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Eldria – L'Enfer Rose – Chapitre 2




La silhouette d’un soldat en uniforme se dessina en face de Dricielle et d’Eldria. Cette dernière sentit une nouvelle vague de peur la submerger. Maintenant, elle savait ce dont ces monstres étaient capables. L’homme avait les cheveux blonds coupés courts, il n’était pas très grand et son visage affichait une étrange expression de satisfaction. Il avait l’air plutôt jeune, peut-être vingt ou vingt-et-un ans.

Toi, dit-il en pointant Dricielle du doigt.

Eldria la sentit trembler à côté d’elle.

Reste contre le mur du fond. Et toi, répéta-t-il en désignant cette fois-ci Eldria. Tu vas me suivre.

Il déverrouilla la porte de la cellule dans un grand fracas métallique et fit signe à Eldria d’approcher. Celle-ci jeta un regard à Dricielle, mais la jeune femme semblait s’être pétrifiée à la vue du soldat. De toute évidence, il était totalement inutile de lui ordonner de ne pas bouger car elle n’en avait pas l’intention.

Sentant qu’il ne valait mieux pas laisser l’occasion à l’homme de venir la traîner de force, Eldria se leva et s’approcha de lui, la peur au ventre. Il la laissa passer devant, le sourire aux lèvres.

Là-bas, dit-il en indiquant une porte légèrement entrouverte à l’opposé de celle par laquelle Eldria était arrivée plus tôt.

Elle jeta un timide coup d’il en direction du garde, puis consentit à se diriger vers la pièce éclairée, l’homme sur ses talons, redoutant un peu plus à chaque pas ce qui allait se cacher derrière.

La pièce était plutôt spacieuse et était éclairée par quelques torches. Un feu crépitait dans l’âtre d’une cheminée, lui procurant une atmosphère presque orangée. Il y avait deux autres portes, et quelques tables ainsi que des bancs en bois étaient disposés en son centre. En d’autres circonstances, bien qu’un peu spartiate, l’endroit aurait pu paraître chaleureux.

Trois autres soldats étaient debout au milieu de la pièce, une chope de bière à la main. Ils observèrent Eldria entrer et s’échangèrent des clins d’il en ricanant. Eldria fut également surprise de trouver Salini, adossée contre un mur à sa droite. Quand elle vit entrer Eldria, la jeune femme se précipita vers elle et l’examina rapidement de bas en haut, comme pour s’assurer qu’on ne lui avait fait aucun mal. Elle portait elle aussi un pagne grisâtre, mais n’avait visiblement pas été maltraitée non plus, ce qui était plutôt bon signe.

Les deux jeunes filles n’eurent pas le temps d’échanger un mot. Le soldat blond qui était allé chercher Eldria ferma la porte derrière lui et alla rejoindre ses collègues. L’un d’eux, le plus grand et le plus imposant des quatre, s’avança et prit la parole. Il avait le crâne rasé, et une grande balafre ornait sa joue.

Bien, commença-t-il d’une voix grave et rauque en se frottant les mains et en les observant toutes deux de toute sa hauteur. Je suppose que vous vous doutez de la raison de votre présence ici ?

Eldria ne comprenait pas ce qu’il voulait dire. On ne leur avait pas expliqué la raison de leur arrestation, comment étaient-elles censées deviner quoi que ce soit d’elles-mêmes ? Mais Salini, quant à elle, ne semblait pas surprise. Elle fixait l’homme au crâne rasé d’un air renfrogné, les bras croisés.

Nous ne sommes pas ce genre de femmes, répondit-elle froidement.

Les quatre hommes se mirent à rire de bonne grâce. Un élément échappait à Eldria… Salini en savait-elle plus qu’elle ?

Oh mais si vous l’êtes. Seulement vous ne le savez pas encore, répliqua le grand homme en ricanant.

Son regard malsain se posa sur Eldria et il sembla remarquer son air abasourdi.

Apparemment, ta petite camarade n’a pas vraiment compris… reprit-il à l’intention de Salini. Je te laisse le soin de lui expliquer.

