(Mes gros lolos les excitaient au plus haut point).
Mon compagnon et moi-même avons une quarantaine bien accomplie. Nous sommes un couple ayant eu une première vie maritale chacun de notre coté avant de nous rencontrer. Nos habituelles relations sexuelles rentraient dans le cadre très privé du bon couple de famille avec ses règles et ses interdits. Nous, nous accommodions apparemment bien de ces règles du jeu judéo chrétiennes.
Le hasard a voulu que Paul et moi, fassions connaissance dans un centre de Thalassothérapie à la pointe de la Bretagne pour qu’une nouvelle vie s’ouvre à nous. Il a tout de suite été subjugué par mon énorme poitrine. Je fais un 115 E. Pour les médecins, ils appellent cela, une atrophie mammaire, et pour les hommes cela relève de la curiosité malsaine.
Lorsque j’étais jeune, je les bandais très serrés pour éviter que les autres élèves se moquent de moi et principalement pour les séances d’éducation physique. Je n’allais jamais à la piscine avec mes amies car en maillot de bain, je ne pouvais rien cacher. Mon mari a été le seul à voir mes mamelles et d’ailleurs, il les a découverte uniquement le jour de notre mariage. Il savait que j’avais une grosse poitrine mais certainement pas à ce point la. Il s’en est toujours très bien occupé et il m’a donné du plaisir en jouant avec, mais il n’aimait pas que je les mette en valeur à l’extérieur de la maison ou en communauté. Comme j’ai toujours eu l’habitude de les cacher, cela ne me posait vraiment pas de problème.
Durant cette semaine de remise en forme, il y avait des séances d’aquagym et manifestement, il était inévitable que je me baigne en maillot. Mes flotteurs ont tout de suite attiré l’attention de Paul et il s’est enhardi immédiatement en me félicitant d’avoir un si généreux avant scène et qu’il était vraiment dommage qu’il ne s’en soit pas aperçu plus tôt. Il me conseilla de m’habiller de façon un peu plus sexy et il m’invita à dîner à sa table le soir même. Le charme de l’homme et son éclatant sourire ne me déplaisant pas, j’acceptait illico la proposition.
Spontanément, je m’habillais comme d’habitude quand je me suis soudain remémoré la réflexion de cet homme. Je me suis donc changée et j’ai mis un chemisier ouvert qui laissait apparaître la profonde descente de ma poitrine. En me regardant dans cet accoutrement inhabituel, je me sentais une autre femme. Je me trouvais même bien faite et par le fruit du hasard j’avais perdu le complexe de mes seins.
Quand je suis entré dans le grand salon, quelques regards insistants et surtout sans équivoque m’ont fait rougir mais d’une allure fière et digne je me suis avancée droite comme un I jusqu’à la table de Paul. Personne ne pouvait éviter les deux volumes, retenus par un soutien gorge en dentelles, qui se cachaient sous le fin tissu transparent. Il se leva pour déplacer ma chaise et tout en m’asseyant il me dit dans le cou qu’il n’avait jamais vu une merveille pareille. Confuse, je ne fis pas cas de son compliment et je lui souris tout simplement. En poussant ma chaise il positionna ses deux mains sous les bonnets et je sentis un frisson incroyable me traverser l’échine. Notre soirée fut placée sous le signe du sexe et mon excitation était à son comble à la fin du repas. Je me suis laissée séduire par son assurance et par ses promesses de plaisir sans tabous.
Avant Paul, je n’ai jamais eu de relations avec d’autres hommes. En dehors de mon mari, personne ne m’avait vu nue. Dans sa chambre, sans aucun complexe, je me suis libérée de toutes mes entraves vestimentaires et je me suis offerte dans le plus simple appareil au regard de cet inconnu. Mes mains dans le dos, il pouvait voir cette femme qui était prête à tout lui donner et à tout découvrir. Cette semaine sexuelle m’a plus épuisée que ressourcer et pourtant je me sentais bien. Il avait inspecté tous les recoins de mon anatomie et il les avait pénétré avec beaucoup d’assurance. J’ai aimé et lorsque je suis rentré chez moi, je me suis sentie frustrée sexuellement. J’avais besoin qu’on me domine et qu’on m’impose toutes sortes de relations. J’ai quitté mon mari et je suis retourné vers Paul.
Nous vivons chacun de notre coté mais il est aux petits soins pour moi surtout qu’il peut tout faire de moi. Nous sommes devenus des adeptes de l’échangisme et surtout des clubs. Dès que nous en avons l’opportunité nous y allons pour nous éclater et surtout pour me faire éclater le cul. Il ne s’intéresse qu’à mon plaisir et il adore me voir me faire défoncer par n’importe qui.
Pour mon anniversaire, Paul a organisé un après-midi très spécial avec le patron de la boite dans lequel nous allions fréquemment. Arrivée devant la porte de l’établissement que je connaissais par cour pour y avoir subi les derniers outrages, il m’a mit un masque noir ne laissant passer aucune luminosité. Dans l’escalier, il a entreprit de me mettre totalement nue et il m’a conduite ainsi dénudée sur la piste de danse. Les voix des hommes m’ont confirmée que j’étais la seule femme et que mes gros lolos les excitaient au plus haut point. Des mains ont investi mon corps et surtout ma poitrine. Je sentais de nombreuses palpations excitantes. J’ai dénombré environ vingt mains sur mon et en mon corps. Ma vulve a l’extrême niveau d’excitation acceptait deux, voire trois doigt pénétrant sa cavité. Paul, je sais que c’est lui, m’a prise analement et à fond, puis il s’est bloqué en moi après avoir éjaculé. J’ai commencé à sentir des jets de sperme sur mes seins. Les garçons me prenaient les deux mains pour que je les masturbe en harmonie et les aider à lâcher leur purée sur mes seins. Le précieux sirop de corps d’homme, a sans hésitation, servi à mon automassage de poitrine et je dois avouer que plus mon mari me défonçait le cul, plus je jouissais. Maintenant je sais ce que c’est d’être la proie des hommes.
Doumé