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L'héritage de Franck ou Histoire de Famille. – Chapitre 13




Marc et Chantal attendait l’ascenseur.

Elle était à son travail quand Marc l’a appelée pour lui dire qu’il était au pied de son immeuble.

Il était venu  jusque-là en transport en commun car il avait déposé sa voiture au garage et demandait à Chantal si elle pouvait le ramener à son appartement.

Il était à peine 17h00, mais elle accepta de quitter son travail pour le conduire chez lui.

Ils étaient donc, maintenant, devant la porte de l’ascenseur.

Quand celle-ci s’est ouverte, Alain en sorti.

En voyant Chantal, il lui fit, comme il en avait pris l’habitude maintenant, la bise et salua rapidement d’un signe de tête son compagnon.

Ils montèrent dans l’ascenseur, abandonnant ainsi Alain.

Marc demanda alors à Chantal qui était cet individu qu’elle semblait bien connaitre.

Elle lui répondit qu’il habitait le même immeuble que lui et qu’elle l’avait croisé quelquefois en venant chez lui.

–    Mais je ne le connais pas vraiment

–    Et tu lui fais la bise ?

–    Euh non, enfin oui mais c’est Alain qui en a pris l’initiative et je n’ai pas eu vraiment le temps de réagir

Marc éclata de rire en voyant Chantal si mal à l’aise et rougissant comme une pivoine.

–    Tu ne le connais pas, mais tu lui fais la bise et tu l’appelles de son prénom.

elle est devenue encore plus écarlate.

Il s’amusait de la situation mais n’était nullement jaloux d’Alain.

Il ne connaissait pas ce voisin, mais il a bien vu devant l’embarras de Chantal qu’elle ne maîtrisait nullement cette « relation » et qu’il s’agissait probablement d’un individu entreprenant  qui avait su profiter du manque d’assurance de Chantal pour installer une « pseudo-intimité ».

Marc se dit en lui-même qu’il lui faudra  faire connaissance avec ce coquin, il était en effet certain qu’il pourrait avoir quelques affinités avec lui et qu’ils trouveraient peut-être quelques jeux intéressants à faire subir à Chantal.

Bien entendu, il ne confia pas ses pensées à sa partenaire.

 Quand ils furent dans l’appartement, il lui offrit un plug et lui demanda de l’essayer de suite.

Elle hésita, mais fit ce que Marc lui demandait de faire.

Il lui fit ensuite l’amour.

–    N’est-ce pas agréable ?

Chantal avait maintenant l’habitude des idées fantasques de Marc, elle s’en offusquait quelquefois, mais finalement finissait toujours par le suivre et même souvent par apprécier ses bizarreries.

Il avait beaucoup d’imagination, leur liaison lui avait fait découvrir moult fantaisies et autres originalités, cela l’avait souvent désorientée, mais elle devait aussi s’avouer que si souvent elle en avait honte, elle y avait pris goût.

–    N’as-tu pas l’impression d’avoir 2 hommes en toi ?

Lui susurra-t-il à l’oreille.

Il parlait, elle ne l’écoutait pas vraiment et ne lui répondait pas.

Il aimait être bavard quand il faisait l’amour, elle n’aimait pas trop cela, ça la déconcentrée.

–    Hum, je suis sûr que tu aimerais cela

Elle n’écoutait pas, mais entendait quand même.

–    Quoi ?

Dit-elle finalement un peu énervée de tenir une conversation en plein coït.

–    Faire l’amour à trois.

Chantal prit peur.

Elle savait que lorsqu’il lançait une idée en l’air, l’air de rien souvent, il finissait par vouloir la concrétiser.

–    Ça ne va pas la tête.

Dit-elle en l’écartant d’elle.

Marc n’avait aucune crainte et se permettait tout avec Chantal, il espérait bientôt pouvoir le faire aussi avec Charlotte, mais pour l’instant, Charlotte était dans les mains d’Antoine.

dans les mains, façon de parler, mais en de bonne main quand même.

Antoine, tentateur et séducteur n’a pas peur de la différence d’âge, s’il est dynamique et actif, il sait aussi se faire discret et attachant, il a tout de l’homme puma ou presque.

L’homme puma est équivalent de la femme couguar, mais à la différence de beaucoup de ces congénères s’il est diablement sexuel, il ne cherche pas des jeunes femmes fougueuses et énergiques.

Bien au contraire, il appréciera de dévergonder une jeune femme timide et prude.

Son approche est souvent imperceptible par sa proie. Tel un félin, il traque sa victime et tombe dessus au moment où elle ne s’y attend pas.

Sauf qu’il ne la dévore pas, enfin au sens propre du terme, mais la séduit et la met ensuite dans son lit.

Son objectif, cette fois, c’est Charlotte. Il l’a observé, l’a laissé croire aussi qu’il s’intéressait plus à sa mère qu’à elle, pour l’approcher plus facilement et surtout lui faire baisser sa garde.

 

Autant Marc est direct et transparent, autant Antoine peaufinera son approche, il est aussi bien plus délicat et raffiné que son ami, il sympathise avant de porter le coup de grâce.

 Il a déjà réussi à "fraterniser" avec Charlotte, elle apprécie sa présence et a confiance en lui.

Ils parlent beaucoup ensemble, au départ c’était lorsqu’il la croisait en compagnie de sa mère, puis il a réussi à discuter avec elle à l’écart des autres et cela de manière naturelle et obtenir son emploi du temps.

Il savait qu’elle allait bientôt sortir du bâtiment et se rendre vers son studio, il s’était garé et l’attendait.

Il n’était pas à proximité du bâtiment, mais plutôt vers le studio, il s’était placé de telle manière qu’elle devait passer à côté de sa voiture pour rentrer chez elle.

Elle l’avait reconnu de loin et avait amorcé un sourire en s’approchant de la voiture.

Il avait baissé sa vitre et l’avait abordé.

–    Bonjour, je passais dans le coin et je me suis souvenu que tu finissais bientôt, alors je me suis dit que je pouvais bien attendre un peu pour te saluer.

Il était ensuite sorti de la voiture et lui avait fait la bise.

–    S’il y a un café dans le coin, j’ai un peu de temps, nous pourrions prendre un verre et discuter.

–    En réalité, je n’en sais rien, mais prenons le à la maison, j’ai du jus de fruit ou du café.

–    Alors un café pour moi

Dit-il.

Chantal se faisait prendre par Marc, il lui avait enlevé son plug et la sodomisait, pendant qu’Antoine suivait Charlotte jusqu’à son studio.

Bien entendu, il ne la sodomisera pas aujourd’hui, il ne lui fera certainement pas l’amour non plus, mais c’était un nouveau pas, elle lui avait ouvert la porte de son appartement, c’était une grande étape de franchie il allait maintenant commencer à semer le doute en elle.

Ne rien dévoiler de ses intentions, bien entendu, mais un regard, un sourire, un trait d’humour, juste ce qu’il faut pour faire naitre en elle le commencement d’un petit trouble.

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