Ils se mirent tous à rire de plus belle, tout en se resservant de la bière. Quelque chose semblait beaucoup les amuser. Salini soupira en fermant les yeux. Finalement, après un nouveau regard froid en direction des soldats, elle se tourna vers Eldria. Elle avait perdu son ton acerbe.

Nous avons été amenées là… commença-t-elle, pour les… Divertir.

Elle marqua une courte pause.

Les divertir, tu comprends ? répéta-t-elle en insistant sur le mot.

Eldria soutint son regard pendant quelques secondes. Ses entrailles s’étaient glacées. C’était comme si elle tombait dans un immense trou sans fond. Elle avait finalement compris, trop bien compris…

Les quatre hommes s’étaient remis à ricaner en se tapant les cuisses. Salini leur fit de nouveau face et leur lança :

Et que se passera-t-il si nous refusons ?

L’homme à la cicatrice la toisa d’un air menaçant.

Les règles sont simples : si vous obéissez, tout se passera bien pour vous. En revanche, si vous vous rebellez ou si vous faites quelque chose de stupide, alors vous risqueriez de beaucoup le regretter…

Salini croisa les bras d’un air inflexible, ce qui ne manqua pas de faire réagir l’homme.

Une rebelle ? J’aime beaucoup ça… Ça va être amusant de voir ce que tu vas choisir.

Il leva les yeux au ciel et se gratta le menton, comme s’il réfléchissait intensément.

Hmm… Voyons… Ta copine n’a pas l’air très rassurée. Je veux que tu la rassures, que tu lui montres ton affection. Toute ton affection…

Non, trancha simplement Salini.

L’homme eut un nouveau sourire malsain.

Bien… Alors j’espère que ta jeune amie n’a rien contre les sévices physiques, ricana-t-il en décrochant un long fouet de sa ceinture.

Il se dirigea vers Eldria d’un pas menaçant. Celle-ci était trop abasourdie pour bouger. C’était comme si tout autour d’elle était devenu flou, distant… Elle se demanda si elle n’allait pas s’évanouir sur le champ. Après tout, c’était peut-être préférable.

Attendez ! s’écria soudain Salini.

L’homme s’arrêta et tourna la tête vers elle.

Je… je vais le faire… céda-t-elle d’une petite voix.

Sage décision, répondit-il.

Il rattacha l’arme à sa ceinture et vint se replacer parmi ses camarades. Salini se tourna une nouvelle fois vers Eldria. Les deux jeunes filles se regardèrent ainsi pendant quelques instants. Les yeux de Salini exprimaient un mélange de compassion et de tristesse, tandis qu’Eldria commençait à frissonner. Elle était incapable de bouger, et même de réfléchir.

Plus vite que ça ! vociféra soudain l’un des soldats.

Salini prit une profonde inspiration, puis s’approcha doucement d’Eldria. Celle-ci l’observa s’avancer. Elle sentait les larmes doucement lui monter aux paupières.

Arrivée à son niveau, Salini s’arrêta quelques secondes, puis lui passa délicatement les bras autour de la taille. Elle la serra contre elle avec douceur, et Eldria pu sentir la subtile odeur de ses longs cheveux blonds bouclés.

Je suis désolée… lui murmura Salini à l’oreille, de façon à ce qu’elle seule puisse entendre.

Finalement, elle relâcha quelque peu son étreinte et lui déposa un baiser sur la joue, suivi d’un autre dans le cou, puis dans la nuque, et enfin sur l’épaule. Salini commença à monter et descendre doucement ses bras le long du corps d’Eldria. Elle partit de sous ses épaules, puis effleura doucement sa taille, ses hanches, ses cuisses. Elle renouvela ces gestes plusieurs fois.

La jeune femme se baissa et se mit à embrasser toujours aussi délicatement ses orteils, son talon, et enfin ses mollets. Elle effectuait chacun de ses baisers un peu plus haut que le précédent, si bien qu’elle finit par se rapprocher de l’endroit où le pagne d’Eldria s’arrêtait, juste au-dessus de ses genoux.

Eldria était trop pétrifiée pour bouger. Elle regardait Salini à ses pieds, et ne savait pas comment réagir. Elle prenait soudain conscience de ses bras, de ses jambes, et de tout son corps. C’était comme si celui-ci ne lui appartenait plus entièrement, comme si elle flottait légèrement à côté… Pourtant, elle sentait toujours son cur battre la chamade, à mesure que les effleurements de Salini s’intensifiaient.

