Cela fait deux ans que j’ai écrit ce récit sur un short, et je ne pensais pas y donner suite, bien que l’ayant indiqué.
Pourtant le hasard en a décidé autrement, suite à un message que j’ai reçu il y a trois mois.
Je l’ai effacé, mais m’en souviens presque mot à mot pour vous le livrer:
"Bonjour,
Je me présente, je m’appelle Carole, j’ai 34 ans, mariée, sans enfant.
Mon mari gagne très bien sa vie, et je n’ai pas besoin de travailler. En contrepartie de cet avantage, il est la moitié du temps à l’étranger, et je me sens esseulée.
J’ai bien quelques activités entre copines ou dans une association, mais cela ne suffit pas à combler mon temps libre. Alors je consulte internet et suis tombée sur des sites érotiques, dont xstory, celui sur lequel vous écrivez.
J’ai en effet consulté les meilleurs auteurs, dont vous faites partie.
Pour tout vous avouer, vos récits ne me plaisent pas tous, mais ne me laissent pas indifférente pour autant. Mais il y en a deux qui m’ont fascinée: ceux sur le short LOVE.
Je les ai lus et relus, et me suis caressée à chaque fois au point de tremper mes petites culottes.
Pour tout vous dire, peu avant votre récit, j’ai fait des courses dans une grande surface, dans la même tenue que votre héroïne, suite à un pari perdu.
C’est sans doute improbable, mais je ne peux m’empêcher de croire que c’est moi qui vous ai inspiré pour votre histoire.
Mon mari est très gentil, mais comme je vous l’ai écrit il n’est pas souvent là, et qui plus est, il est très peu porté sur la chose. Alors je rêve d’être à vous, comme celle que vous avez vue en moi.
J’aimerais que vous m’indiquiez le magasin et la ville ou votre vision s’est réalisée, en espérant que cela soit réel, et qu’il s’agisse de moi. Nous pourrions alors envisager une rencontre.
J’espère votre réponse.
Bises."
Je lui adresse aussitôt une réponse:
"Ma chérie,
Tu ne peux savoir à quel point ton message me fait plaisir.
C’est bon de savoir qu’il y a des jeunes salopes qui prennent leur pied en me lisant.
Pour tout t’avouer moi aussi, j’ai lu et relu ton mail, et me suis branlé en pensant à toi. Au moment où je t’écris j’ai encore ma queue à la main et me l’astique en pensant toujours à toi.
Tu m’as l’air d’une mal baisée, en manque d’une bonne queue, et je me ferais un plaisir de te satisfaire.
Comme tu le dis, cela est improbable que ce soit toi que j’ai vue, mais pourquoi pas! J’ai aperçu réellement une femelle avec un cul bandant moulé dans ce short de pute. J’espère que c’était toi; cela c’est passé dans le magasin G—- de la ville L—.
Je n’en peux plus de penser à toi, je vais jouir à ta santé.
Ma bite où tu l’aimes."
Deux jours de silence, puis la voilà à nouveau:
"Bonjour,
Je sais que je ne devrais pas, mais je ne peux m’empêcher de vous écrire. Vous êtes un vieux pervers, qui m’insulte, et ça me plait. Vous me traitez de "salope", et devez avoir raison, puisque je vous réponds.
Je vous lis et relis, et me masturbe en imaginant votre bonne queue.
C’est vrai que je suis une mal baisée. Mon mari, quand il est là, se contente du strict minimum, accomplir son devoir conjugal, vite fait , en missionnaire, comme une corvée. Il ne se sert que de ma chatte, et d’aucun autre orifice.
Je n’ai connu qu’un seul homme avant lui, et qui m’imposait des fellations. En fait il n’avait pas à me forcer, vu que j’adorais sucer sa belle queue.
Mais des deux hommes que j’ai connus, aucun ne s’est préoccupé de mon petit trou.
J’ai vu sur internet que la sodomie était d’un immense plaisir et, comme l’héroïne de votre histoire, j’aimerais vous offrir mon cul encore vierge.
Le magasin que vous m’indiquez est bien celui ou j’étais, et c’est donc bien moi votre inspiratrice.
J’aimerais vous rencontrer, pour faire mieux connaissance, et plus si affinité, ce dont je ne doute.
Peut-être pourrions nous déjeuner ensemble à la cafétéria de cette grande surface.
A bientôt de vous lire
Bises
Votre salope, Carole."
Je consulte ma boite tous les jours, découvre son message, et lui réponds immédiatement:
"Salope,
J’ai cru que tu étais une de ces connasses qui s’amusent à allumer les mecs puis disparaissent, mais j’ai l’impression d’avoir péché un gros poisson, une putain de morue.
J’imagine ton petit trou innocent, camouflé dans ton short de chienne, et je rêve de le défoncer.
Je suis ok pour te rencontrer, quand tu veux, dis moi le jour qui te conviens.
Je vais cesser de me branler jusqu’à te voir, pour t’offrir mes couilles bien pleines.
