos que vous avez demandées, de votre sexe, plus long et plus gros que celui des autres hommes, et de la manière dont vous vous occupez dune femme, da la façon dont vous me traitez, ce qui me rend folle. Cest pour cela quelle veut vous rencontrer et je nai pas dit non car je sais que vous nêtes pas à moi et que toute jalousie, de ma part, serait mal venue !»

Là, putain, jai pris du temps à bien recopier tout ça après. Fallait quand même que jla reprenne sur un point. Jsais bien quelle est avocate mais les bavardes, y faut les recadrer fissa !

« Ten as parlé, à qui dautre ? Pas à tes grands-mères jespère ? » Là, a voyait que le ton était pas à la rigolade.

« A personne dautre monsieur, je vous le jure. »

« Hum ! Avec ta gueule que tu peux pas la fermer, jme méfie ! Tas intérêt ! »

Elle en menait pas large et elle a préféré en remettre une couche sur le casque et sur la tige.

Après tout pourquoi se priver de sauter sa copine de chval ! Jai répondu : « Bon, après-demain, a vient si a veut. A sait cqui va spasser, au moins ? Jveux pas dembrouilles! A paye la chambre et a lapporte des photos de cul. Elle est mariée ? A la des enfants ? »

Elle me fixait, toujours pas trop sûre de son coup. « Non monsieur ! »

« Parfait, alors on sfra une ptite partie à trois, un de ces jours et chez elle ! Ca tdit ?» Jai souri en la regardant.

« Oui monsieur ! »

Ben voyons ! « Tu vas lui lâcher lmorceau mais, maintenant, occupe-toi de moi, espèce de rapporteuse! »

Je lui ai bien claqué les fesses, et elle est venue se mettre à califourchon sur moi. Elle a gémi en sinstallant sur la bête. Elle fait onduler ses reins pour lavaler, la bête. Cest trop bon de la voir faire ça, de bander et de mmaintenir en place les mains posées sur ses hanches. Tu fais rien, tattend ! ca suffit largement mais faut avoir cqui faut sinon ça marche pas.

« Elle est à qui la salope ? »

Elle a gémi : « A vous, monsieur. » Jai rigolé. « Et a va faire quoi ? »

« Ce que vous voulez, monsieur ! »

« Cque jveux ? Alors, bouge un peu ton cul, baise, profite, fait ta pouffiasse, tes là pour ça, pas vrai ? Cest ça quje veux !»

Elle a hoché la tête et sest mise en route. Une petite claque de temps en temps pour laider à maintenir le rythme a suffit et quelques instants plus tard, jai senti que ses coups de reins devenaient plus secs, qua scontractait et quça vnait. Elle a couiné un bon coup et ses cheveux longs sont venus sur mon épaule. Une chiffe dans mes bras. Jlai basculée sur ldos pour fourrer mes doigts dans sa fente et dans son trou du cul, puis jai entrepris son bouton. Elle a bien ouvert ses jambes et a pleurait, des sanglots, cest pas croyable ! A chaque fois que jla sentais sur le point dy aller, jquittais lbouton pour lécher ses cuisses et, ainsi faisant, jai fait durer le plaisir un bout dtemps, le temps quy faut pour la rendre cinglée.

Juste avant qua jouisse: « Ce soir tu vas bien lui lécher les couilles à pépère. Tu mraconteras comment ça sest passé. »

Elle avait pas le choix et le savait. Elle a ouvert ses jambes encore un peu plus pour mlaisser faire et jouir en pleurant, le corps secoué comme cest pas permis.

Jai attendu qu madame sorte du coma en mordillant lintérieur des cuisses. Elle a la peau douce. Bon, cest bien joli tout ça, mais moi, jai pas joui. Y fait prendre le temps, cest ça quest bon. Pas comme le lapin den bas ! Jsuis venu moccuper de ses nichons, elle en gémissait puis jai passé ses jambes par dessus mes épaules et lai fourrée, à fond, dun coup de rein. Putain elle a aimé ça la salope ; ses mais serraient mes reins. Elle était à moi, totalement à moi. Quand jai accéléré le rythme, elle a pas tardé pas à jouir en criant et roulant la tête sur loreiller, comme une folle. « Une folle du cul, oui ! »

« Fous toi à qutpatt que jtencule un coup, puisque taimes ça ! »

Elle sest retournée et mis en position: « Oui, oui ! »

Jai bien claqué son cul : « Oui, qui ? »

« Oui, monsieur ! »

« A veut quoi la salope ? »

« Se faire enculer, monsieur ! » Jai ricané.

« Comment ? A fond ou pas ? » Jai pointé le bout dma bite sur son illet. Elle a fait bouger son cul et a écarté ses fesses des deux mains. A laime ça la salope, qua dise pas lcontraire!

« Oui, à fond, monsieur ! »

…Jlui ai pété la rondelle et a s’est laissée faire, la tête dans loreiller. Elle aime ça ! Elle la écrit et souligné. A va bien en profiter. Avec moi, cest sûr !

Jlai enculée autant qujai pu et elle soupirait en disant : « Cest trop bon !»

Javoue, lai baisée à la brutale mais elle a joui comme une vache folle, à tomber dans les vapes.

Plus tard, cest dans sa bouche de ptite salope que jai fourré ma queue pour larguer et elle a tout avalé. Après tout, elle aime ça et comme elle est bien gentille, on va pas la priver de goûter!

A 17h 20, je lai libérée et elle sest rhabillée devant moi pour écouter cque javais à lui dire.

« Bon, on se rvoit la smaine prochaine! Tu réserve et tu payes, comme dhab ! Si le concierge veut samuser, tu llaisse faire cqu veut mais pas plus dun quart dheure, faut pas lui donner de mauvaises habitudes. Ce soir, partie de trous de balles avec pépère et jveux lfilm de lannée. Tas intérêt à assurer. Ta copine vient me voir après-demain même heure avec ses photos. A sdémerde comme elle veut, mais y mfaut ça. Pour la smaine prochaine, voila ta rédaction : « Ma semaine damour avec pépère. » et pis une autre, tiens : « Ma visite chez Bramout. On est daccord là dssus ?» Elle a hoché la tête. Elle a les yeux cernés. Tu métonnes ?

Elle est sortie sans dire un mot. Elle a réservé, je lai vu. Le concierge la coincé derrière son bureau et comme y avait personne dans le hall, il en a profité pour ses mains sous la jupe, lui palper les nibards avant dse faire tailler une petite pipe en la faisant passer sous lbureau. Maintenant a connait bien lcoin.

« Toi tes un copain !» qui ma dit quand jsuis passé le voir; je lui en ai serré cinq mais jlui ai fait les gros yeux et la lçon :« La prochaine fois que jtenvoie une gonzesse, y faut prendre ton temps, la laisser te sucer tranquillos et pas lui baiser la gueule à la sauvage. Sinon on arrête tout ; faut pas mgâcher la marchandise comme ça. Tu déconnes ou quoi ! Fais cqui faut comme y faut, et un dces jours, tauras le gros lot ; tu paries 25 tickets ? »

Il était daccord. Il allait se tenir correctement et pas faire nimporte quoi avec ces dames. Promis, juré. Je lui ai cligné de lil, il a hoché la tête et j suis parti au volant de la camionnette qui pue. (à suivre)

Joyeuses fêtes à tous et bonne bourre comme dit mon pote Gégé…

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