Cette dernière continuait de l’embrasser de plus en plus haut, remontant au passage le haillon d’Eldria avec les mains plaquées le long de ses cuisses. Les bras pendant bêtement le long de son corps, Eldria jeta un rapide coup d’il en direction des quatre soldats. Ils étaient en train de les fixer toutes les deux, comme subjugués, mais elle préféra détourner les yeux. Elle préférait oublier qu’ils étaient là, comme si le fait de ne pas les voir pouvait les faire disparaître.

Elle observait maintenant avec appréhension Salini remonter petit à petit son vêtement de fortune jusqu’au niveau de ses hanches, mais la jeune fille s’arrêta juste avant. Elle décolla son visage des jambes d’Eldria, leva la tête, et la regarda. Elle avait les joues légèrement rosies.

Elle se redressa et prit de nouveau Eldria dans les bras, au niveau des épaules cette fois. Mais contrairement à tout à l’heure, elle la poussa délicatement en arrière, comme pour l’encourager à s’allonger. Ne comprenant pas bien ce qu’elle comptait faire, Eldria décida de s’exécuter. Elle s’allongea sur le dos, donc, et Salini la suivit dans son mouvement.

Elles étaient maintenant l’une sur l’autre. Salini cala ses genoux autour des hanches d’Eldria et la regarda. Ses grands yeux écarquillés la fixaient au travers de ses boucles d’or, une lueur de tendresse brillant dans le bleu profond de ses pupilles.

Puis, sans la quitter du regard, Salini attrapa le bas de son propre pagne et le retira doucement par le haut, dévoilant tout d’abord sa culotte, puis ses seins nus, fermes et rebondis, qui s’agitèrent au rythme de ses mouvements. Des sifflements appréciateurs se firent entendre quelque part à la gauche d’Eldria, mais elle était trop en état de choc pour s’en rendre compte.

Eldria rougit, et Salini, à moitié dénudée, recommença à faire glisser ses doigts le long du corps de son amie. Cette fois-ci, elle partit de son menton, puis ramena ses bras doucement, délicatement, inévitablement vers le reste de son anatomie. Eldria sentit le bout des doigts de la jeune femme lui effleurer le torse, passer furtivement sur sa poitrine, puis jouer avec son nombril à travers le fin tissu du pagne.

Elle frémit. De tout son corps.

Après quelques instants de douces caresses, Salini recula pour s’allonger finalement au niveau des jambes d’Eldria. Elle plaça encore une fois ses mains au niveau des hanches de cette dernière, puis agrippa son pagne et commença à le remonter lentement. On aperçut bientôt sa culotte blanche, puis son petit nombril au milieu de son ventre plat. Arrivée au niveau de ses seins, Salini approcha son visage et, tout en continuant de retirer le haillon pour les dévoiler entièrement, se mit à les embrasser avec tendresse.

Les soldats émirent de nouveaux sons appréciateurs, mais Salini n’y prêta aucune attention. Elle finit de retirer le pagne d’Eldria en lui soulevant les bras. Celle-ci avait fermé les yeux de honte. Salini commençait à lui pétrir le galbe de la poitrine, d’abord doucement, puis petit à petit avec plus d’insistance. Elle la lui malaxa vigoureusement pendant plusieurs secondes, et Eldria ne put retenir un faible gémissement mêlé de sanglot. Toujours était-il que le doux contact des mains de Salini en cet endroit lui procurait du plaisir. Un plaisir relatif certes, mais un plaisir quand même.

Finalement, après quelques secondes qui parurent durer des heures, ce qui devait arriver arriva. Eldria avait redouté ce moment. Salini avait rapproché les mains de son bassin. Les battements de son cur redoublèrent d’intensité, comme s’il redoutait de sa propre initiative le moment fatidique.

Mais Salini ne retira pas le dernier sous-vêtement de son amie. Au lieu de cela, elle lui écarta doucement les cuisses et commença à la toucher au niveau de l’entrejambe, un peu comme l’avait fait la femme au chignon plus tôt dans la journée, mais avec beaucoup, beaucoup plus de délicatesse cette fois-ci.