Ma bite profond
Ton vieux pervers bien vert, Eric."
Elle me répond, je lui demande son numéro de téléphone, lui donne le mien, mais elle préfère rester secrète et s’en tenir à la messagerie. Encore quelques échanges, et on fixe notre rendez-vous et les conditions du "plus si affinité".
On est jeudi, midi moins cinq, et j’attends à l’entrée de la grande surface. Deux minutes à poireauter, et je vois une ravissante créature se diriger vers moi. Elle est blonde, cheveux courts, la trentaine, grande, mince, comme celle de mon récit dont je me souviens pour l’avoir relu suite à son premier message. C’est bien elle, aucun doute, à part sa tenue; elle ne porte pas son short, mais une ravissante robe qui s’arrête à mi-cuisses. Elle se plante devant moi:
— Bonjour, j’ai rendez-vous avec un certain Eric. C’est vous?
— Oui, tout à fait, et tu es donc Carole?
C’est effectivement elle, on se fait la bise, je la félicite en lui disant que je ne me rappelais plus qu’elle était aussi jolie, elle me remercie, me dit que je ne suis pas mal non plus. On échange encore quelques mots tout en se dirigeant vers la cafétéria.
Il n’y a pas grand monde, et on choisit une table isolée pour discuter tranquille. Elle se décide à me tutoyer, on se confirme ce que l’on s’est déjà confié par écrit, à savoir notre envie l’un de l’autre, et aussi notre impossibilité de se recevoir.
En effet je suis marié, nous formons un couple très libre avec mon épouse, j’ai mes aventures et elle les siennes, mais on a convenu que cela devait se passer à l’extérieur et ne jamais emmener quelqu’un à la maison. De son côté elle habite dans un petit lotissement et ne veux pas prendre le risque d’accueillir un homme, vis à vis de voisins un peu trop curieux.
Il reste la solution de l’hôtel, mais il faudrait en trouver un "de passe", et puis ça reviendrait cher si on doit avoir une liaison qui dure. Elle a eu alors l’idée de se retrouver dans les toilettes de cette grande surface, des toilettes qui se trouvent juste à l’entrée et qui sont libres d’accès, sans aucune surveillance.
Notre déjeuner est terminé et je la suis dans ce lieu. On a déjà tout prévu, sans surprise, un rapport rapide pour éviter de se faire surprendre.
Je baisse mon froc et mon slip, elle s’acroupit, me suce, me fait bander, me félicite pour ma jolie queue. Elle attrape un préservatif et me l’enfile. Ce n’est pas qu’elle ne veuille pas de mon sperme, bien au contraire, mais si je remplis son fion de ma sauce, elle ne pourra pas se laver et ne veux pas sentir mon foutre dégouliner sur ses cuisses.
J’ai donc ma capote, elle se relève, enlève sa culotte, se retourne, remonte sa jupe sur ses reins, se penche en avant, écarte ses fesses:
— Vas-y, encule moi, je veux être ta salope.
— Avec plaisir ma chérie, mais ne t’inquiète si tu as un peu mal, c’est normal la première fois, mais après tu ne vas plus pouvoir t’en passer.
Je suce mes doigts, puis je taquine son œillet, tâte sa rondelle, m’introduit: un doigt, deux, trois, et elle accepte avec des petits cris, mélange de douleur et de plaisir. Elle est suffisamment ouverte pour que je tente mon sexe. Je plaque mon gland sur sa rosette, et je pousse, lentement mais sûrement. Je suis tout elle, bien ancré, profond:
— Ca va? Je ne te fais pas mal?
— Un peu, mais c’est supportable. Encule moi, lime moi, il faut que j’essaye, c’est aujourd’hui ou jamais. Je veux être ta chienne, comme dans ton récit.
– Hum, tu es une chaude toi, je vais remplacer ton mari, ce connard qui ne te mérite pas.
— Ne dis pas ça, il est très gentil.
— Oui, peut-être, mais mauvais baiseur. C’est un bon queutard qu’il te faut, avec une grosse bite bien vaillante. Ose dire le contraire!
— Non, tu as raison, j’ai envie de ta queue, de la sentir m’exploser le fion. Encule moi, encule moi fort, c’est trop bon!
Je me déchaîne, la défonce, la matraque, et elle jouit, gémit, râle, en retenant ses cris pour ne pas alerter d’éventuels visiteurs. Je finis par jouir entre ses reins, dans ma capote. Je me dégage, la retire pour la jeter dans la cuvette, et elle me suce pour me nettoyer.
On est satisfait tous les deux de cette première rencontre:
— C’était super ma chérie, ça t’a plu?
— Oui, je n’aurais jamais imaginé que c’était aussi bon.
— On se revoit demain?
— Non, j’aurais bien aimé, mais ce n’est pas possible. Je t’écris ce soir, et on se fixe un autre rencart.
— Ok ma belle salope, je compte sur toi.
— Promis, ne t’inquiète pas.
A suivre…