Eldria sentit distinctement les doigts chauds de Salini frotter contre son sexe à travers le tissu de sa culotte. Cela entraîna une sorte de petit spasme au niveau de ses hanches, comme si elle avait reçu une minuscule décharge.

Ayant certainement ressenti ce petit sursaut involontaire, Salini rapprocha son visage de celui d’Eldria et, tout en faisant mine de la caresser, lui murmura à l’oreille, de façon à ce qu’elle seule puisse entendre :

Tu es vierge, n’est-ce pas ?

Eldria détourna les yeux et ne répondit rien. Elle sentait le corps tiède de Salini contre le sien, les tétons de sa douce poitrine appuyés contre sa peau. La jeune femme poussa un soupir résigné.

Je le savais…

Elle ramena son visage près de la culotte d’Eldria.

C’était parti.

Elle la lui fit glisser doucement le long des cuisses, dévoilant petit à petit un léger duvet noir, à l’endroit de son sexe. Salini finit de retirer le sous-vêtement et le posa délicatement près du haillon au sol.

Eldria rougissait énormément. Se retrouver ainsi, entièrement nue, sous les yeux de cinq personnes, dont quatre hommes adultes qu’elle ne connaissait pas, était une expérience humiliante et rabaissante… Ses yeux s’embuaient petit à petit à mesure que des larmes venaient s’y accumuler. Ses sanglots s’étaient désormais transformés en pleurs.

Salini, qui s’en était très certainement rendue compte, s’allongea une nouvelle fois contre elle, les mains contre ses seins.

Laisse-toi simplement faire, murmura-t-elle avec tendresse. Ne pense à rien d’autre… s’il te plaît… Tu n’as rien à faire, laisse-toi simplement aller…

Eldria approuva rapidement d’un signe de tête, luttant en vain pour contenir ses larmes. Elle ferma les yeux et rabattit sa tête en arrière, contre le sol de pierre.

Elle était dans une clairière, non loin de sa ferme natale. Une petite cascade au loin laissait entendre le bruit caractéristique et si familier de l’eau qui s’écoule, dans son cycle éternel. Un bruit réconfortant. Elle était étendue de tout son long dans l’herbe verdoyante, écoutant avec volupté le chant des oiseaux, ne pensant à rien d’autre qu’au doux soleil, haut perché au beau milieu d’un vaste ciel bleu, qui venait chauffer son visage. Tout était calme. Tout était bien. Elle entendait le souffle du vent dans les arbres, faisant danser très légèrement les branches. Elle accueillit avec plaisir la légère brise venue la caresser. Elle la sentit effleurer ses cheveux, son visage, ses bras…

Ses hanches, ses jambes…

Ses seins, son bas-ventre…

Son sexe…

Elle rouvrit précipitamment les yeux, et l’atmosphère de la pièce orangée faillit presque la surprendre. C’est à ce moment précis qu’elle se rendit compte que quelque chose de chaud et d’humide était en train de se frotter contre son intimité. Elle leva la tête avec horreur.

Salini, la tête plantée entre ses jambes complètement écartées, léchait les parois de son vagin. Eldria, dont le cur avait entamé une nouvelle valse survoltée, se mit avec stupeur à sentir des frémissements dans tout son corps à intervalles réguliers, et commença à pousser des gémissements. Elle n’arrivait pas à les retenir, c’était comme s’il fallait qu’ils sortent à tout prix… Elle n’était plus elle-même, tout le reste n’avait plus aucune importance.

Après quelques minutes pendant lesquelles Eldria fit de son mieux pour arrêter de gesticuler dans tous les sens, Salini remonta légèrement sa langue et commença à lécher sensuellement la partie haute de son intimité, juste sous ses poils pubiens. Mais alors qu’Eldria ressentait en elle une nouvelle vague de frémissements, plus rapprochée de la précédente que ne l’étaient les autres, elle se rendit compte que quelque chose pénétrait en elle, quelque chose de petit et de fin. Dans un état second, elle souleva la tête en direction de Salini et découvrit entre ses propres seins, dont les tétons s’étaient mis à durcir, que la jeune fille avait rapproché sa main gauche de son entrejambe, et qu’elle s’était mise à effectuer un délicat mouvement de va-et-vient avec son bras, sans arrêter de la lécher juste au-dessus de l’orifice.

Bien sûr, il était déjà arrivé à Eldria d’aventurer ses doigts en cet endroit, lorsqu’elle était seule le soir dans son lit. Elle savait que cela pouvait procurer du plaisir, mais elle n’avait que rarement osé les insérer à l’intérieur, surtout pour aller aussi loin. La plupart du temps, elle se contentait simplement de petites caresses sans grandes incidences.

Pourtant, cette fois-ci, c’était différent… Elle sentait le doigt brûlant de Salini en elle, frotter contre les parois intérieures de son sexe, puis repartir… puis revenir… puis repartir, d’abord très lentement, puis de plus en plus rapidement, dans un mouvement incessant, implacable.

Eldria sentit les frémissements, qui semblaient prendre leur source en cet endroit, à chaque fois plus rapprochés les uns des autres, de façon incontrôlable, tout comme les gémissements qu’elle s’était mise à pousser de plus en plus fort, sans pouvoir s’en empêcher. Elle ferma les yeux, et plaqua ses deux mains contre son bas-ventre, dans un geste qui était venu de lui-même, totalement naturellement, rabattant ses deux seins l’un contre l’autre entre ses bras.

Semblant venir de très, très loin, elle entendit un bruit de métal et de froissement de vêtement, comme le bruit d’une ceinture qu’on enlèverait. Alors que la langue et le doigt de Salini continuaient leur activité de plus belle, Eldria distingua une forme qui s’était avancée au-dessus d’elle. Ses yeux étaient embués, et il lui fallut quelques secondes pour concentrer son attention plus attentivement sur le nouveau venu, entre deux gémissements.

C’était un des soldats, le blond qui était venu la chercher dans sa cellule. Elle fut presque surprise de le voir ici, comme si la présence des quatre hommes avait été effacée temporairement de son esprit… Après plusieurs secondes, elle se rendit compte avec horreur que l’homme avait retiré son pantalon. Elle vit distinctement sa main effectuer elle aussi des mouvements de va-et-vient sur la forme floue et longue de son sexe.

Mais Eldria était trop occupée à gérer le flot de plaisir qu’elle ressentait pour analyser si cette vision la révulsait ou non. Les frémissements de son corps étaient maintenant si rapprochés qu’ils allaient bientôt n’en former plus qu’un… Le doigt de Salini rentrait et sortait si vite de son vagin qu’elle n’arrivait maintenant plus à faire la différence entre le moment où il était à l’extérieur et celui où il était à l’intérieur.

Puis, l’inélucatble se produisit. Eldria sentit un long, très long frémissement émaner de l’intérieur d’elle-même quelque part entre son sexe et son nombril et se répandre dans tout son corps. Elle fut secouée de micro-spasmes incontrôlables et retint son souffle pendant plusieurs secondes, à mesure qu’un flot de plaisir incommensurable, presque bestial, la submergeait. Jamais elle n’avait ressenti une telle sensation de sa vie, jamais elle n’avait fait l’expérience d’une extase aussi forte. Au même moment, elle sentit qu’elle expulsait du liquide de son intimité, et cela intensifia encore plus son tremblement.

Puis, quasiment en même temps, elle sentit quelque chose de chaud, un liquide aussi, se répandre sur sa poitrine à intervalles réguliers. Elle commença par se demander comment son corps avait pu expulser quelque chose de si chaud en cet endroit, mais le flot de plaisir mêlé de honte accaparaient tellement chaque fibre de son être que cela était devenu secondaire. Tout était devenu secondaire.

A moitié en pleurs, elle poussa un long gémissement sonore, alors que le pic de plaisir qu’elle ressentait laissait rapidement place à une vide béant, comme si le feu sacré qu’avait entretenu cet acte si sensuel s’était subitement éteint, sans laisser d’autre trace que les tristes cendres de sa vigueur révolue. Eldria réalisait petit à petit avec horreur ce qu’il venait de se passer…

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